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L'escadron Jo

Rappel du premier message :

Garde à vous!

Un mouvement, un claquement de botte, et ils saluent tous. Belle discipline, bel esprit de groupe, se dit Hopper Jo. D'un oeil vif mais complice, il balaie les recrues qui lui font face. Les nouvelles recrues, ses recrues. Il l'a eu, enfin, le Jo. On lui a confié le commandement d'un escadron de trente hommes. Les membres? Triés sur le volet, par Hopper lui-même. La Marine d'élite à ses avantages.

C'était il y a deux semaines à peine, Jo venait de recevoir un courrier mouette officiel. Sur le pont du Green Fairy, harassé par un soleil de plomb, il avait ouvert la lettre, nonchalamment. Puis il avait lu tout haut les caractères stricts.

"Au Sergent d'élite Hopper Jo,

Vous êtes prié de vous rendre au Quartier Général de South Blue, ou vous serez décoré pour vos récentes actions. Veuillez vous y rendre sur le champ.

Respect robustesse,

L'amirauté"


Clair et concis. Il était comme ça dans la marine d'élite. Alors, Jo a fait ses adieux. A Masha, à l'équipage, puis à Foxy. Il avait cru au départ qu'elle serait du voyage, qu'elle aussi serait décorée. Il s'était trompé. La Commandante James n'allait pas recevoir de médailles, pour la simple et bonne raison que ces médailles, elle les possédait déjà. Alors Hopper est parti. Il est parti, et il est arrivé. South Blue. Quartier Général. Dans la petite salle de cérémonie encore en reconstruction, on l'avait décoré. C'est la Commandante Themis en personne qui lui avait épinglé les deux médailles à la poitrine. Une coupette, trois poignées de main, et merci au revoir. Mais en fait non. Directement après, la commandante des forces d'élite l'avait convoqué dans son bureau. Le travail n'attend pas. Face aux yeux jaunes de Thémis, Hopper avait écouté: de d'un chose l'une. D'abord il recevait enfin le commandement d'un escadron qu'il devait former lui-même, ensuite il avait une nouvelle mission. Une mission ambitieuse, mais qu'il ne manquerait pas de mener à bien, on en était sur, puis s'il ne le faisait pas, il pourrait toujours nettoyer les cuisines après.

Un frisson parcoure l'échine du sergent. On est près. Lui en tout cas. Espérons qu'eux le sont tout autant.

Bonjour messieurs. Je suis le Sergent d'élite Hopper Jo, votre nouveau supérieur. Nous allons passer un bout de temps ensemble. Un bout de temps qui risquent de nous rapprocher. Car là où je vous emmène, ce à quoi je nous destine, ce ne sont pas des vacances sur Holiday Island. Ni des cours de natations. Ni des exercices de routines. Messieurs, je vous emmène... en guerre
.

Il observe ses gars, le Hopper. Il regarde si on cille. Si on sue. Mais tout l'monde reste tranquille, ou presque. Y en a bien un, un qui à l'air nerveux, tout à coup. Ce gars là, c'est celui à l'avant, à gauche, c'est celui qu'Hopper connait le mieux. Ce gars là, c'est l'engagé Buck Howski.

Buck Howski:
Grade: matelos 2ème classe.
Fonction: Lieutenant de l'escadron.

Signes particuliers: Ferait un meilleur livreur de journaux que soldat.
Talent: Cachés.
Motif du recrutement: L'engagé Buck Howski ira loin mais il ne le sait pas encore.


Sacré Buck. Merveilleux Buck, se dit Hopper. Car là où d'autres auraient pris la nervosité de Howski comme un signe de faiblesse, le Sergent Jo lui, considère cela comme de l'intelligence, une vrai intelligence, celle de la vie. L'engagé Buck comprend ce mort: le Guerre. Il l'entrevoit dans son entièreté, dans tout ce qu'il implique, alors oui, Howski tremble quand on en parle. Il sait que ce mot, dans la bouche d'Hopper, n'est pas galvaudé, il sait que Guerre signifie mort, détresse et bien d'autres choses encore.

Les raisons pour lesquelles je vous ai personnellement choisi sont multiples, mais recoupent un même point: vous possédez tous des talents nécessaires au plan d'attaque que je mettrai en place. A ce titre, vous êtes tous des pièces indispensables à cette entreprise mais des pièces qui isolément n'ont aucune efficacité. J'attends de vous que vous travailliez ensemble, d'un même esprit de corps.

Le Caporal d'élite Charles Yparcker laisse tomber une moue fugace, qui en dit long sur ses convictions quant au travail d'équipe. Hélas pour lui, Hopper l'a remarqué, cela comme les brefs ricanements des deux matelots d'élite à ses cotés, Messieurs Left et Right. Lentement, le sergent d'approche de soldat.

Quelque chose à dire, Caporal Yparcker?

Non, mon Sergent.

C'est ce qu'il me semblait Caporal.

Hopper se tourne vers les autres.

Je vous présente le Caporal Charles Yparcker, accompagnés des matelots d'élite Left et Right. A eux trois, ils forment l'organe d'attaque de notre unité. Ils ont déjà montré leur valeur à plusieurs occasions, malgré leur très jeune âge. C'est à ce titre d'ailleurs que le Caporal se permet de douter de l'intérêt du travail d'équipe.

...

Hopper se tourne vers le reste de l'escadron.

Il croit que parce qu'il est capable de tuer un homme en deux mouvements, il n'a besoin de personne. Seulement, le caporal oublie quelque chose d'important: sur ces mers, il existe bien des hommes capables de le tuer en un mouvement. Tout comme il existe des tempêtes qui n'auront que faire de son potentiel combatif, des rois des mers pour qui ses talents n'ont pas plus d'importance qu'une crotte de mouche, ou encore des déserts qui lui rappelleront que les muscles ont besoin d'eau pour fonctionner. Le caporal oublie tout cela, pour la simple est bonne raison que c'est un con.

Yparcker avale bruyamment sa salive à cette dernière réplique. Un silence lourd se fait.

Mais peu m'importe cela, ce que je demanderai au caporal ne fera appel qu'à son talent, certain, au combat. Et pour que je ne l'envoie pas face à des ennemis qui tuent en un mouvement, j'aurai besoin de talents de l'adjudant Josh Holmes ici présent.

Un jeune homme à la moustache bien taillée se dresse un peu plus encore, sans que Hopper comprenne comment cela est possible.

Lui et son équipe sont spécialisés dans l’établissement logistique des opérations. Ce sont eux qui relaieront, dispatcheront et gèreront les informations collectés. Sans ses messieurs, le Caporal Yparcker ne saura pas qui il doit tuer. Ce qui nous mène à Miss Pejjy Harvey et son collègue, l'agent Tom Waist. Vous ne les connaissez pas, vous n'avez jamais entendu parlé d'eux, et c'est normal. Ils sont tout deux issus du CP5, ce sont des agents secrets. Ce sont eux qui collecteront les informations que retransmettra l'équipe de l'adjudant Holmes au Caporal Yparcker, qui dès lors, pourra faire son travail sans être inquiété.

Nouveau silence. Hopper en profite pour aller se replacer, bien en face de son escadron.

Il y a aussi la Chercheur principale Mia Wallace, de la Brigade scientifique de East Blue, le matelot 1ere classe Rob Rodrigue et ses trois mousses, du chantier de Bliss, Le Sergent Andrey Delvoy, ou le Caporal Sim Onpegg, du QG de West Blue. Chacun de vous présente un profil bien particulier, profil qui complètera celui de votre voisin. Des questions?
 

Une hésitation. Un silence, en enfin, une petite main frêle qui se lève. C'est au milieu du groupe, on peine à la voir: elle n'arrive qu'aux épaules des voisins, qui s'écarte. Hopper sourit. Cette personne qui lève la main, c'est Knife, la pisteuse. Elle est la seule qui ne fait pas originellement partie de la marine. Non, elle, Hopper l'a sortie d'une prison, en poussant pour qu'elle soit gracié. Sans la médaille du service rendu, il n'aurait jamais acquis cette faveur. Mais Hopper sait qu'il ne le regrettera pas.

Oui, Miss Knife?

C'est juste Knife. ... ... .. . ... Mon sergent. Juste Knife... Sergent Jo, quelle est notre mission, exactement?

Un sourire grand comme l'orgueil du Sans Honneur habille d'un coup le visage d'Hopper.



L'escadron Jo


Dernière édition par Hopper Jo le Ven 25 Avr 2014 - 13:48, édité 2 fois
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Repos Lieutenant.

Malgré ce cigare entre ses lèvres, il a le sourire le Hopper. Mais il le gomme vite, alors qu'il lit la note. Une nouvelle attaque d'Attila donc. Hopper préférerait réellement lire autre chose... C'était certes inévitable, mais un instant, un bref instant, il avait rêvé d'intercepter Attila avant qu'il ait le temps de commettre un autre massacre.

Ils ont... un humour particulier. Sacré prose.

Le note disparu dans sa poche. Et il recentra son attention sur la nouvelle venue, et sa mission.

Officier de liaison? Il était temps. Je commençais à croire qu'on ne voulait pas nous épauler.

Hopper mâchonna son cigare, pensif. Puis il se tourne vers le desk central, ou trône fièrement son équipe de liaison, en pleine action.

L'adjudant Holmes pourra vous briefer sur les bases. C'est un excellent élément.

Un regard discret entre Hopper et Holmes. L'adjudant n'est pas né de la dernière pluie, et sait retenir un ordre suprême tel que "Nous travaillons en vase clos". Il sait aussi que le meilleur moyen de cacher une information, c'est de la noyer dans un flot d'autres informations. C'est un malin, Holmes.

Sengoku Yoru, lui aussi, n'était pas à l'arrière de la file pour la distribution des cerveau. D'emblée, à l'écoute de la nouvelle de la dernière attaque d'Attila, il se propose d'aller repérer les lieux, accompagnés de Yparker. D'un signe de tête, Hopper accepte son initiative, et le sergent d'élite disparait. Quant à Jo, il se dirige vers les escargophones, pour se saisir de l'un d'eux. Une sonnerie, il raccroche. L'escargophone sonne en retour. C'est Pejjy Harvey qui le rappelle. Hopper, laconique, l'informe.

Nouvelle attaque Harv'. Vous restez sur vos positions, mais informez Waits. Qu'il s'y rende. Quand à vous, gardez ce nom dans l'oreille: Horace. C'est peut-être une piste.


A Hopper de raccrocher. Et de se tourner vers Holmes.

Appelez moi Delvoy, dites-lui de me rejoindre ici. Dès qu'il arrive, nous partirons, avec Knife, vers le lieu de la dernière attaque.
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Information Hors RP:
Mia revient. En la voyant débouler, je ne peux que tomber dans l'exaspération. Sans me rendre compte, je colle ma main sur mon crâne, l'index et le pouce écartés sur mon front... et l'objet robotisé... J'entends un froissement métallique. Je crois que la chose vient de se casser par ma faute. Ou plutôt par sa faute! Blasé parce que je viens de mettre hors d'usage la seule piste qu'on avait, je pousse ma gueulante contre la pauvre fille qui ne manque pas de faire tomber les bouteilles au sol. Heureusement qu'elles sont en plastoc!

TIC!

TAC!

Bordel! Qu'est-ce que c'est que ça?!

Elle capte pas que je parle du membre mécanique que je viens de bousiller.

Je... Je... Je ne savais pas laquelle vous voulez. J'ai... Alors j'ai pris du normal, du zéro, du light, à la cerise, à la vanille et une sous-marque...

TIC!

TAC!

Cette conne s'été ramené avec DES bouteilles. J'ai pas demandé l'impossible. J'ai demandé UNE putain de bouteille de cola, UNE. Pourquoi elle doit toujours compliquer les choses? C'est difficile? En plus, elle est complètement à l'ouest celle-là...

Mais je parle pas des bouteilles, petite sotte! À cause de tes conneries on peut dire à dieu à la seule piste qu'on avait.
Mais... Mais je n'ai rien fait... C'est vous qui avez enfoncé la main en fer sur votre crâne.

Je vais craquer à coup sûr. Pourquoi ça tombe toujours sur moi? Je me vois pas dire qu'on a trouvé un truc au Sergent Jo alors que "l'artefact" est en miette. Je suis même pas sûr de ce que je vais avancer. C'est dire.

TIC!

TAC!

En parlant de ça, j'entends comme un drôle de bruit. J'aime pas ça. Je crois bien que j'ai activé une sorte de signal, ou pire encore, une bombe! Avant que les choses empire encore plus, je pose l'objet sur la table presque avec violence à cause du stress qui monte. Mia se rapproche derrière moi en essayant de faire quelque chose pour réparer son erreur. Je repasse en revu la main mécanique dans tous les sens. J'ouvre les parties extérieures minutieusement, mais avec empressement. Mes yeux s'horrifient. Je sais maintenant qu'il s'agit avec certitude d'un émetteur. Ce n'est plus un doute. Et pareil pour la bombe. J'ai du malencontreusement activer le système d'autodestruction en l'enfonçant dans mon crâne.

TIC!

TAC!

Trop tard pour détruire la preuve. Je sais ce que c'est maintenant. N'ayant plus rien à découvrir de plus, je n'ai plus qu'à trouver un endroit qui ne risque rien pour le jeter. Et le temps de sortir du bâtiment il sera sûrement trop tard! Cela dit, vu la taille de l'engin, ça ne risque pas de faire beaucoup de dommages. Mais le hic, c'est qu'on est entouré de produits chimiques de partout. Et j'ai déjà du me protéger d'une explosion chimique une fois par le passé. Serait con de voir le labo en l'air à cause de cette merde de métal. J'ai plus qu'une solution.

Qu'est-ce que... Mais vous n'allez vraiment pas faire ça??!

Et pourquoi pas?
TIC!

TAC!

Ni une, ni deux, j'avale la pièce mécanique à la The MASK. Je l'entasse au plus profond de ma gorge avec ma main en espérant que ça va pas péter à mi-chemin. Ça coince un peu, mais ça passe. Mia est tendue comme un string et s'inquiète pour moi. Je ravale ma salive pour aider la digestion. Je prie pour que ça rentre au moins dans mon estomac.

Ne vous en faites pas. je suis fait pour résister, encaisser, subir. J'ai déjà vu pire. Prenez un extincteur au cas si ça emp...

Ça y est, la décharge me tord l'estomac. Je sens les dégâts dans mes tripes. Je suis plié sous la violence de l'explosion. Je gerbe du sang par la bouche. Je fais sûrement une hémorragie interne. Je serre les dents tellement j'ai mal. Cela dit, je m'attendais vraiment à pire. On peut dire que j'ai de la chance! Mia, quant à elle, elle est complètement affolée.

Mais vous n'êtes pas bien?! Vous êtes fou!

Au même moment, la bande de scientifiques débarquent, alertés par la détonation. En me voyant, l'un d'eux se questionne et me demande si je vais bien.

Sergent, vous allez bien? On a entendu une explosion sourde.

Raaahh, encore eux...
Je tends le bras avec peine vers la bouteille de cola. J'ai du mal à m'exprimer.

Chargez... Chargez-moi ces trois bouteilles dans mon ventre. Et... Et celle-là dans mon coude droit...
Mais faites quelque chose vous autres, il va mourir!! Appelez les médecins!

À ce moment-là, Yparcker débarque à son tour. Il me voit dans mon triste état. Son salut militaire en est affecté. J'en prends pas compte et je le fais signe de s'approcher de moi pendant que le scientifique me met les bouteilles et Mia me tient le ventre qui commence à couler du sang. J'ai du mal à respirer, mais je tiens bon. Je sais que je vais m'en sortir avec l'effort des médecins en plus de mes propres capacités.

Sergent. Je... J'ai un message à vous communiquer de la part du Sergent Yoru.
Caporal Yparcker... Oubliez ce message... J'ai... Plus urgent à vous faire communiquer à Hopper ou Yoru.

Le jeune sous-officier s'approche alors de moi, l'air perplexe. J'ai une violente quinte de toux. Après avoir recraché du sang, je reprends mes forces pour parler.

L'objet que je devais étudier est un émetteur... Il indique sûrement des positions à Attila avant que celui-ci attaque ces cibles... Ou peut-être c'est pour le prévenir...

Je termine à peine ma phrase que je sombre au pays des rêves et de la douleur.

***
Baal est emmené rapidement au bloc opératoire. Les dégâts sont sérieux, mais Baal est un homme coriace. Les mains agiles des médecins retirent délicatement les débris encombrants du corps du cyborg. Après quelques heures difficiles, le robot est hors de danger. Toujours inconscient, il est affecté ailleurs, silencieusement. Navarone le rappelle de toute urgence. La contribution pour aider Hopper à capturer Attila était facultatif. Ce n'était pas sa mission à la base. Maintenant qu'il y a du nouveau sur Grande Line, le supérieur de Baal, Oko Tamaka, a besoin de son Sergent robotique pour une mission spéciale. Il n'a plus rien à faire sur les Blues. De toute façon, c'était une erreur...

En se réveillant dans un lit blanc très singulier, Baal est déjà loin du Royaume de Saint-Uréa. Il est désormais en route vers Navarone. Quoi qu'il en pense, même s'il désire ardemment aider Hopper dans sa quête, il ne peut rien faire. Obéir seulement aux ordres. Le cyborg retrouve ses esprits. Il sort alors d'un bond du lit. Ne reconnaissant pas l'endroit ou identifiant l'endroit comme un navire, il se précipite sur le pont pour comprendre ce qu'il se passe. Au début, il croyait qu'il était aux mains d'Attila, mais en voyant tout ce bleu et ce blanc, il se rendit compte bien vite qu'il se trompait. Une fois sur le pont, en dévisageant le Commandant qui dirigeait le bâtiment, il gloussa d'étonnement malgré lui.

Vous?!
Heureux de vous voir déjà sur pied, Sergent. Le docteur a dit qu'il vous fallait une semaine de repos, mais visiblement, vous êtes un dur à cuir. Maintenant que vous êtes d'attaque, vous allez pouvoir me réparer les quelques canons que vous avez oublié volontairement la dernière fois, n'est-ce pas?
Que... Je vous demande pardon mon Commandant?
On ne discute pas, Sergent. Exécution!

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D'après un enregistrement en mémoire d'Aran Z. Baal, au bras d'acier
©odage by Hathor

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Et les choses se sont passés. Et le temps à continuer, sans attendre. Et tout est fini.

Avouons le Jo, ton histoire elle prend l'eau, comme un vieux radeau en mouillage. Et ça fait chier tout le monde. Alors comme on dit en Allemand, cette langue qui n'existe pas dans ton monde: skip to the end!

Attila. Ses attaques. Saint-Uréa. Ses nobles. L'escadron. Et Andrey Delvoy. Tout ça, lié derrière un écran de fumée. Jusqu'à ce que tout éclate, un peu comme un ballon qu'on tient sous l'eau: le ballon tient jusqu'à ce que la main qui le retient se retire. Dès lors, il remonte à la surface avec une force également proportionnelle à la distance qui l'en sépare. 1625 donc. L'opération se termine. Et les journaux de titrer:
Attila, le fléau, envoyé par le fond!


S'en suivent deux pages, richement illustrées. On peut y apprendre que grâce à la commandante Foxy James, le pirate a été débusqué, intercepté et neutralisé. Une belle gloire pour Foxy James et pas une ligne concernant Hopper. L'histoire est vrai pourtant. C'est bien Foxy James qui a arrêté Attila. Et si elle est tombée sur lui "par hasard", confirmant ainsi sa chance déjà légendaire, c'est tout e même un peu parce qu'Hopper Jo, dos au mur, l'a contactée et lui a donné les détails de ce qu'il savait. Pourquoi l'a-t-il fait? Jetons donc un oeil à son rapport de mission (et passons les formules d'usage qui l'introduise, trop de temps à déjà été perdu).


"... c'est ainsi qu'après avoir triangulé les différents points d'attaques d'Attila, j'en suis venu à soupçonné que sa base d'opération, loin d'être reculée, se trouvait sur Saint-Uréa même. Les divers pistes d'enquête piétinaient, nous nous heurtions soit à des témoins déjà décédés (tous dans des circonstances très floues), soit à un mutisme féroce. Les administrations, qu'elles soient de la marine ou de l'île même jouaient pour leur part un même jeu: celui de repli. Pour les raisons sus-cités, j'en ai conclu que l'ennemi était intérieur (je ne savais pas encore à quel point) et j'ai donc décidé de faire appel à la seule personne en qui je pouvais avoir confiance: la commandante Foxy James "Clover". Une mouette ninja lui a été envoyé, où je lui ai faite part de mes avancements et de ma convictions qu'Attila opérait depuis Saint-Uréa et était probablement soutenu d'une façon ou d'une autre par les autorités locales.

C'est cette même journée où mon agent d'infiltration, Andrey Delvoy, m'a communiqué une information critique. Le matin, trois bateaux marchands avaient quitté le port. Delvoy s'était débrouillé pour obtenir le carnet docker des derniers mois qui spécifiaient les divers entrées et sorties, ainsi que les chargement et déchargement. Les trois bateaux en question figuraient bien dans ce carnet, bien que très difficiles à retrouver (le carnet étant délibérément rédigés dans un jargon complexe). C'est le lieutenant Sengoku Yoru qui, après plusieurs heures a réussi à le décoder et à voir que premièrement, ces trois bateaux prétendument marchands ne débarquaient ou n'embarquaient aucune marchandise, ensuite que leurs entrées et sorties correspondaient aux dates des attaques d'Attila. C'était notre première information solide, je mis donc en place et ce sans hésiter (c'est la mon plus gros blâme) un opération d'interception. Nous prîmes le chemin du Royaume de Bliss, destination indiquées des bateaux. Le voyage devait durer deux jours. Ce ne fut pas le cas.

Nous étions à cent vingt miles de la côte quand nous furent attaqué par deux embarcations. La mer étaient hautes et la tempête grondaient: ils nous prirent pas surprise. Nous fîmes néanmoins tombé un des navires mais perdîmes la bataille. Notre navire fut embarqué par le fond. J'ai dérivé pendant douze heures, avant d'être sauvé par un navire marchand, un vrai cette fois. On me débarqua sur terre, retour à Saint Uréa. J'y retrouvai ce qu'il restait de l'équipage. Le lieutenant Charles Yparcker et l'infiltré Andrey Delvoy manquait à l'appel. Nous décidâmes de localiser le base d'Attila sur Saint Uréa, tout en lançant un appel à l'amirauté pour intervenir à Bliss. Mais ce ne fut pas nécessaire: on m'apprit que Foxy James avait intercepté le navire d'Attila ainsi qu'un autre, celui qui nous avait coulé. Sur ce dernier se trouvait Andrey Delvoy: loin d'être prisonnier, l'homme avait les poches pleines de berry. Il nous avait vendu. Sur Saint-Uréa, nous trouvâmes la base d'opération, mais elle avait été nettoyé avant notre arrivée, on l'avait passée par le feu. Rien à en tirer.

J'assume la totale responsabilité de cet échec que j'impute à une mauvaise prise de décisions et à une composition d'escadron risquée et ratée. Néanmoins, je répète et appuie qu'Attila était protégé et ce par la royaume de Saint-Uréa. La marine de l'île y est corrompue.

J'irai personnellement porter la nouvelle de la mort d'Yparcker à sa veuve.

Sergent Hopper Jo"
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