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Rappel du premier message :

Le navire géant qui leur fonçaient dessus la semaine précédente était en fait un navire de chasseur de primes qui s'étant détourné de sa trajectoire au dernier moment. Une chance pour eux, leur aventure se serait terminée là-bas. Leur combat continua pendant quelques heures lorsque d'autres chasseurs de primes vinrent s'ajouter à la bataille entre les pirates de l'éclair jaune et ceux de Diamond boy, qui d'ailleurs, était tombé à l'eau. Ange avait un fruit, Shimeru ne voulait pas rouiller ses circuits, et la bataille ne permettait aucun répit à personne. Noriyaki sombra donc profondément avant que l'ado ne vienne le sauver. L'ado, c'était le surnom qu'avait donné le capitaine à Phoenix D. Juusei lors de leur première rencontre. Un ado chaud patate qui aimait la torgnole. Mais ce n'est pas le sujet. Les truands prirent le dessus lorsque le Capichef indiqua à certains bon tireurs d'aller chercher les canons pour détruire le navire de l'éclair jaune. Aucune fuite possible. Ils furent décourager, et à ce moment là, les Truands frappèrent un grand coups et gagnèrent la bataille. Le capitaine fut emprisonné en raison de sa prime, au même titre que beaucoup. Malheureusement il fallait absolument que l'équipage trouve un chasseur de primes fort et corruptible pour vendre tout ces primés qui croupissent dans les geôles du Lady Million. Mais ce n'était pas la priorité.

Une semaine durant, ils s'activèrent pour retaper le navire qui avait évidemment subit de nombreux coups lors de la sanglante bataille de Whiskey Peak. Tout le monde s'y était mis. Le voyage se déroulait pendant les quatre premiers jours très bien. Le ciel était dégagé, la mer était calme, la pluie ne les dérangeait pas. Mais la suite fut un peu plus compliqué. Il y avait tellement de pluie qu'ils ont frôlé la crise cardiaque pour les circuits de leur chirurgien. De l'eau jusqu'aux mollets, qu'ils avaient. Une majeure partie de voyage très difficile pour les Truands, donc. Mais ils étaient aidés par les "Terribles Sirènes", même si...

Une journée, alors que la pluie était plus forte que jamais, Noriyaki décida de laisser ses invités se reposer, elles en avaient à ses yeux fait assez.

Les terribles sirènes s'amusaient donc comme des folles dans la salle des jeux. Se voir gagner des jetons aussi facilement, ce n'est pas donné à tout le monde. Elles étaient quasiment toutes là, sauf peut être la capitaine et la seconde...

La seconde se baladait dans le navire à la recherche de coffre à prendre, elles avaient décidé il y a bien longtemps de faire ça, et quelque chose lui disait qu'il y a beaucoup d'or caché dans ce navire. On se demande bien quoi. La figure de proue faite en or massif, peut être ? Non surement pas... Mh... Mais alors qu'elle était pratiquement sûre qu'il y avait de l'argent tout prêt, elle tomba sur une étrange salle, sombre... Elle s'y aventura boule au ventre, elle ne savait pas où elle était. Arrivé au fond, elle se cogna contre un mur. Rien. Elle chercha à ressortir et...


« Qui va là ? »


... se retourna vers l'homme qui l'interpellait. Il alluma une lampe, Jenaiz, primé à dix millions croupissait à cet endroit. Dans le fond de la cellule se trouvait l'éclair jaune, capturé peu de temps auparavant, mais il ne parlait pas, il ne faisait rien, il avait perdu son équipage, sa dignité, tout ce qu'il avait.

Depuis près d'un mois Jenaiz et son équipage étaient prisonnier pour avoir tenté de voler le navire en se faisant passer pour de gentils pirates prêts à rejoindre les truands. Il lui expliqua sa situation et celle ci eut une idée. Elle lui expliqua à son tour pourquoi elle avait attérit ici puis ils tombèrent sur un terrain d'entente. Ils allaient voler le navire.

« Hey ! Vous n'avez rien à faire ic* »

VLAN


Le garde que Satoshi avait chargé de surveiller les geôles s'était absenté quelques minutes pour se faire un casse-dalle. Assez pour laisser le temps à cette folle alliée et à ces prisonniers de se construire un plan qui tient la route. Revenus bien trop tard, il se fit assommé puis tué par étouffement avant de se faire jeter à la mer de nuit. Bien sur tout le monde se demanda où il était passé, mais à aucun moment les Terribles Sirènes ne se manifestèrent. Quelques minutes après le meurtre, la seconde monta sur le pont et dit à sa capitaine de venir, quelque chose d’intéressant allait se passer. Elle expliqua toute l'histoire à ses camarades qui -elles aussi- décidèrent d'adhérer au plan qui allait être enclenché dès leur arrivée sur la prochaine île. Bien sur, à ce moment là, personne n'est au courant que le Log Pose mettra un an pour se recharger.

Overtaken. [Présent - 1624] - Page 2 Little_Garden

A l'horizon se profile la silhouette de l'île, qui laisse apercevoir de nombreux volcans et des forêts denses. L'île ne semble pas être habitée, elle doit être sauvage. Sur le pont, ça s'active. Rassemblement. Le capichef se met en hauteur.

« Bon, on est arrivé, je ne connais pas le nom de l'île mais tout le monde dit que la seconde île de Grand Line est aussi bizarre que dangeur*

GROUAAAAAAAAAAAAAAAAHH *T-Rex qui rugit*

« ... »

« Et donc, je disais, l'ado, tu vas partir avec Tino et Jim, vous allez longer les côtes de l'île pour voir si nous sommes seuls, moi et Ange allons partir au cœur de la forêt pour voir ce qu'il s'y trame. Sharp, tu restes pour checker le navire et Shimeru tu vois si y a des blessés. Jack, tu animes le navire et tu le surveilles aussi. Jazz, fais nous du bon manger. Je veux que cinq personnes surveillent les geôles. On a déjà perdu quelqu'un. »


Dernière édition par Satoshi Noriyaki le Mar 4 Sep 2012 - 5:03, édité 8 fois
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La bourrasque explosive fut déviée net de sa trajectoire par l’intervention d’un type encapuchonné à la tignasse bleutée, il avait clairement annoncé la couleur en s’interposant à égal distance entre Jones et les donzelles qui avaient prévu de se faire la malle. Un tel parti pris pour les terribles sirènes laissait un goût âpre dans la bouche, il devait bien se douter que Jones n’aurait pas attenté quoi que ce soit contre elles s’il n’avait pas les moyens de prouver leur forfait. Il était évident que ces traînées manigançaient un coup fourré, il aurait du s’interroger quant à l’absence de Shimeru sur le pont et des gardes étourdies qu’elles avaient laissés dans leur sillage. Ces demoiselles avaient-elles profités de leur séjour à l’infirmerie pour corrompre ce type dont Jones ne se remémorait pas avoir croisé le regard depuis son enrôlement chez les Truands. Il n’avait pas prêté plus attention à son cas lorsque le doc avait rendu son diagnostic mais une chose restait véritable, il avait de ce qu’il fallait dans le buffet pour faire jeu égal avec Jones et avait su le démontrer avec brio dans cette parade finement exécuté. Les hommes d’équipages semblaient vouer à cet homme une certaine crédibilité, ils n’avaient pas davantage cherché à poursuivre cette ébauche d’affrontement initié par le Black Mask. Il fallait bien dire à leur décharge que l’aura véhiculé par l’épée du type avait suffit à calmer les ardeurs belliqueuses mais cette mise en garde bien que réelle n’avait pas pour autant eut raison de celles de Jones, au demeurant bien plus vindicative.

Cautionner la défense de ses sirènes n’apporterait rien de bon pour la réputation des Truands et les conséquences si elles venaient à s’éclipser par un obscur coup de trafalgar seraient désastreuses sur tous les plans. Jones avait quelques suspicions sur cette énergumène qu’il ne connaissait ni d’eve ni d’adam mais il n’avait cependant pas pour intention de tenir en respect ce type qui privilégiait davantage la veuve et l’orphelin plutôt que le pognon. Il s’agissait là de vertus bien humanistes pour un pirate et les terribles sirènes pouvaient remercier celui qui se faisait appeler Red John et dont l’intervention venait de leur sauver la mise. Jenaiz, lui, était complètement dépassé par la tournure des évènements et il ne devait d’avoir la vie sauve qu’au comportement bien précieux des femelles qui l’avaient pris sous leurs ailes frêles. Tandis qu’un silence de mort planait sur le bateau, en écho à l’entremise occasionné, Jones se rapprocha de quelques pas vers l’encapuchonné avant de lui déclarer d’un timbre grave.

« Il t’incombera à toi et à toi seul d’expliquer à Noriyaki, que ces précieux millions se sont mystérieusement fait la malle, tout comme l’état de Shimeru qui a été malencontreusement désactivé par les terribles sirènes et Jenaiz. «

D’un regard dédaigneux et méprisant, il examina les mines déconcertées des terribles sirènes qui jouaient une nouvelle fois la carte de la vulnérabilité auprès des yeux de tous. Accuser Sharp Jones était sans doute une des seules alternatives qu’elles avaient en leur possession pour s’en sortir indemne et de nombreux compagnons semblaient être tombés sous le charme de ces créatures ô combien vils et mesquines.

« Ne vous avisez pas de tenter de vous éclipser vous autre, il serait bien mal avisé que ces conséquences…néfastes adviennent. Comme l’a clairement énoncé le bonhomme, on va attendre le retour de Noriyaki pour décider quant à votre sort. »

Le comateux acquiesça et semblait satisfait de ce dénouement, les terribles sirènes regagnèrent bientôt le pont du Lady Million sous l’œil suspicieux de Jones qui les bravait du regard. Elles furent cantonnées dans leurs quartiers et Jones veilla lui-même à leur surveillance. Bien que Jones prêtait une oreille attentive à ce qu’elles mijotaient, il ne les entendait parler qu’ à mots couvert et ne parvenait pas pour autant à déchiffrer ce qu’il en retournait. Des manigances et des combines pour sortir de ce mauvais pas sans doute ou renverser la vapeur en pointant du doigt Jones se révélerait le meilleur moyen pour se dérober au châtiment ultime. Ces femmes savaient que Noriyaki en bon gentlemen aurait bien davantage d’égards et de considération quant à leur cas, que son jugement serait bien plus nuancé et que leur probabilité de survie ne tenait qu’a cet homme. Jones ne savait ce qu’elles subodoraient mais il y avait fort à parier, qu’elles mettraient le paquet sur le seul maître à bord.

Bientôt, une agitation inhabituelle se fit entendre sur le pont du navire, il devait sans doute s’agir du retour de Noriyaki accompagné d’Ange mais aussi celui d’un nouveau larron, sans doute un des rescapés de cette jungle primitive. Les terribles sirènes surgirent de leurs quartiers en se précipitant sur le pont tel des gamines qu’on avait punies et consignés à demeure. A peine Jones eut t’il le temps de regagner le pont qu’elles étaient déjà là à cirer les bottes de Noriyaki en lui faisant de l’œil, il ne fallait pas espérer davantage de ces catins. Comme Jones s’y attendait, Noriyaki demanda des comptes quant à tout ce tohu-bohu, il ne fallait pas être sorti de la cuisse de Jupiter pour se rendre compte que quelque chose clochait et l’étalon d’or l’avait bel et bien pressenti. Des explications étaient à fournir et Jones comptait bien éclairer sa lanterne. Un duel psychologique débutait, les terribles sirènes et Jenaiz d’un côté et de l’autre Sharp et son réquisitoire…seulement les faits étaient là, les preuves étaient accablantes et elles devraient user de fiel et de venin pour tirer leur épingle du jeu.

« Les Terribles sirènes ont mis hors course Shimeru et les gardes censés surveiller tes « invités de marque », sans compter qu’elles ont tenté de se tailler avec les trésors du Lady Million. Elles ne s’attendaient pas à ce que je leur tombe dessus et se réfugient dans les bras de la seule personne qui peut leur garantir la vie sauve. »

S'apercevant qu'ils n'avaient plus le vent en poupe, Jenaiz tenta de sinueusement de mettre les voiles. Seulement dans cette tentative désespéré, il laissa tomber par inadvertance quelques pièces dont le bruit métallique résonna au contact du sol, suscitant ainsi l'attention de tous les protagonistes.


Dernière édition par Sharp Jones le Mer 18 Juil 2012 - 7:13, édité 1 fois
    Effectuant des roulements d'yeux pour observer et en déduire par lui même ce qu'il se passe à bord de son bâtiment, ses yeux tombent sur quelques groupes distinct. Déjà, il y a les terribles-sirènes, toutes regroupées, assénées de questions et menacées d'armes par certains Truands. Néanmoins ils les menacent d'un peu loin tout en regardant à droite, vers Red John. On en vient donc à la conclusion qu'il les protège. Y aurait il des violeurs à bord ? Non cela est insensé. Mh. Plus en retrait, Jones, observant d'un air assez exaspéré le révolutionnaire à double identité. Un conflit à l'intérieur ? Crêpage de chignons ? Mh. Tout cela semble trop compliqué, le capitaine attend donc les explications de quelqu'un. Sharp se met en avant et prend la parole. Il explique tout. Shimeru et des gardes hors services à cause de femelles trop avide d'argent, de pouvoir et de liberté, argent sauvé in extremis par l'un des plus avares du navire, et les sirènes protégées par un révolutionnaire voulant protéger ceux qui n'ont rien fait. Sait il que ce sont des pirates ? Qu'elles écument les mers depuis East Blue et saccagent, pillent, boivent tels les pirates les plus sanguinaires ? Surement que non.

    Alors en pleine réflexion sur la déclaration du Magicien d'Os, Jenaiz se montre, lui qui n'était ni un invité, ni un truand, ni la mouette qui apporte le journal, tente de fuir de la façon la plus maladroite qui soit, faisant tomber une pièce, voire plusieurs dans la foulée, et tout le monde sait ô combien l'ouïe de Satoshi est fine lorsqu'il s'agit d'une pièce heurtant le sol. Et là, ça va dégénéré. Ca va aller mal. Très mal.

    Jenaiz se retourne. Lentement, espérant ne pas avoir été repéré. Il l'a été. Et bien. D'un regard sombre, haineux, l'Avare le fixe. De haut. La veine de son front se gonfle. Ses dents se serrent, on peut entendre un grincement. Ses orteilles se crispent dans ses escarpins, il ne maîtrise pas encore son pouvoir. Ses jambes se transforment en diamant, au même titre que son pantalon, va savoir la logique. Enfin. Il avance vers lui. D'un pas lourd. La tension sur le navire est palpable. Tous redoutent un meurtre. Et là, les donzelles se demandent si elles n'ont pas fait une bêtise qui pourrait s'envenimer et les mener à leur perte.

    Noriyaki est maintenant à un mètre de l'ancien prisonnier. On peut sentir ses pulsions sur tout le navire. Son regard vire rarement sur cet air là. Cette fois ci, il se peut que l'barbue ne s'en sorte pas. Le Dandy attrape soigneusement le sac que Jenaiz n'a plus ni l'envie, ni la motivation, ni le courage de le tenir puis le pose assez loin, et enfin revient à proximité du voleur. Il attrape ses cheveux avec soin. D'une poigne de fer. Sa tête est bien maintenue. Jambes toujours en diamant, Satoshi plie la jambe. Ses dents sont plus serrées que jamais, sa frappe va être donnée avec plus d'élan que n'importe quand auparavant. Et il cogne. Dans les dents, dans le visage. Un coup à une vitesse et une force prodigieuse, par une matière aussi dure que le diamant.

    L'barbu décolle du navire et part sur quelques dizaine de mètres. La veine sur le front du capitaine disparaît peu à peu, ses dents se desserrent, l'heure est maintenant à l'étonnement, et à la peur pour certaines. Satoshi s'avance vers les Terribles Sirènes et l'équipage du Capitaine Barbu. Avec un sourire sarcastique, il leur fait une proposition des plus plaisantes.

    « Choisissez. Soit je vous mets aux fers, soit vous subissez la même sentence que ce bon vieux Jenaiz, et ce n'est qu'ensuite que je vous mets aux fers. Alors ? »

    Bien sur, il sait très bien qu'il ne pourra pas infliger la même chose aux dames. Mais les menaces marchent souvent. C'est comme la torture. Rien que le fait de déballer les outils et le concerné craque et dit tout, accepte tout. Si il n'accepte pas bien sur... C'est la boucherie... Après la mise aux fers des pirates du barbu et des terribles sirènes, les geôles sont quasiment pleines. Et Satoshi souffre. Ses dents se resserrent par douleur et non par colère, sa jambe se crispe. Il a mal. Le log pose n'est toujours pas rechargé. Il faut quitter cette île au plus vite, c'est fou comme les habitants de "Little Garden" sont dangereux. D'ailleurs, il espère de tout coeur que l'homme ayant baptisé ce bout de terre petit jardin a finis brûler dans les flammes de l'enfer, revivant cela pour l'éternité. Quand on entend Little Garden, on pense à un paradis de flore, ou même de faune, mais de faune amicale, pas des dinosaures. Qui voudrait rencontrer des dinosaures... Pourquoi ne pas pactiser avec eux dans ce cas ? Faire ami ami, jouer à cache cache, tout ça. Tss. Rébellion matée, île observée, maintenant, il n'y a plus qu'à attendre le log pose, c'est tout ce qui les retient.


    Dernière édition par Satoshi Noriyaki le Mar 4 Sep 2012 - 5:06, édité 1 fois
    • https://www.onepiece-requiem.net/t109-greed#772
    • https://www.onepiece-requiem.net/t100-termine-satoshi-noriyaki
    Les Truands restent un an. Ou pas héhé.
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    J'veux pas mourir ici moi, j'suis trop jeune ! Sad

    J'espère de tout coeur que ce log pose pourra nous rendre utile que je ne revienne pas de notre petite balade bredouille, sinon j'vais m'faire incendier par l'dandy encore une fois ... Tino et Jim sont à mes côtés mais ne parlent pas. On dirait bien que le voyage les a bien exténués. Moi de mon côté, je ne bavarde pas non plus, et j'en ai pas vraiment envie à vrai dire. J'ai hâte de rentrer au navire pour enfin me reposer. Dormir me soulage tellement ... Et c'est le seul moment où je n'entend pas tous les gars se mettre sur la gueule. Alors que les cinq dernières heures se sont passés presque dans un silence complet, le navire montre enfin le bout de son nez. De la fumée s'en échappait et l'ambiance atmosphérique me disait rien de bon. L'échelle qui nous permettait de monter et descendre du navire abritait à son pied, les membres d'équipages que nous avions capturés. Mais que s'est il passé bordel ? Je monte sur le pont accompagné de Tino Et Jim, et que voit on ? Des dégâts minimes sur le Lady Million avec un tas de prisonniers inconscient éparpillés un peu partout sur le navire.

      ▬ Hey toi ! Il s'est passé quoi ici ? ▬

      ▬ Et bien Juusei, nos prisonniers ont tentés un mouvement de rébellion contre nous mais nous avons su les arrêtés à temps. ▬

      ▬ Ok je vois, ces putes voulaient nous la faire à l'envers ... Ne jamais faire confiance aux femmes c'est mois qui vous l'dis. Bien, continus ce à quoi tu étais affecté. ▬


    Le cap'tain était au milieu des corps au niveau du gouvernail. Je fais signe à Tino et Jim d'aider les autres, qu'en à moi, je dois donner ma trouvaille au capitaine.

      ▬ Tenez capitaine, j'ai trouvé ce log pose dans une épave situé au nord de l'île. Je ne sais pas si on e na besoin, mais c'est tout ce que j'ai trouvé d'utile sur cette île. A part des dinosaures enragés, 'y a rien de spéciale ici. Bref, vous m'appellerais quand on partira, là j'vais dormir, cette marche ma fatiguer. *Baille* ▬

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    • https://www.onepiece-requiem.net/t3581-juusei-d-phoenix-la-renaissance-du-volatile-a-valider
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