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Flash-Back with Hitsu [PV: Zelles Hitsugaya]

Dans le passé, ce qui était d'auparavant, plusieurs parcourt avait été fait, mais seulement quelques un démontre la force de chacun. Korosu lui, avait suivis un chemin propre à lui, sans jamais se soucier de grande chose sauf pour ce qui compte pour lui. Il voyait sa vie avancer comme il le souhaitait, après tout, il s'était lui-même promis qu'il devait accomplir les meilleurs actes possibles afin d'obtenir ce qu'il voulait, le bonheur éternel. Bien qu'il aille de nombreux rêves, selon lui, rendre le sourire aux gens à sa méthode lui permettrait finalement de croire qu'il est quelqu'un de bon. L'une des choses qu'il avait pu faire, était une leçon qu'il avait appris sur une île bien particulière. À vrai dire il avait repensé exactement à ce moment au moment même ou il repassa devant. En effet, il était à bord d'un navire et venait tout juste de faire un beau ''Au revoir'' à l'île.

C'était il y a quelque temps de cela, il avait voyagé sur Baterilla. L'île où l'on suspectait la naissance du bébé à Roger. On affirmait que pendant plus de 10 mois, la marine avait resté sur l'île afin de connaître l'existence du bébé. Mais pendant ce laps de temps, la mère n'avait en aucun cas abandonné l'âme de Roger et l'esprit du bébé, elle l'avait gardé en elle pendant plus d'un an ! Ce qui mena bien-sûr à la mort de Portgas D. Rouge. Elle avait mit au monde Gol D. Ace, d'où le nom fut camouflé par Portgas D. Ace. Bien-sûr, les méfaits sur l'île avait été accomplis, mais au moins, même si cet enfant pouvait être le porteur du sceau des Gol D. il avait sans doute un esprit combattif hors du commun. Il respectait cela et ce que sa famille avait fait, au seul mépris qu'ils avaient causé l'approche d'autre pirate au sein des mers, qui déclencha la pire histoire du monde.

Des guerres éclatait et le monde paniquait, c'était donc le rôle de la marine et du gouvernement de les en empêcher. Et c'était bel et bien ce que Korosu fessait, il n'allait pas laissé grand pirate sur le chemin, à moins qu'ils ne prouvent qui ils sont réellement. Sur South Blue, l'île Baterilla emmena le jeune Shinrin à une personne en particulier. Bien qu'il n'était pas en recherche de qui que ce soit, sur cette terre il fit la rencontre de quelqu'un qu'il n'avait pas encore oublié. Sur cette île qu'est Baterilla, lui qui comme à son habitude, se sépara du reste du groupe afin de découvrir les environs, voyait deux marchands en pleine dispute. Il s'approchait calmement, on y voyait que ses pas fracassait le sol comme des sabots, un vrai tonnerre s'approchait. Mais ce n'était pas en mal, il créait cette ''ambiance'' afin de rendre les choses plus simple.

À son avis, le seul fait que deux marchands pouvaient crier de la sorte, c'était sûrement un désaccord des prix. Bien-sûr c'était toujours ainsi, après tout, rien de mieux que de développer les relations sociales par de bonne dispute. Ce qui l'intriguait le plus, c'était le client au bout milieu qui se prenait la peine de regarder, peut-être avait-il agit auparavant, ou bien il n'était remplis que de mauvaise bonté et de paresse incessante. Il allait voir cela de plus prêt afin de rectifiez la chose, jamais on ne pouvait se permettre d'avoir un problème qui ne se résolvait en aucun point ! Il s'était posé derrière le client, allongea ses bras en contournant la tête de celui-ci et de poser ses mains sur les épaules de deux hurleurs. Ça lui cassait les oreilles à la fin, il devait cesser ce vacarme et remettre un peu de paix sur cette jolie île.

Malgré son passé, elle avait encore toute ces couleurs, on savait là que ce n'était pas une île grandement fréquenté par les pirates, quoi qu'elle n'avait pas grand chose à voler, sauf peut-être, la réserve de farine du moulin... Mais il se contre-fichait de cela, avec le geste qu'il venait de faire, il avait justement apaisé les deux malades qui criaient à tu-tête. Ensuite, d'un air peu fréquentable, il regardait l'autre devant lui, le soit disant ''client''. Mais qui pouvait-il bien être et ça, il allait le découvrir. ''Tu es'' ? Simple et direct, s'il ne pouvait répondre, il était soit atteint ou bien encore trop paresseux pour répondre assez poliment. Par contre, son habit ne lui disait rien qui vaille, s'il était un pirate, surtout s'il devait être malcommode, pour lui c'était sans doute un moment de le corriger, mais pas l'envoyé en prison, ni le tuer, simplement lui montrer la vie d'aujourd'hui, à quel point elle peut être difficile.

Même s'il pouvait être souvent assuré de la victoire, l'air du petit devant exprimait en lui aucune haine, simplement qu'on aurais dit qu'il savait qui pouvait être Korosu. Ce n'était qu'une impression, peut-être que dans sa tête enfaîte c'était, *Ah ! Mais j'dois lui répondre quoi* ! Ou bien, *Quel idiot, il croit se prendre pour qui celui là* ? Mais au moins, il n'avait sans doute pas peur et il aimait cela, de quoi rendre les choses plus intéressante dans un lieu si paisible, même d'une trop grande tranquillité à son goût. Pour le moment il était plus du genre à vouloir bouger qu'à roupiller comme un morpion. Il n'avait plus qu'à attendre la réponse du jeune avant de continuer sur ce qu'il avait commencé, tout en gardant bien-sûr son regard confiant et son air qui lui donnait un certain ''atout'' de supériorité.

[Hors-Rp: Désolé, je risque de faire court, je suis nul dans les discussions x) j'ai par contre hâte à comment ça va se dérouler. En autant que tu apprécie un peu mon idée, j'ai pas trouvé mieux XD au fait, c'est toi le ''client'' dont je parle dans mon Rp ^^]
    Depuis plusieurs jours Zelles était en mer il rentrait de son séjour sur North Blue, mais il se perdit un peu et après plusieurs jours de voyage il se retrouva sur South Blue, c'était une mer magnifique et calme. D'ailleurs peu d'évènement se produisait sur ses quelques îles et sa mer. Zelles avait donc fait un passage par South Blue, mais comme tout détour aussi petit qu'il soit en mer coûte en nourriture et en eau, ainsi il était bientôt à cours et devait s'arrêter, de plus après plusieurs jours en mer, une petite pause sur la terre ferme revigore et fait toujours plaisir. Ainsi il arriva aux abords d'une île, c'était Baterilla, maintenant il savait également où il était et comment retrouver son chemin. Il se rapprocha de l'île, puis accosta, Zelles se balada un peu en ville afin de voir s'il allait acheter quelques choses, ou juste des vivres, ou bien si le coeur y était le voler. Zelles arriva devant un marchand et regarda les fruits, puis vint un deuxième marchand qui parla à Zelles en criant.

    Venez acheter les fruits chez moi c'est moins chère et meilleurs.

    Puis celui dont Zelles regardait l'étalage cria à son voisin que c'était un escroc et que même si c'était moins chère ses fruits étaient mauvais et mal entretenu, alors commença une engueulade, qui tourna vite au fiasco et bientôt les deux marchands allaient se mettre dessus. Zelles qui observait la scène tout en se disant qu'il était ridicule et qu'il n'avait qu'à faire en sorte de ne plus être à côté, se demandait ce qu'il allait faire, après tout un fruit reste un fruit quand on est en mer on ne se préoccupe pas de savoir si c'est délicieux. Alors il se dit que pour mettre tout le monde d'accord il allait tout simplement « empreinter » des fruits à ces chers messieurs.

    Au moment où notre ami allait se mettre en action un homme plutôt classe avec un tatouage sous l'oeil fit son apparition, vu sa dégaine on aurait pu le prendre pour un simple civil ou un pirate, mais son attitude prouva tout le contraire, il alla voir nos deux marchands et leurs fit signe de se calmer, car ils faisaient trop de bruits et le calme habituel de cette n'île était brisée, ce qui n'allait pas aller en s'améliorant. L'homme après avoir un peu calmé les deux marchands vint vers Zelles qu'il regardait d'un sale oeil ce qui ne plus pas vraiment à Zelles, pendant ce temps les marchands repartirent de plus belle une fois l'homme le dos tourné. L'homme qui semblait être un marine de par son attitude demanda à Zelles.

    Tu es ?


    Je dirais, un client dont un marine n'a rien à reprocher n'est-ce pas ? En revanche, l'homme qui se cache là-bas tu devrais t'en méfier.


    En effet quelques mètres plus loin un homme se cachait dans l'ombre attendant surement comme Zelles le moment propice pour voler ses deux pigeons de marchands. Zelles fit mine d'appeler un marchand et les deux se retournèrent, ainsi l'homme se précipita vers les stands de fruits et parti en courant avec pas mal de fruits qu'il avait balancé dans un sac et tout l'argent des deux marchands qui trainait. Zelles pendant ce temps esquissa un sourire, car il aurait pu le faire si seulement ce marin n'était pas intervenu, mais en tout cas cela lui permettrait surement de se débarrasser de ce gêneur qui posait à réflexions.

    Et bien qu'attend-tu marin, capture ce bandit avant qu'un des marchands se plaigne au Qg et te reproche de ne pas être intervenu malgré ta présence.

    *Et comme ça pendant que tu files j'aurai tout le temps de voler autre chose, car je n'ai toujours rien pour manger pendant mon voyage*

    Tiens comme je suis d'humeur agréable je vais t'aider à mettre la main dessus.


    Zelles sorti son arc et tira une flèche qui traversa la rue et déchira un morceau de l’habit du bandit. Ainsi il aura de quoi poursuivre sa trace et ramener les biens qu’il avait pris à son propriétaire.
      Pas plus loin que leurs emplacement, se trouvait en effet un mystérieux personnage. Bien qu'il aille déjà remarqué celui-ci, la petite diversion du jeune devant lui ne lui permit que de prendre la fuite avec la marchandise de ces marchands. Le jeune lui fit alors une remarque déplaisante,

      ''Et bien qu'attend-tu marin, capture ce bandit avant qu'un des marchands se plaigne au Qg et te reproche de ne pas être intervenu malgré ta présence''.

      Il regardait bêtement le jeune, quoi qu'il lui avait précisé d'être simplement un client qu'un marin ne pourrais lui reprocher. Il en riait à bout de souffle, comment un simple ''client'' pouvait posséder des armes sans permis et aussi avoir une excellente maitrise de celle-ci. Ces paroles n'étaient pas fameuse, c'était plus des contradictions gestuelles. Mais bon, ça ne ferait que lui arranger des problèmes. Le bout de tissus du vêtement allais lui permettre de retracer le personnage. Mais un tel gamin qui se croit qu'on ne pourrais rien lui reprocher devras prouver qu'il n'est pas à reprocher. Il lui enfila au poignet des menottes reliés au sien, le fixa dans les yeux et lui répondit,

      ''Tu veux être irréprochable ? Et bien prouve le gamin'' !

      Il partit directement en direction de la marque laissé par le voleur et l'assistance de celui avec qui il allait désormais traîné. Toujours en gardant un œil sur lui, il prit à l'aide de sa main, le vêtement qui semblait appartenir à la classe inférieure ici. Il se doutait de quelque chose, mais ce n'était pas possible qu'il soit allez bien loin, c'est tout de même une petite île au sein de la mer. Et puis, rien de trop grave pourrais arriver dans un lieu comme celui-ci, surtout par un brigand des quartiers qui se fait les poches avec de la nourriture d'un marchand qui pète les plombs. *Je vais le retrouver ce sale môme* qu'il se disait et peut importe la réaction de l'autre type, il allait l'entraîner avec lui jusqu'au bout. Même si ça impliquait le fait de se battre avec qui que ce soit.

      Cette marque était plus un blouson, peut-être démodé au vue de la couleur, mais quoi qu'il s'en fichait, il devait sûrement se retrouver à l'une de ces cachettes minables que l'on retrouve éloignée des villes. Bah c'est le plan de tous les criminels, se cacher loin pour ne pas être trouvé et ils sont surpris quand il sont découvert, alors que ça fait plus de 100 ans qu'ils la jouent cette partition ! Il n'avait sans doute pas besoin de suivre par des traces, mais bien par l'instinct. Et sinon, cet archer pourrait bien se rendre un peu plus utile à son effigie. Il se dirigeait, tant bien que mal, vers un lieu inconnus, continuant sur la même voie, même si le jeune n'allait sans doute pas apprécier, il avait désormais son mot à dire...
        On vit sur le visage de Korosu qu'il n'appréciait pas tellement qu'on le prenne de haut de la sorte, d'ailleurs il regardait les armes de Zelles et on pouvait s'imaginer qu'il se demandait pourquoi Zelles se balladait avec un sabre et un arc, et pourquoi savait-il les maîtriser. Il se demandait surement qui il était réellement, car il est vrai que peu de civil se balade de la sorte, bien qu'il avait juste dit qu'il était un simple client ce qui pour le moment était le cas, car il n'avait rien fait d'illégal et de répréssif par la loi, enfin pas pour le moment. Tout à coup un clic se fit entendre, c'était le marin qui avait accroché des menottes à son bras et celui de Zelles.

        Tu veux être irréprochable ? Et bien prouve le gamin !

        Zelles n'avait vraiment pas envie de se trimballer avec un marine et chercher un bandit de pacotille, de plus il avait d'autre chose à faire. La première chose que Zelles eu envie de faire c'était de couper en deux ces menottes après avoir assommé par derrière le fameux marin. Mais les menottes avaient beau être fait en métal il savait qu'il ne pourrait pas les trancher de plus il ne connaissait pas la puissance du marin alors il fut obligé de le suivre.

        Très bien si tu m'y oblige, mais sache que si notre bandit sait se battre, attaché nous ne feront pas grand-chose.

        Ainsi pour l'instant ils partirent en direction du morceau de tissu laissé par le voleur de bas étage, il fallait le retrouver si Zelles voulait repartir, cela serait chose facile, car à l'extérieur de la ville se trouvait de quoi se cacher, et comme tout mauvais voleur qu'il était c'est là où il serait . Ainsi, Zelles et le marin partirent vers l'extérieur de la ville, au bout d'un moment ils approchèrent du lieu où se trouvaient bon nombre de cachette, retrouver le voleur pourrait mettre des jours, vu le nombre d'endroits. Malheureusement pour lui il avait fait tomber un fruit, il ne devait pas être tombé il y a bien longtemps, car il était encore plutôt propre.

        Ainsi il pourrait surement retrouver le gredin, car une fois le fruit retrouvé on saurait d'où partir pour suivre les traces du voleur. Zelles ramassa le fruit et plutôt que de le garder pour le rendre aux marchands, il le mangea d'un coup, car en effet il avait faim. D'ailleurs cela ne plairait pas forcement au marin, car il avait l'air d'être le genre de marin qui écoute gentiment le gouvernement, croyant faire la justice, et c'était ceux que Zelles detestait le plus. Pour lui un homme doit pouvoir être libre et naviguer où il veut, quand il veut. Ainsi ils continuèrent leur chemin suivant les traces du bandit ce qui les amena auprès d'une petite grotte sombre.

          Korosu était dans un lieu encore éloigné de la civilisation et cet homme qui trainait, par obligation, avec lui avait prit la peine de manger la piste que l'homme avait fait tombé. Quoi qu'il s'en fichait, car ce fruit n'avait pas l'air d'avoir du vieux, en effet il semblait plutôt à être une preuve récente. Il devait avoir faim pour manger quelque chose qui était sur le sol, et s'il manquait de nourriture, quelque provision en moins pour Korosu ne lui ferait pas de mal. Il prit alors un sac de nourriture et le lui lança alors afin qu'il puisse reprendre des forces. Bien qu'en lui il aille de la bonté, s'il devait être un pirate, ça devait être la seule chance pour lui de fuir Korosu une fois pour toute. Et ouais, il avait parfois de journée aussi généreuse que cela parfois et aujourd'hui c'était le cas. Car s'il l'aide, il le laisserais partir, à moins qu'il soit une racaille qui doit vraiment être ramené en prison...

          Bon, ils n'avaient plus le choix, ils devaient suivre la route droit devant, cette route qui allait ne laisser sans doute aucune chance aux deux ''camarades''. Pendant le petit chemin, descendant une colline, il lui répondit franchement ce qu'il en pensait à propos de ce qu'il avait énoncé plus tôt.

          ''Tu crois vraiment à ça ? 'Tain réfléchis un peu, ce n'est qu'un simple brigand des rues, jamais il ne pourrais nous battre même les doigts dans le nez ! Ça je te le dit mec, on va gagner coute que coute et forger notre avenir ainsi'' !

          Finalement, il y avait une grotte au bout du chemin, cela ne devait pas mener bien loin. Même si on ne pouvait apercevoir la lumière à l'intérieur, lui en possédait. Dans le pire des cas, il prendrait une branche d'arbre et l'allumerait à l'aide d'un quelconque feu qu'il pourrait facilement faire. Ils s'avancèrent alors dans un lieu pénible, les roches surplombaient les lieux et personne ne pouvait le nier. Le simple fait de le voir fait penser que si jamais quelqu'un, par une bousculade ou peu importe, pourrait facilement s'ouvrir le crâne s'il venait à tomber. Il n'était pas inquiet et il avait pensé à quelque chose, mais pour le moment, il fallait être discret, peut-être pourrait-il exécuter son plan. À vrai dire, pendant la route, il laissait pour acquis le fait d'être dans un endroit isolé comme celui-ci et que la matière était rocheuse. Il voulait utiliser la précision et la force du gamin à ces côtés afin d'éclairer une majeur partie de la grotte

          Exemple, le petit pourrait prendre une flèche, à son bout, une flamme et pendant la propulsion, ils pourraient y voir clairement jusqu'au bout du chemin. Ce n'était pas bête, mais s'il venait à tuer le brigand sans même savoir qui il était vraiment, ça devenait une erreur. Pour cela, les précautions devait être entrepris, mais seulement dans le cas de pas trop blesser l'homme pourchassé. Ils avançaient à pas de loup et rien à l'horizon, peut-être était-il temps d'utiliser les flèches de feu qu'il était sur le point d'allumer par ce gars et justement il allait lui demander son nom, au moins ce serait utile.

          ''Alors tes prêt gamin ? Au fait, puis-je savoir ton nom ? Moi c'est Koro ! Korosu Shinrin'' !
            Tu crois vraiment à ça ? 'Tain réfléchis un peu, ce n'est qu'un simple brigand des rues, jamais il ne pourrait nous battre même les doigts dans le nez ! Ça je te le dit mec, on va gagner coute que coute et forger notre avenir ainsi !

            Et bien on ne sait jamais, peut-être qu'ils travaillent à plusieurs ! Mais en tout cas tu as raison, on ne peut pas perdre, j'ai bien des choses à faire avant de mourir.

            Aussitôt nos deux hommes entrèrent dans la grotte, elle était extrêmement sombre et ils n'y voyaient rien, Zelles continua d'avancer regardant tout autour de lui bien qu'il ne voyait rien. Pendant qu'ils avançaient dans la grotte Korosu lui demanda.

            Alors t'es prêt gamin ? Au fait, puis-je savoir ton nom ? Moi c'est Koro ! Korosu Shinrin !

            Au final tu me parais digne de confiance, même si je n'aime pas les marins. Bref mon nom c'est Zelles ! Zelles Hitsugaya ! J'étais sur cette île seulement pour récupérer de la nourriture avant de retourner sur East Blue, c'est pour ça que j'étais devant les marchands de fruits. Bon maintenant trouvons ce bandit et repartons chacun là où nous étions.

            Ils reprirent leur chemin dans cette grotte où tout se ressemblait étant donné qu'ils ne voyaient rien, puis un bruit ce fit entendre, puis il se rapprochait et cela ressemblait plus à des hurlements ou des grognements, Zelles frotta les embouts de deux flèches afin de faire du feu et de s'éclairer. Il mit un peu de temps, mais au final, il parvint à faire une petite flamme et alluma une des flèches pour s'en servir de torche. Et là le choc cette grotte était en réalité le repaire d'une meute de loup, ils étaient devant eux et derrière ces loups le bandit et trois autres hommes. Qui étaient-ils ? Les coéquipiers de notre bandit ? En tout cas on pouvait facilement comprendre que les loups étaient sous leurs ordres. Zelles regarda alors le marin et lui demanda.

            Euh est-ce que tu pourrais nous détacher, parce que sinon ça va me paraître un peu compliqué, surtout pour les loups parce que les voleurs de pacotilles derrière ça devrait aller.

            Comment les voleurs avaient-ils pu savoir que nos deux hommes étaient là, surement avaient-ils faient trop de bruit en parlant, mais l'essentiel maintenant c'était au moins de se débarrasser de ces loups, mais avaient-il faim ? En tout cas Zelles oui et s'il n'avait rien à manger d'ici une dizaine minutes il serait bien capable de les manger. Finalement Korosu détacha Zelles, pour que ce dernier puisse se battre aisément, car il en aurait vraiment besoin, en effet les loups étaient plutôt imposant.



            [HRP: je me suis détaché afin de pouvoir continuer en vu de l'inactivité de korosu]
              Ce jour là, South Blue baignait dans une paisible quiétude, profitant avec un appétît de nouveau-né des bienfaits dispensés par l'auguste Soleil, astre parmi les astres, toute puissante et suprême étoile qui...

              Krrffzzz.

              Krrffzzz ? Ouais, jt'avoue Y'a sans doute mieux comme interjection, mais on fera avec. T'as déjà tenté de gribouiller l'équivalent du bruit de ton décodeur Canal qui foire toi peut-être ? Bon alors chouine pas et continue la lecture.

              Qu'est ce qui se passe en deux mots ? Piratage de ligne, détournement d'avion version Wall Trade Center, rébellion contre l'autorité narratrice, choisis ta version. En gros, on va te changer la donne une bonne fois pour toutes. Parce que le gugusse en mode j'bave mon texte version contes de Grimm, avec mon gentil héros tout mignon tout beau gosse tout gay tout tout, ça gave. C'est pas drôle. C'est mou. On s'emmerde. Alors on va changer ça. À coup sûr ça vous plaira mieux cqui va suivre que l'ancien va. Ici, c'est du no limites, pas de j'écris "comme avec un balai dans le cul" comme on a dit sur la CB y'a 3 heures de ça maxi. Now, c'est délire, tolérance pour tout. Tu peux même dire que tu trouves pas ça cool...mais si tu te sers de ma remarque sur les gays pour me prendre à mon propre piège question tolérance, gaffe j't'envoie en orbite dans l'espace moi hein...

              Bon, allez, z'avez cerné l'concept ? Bouclez vos ceintures à l'arrière, on embraye. Tu lâches ta Clio dégueu et tu passes à la Mustang. Ready ? Go !

              Donc sous un cagnard pas possible, le Rei il marche. Sur un sentier caillouteux, sans ombre, sans arbre, que dalle. Pas loin d'un bled dont il est sorti dix minutes avant. Et pourquoi qu'il marche ? Vla l'affaire : il est pas encore boss du CP5 au moment où jte parle le minot, donc il obéit aux ordres de à peu près tous les barreaux de l'échelle de l'autorité. Lui en gros c'est le premier étage foireux. Quand t'es monté là, t'es pas tout à fait au ras des pâquerettes m'enfin bon, t'as pigé que si tu te ramasses de cette hauteur, la chute te coûtera même pas une entorse au pti orteil.

              Bref, Rei, bien sapé bien coiffé bien tout ce qu'il faut, on l'envoie sur South Blue et... Qoué ? Pour quel motif on l'y envoie tu dis ? Jt'en pose des questions sur ta vie privée moi peut-être ? Bon alors, garde tes commentaires pour plus tard où jte fais virer par le videur moi. Pour quel motif. Tss, n'importe quoi... toute façon Rei non plus il a pas bronché quand on lui a dit fais tes valises. Trop sérieux le bonhomme. Un "Entendu Monsieur" et il trace la route. Beurk ça me dégoute tiens. M'enfin bref, il est là, maintenant. Baterilla je crois le nom du bled, ça me revient maintenant. Et lui, il y joue le pti shérif modèle, vas-y que jte fais le joli coeur avec les ptites bourgeoises, que jte sors le numéro de la nouvelle génération prodige devant les plus de soixante balais, le gendre idéal devant les ni trop jeunes ni trop vieilles. Bref, il s'éclate faut pas croire.

              Et puis dans le défilé, une remarque attire son attention. Deux marchands qui causent fort, genre tellement outrés qu'ils en feraient presque une attaque. Forcément y'a du bruit. Et forcément y'a de la foule autour du bruit. Des grands des ptis, des mères des fils. De tout quoi. Un bel échantillon de population citadine, tu vois l'tableau. Lui il lorgne ça vite fait, il se tâte...Yeah, ça vaut le coup qu'il se rapplique le jeune belâtre. Là, ça y est foutez vos lunettes anti-éclipses solaires, il sort le costume de James Bond. Déjà que le sien d'habitude, y'a pas un pet de poussière dessus il brille comme un foutu lustre, limite là il t'aveugle tellement il a la classe quoi. Frimeur ? Mon cul ouais, t'aimerais bien pouvoir te la péter comme lui, pti coco. C'est pas donné à tout le monde de se la jouer comme ça. Ah, attends il parle.

              -Puis-je m'enquérir de ce qui vous plonge dans tel désarroi messieurs ? Je suis agent de l'ordre, si je puis faire quoi que ce soit pour vous aidez surtout...

              Non, mais vous l'entendez ? Sans déconner, ça sonne naturel en plus quand il lâche ça lui. Et vas-y que je te remets une mèche rebelle derrière l'oreille en restant attentif, à la Hollywoodienne, non mais. Bref, l'autre sort littéralement de ses gongs, oui, monsieur, y'a un problème qu'il reprend, y'a un voleur à l'étalage dans le coin, mais quelle honte, c'est affreux, faites quelque chose...Bla bla bla. Hé si tu te bougeais le cul au lieu de laisser faire les autres ? Pour une fois ça serait pas mal non ? Ça te ferait maigrir en prime...

              Bon 'fin bref, le Rei, ça lui vient pas à l'esprit de dire ça. Il s'excuse poliment lui – je rêve jte jure – et il prend le chemin qu'ont apparemment emprunté deux autres avant lui. Et en avant, on va en guerre pour débusquer la perdrix qui a ici des allures de voleur de pommes. Parlant pomme j'vais m'en chercher une, j'ai les crocs.

              Scrountch. Miom. Scuzez, les aléas du direct.

              Bon, en tout cas, le Rei il a eu le temps de réfléchir à... qu'est j'en sais moi, je suis pas dans sa tête hein. Il a profité du chant des ptis oiseaux, repoussé la sueur qui perlait sur son front, guetté l'horizon à la recherche d'un lointain nuage qui se planquait trop pour qu'il le trouve...bref promenade de santé quoi.

              Et puis là, il a entendu du bruit. La grotte. Au moins il y fait frais, fonce champion. Hop, vingt pas plus tard il y est. Aaah c'est vrai que ça rafraichit. Ça et le silence comme seuls compagnons. L'obscurité aussi tiens. Ah merde, le silence s'est barré. Ça crapahute derrière lui. Oh, dla lumière. Va mirer cqui s'y passe, chui curieux ! Hop, vingt pas de plus. Yeah, il a du bon parfois ce Rei.

              Oh ben merde, si c'est pas beau ça. Un clampin qui lui passe devant en braillant qu'il va chercher des renforts. Et un autre solo face à une meute de loups furax et leurs maîtres.

              Qu'est ce qu'on fait ? On prend les paris ? Combien qu'le gamin en butte avant de se faire croquer ? Ah ben non, évidemment. C'est Rei, j'oubliais. Faut toujours qu'il se la joue celui-là. Il prend la pose trois secondes, checke qui il a en face. Il trouve son bonhomme, le pointe du doigt et il lui balance :

              -Vous avez été identifié comme coupable d'un vol à Baterilla un peu plus tôt dans la journée monsieur. Veuillez me suivre aux bureaux de la marine pour que nous tirions cette affaire au clair.

              Haha, le con. Tu le vis ça ? En face aussi y s'en payent une bonne tranche tiens. Y'a de quoi en même temps. Leur rire est tellement gras qu'il trouve écho dans toute la caverne. Mais en fait, ça dure pas longtemps. Ils pigent vite qui lui il est sérieux. L'aplomb du Prince le bonhomme.

              -Si tu ne penses pas être de taille, il n'y a pas de honte à s'enfuir, je couvrirai tes arrières. Sinon, nous ne serons pas trop de deux pour les mettre hors-combat.

              Et bim, il est déjà parti. La vache ça va vite. L'a un train à prendre ou quoi ? Un défilé de mode à aller suivre ce soir ? Rho, oui, mauvaise langue je sais. Bon, ça commence. Ziiip, il dégaine, les deux sabres d'un coup. Bim un toutou en moins. L'avait qu'à rester dans le rang avec ses petits camarades au lieu de se la jouer petit chef trois mètres devant. Forcément derrière ça grogne. Ben ouais mais bon, en tout cas, les autres sont prévenus maintenant. Ça va être funky les amis !



              Spoiler:
                Zelles était donc détaché et prêt à se battre, mais tout à coup ce que v’là l’autre marin qui s’en va en courant, tout en criant qu’il part chercher des renforts, nan mais t’y crois à ça, quel lâcheur celui là, ya pas à dire notre ami n’aime pas les marins et le gouvernement, mais en plus avec des lâcheurs pareil ça risque pas de changer. Zelles le regarda partir mais rapidement il ne vit plus rien vu qu’la grotte était sombre, ainsi il se retrouva en solo fasse à une meute de loup de taille imposante et plusieurs hommes derrière, décidément, les situations pourries il connait, il a un dont pour se retrouver d’une manière ou d’une autre d’une autre dans la mouise.

                Finalement Zelles allait commencer le combat en lançant le premier assaut sur cette meute déchainée, au moment où un nouveau clampin se présenta à ses côtés, décidément il devait avoir un aimant à boulets, parce qu’ils les attiraient comme des mouches, et puis celui là il s’y croyait, costume tellement propre qu’il brille, coiffé comme c’est pas possible, il devait en passer du temps pour s’habiller celui-là. Bref avec sa rengaine à la James Bond il sorti un phrase de super héro.

                Vous avez été identifié comme coupable d'un vol à Baterilla un peu plus tôt dans la journée monsieur. Veuillez me suivre aux bureaux de la marine pour que nous tirions cette affaire au clair.

                *Oh nan pas encore un marin, c’est pas possible, je suis maudit, plus qu’a espérer qu’il soit assez bête pour me prendre pour un simple civil maintenant que je suis débarrassé de l’autre, sinon je pourrais pas récupérer gratuitement des provisions pour la suite de mon voyage. Enfin bon ya des chances que ça soit le cas étant donné qu’il croit que les dresseurs de loups pourraient se rendre bien gentiment et le suivre aux bureaux de la marine *

                Si tu ne penses pas être de taille, il n'y a pas de honte à s'enfuir, je couvrirai tes arrières. Sinon, nous ne serons pas trop de deux pour les mettre hors-combat.

                Zelles était donc avec un nouveau marin, qui apparemment allait l’aider dans son combat, donc bon il était un peu bête de penser que les autres allaient se rendre, mais au moins on pouvait se dire qu’il avait du cran. Ce que notre ami ne pouvait pas nier et il était au moins content de ne pas être seul dans cette galère, ainsi il se mit en position de combat et le marin aussi qui tout en sortant chacun leurs sabres. Sans attendre le marin fonça dans le tas et renvoya le chef de meute faire cou-couche panier.

                Zelles se devait de suivre sinon son honneur en prendrait un coup, alors il décida également de se lancer dans le tas, accompagné de son sabre qu’il ne quitte jamais, même lorsqu’il dort, ce qui je le dis au passage est dangereux, donc soyez sage et ne le faites pas, il commença à courir en direction de la meute, car il devrait se débarrasser de tout les loups et de tout les voleurs pour gagner. Ainsi il rentra dans le tas tellement fort et sabre vers l’avant qu’on put entendre rapidement quelques hurlements de souffrance. Pourtant aucun des loups ne tomba au sol, ce qui rappela à Zelles contre quoi il était et qu’il devrait se donner à font au vu de sa puissance actuel. D’un coup un loup lui sauta dessus, l’épéiste esquiva de peu et donna le change à ce loup avec quelques coups d’épées bien placés, si vous voyez ce que je veux dire, puis il sauta fit tourner son épée entre ses mains et transperça le loup épée vers le bas en redescendant.

                Et bien à qui le tour ?

                Zelles faisait un peu le malin, mais au font il savait que c’était quand même là une situation quelque peu problématique, espérant que les loups ne lui poseraient pas tous autant de problèmes sans quoi il devrait prendre de la distance et frapper avec son arc, après tout ce serait le moment de s’entrainer à chasser…
                  À côté de Rei, l'autre jeunot est pas manchot non plus. Il a l'air taillé comme une arbalète m'...

                  STOOOP. J'ai failli oublier avant de commencer, un truc hyper-méga-important. Aujourd'hui j'avais une folle envie d'écrire un RP, et ce rêve est devenu réalité grâce à Zelles, qui vient de poster ce RP situé juste au dessus du mien, alors j'profite de l'occase qui se présente pour lui faire une spéciale dédicace, comme les gens qui passent à la radio. Merci, mec, t'es mon sauveur. You're my hero. Amaaazing. Voilà, ça c'est fait. Votre programme va désormais pouvoir reprendre son cours, nous vous prions de nous excuser pour la gêne occasionnée.

                  Scène dans la grotte, deuxième prise. 3...2...1...hééé action !

                  ...'ais il se débrouille pas mal du tout non plus. Ok de vous à moi, si le very special agent CI Rei* était pas venu à sa rescousse, il serait sans doute dans la mouise, m'enfin ça va, il a l'air de connaître son affaire. De toute façon, dans la mouise, il y est toujours. Sauf que maintenant ils sont deux. Mais s'pas si grave, dans la merde au moins on est au chaud, pas vrai ?

                  Pour le fumier, c'est bien connu, rien ne vaut un bon coup de fourche. Et même si je vois mal Rei déguisé en pignouf de paysan, dans le cas présent, va bien falloir se salir les mains, c'est net. Le troupeau de canidés les cernent déjà, et leurs bergers sont à deux doigts de donner le top départ pour un découpage dans les règles. Pourtant, ça ne semble pas inquiéter outre-mesure le jeune agent du CP5, ni son acolyte d'ailleurs, qui repart en charmantes invectives, manière de haranguer encore un peu plus l'opposition déjà passablement courroucée. Cela a le don de mettre Rei d'humeur joviale, allez savoir pourquoi. Sans doute l'ardeur de celui qu'il évalue comme lui étant son cadet de 2 ou 3 ans est-elle communicative. Bref, il a la banane.

                  STOOOP. Oubliez cette phrase où j'vous flashouille mode Men in Black. Jme suis fait l'observation en relisant mon précédent post que je bazardais du "Bref" comme c'est pas permis alors j'ai décidé de censurer ce mot de mes Rps. C'est con mais c'est la vie. Br..ahem.

                  Scène dans la grotte, troisième prise. Ça commence à bien faire toutes ces interruptions. 3...2...1...hééé action !

                  Rei se prépare donc à l'assaut imminent avec un certain enthousiasme. Mais confiance en soi n'implique pas pour autant inconscience. Il ne faut pas oublier les précautions élémentaires, que ce soit dans une grotte ou dans un plumard. Et faites pas ça avec des loups de préférence, hein. Dans une situation guère reluisante comme celle-ci, le minimum syndical consiste à mettre tous les atouts dans sa manche pour rendre le plus favorable possible l'issue du combat. Et dans sa petite caboche, il en est arrivé à la même conclusion que moi, notre agent. Alors il agit en conséquence.

                  -Je vais attirer l'attention des loups, profites-en pour t'occuper de leurs maîtres...

                  La remarque est glissée dans un chuchotement à celui qui protège pour le moment son flanc gauche de par sa présence. Sitôt après, il agit. Armes au poing, il sautille quelques secondes sur place, de sorte à capter l'attention de l'ensemble des canidés. Puis prend impulsion et arrive en un bond au contact des plus proches de lui, sur sa droite. Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il était attendu au tournant. Trois mâchoires luisantes dans l'obscurité fusent vers lui...pour mordre rageusement l'air, un "Soru" plus tard. La proie s'est dérobée à l'assaut, pour réapparaître juste dans le dos de ses chasseurs. Les bêtes n'ont pas le temps de se retourner, les lames qui viennent trancher leur nuque dans un tourbillon ne leur en laisse pas le temps.

                  Trois de moins, l'en reste...un paquet.

                  Le mouvement visant à montrer à tout le monde qui représente la menace la plus préoccupante achevé, Rei recule, sans se retourner, jusqu'à atteindre une paroi de la caverne, de sorte qu'il n'ait plus à se soucier de ses arrières. Un moindre mal puisque la meute entière s'oriente vers lui, le désignant clairement comme cible prioritaire. Il a du être vachement convaincant, son petit show. Reste plus qu'à espérer que son allié de circonstances saura se dépatouiller des hommes des cavernes.

                  En attentant, Rei va avoir fort à faire de son côté. La rançon du succès. Tout une foule de groupies déjà là... mais pas pour signer des autographes. La première rangée de ses chers symboles de fureur et de sauvagerie se rue déjà à l'assaut. Ah, j'dois vous abandonner amis lecteurs, le devoir m'appelle. Une chose de sûre, ça va trancher, mes pti cheris.

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                  * note pour les lecteurs pas bilingues : CIA, prononcé à l'anglaise, ça donne quelque chose comme Si Aye Hé. Et là, grâce à un subtil jeu de mots, ça donne Si Aye Rei. Comme j'trouve la boutade particulièrement croustillante, je résiste pas à l'envie de vous le faire partager. Allez, remontez de 30l et poursuivez maintenant.
                    Notre épéiste était donc toujours dans la mouise mais avec deux loups de moins… Restez donc à abattre le reste de la meute pour faire un grand festin qui pourrait surement lui apporter quelques provisions pour son parcours. Mais la meute commençait déjà à les entourer et bientôt il n’auraient plus le choix de rentrer dans le tas s’ils voulaient bouger, c’est pourquoi notre ami se préparait à repartir de plus belle, mais son compagnon lui chuchota.

                    Je vais attirer l'attention des loups, profites-en pour t'occuper de leurs maîtres...

                    Qu’entendait-il par là, Zelles couvrait son flanc gauche d’une dizaine de loups enragés, car si il partait, son allié serait totalement débordé par le nombre de loups et ils n’hésiteraient pas à lui sauter dessus, mais d’un autre côté ils ne pouvaient pas rester tout les deux dans cette position, car les loups pourraient rapidement prendre le dessus aussi, surtout si leurs maître venaient à s’en mêler. C’est alors que l’autre kéké commença à sautiller sur place comme un kangourou, mais contrairement à cette charmante bête lui il avait l’air d’un idiot, on pouvait au moins se dire qu’ils captait l’attention de ces monstres.

                    Le membre du gouvernement où d’une branche proche, partit donc sur sa droite, mais dans l’ombre trois immenses gueules sortirent, puis le compagnon de Zelles disparu, qu’avait-il fait ? Ca y est ça revenait à Zelles, cet homme était un membre d’un CP mais lequel ? En tout cas il maîtrisait certaines des techniques surhumaine qui était spécial à sa branche gouvernemental, ce qui d’ailleurs lui avait certainement sauvé la vie sur ce coup, car grâce à son esquive il passa derriére les bêtes et les trancha. Cela faisait trois nouvelles carcasses pour le festin, mais il en restait beaucoup et les maîtres étaient toujours là.

                    Le membre du CP fonça contre un mur pour être sans problème de couverture, et toute la meute s’orienta vers lui, son plan avait donc marché, Zelles n’avait plus que quatre cibles, mais il n’avait aucune info sur ses adversaires, en tout cas il devrait se débrouiller seul, car son allié devait déjà faire face à la vingtaine ou trentaine de loups. Il recula quelque peu, car il devait réfléchir tranquillement à une stratégie.

                    *Que faire je ne connais rien d’eux, il va falloir la jouer fine le temps de me débarrasser d’au moins deux d’entre eux.*

                    Seulement les dompteurs ne devaient pas vouloir se battre, à moins qu’ils ne savaient pas ou qu’ils étaient carrement peureux, quel honte, bref un d’entre eux sorti un fouet et le fit claquer sur trois loups, afin qu’ils se séparent de la meute et qu’ils attaquent notre charpentier. Décidement Zelles avait bien fait de reculer, alors il sorti son arc et trois flèches, il se conscentra, ferma les yeux, pendant que les loups foncaient sur lui, il les rouvrit et dans un esprit de sureté il tira, les flèches traversérent la grotte, elles faisaient sifler le vent et résonnaient, puis elles rentrérent dans respectivement dans le poumon, le cœur et le thorax des trois loups, qui s’éffondrérent sur le coup, bien qu’ils n’étaient pas morts hormis peux-être celui qui avait pris la flèche dans le cœur.

                    Zelles savait qu’il devait les finir, de plus même si c’étaient ses opposants il n’aimait pas particuliérement faire soufrir les êtres vivant et préférait en finir rapidement, c’est pourquoi il courrut en direction des trois loups qui étaient aligné au sol. Zelles utilisa donc une de ces techniques Kanryõ, il sauta en prenant deux nouvelles flèches qu’il tira sur deux des loups, puis dégaina son épée et atterissa sur le dernier. Zelles était plein de sang ce qui n’était pas quelque chose qu’il aimait particuliérement, mais après un carnage pareil ça ne pouvait pas être différent. Maintenant les loups étaient seulement sur le CP et il pouvait s’approcher quelque peu des dompteurs, car il savait comment les battre. Les hommes ne devaient pas savoir se battre, mais comptaient essentiellement sur leurs amis les loups, bien qu’il fallait faire attention.


                    [HRP:Tu n'as plus qu'a tuer tous les loups et dans mon prochain rp je m'occupe des dompteurs]
                      L'opération est une franche réussite. Quasi-totale même. Seuls trois des animaux n'ont pas plongé dans la diversion, rappelés par leurs maîtres, lesquels requièrent leur aide pour venir à bout de l'autre combattant. S'ils échappent à celui qui se voyait bien incarner le rôle de l'Ange de la Mort auprès d'eux pour l'occase, leur sort n'en est pas moins scellé par quelques traits bien ajustés, rapides et précis. Hé oui, le deuxième dresseur ne fait pas dans la dentelle, lui non plus. Mais Rei n'a pas le loisir de suivre le spectacle proposé par son allié, quoi qu'assister à la mise à mort d'animaux, aussi féroces soient-ils, reste un divertissement auquel il goûte fort peu. Il est de toute manière contraint d'ignorer la démonstration qui se déroule puisqu'aux prises avec la meute rassemblée, qui le cerne et resserre lentement l'étau, sans laisser la moindre ouverture à sa proie.

                      Vous voyez un peu la scène à la fin du Roi Lion, avec les hyènes qui débarquent pour ne faire qu'une bouchée de ce brave Scar ? Ben c'est un peu le même tableau. Sauf que Rei, c'est le gentil de l'histoire et que dans Walt Disney, on censure la scène de découpage en règle du vieux Graouh. Là, non. On va se payer une bonne tranche de baston Homme Vs Nature les amis. Et j'espère qu'aucun représentant de la SPA ne passera dans le coin parce qu'il risque de pas trop apprécier c'qui va suivre.

                      Ici, pas de scène à la western, pas de jte zieute tu me zieutes, avec deux ennemis aux yeux plissés et aux pétoires prêtes à rugir. Pas de chapeau de cow-boy ni bottes de cuir. Pas de soleil de plomb dans le ciel, ou de vent brûlant pour soulever le sable par bourrasques, ni plus de musique de Ennio Morricone en fond sonore. Juste une obscurité lugubre, un courant d'air glacial et des grognements qui s'échappent derrière des mâchoires closes, crispées. Pas un western, non. Pourtant, c'est bien délire comme genre non ? Imaginez ce que ça pourrait donner...

                      Deux minutes avant encore, la salle riait, dansait, jouait aux cartes, trichait, se tabassait avec entrain. Le saloon entier respirait au rythme de la vie grisante du Far West. Et soudain, ils ont déboulé dans l'obscurité, regard noir, douchant l'ambiance de par leur seule présence.

                      Maintenant, ils sont face à face. Lui, dans son costard impeccable, dos au comptoir, armes dans leurs holsters, bras détendus le long du corps. Eux, vareuses chargées de poussière et de pluie, rassemblés en un hémicycle autour de lui, prêts à bondir. Regard torve, babines retroussées affichant un sourire édenté assoiffé de sang.

                      La scène se fige quelques secondes. Un mec à l'autre bout du restau-bar commence à jouer un air d'harmonica. À l'audition de ce redouté signal, les clients sans histoire fuient loin de l'explication annoncée, appuyant fermement leur couvre-chef sur leur crâne chauve, renversant chaises et autres tables dans la précipitation; les prostituées filent se planquer à l'étage pour assister au show bien à l'abri, priant secrètement pour que le beau gosse au regard d'acier s'en sorte indemne; le barman planque ses bouteilles et son miroir, gémissant déjà en pensant aux dégâts à venir qui seront à ses frais. C'est le règlement de compte final. La bande des Clanton venue défier le shérif Earp. La Horde Sauvage face à Jack Beauregard. Le photographe amène sa boite à image pour immortaliser le moment tellement c'est beau.

                      L'ambiance électrique tourne à l'orage, la tension est presque palpable. Ça va sentir la poudre dans le secteur, les six-coups vont rugir. Le croque-mort va faire son chiffre d'affaire de l'année ce soir.

                      -Il n'est pas trop tard pour se rendre. Si vous déposez les armes, je vous garantis un jugement impartial pour l'affaire du vol de la Diligence.

                      Le shérif dégage une ostensible assurance. Sa voix est calme, imperméable. Pourtant, son cœur bat à la chamade, son sang tambourine dans ses veines. Mais il aime ça. L'adrénaline est son seul carburant, sinon pourquoi choisir un métier à risque ? Son regard ne trahit aucune hésitation, sa main ne tremble pas. Il est dans son élément.

                      En face, tous savent. Tous ont cette sensation désagréable d'en être arrivés à un point de non retour, acculés dans une situation de vie ou de mort. Tout se jouera sur un coup de dé. Et impossible de le piper, celui-là. Le plus fort vaincra. C'est la vérité, crue, brutale.

                      -Va au diable Earp.

                      Fin des palabres. Déjà. Dans le fond, personne n'a vraiment cru qu'elles puissent s'avérer concluantes. C'était couru d'avance. Ils sont tous là pour la même chose. Il a la vitesse, ils ont le nombre. Rien ne saura plus retenir plus longtemps le duel.

                      Le silence s'empare de l'endroit, une seconde à peine. Certains membres de la bande montrent des signes d'excitation. Sur la gauche, une main moite se glisse jusqu'à son ceinturon, fait mine de dégainer. Mais le danger vient de l'autre côté. Un trop fou pour prendre conscience du danger gesticule et tente de dégainer. Trop tard.

                      La détonation rugit, transperçant la poitrine de l'inconscient, ôtant ainsi la première vie. C'est le déclic que tous attendaient. Tandis que l'étoile de Justice bondit vers le malheureux décédé, une rangée de canons pointent sur lui. Les billes de plomb fusent dans sa direction; l'une d'entre elles zèbre sa cuisse, la seconde sa hanche. Le flanc gauche subit ses premières blessures. Mais elles ne font que renforcer sa volonté, exacerber cette sensation d'être bien vivant, attiser le feu impétueux qui anime tout son être en cet instant.

                      Il est au contact de ses ennemis, sur sa droite. Deux tirs de plus, deux cadavres supplémentaires. Tour à tour, ceux qu'il approche tombent. Les cris, les balles fusent autour de lui. Il n'en a cure, esquive les dangers qui se présentent devant lui quand il les aperçoit, ajuste les cibles d'un mouvement assuré et tire. Avec une précision chirurgicale.

                      Une brûlure dans son dos le force à se cabrer, par réflexe. Puis à se retourner, pour abattre celui qui le prenait à revers. La mêlée se densifie. Il se retrouve presque cerné, doit chercher un point de chute pour battre en retraite. Là. Une table renversée, à deux pas de lui. Son oasis en plein désert. De la nouvelle salve qui s'abat, un projectile vient se ficher dans son épaule droite alors qu'il plonge se mettre à couvert. Derrière son abri provisoire, il prend le temps d'évaluer la gravité de ses blessures.

                      Pas brillant. Si ça s'éternise, il risque de tomber dans les pommes, voire même plus grave. Un goût de sang lui remonte en bouche. Les sons lui parviennent déformés, couvert par ses propres battements de cœur. Le monde tourne au ralenti autour de lui. Il doit en finir.

                      Un assaillant surgit au dessus de la table et se présente devant lui, manquant de le prendre par surprise. Bang. Un de moins. Il se penche sur le côté, jette un regard sur la scène à la dérobée. En face, la moitié des ennemis déjà git au sol. Le plancher a pris la teinte vermeil du sang, témoignant du carnage. Et maintenant le final.

                      Le Bon se redresse, de toute sa hauteur, déterminé même si diminué, faisant fièrement face au reste de la bande. Certains déjà ont perdu de leur hargne. Mais la majorité est toujours férocement décidé à lui faire mordre la poussière. Le sort n'a toujours pas désigné le vainqueur du jour, alors autant forcer la décision. Les deux partis se ruent à l'assaut. Deux nouvelles victimes s'écroulent, de part et d'autre de la figure de Justice. Son poignet droit, touché dans le nouvel échange, est contraint de desserrer son étreinte. Un ultime tir ajusté et son arme lui échappe.

                      Sans tarder, un nouvel adversaire se présente. Il surplombe les autres d'une tête au moins. Derrière lui, personne n'ose avancer. C'est lui, le chef. L'affrontement décisif.

                      Les feux jaillissent, simultanément. Touché, le shérif pose un genou à terre. Le hors-la-loi le fixe quelques secondes, regard dans le vague, avant de s'écrouler dans un râle, mortellement blessé. Déjà, le colt implacable de la Justice pointe vers les derniers survivants, en proie à l'hésitation. Quelques courtes secondes plus tard, ils prennent la fuite, sans demander leur reste.

                      ...

                      Aah, y'a pas à dire, c'était purement bon à écrire, cette tranche de western. J'espère que vous avez bien fait le parallèle entre le combat en mode spaghetti et ce que ça donnerait en One Piece parce que je vais pas tout retranscrire maintenant. Allez, retour à nos moutons maintenant, j'ai une conclusion à faire.

                      La jambe droite meurtrie par le dernier coup de crocs subi, Rei, rampant presque, s'adosse au rocher qui lui a servi d'abri salvateur un peu plus tôt dans son combat. De son corps s'échappe en plusieurs endroits de longs filets de sang. Ses armes elles, sont maculées de celui de ses victimes. Au bout du suspense, la victoire est sienne. Les derniers loups vivants ont pris la fuite, au grand désarroi de leurs maîtres. Maîtres dont serait bien inspiré de se charger son acolyte, sans quoi la situation deviendrait plus que compromise pour le jeune agent. Katana au poing, il attend, prêt à assister au dénouement de la confrontation, ayant rempli sa part du contrat.
                        Zelles s’avança vers les dompteurs ceux-ci n’avaient pas bien l’air de comprendre ce qui leur arrivaient, en effet deux hommes arrivent les accuses de vol, tuent plusieurs loups et sont prêt à tuer le reste de la meute en passant par les maîtres. Quoi que tuer les maîtres ne devait pas être dans les plans de l’autre homme, car Zelles avait l’impression que ce n’était pas trop le genre d’homme qui aimait tuer les gens de sang froid. Bref Zelles lui avait particulièrement envie de les tuer, en effet ils avaient cherché les noises et avait essayé de tuer notre ami avec leurs loups. Zelles ne connaissait pas leurs capacités, ainsi il devait jouer de sa vitesse et de l’éclairage de la grotte qui était très sombre, afin de surprendre ses adversaires et de les tuer avant même qu’ils ne réagissent. Zelles se rapprocha de plus en plus commençant peu à peu à courir, puis il se retrouva en plein élan, épée dégainé, prêt à tuer ces hommes que Zelles n’aimait pas. Ceux-ci sortirent leurs armes à chacun, celui de tout à l’heure, son fouet, le voleur qui les avaient amenés là, une épée, le troisième, un pistolet et une massue un peu rudimentaire avec quelques pointes dessus, pour finir le dernier avait une lance pour le moins pointu.

                        Zelles compris rapidement que le problème serait le gars avec le pistolet et celui avec le fouet, ainsi il avança vers celui qui avait le pistolet, mais pas en courant normalement sur le sol, mais en prenant un peu de vitesse en montant sur la paroi de la grotte. Ainsi, ses adversaires le voyaient moins et Zelles gagnait en vitesse, bientôt il sera tout près d’eux, suffisamment pour pouvoir les combattre au corps à corps. Voilà Zelles était contre eux et ils n’étaient pas préparés à affronter Zelles, car il ne l’avait pas vu bien arriver, sachant que leur atout était surtout le nombre. Zelles frappa avec son épée le mec à la masse et au pistolet, qui bloqua le coup avec sa masse et tira de l’autre main, notre charpentier esquiva de peu, pendant ce temps le dompteur avec le fouet attrapa une jambe à notre ami le faisant tomber, alors que l’épéiste et celui avec sa lance arrivaient dans le dos de notre héro qui venait de tomber ventre à terre. Décidemment le combat était rude, Zelles tourna sur lui-même faisant échapper sa jambe du fouet, puis après une roulade sur le sol qui lui permit d’esquiver les coups il se releva.

                        A aucun moment Zelles ne devait les laisser prendre le dessus sans quoi, il serait fini, c’est pourquoi il se devait de jouer au physique, en effet il était parfaitement entrainé, alors que ces hommes étaient seulement des bandits comme on en croise partout, pas entrainé à l’art du combat depuis leur plus tendre enfance, seulement devaient-ils avoir prit des armes et les avoir utilisées dix fois dans l’année parce que leurs conditions de vie étaient misérables, mais là n’était pas le moyen de s’en sortir, juste s’attirer des ennuis auprès de marins respectueux de leurs devoirs, croyant que leur cause est juste, bien qu’elle ne l’était pas plus que ces voleurs. Zelles avait donc certainement le dessus à un certains nombre de domaines, c’est pourquoi il relança un assaut.

                        Il se relança sur l’homme avec la masse, mais avant il devait attirer les autres d’un autre côté, ce qui ne serait pas trop difficile dans une grotte aussi sombre que celle-là. Il tira une flèche de l’autre côté et une autre passant très près de l’homme à l’épée, ainsi celui avec le fouet et celui avec l’épée s’avancèrent en direction du lieu ou la première flèche était parti, mais Zelles n’y était plus, pour le moment tout allait bien, mais celui avec la masse parti avec les deux autres, ainsi il devrait se contenter de celui à la lance. Il arriva devant lui, celui à la lance recula en essayant de le toucher, ils échangèrent plusieurs coups, mais Zelles avait quelque peu l’avantage, surtout que de très près il y avait mieux qu’une lance pour combattre. Notre épéiste lui tapa d’un coup très puissant pour son niveau dans le bras faisant en sorte qu’il ne puisse plus qu’utiliser le bras qui tenait la lance, puis pour lui faire lâcher la lance il se servi de sa technique préféré, Torikkumasutā, il attrapa la lance de son adversaire, lui retourna le bras tapa avec son genoux dedans faisant entendre un CRAC ! montrant que le bras avait cédé, puis l’opposant lâchant son arme, Zelles la récupéra de sa deuxième main, puis à l’aide de la lance il lui transperça le ventre, puis avec son épée il lui trancha la tête.

                        *GRR j’ai horreur de faire ça ! *

                        Puis une fois le corps débarrassé de la tête, il balança le corps à l’aide de la lance de l’autre côté de la grotte, tout juste au pied des autres maîtres qui revenaient près de leur ami. Au moins il l’avait retrouvé, enfin en parti. Maintenant c’est plus que du trois contre un et Zelles avait une lance maintenant, sa pouvait toujours servir, mais il la laissera ici une fois fini, pendant ce temps du côté de l’homme du gouvernement ça avançait plutôt bien aussi, il se débarrassait rapidement de tous les loups, bientôt ils n’y en aurait plus, cela ressemblait à un western, les coups de crocs à des pistolets, les os qui craquent à des bouteilles qui cassent tout ça quoi. Puis plus qu’un loup, tous étaient morts ou venaient de partir en courant, de vrai lâche ceux là, l’homme tua le dernier loup d’un dernier coup puissant, tout en y laissant sa jambe dans la gueule du loup qui lui fit comprendre qu’il avait des dents, le loup tomba, l’homme aussi, il n’était plus en état de combattre, il rampa vers une paroi et s’installa regardant le combat de Zelles, sa part du contrat était rempli et les loups éliminés, maintenant notre ami devait tuer les dompteurs, car son acolyte ne pouvait plus s’en charger.

                        Les trois hommes qui après avoir découvert l’horreur étaient complètement devenu fou, attaquèrent Zelles de toutes leurs forces, voulant à tout prix se venger quelque qu’en soit le résultat, Zelles esquivait pour le moment les coups, mais les dompteurs ne se séparaient plus, ils avaient compris la leçon, un peu trop tard, certes, mais au moins ils ne le referaient plus. Notre ami, esquivait les coups d’épées, de fouet et de masse, mais leur nombre faisait la difficulté, Zelles se fit attraper un bras par le fouet qui l’envoya au sol, ce qui par chance lui fit esquiver un coup d’épée, mais celui qui semblait avoir oublié son pistolet, une fois le charpentier tombé lui tira dans la jambe, croyant qu’avec ça il irai surement moins vite, mais même avec la blessure notre ami allait plus vite et puis c’était pour le moins ne pas connaître Zelles, car même s’il devait courir sur les mains il en serait capable.

                        Notre héro se releva, bloqua un coup de masse, puis un coup d’épée, frappa dans le ventre de celui à l’épée qui recula le ventre un peu en sang, puis mit un coup de pied rotatif avec la jambe encore non blessé dans la tête de celui avec la masse et le pistolet. Mais le dernier ne demanda pas son reste et fit claquer son fouet violemment dans le dos de Zelles, le combat était acharné, les coups pleuvaient, l’épéiste se fis de nouveau attraper le pied, celui de la jambe qui allait pour le mieux, il retomba une nouvelle fois au sol, pendant que celui au pistolet allait tirer de nouveau, mais Zelles tira fortement sur sa jambe faisant valdinguer l’homme avec son fouet qui se retrouva contre le pirate, plutôt contre son pied d’ailleurs, il avait la trace du pied de notre ami, mais également l’autre avec son pistolet avait tiré d’assez loin et le temps que la balle arrive son allié au fouet était là et se prit la balle exactement dans l’épaule qui tenait le fouet, c’était parfaitement joué de la part de Zelles, car ce dernier devait changer son fouet de main, l’homme au fouet avec était donc par terre pas très loin du charpentier, avec une balle dans l’épaule et la face défoncé.

                        Bientôt ils ne seraient plus que deux contre notre ami, car celui avec le fouet encore plus enragé fit claquer son arme, mais faute d’entrainement de sa seconde main il claqua sur son allié à la masse, lui faisant lâcher la masse, Zelles pris donc appui sur sa main, lance préparé de l’autre. Il la fit tournoyer, tranchant le ventre de ce dernier, qui tomba de quelques centimètres, mais un coup de feu fut tiré qui toucha une nouvelle fois Zelles à la jambe, toujours la même, alors dans un éclair de rage il reproduisit l’opération carnage, il trancha le ventre de l’homme encore et encore. Une fois terminé il sorti son arc et tira d’un coup sec dans le cœur.

                        Dorénavant c’était deux contre un, l’épéiste se jeta sur l’homme au fouet, ce dernier lui attrapa le torse, mais là Zelles résistait et ne s’envolait pas, il enroula le fouet autour de son bras, puis balança son adversaire contre une paroi à l’aide de l’arme, celui-ci cracha du sang lors du contact au mur, mais ce n’était pas terminé Zelles aujourd’hui ne voulait plus de survivant hormis l’homme qui l’avait aidé, car personne ne s’en prenait à sa vie impunément. Il se rapprocha de cet homme, lui demanda s’il avait des dernières paroles, et avec l’épée et la lance lui trancha le ventre de part et d’autre, puis avec son arc tira une flèche qui traversa la tête, avant de se planter contre la paroi, signant la grotte de sa trace, mais le dernier homme le plus responsable, celui que Zelles voulait tuer de manière absolument atroce, avant de mettre un terme à ce genre de carnage, sauf s’il était question de marins, transperça Zelles avec son épée dans le dos. Zelles se retourna, faisant lâcher l’épée de l’autre, retira la lame la lança loin en face de lui, frappa d’un coup puissant dans l’entre-jambe de l’adversaire puis d’un coup de lance l’envoya voler près de son épée.

                        Zelles quant à lui lâcha la lance, tomba au sol, le combat était bientôt terminé, maintenant qu’allait-il se passer. Zelles allait-il se relever et achever le travail ? Le Cp allait-il mettre l’homme et Zelles en prison ? Ou à moins que l’homme puisse encore se relever mettant un terme à Zelles et son compagnon. Comment allait donc se finir se véritable carnage qui pourtant était parti d’un simple petit conflit de vol, dans lequel Zelles ne voulait même pas venir, Zelles avait-il pour seule excuse le fait qu’on a voulu le tuer ou alors qu’on l’a obligé à venir ici et qu’il passait ses nerfs sur les hommes qui maintenant était morts. Tout cela serait bientôt dévoilé, à moins que ça ne tombe dans les tréfonds de l’oublie, ALEA JACTA EST.


                        Dernière édition par Zelles Hitsugaya le Ven 13 Mai 2011 - 20:01, édité 2 fois
                          Par chance, l'affaire se présente plutôt bien; le dénouement devrait être favorable. Sous les yeux d'un Rei passablement blessé, son allié finit de régler son sort à l'avant dernier brigand encore debout, non sans une certaine barbarie. Cela a le don de plonger le spectateur privilégié dans une certaine perplexité, dans l'embarras le plus total même. Avant cela, celui qui possède indirectement son destin au fil de sa lame a expédié ad patres les deux premiers voleurs avec lesquels il était aux prises, avec une débrouillardise là-aussi suspecte, si bien qu'il ne reste plus qu'un ennemi apte à combattre. Et ce dernier survivor, à la grande satisfaction du jeune agent, c'est son voleur. Ne reste plus qu'à mettre le grappin sur lui.

                          Alors, tout est bien qui finit bien ? Les gentils ont gagné, les méchants, vaincus, fomenteront leur revanche derrière les barreaux dans le prochain épisode de la trilogie ? Pas exactement. Y'a bel et bien une ombre persistante dans ce joli tableau.

                          Force est de constater, le jeune homme aux cheveux argentés s'en est tiré à merveille. Pourtant, il n'est ni marine, ni plus vraisemblablement agent du gouvernement. Sinon, la logique aurait voulu qu'il s'identifie à ses ennemis, ou même à son collègue fraîchement débarqué pour lui offrir d'associer leurs forces. Et si de son côté, Rei n'était pas tenu d'épargner les loups, ne pouvant que difficilement faire jouer ses talents de diplomate avec eux, lui aurait en revanche été inspiré de faire preuve de mansuétude envers ses ennemis en leur laissant la vie sauve. Ou tout du moins, il aurait dû manifester l'intention de régler cette affaire sans effusion de sang. Et cela n'a pas été le cas, loin s'en faut. D'où lui vient cette haine ? Plus important, d'où tire t-il cette science du combat ? De biens délicates questions...

                          D'où ce malaise qui point dans l'esprit de Rei, au moment où l'affaire semblait pourtant entendue. Au lieu de cela, la douleur et le doute le tenaillent, il ne sait quelle démarche adopter. Son sens du devoir lui intime de s'assurer de l'identité de son étrange partenaire; mais son instinct lui souffle déjà la vérité à demi-mot. Le gamin est un hors-la-loi, lui aussi, un criminel. Peut-être même plus dangereux ou recherché que celui auquel ils se sont opposés. Mais voilà, s'il s'est embarqué dans cette affaire, c'est pour arrêter l'autre. Qui d'ailleurs n'est pas un enfant de chœur non plus. Preuve en est le dernier coup en traître qu'il vient d'administrer à l'autre.

                          Dans l'idéal, il conviendrait suivant ce constat d'arrêter les deux individus. Pourtant, dans son état actuel, il risquerait gros à courir après deux gibiers. Pour peu, il serait le plus amoché des trois. Certes, d'ordinaire c'est le Bon qui gagne dans ce genre de final, mais ici la Brute et le Truand n'ont rien à lui envier... Alors ça cogite sec sous sa caboche de surdoué, ça évalue les risques, les enjeux, ça cherche la meilleure alternative.

                          Mais comme pour lui éviter cette fastidieuse gymnastique intellectuelle, le dresseur passe à l'action. Sa cible est sans doute au moins aussi décidée que lui à en finir. Les deux opposants vont repartir de plus belle depuis les deux parois de la caverne pour le dernier acte de leur duel.

                          Que les charognards se dévorent entre eux, ce serait probablement pas un mauvais calcul pour Rei... mais si vous commencez à le connaître comme moi, vous aurez déjà compris que le beau gosse, y peut pas se résoudre à assister à un nouveau crime sans agir. Pourtant, il pisse le sang comme pas permis; il suffirait de l'essorer comme une simple éponge pour le vider jusqu'à sa dernière goutte. En plus, partout sur son champ de vision de petites tâches noires font office de warning pour l'alerter que la panne de carbu est proche. Mais il passe outre. Et se rue dans l'action.

                          Soru.

                          Une impulsion, puis le déplacement éclair qui s'en suit. Ça le lance dans la patte blessée, la mine fermée sur son visage ne trompe personne. Il s'en mord les lèvres pour pas crier tellement il souffre. Mais l'essentiel est acquis, le voilà en position de force, sa cible peut sentir son souffle fort, irrégulier sur sa nuque, mais n'aura pas le temps d'esquiver.

                          Shigan.

                          L'index pénètre, dur comme l'acier, dans le bas du dos, broyant tout sur son passage. Un os vole en éclat, c'est le coccyx. Dans un hurlement de douleur, l'homme s'écroule. Il n'en reste qu'un. L'ultime survivant. Mais qui est-il ?

                          L'archer. Le déjà ex-allié. Rei le toise un instant, avant de reporter son attention sur le voleur qui tente de fuir en rampant pitoyablement. Le jeune homme attrape la paire de menottes accrochée à sa ceinture, et la passe aux poignets de son prisonnier, sans un mot.

                          -Dans son état actuel, il ne pourra pas faire un pas tant la douleur serait atroce. Je vais indiquer l'emplacement de cette grotte aux marines de Baterilla, ils viendront y récupérer le colis...

                          S'exprimer lui coûte un tel effort qu'il doit reprendre sa respiration à mi-phrase.

                          -...s'ils te trouvent encore sur place à ce moment-là...

                          Inutile d'en dire plus, les forces lui manquent, ses propos sont de toute manière assez équivoques. C'est un bon compromis, à l'autre d'en profiter. Si le destin leur offre une nouvelle rencontre, Rei n'aura qu'à achever le travail à cette occasion. Boitant bas, se servant de son katana comme d'une béquille, l'agent quitte le lieu plongé dans une ambiance macabre et prend la direction de la Cité...

                          Dans vingt minutes, son calvaire prendra fin tandis qu'il atteindra les premières demeures de la ville. Des citadins le croiseront, et lui indiqueront le cabinet du médecin le plus proche. Dans trente, le Doc' se chargera de le rassurer quant à la gravité de ses blessures, et entamera dans la foulée la chirurgie et les soins nécessaires. Avant de s'autoriser à s'évanouir, le blessé portera à la connaissance de l'officier de la marine les informations en sa possession concernant l'explication à la grotte.

                          Dans soixante minutes, un peloton de dix hommes arrivera sur les lieux, pour mettre officiellement en état d'arrestation le seul survivant de la scène. Seul survivant sur place, à moins que le jeune homme n'ait pas pris la fuite dans le laps de temps. Mais ce ne sera plus du ressort de Rei. Lui en aura fini avec ce passage sur Baterilla.
                            Zelles se releva au bout d’une minute au sol, le Cp choqué de la scène fit de même avec les derniéres forces qui lui restait, il se précipita d’un Soru vers le voleur, que faisait-il ? Il arriva derriére lui, et avec une nouvelle technique, Shigan, il traversa le dos du voleur, lui brisant un os avec son index. Zelles compris à ce moment là que le Cp n’était plus de son côté, dans tous les cas un membre du gouvernement et un pirate qui les hait ne peuvent pas s’entendre. Le voleur s’écroula, le Cp le menotta, et dans le même élan le silence se brisa.

                            Dans son état actuel, il ne pourra pas faire un pas tant la douleur serait atroce. Je vais indiquer l'emplacement de cette grotte aux marines de Baterilla, ils viendront y récupérer le colis…...s'ils te trouvent encore sur place à ce moment-là...

                            Et déjà il partait, surement devait-il se soigner, mais ce qui était sûr c’est que des marins seraient bientôt dans le coin, prêt à mettre notre ami en prison, mais ce dernier était devenu fou, il ne pensait plus à rien, sauf à l’horreur qu’il venait de commettre et à quel point il n’aimait pas le gouvernement. Déjà devant lui le sang des cadavres coulait, sur le sol, sur ses mains, Zelles ne se controlait plus, heureusement l’énergie lui manquait, sinon surement aurait-il pu en finir avec le voleur, mais également avec celui qui l’avait aidé. Pourtant au fond de lui quelque chose lui disait d’arrêter, mais il ne pouvait plus, il regarda ses mains et de plusieurs coup sur la paroi fit graver au sang.

                            Heiwa no uchi ni jinsei o ikite iru hito, matawa chao o toru.
                            Seifu wa horobiru.


                            Juste après avoir marqué ces inscriptions, il s’écroula sur le sol, le temps passa, ses yeux étaient ouverts, il était entre la vie et la mort, mais comme chez tout héro, une chose qui guide leur vie, leur permettant ainsi de se sortir de situation comme celle-là, le destin. Zelles bougea, une voix dans sa tête résonait et lui ordonnait de bouger, de se relever, de partir, ainsi après plusieurs minutes d’effort il se releva, il avait reprit ses esprits, il reprenait le contrôle de ce qu’il faisait, et avec le peu de forces qu’il avait encore, ne se souvenant pas pourquoi il était si faible, il partit sans se retourner, se rappelant juste qu’il devait quitter cette île au plus vite, avant de resombrer dans la folie. Ne sachant plus ce qu’il avait fait durant ce laps de temps où il n’était plus lui-même, il sorti de cette grotte, les marins devaient déjà être sur le chemin, mais lui ne serait plus au lieu donné.

                            Il prit un chemin pour redescendre vers la ville afin de repartir, non pas celui qu’il avait prit à l’allée, mais celui que le destin lui disait de prendre, il arriva en bas après une dizaine de minutes de marches, ayant du mal à marcher et titubant, il était à côté de son bateau. Il s’approcha des stands longeant le port, et dans un élan vola une bonne parti de ce qui se trouvait là, l’absence de marins lui simplifia grandement les choses, car il ne pouvait plus se battre. Ainsi il prit la mer avec de nombreuses provisions, oubliant en même temps qu’il s’éloignait ce qu’il aurait pu faire sur cette île.

                            C’est ainsi que cette aventure tomba dans les méandres de l’oubli, mais malheureusement pas pour tout le monde, En effet ce fameux membre du gouvernement et ce voleur n’oublierait sans doute jamais le drame, et sans doute sauraient-ils le rappeler à Zelles, tôt ou Tard…