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Modus Operandi

Quartier Général de South Blue, le voyage avait été long pour y arriver mais au final rien de grave ne c'était passé durant le trajet. Aoko ne savait rien sur cette île, elle ne se renseigna pas directement pour pouvoir visiter et apprendre d'elle-même ce qui l'attendait sur place. La vision qui se rapprochait devenait de plus en plus impressionnante. L'île entière avait été fortifiée pour pouvoir stopper tout intrusion ou invasion de quelque sorte que ce soit. La ville avec ses grand mur surtout et qui appartenait à la marine dont leur famille y vivait... essentiellement, bien sûr il y avait toujours des marchands civils n'ayant aucun lien avec la marine. Les contrôles étaient assez stricte et une grosse flotte résidait toujours aux abords de l'un des deux seuls passage menant au port de l'île. Le bateau de transport fut arrêté par l'un des patrouilleurs à l'entrée.

« Par ordre de la marine, veuillez stopper votre navire immédiatement sinon nous ouvrons le feu »

Aoko venait sur un navire civil et on pouvait bien la reconnaître avec son habit militaire. Le capitaine du navire civil ayant pour l'habitude de ne jamais avoir de problème commença à paniquer. La voyant non loin, il se précipita auprès d'elle le navire ayant déjà stopper sa course.

« Hey... v.. vous pourriez aller leur parler... J.. Je ne sais que faire dans ce genre de situation »

Elle souffla et mit sa main sur sa tête en guise d'embêtement. Mais au final, sa mission était plus importante et elle perdait du temps. Le bateau de patrouille se stoppa juste à côté et quelque marine y descendirent en pointant leur armes pour que personne ne bouge. Par la suite, un lieutenant arriva sur le pont et pris son Den den haut parleur.

« Que le capitaine de ce navire ou son représentant se présente immédiatement »

Il était sérieux et Aoko lisait une certaine tension sur ce qui se passait. Était-elle arrivée trop tard? Le meurtre avait donc pu être mis à exécution avant qu'elle ne puisse arriver sur l'île, c'était assez embêtant. Surtout que son commandant l'avait prévenu de se méfier du sous-amiral régissant cette blue.
Aoko s’avança vers les marine poussant petit à petit les gens devant elle. En apparaissant devant les marine, ils reconnurent directement son grade et se mirent au garde à vous lâchant leur mise à joue. Le lieutenant voyant la réaction de ses soldats prit un petit temps pour regarder la personne qui venait d'arriver. Après une petite réflexion il fit un salut rapide et se mit au garde à vous.


« Commandante, si je savais que vous veniez nous n'aurions pas arrêter ce navire, malheureusement ce sont les prérogative du colonel jusqu'à ce que l'enquête soit finie »

Aoko se questionnant sur ce qui se passait leva un petit sourcil. Elle répondit au lieutenant prenant le temps de saluer ce qui en valait la peine... son bras fatiguait assez rapidement.

« Ce n'est rien lieutenant, dite m'en plus sur cette enquête et sur ce qui se passe sur l'île »

Le lieutenant expliqua la totalité de ce qui venait de se passer sur l'île il y a moins d'un jour. Aoko était très proche de pouvoir rattraper ce meurtrier. Le modus operandi était le même d'après les explications mais cela ne suffisait pas. L'autorisation du Colonel était requise pour pouvoir prendre en charge cette enquête. Elle embarqua sur le navire de patrouille et laissa derrière l'autre civil avec son capitaine peureux. Son carnet contenait maintenant la suite de son enquête avec les explications du lieutenant. Il allait falloir faire preuve de prudence, il y allait sûrement encore avoir quelqu'un derrière pour effacer toute trace.
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En arrivant sur place, Aoko du prendre ses repaire pour s'y retrouver plus facilement. Malgré le meurtre qui y avait eu lieu, le village ne manquait pas d'ambiance. Apparemment d'après les explications du lieutenant et les plus ample détails durant le voyage jusqu'ici, le meurtre aurait eu lieu sur l'une des tours de garde de la ceinture du village. Sur le port, on ne pouvait rien voir de significatif, les maisons semblaient sereine et bien protégée par la muraille au contraire de north blue. C'était une véritable forteresse très dur à pouvoir prendre d'assault et facile à protéger avec une configuration de l'île comme celle-ci.

En regardant autour, on pouvait voir différente personne et que au final, au premier coup d'oeil, on ne savait voir le climat qui y régnait. Il fallait un œil d'expert pour observer la tension qui restait dans l'atmosphère. Aoko se retourna pour questionner le lieutenant qui avait débarqué avec elle ayant fini sa patrouille.


« Dite-moi, pouvez-vous m'en dire plus sur la personne assassinée? »

« Oui commandante, Il faisait parti d'une équipe spécial de recherche sur les révolutionnaires. Il en était même responsable. C'était le colonel Yakamito, il avait son bureau sur l'île pour les recherches. Logiquement on a un sentiment de sécurité sur l'île et l'emplacement où il allait pour se ressourcer se trouvait sur la muraille Ouest. Cette place donnait une vue imprenable sur la mer et ses étendues. Le plus souvent il allait la-bas vers les fin de journée pour fumer sa pipe. Mais quelque chose l'avait dérangé plus tôt sur la journée et on voyait qu'il était pressé par le temps. Personne n'avait compris pourquoi. Nous n'avons pas encore parcouru le site dans son entièreté et le corps se trouve à la morgue dans la caserne secondaire. Le Colonel nous a ordonné de simplement surveillé les alentours pour l'instant et qu'il organiserait une équipe pour l'enquête. »

« Depuis combien de temps es-ce qu'il a été tué? »

« Je dirais pas plus d'un jour voir moins. Nous n'avons pas encore fait d'analyse sur le corps mais nous avons garder tout intact dans une tente au niveau du meurtre. Nous avons aussi opérée des recherches au alentour pour des indices mais malheureusement nous ne sommes pas formé pour ce genre d'enquête. »

« Bien, amenez-moi au responsable pour l'enquête, je prendrais celle-ci en charge étant donné que cela semble être le même meurtrier que sur north blue. »

« Oui commandante, suivez-moi. »

Le lieutenant guida Aoko à travers les ruelles du village du quartier général de la marine de north blue. Il se dirigèrent vers la caserne secondaire où se trouvait le colonel responsable de l'opération pour l'enquête. Ça bougeait pas mal aux alentours de la caserne et plusieurs marine saluaient Aoko à son passage. Elle ne le rendait pas gardant son air fière et sérieux tout le long. Ayant plus important à faire, rencontrer le colonel était une priorité.

Après plusieurs couloir, arrivant enfin devant la dite salle, elle entendit crier comme pas possible à l'intérieur ne sachant que faire. Un homme sortit en courant, un sergent d'après les galons, il se pressa d'aller on ne sait où. Aoko prit la suite et entra dans la pièce sans attendre. Le colonel Hyugen Komamuri attendait sagement assis sur sa chaise. Il n'avait pas encore eu connaissance de l'arrivée d'Aoko sur l'île. Elle salua rapidement avant de se mettre en repos sans en attendre l'ordre. Ayant l'habitude de ses supérieurs, on ne pouvait la sous-estimé pour ses opérations.


« Commandante Aoko Longshot, Colonel. Je viens d'arriver sur South Blue à la poursuite d'un criminel ayant effectué un meurtre sur l'île du quartier général de North Blue. D'après les informations que j'ai pu recevoir du Lieutenant et ce que j'ai pu en déduire avec mes premières note. Il s'agit du même qui a effectué un meurtre sur cette île même. Je pense qu'il aurait aussi réussi à infiltrer un agent sur place pour effacer toute trace. Je demande donc la permission de pouvoir prendre l'enquête à ma charge. Voici une lettre de référence de la part du sous-amiral Jared me permettant de pouvoir continuer cette enquête sur le meurtrier même. »

Elle se remit au garde à vous après avoir remis la lettre. Celle-ci contenait les détails sur la commandante Aoko ainsi que la permission de pouvoir continuer l'enquête. Normalement elle devait être remise au sous-amiral Sierra, mais d'après les rumeurs le colonel était plus facile d'approche et plus disponible. Elle attendait sagement la réponse du Colonel en priant pouvoir reprendre la suite de son enquête.
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-Hum... Asseyez vous Commandante, prenez une chaise.

D'un geste le Colonel t'indique un fauteuil rangé contre un mur et te fait signe de le rapprocher du bureau. Puis, comme s'il n'attendait que ça, au moment ou tu t'assieds, lui se lève pour contourner son bureau et poser une fesse dessus, se retrouvant ainsi plus haut et juste à coté de toi. Une position manifestement calculé pour te mettre mal à l'aise en insistant sur votre différence hiérarchique.

-Qu'est ce qui vous fait croire Commandante, que vous êtes mieux placés que les hommes de ce QG pour enquêter sur ce meurtre ?

Il prend la lettre que tu lui tends d'une main manifestement manucurée et soignée et la laisse négligemment tomber sur son bureau sans même faire semblant d'y jeter un coup d’œil.

-Exposez moi vos... Arguments Aoko, je vous écoute...
    Des arguments, elle en avait, mais il fallait bien commencer par un point précis. Lesquel ferait l'affaire, c'était une décision difficile. Pour choisir ses mots rien de tel que de marcher et faire les cents pas ce qui pouvait énerver à peu près tout le monde. En effet, Aoko ne pouvait rester assise alors qu'un colonel essayait de l’impressionner en prenant une position de gros macho. En plus sa réputation n'était pas des plus tendre. Il chassait et courait après tous les jupons qu'il pouvait. De toute façon la jeune donzelle avec son grade de commandante n'allait pas se laisser faire par se porc. L'expérience primait sur son état avancé de sa vieillesse mais la jeunesse pouvait aussi gagner facilement. Il fallait les bons mots au bon moment. D'ailleurs, elle pointa son doigt en l'air puis vers le colonel, ses arguments arrivaient enfin.

    « Premièrement, j'en sais plus que quiconque sur ce meurtrier, j'ai étudié son premier meurtre et je suis sûr qu'il a répété la même chose avec celui-ci.
    Deuxièmement, je suis capable de pouvoir identifier quel type d'arme il a utilisé en ayant pris le temps durant la traversée jusqu'ici de bien étudié sa balle.
    Troisièmement, je n'en suis pas à ma première expérience de ce genre et croyez-moi retrouver des gens c'est ma spécialité même en terrain inconnu.
    Quatrièmement, je veux bien accepter un groupe de vos meilleur gars pour l'enquête mais je prends la responsabilité de celle-ci et tout ce qui est pièce à conviction me revient de droit.
    Cinquièmement, je me ferais un plaisir de dire au sous-amiral Jared comment vous avez traité sa lettre, il n'est jamais content pour ce genre de chose et j'en sais un bout.
     »

    Elle se mettait fière d'avoir pu sortir tous ces arguments. Sa connaissance ne se limitait pas qu'à cela bien évidemment, on pouvait deviner aisément qu'elle ne sortait que le plus important en balayant tout le restant sur le côté autant que possible. Sa mission avant tout, la chose qu'on ne pouvait supporter était bien entendu un supérieur qui voulait absolument remettre en question ce que cette jeune femme demandait. Et puis la faire asseoir dans un fauteuil alors que lui s'installe sur un coin de son bureau pour montrer son autorité. Beurk, ce n'était pas le genre à supporter cet insulte. Le plus vite elle en finissait avec cette paperasse, au plus vite elle pourrait faire en sorte de retourner sur le terrain pour découvrir la moindre chose même ce cachant sous un petit caillou.

    Après un moment de réflexion et s'étant tut pendant ce moment, elle reprit la parole pour ajouter des détails important sur l'enquête qu'elle avait déjà effectué tout en posant des question au colonel pour le piéger.

    « Dite moi colonel, comme vous semblez bien informer et que j'ai appris que l'autopsie n'avait même pas démarré je vais vous poser quelque question :
    Connaissez-vous le type de munition que ce meurtrier utilise?
    Savez-vous seulement pourquoi le colonel Yakamito se trouvait à cet endroit précis?
    Pensez-vous que cet personne a agit seul ou bien avec un suspect s'étant introduit ici-même sur l'île?
     »

    Elle se rapprocha rapidement du colonel assis sur son bureau pointant son doigt directement sur lui essayant de montrer le cran qu'elle avait de se mesurer à lui.

    « Que pouvez-vous me dire sur tout ça? »
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    -Inutile de montez sur vos grands ... Chevaux, Aoko. J'ai le plus grand respect pour l'amiral Jared et je compte bien tout faire pour vous permettre de continuer votre enquête. Mais...

    Le colonel a un sourire de chat, un de ces sourires a la fois énigmatique, paresseux et satisfait qui donne aux gens l'impression que ces maudits félins connaissent un secret de plus que le reste du monde...

    -Mais il se trouve que nous avons déjà capturé l'assassin.

    Subitement il ne sourit plus.

    -Je ne connais pas les procédures de sécurité que vous appliquez sur North Blue mais elles sont manifestement différentes des nôtres. Le tireur qui a assassiné le colonel Yakamito a été arrêté quelques minutes seulement après son forfait, alors qu'il tentait de quitter la base discrètement. En pure perte évidemment.

    Mais ce qui est le plus intéressant Commandante Aoko. C'est que c'est un marine de North Blue !

    Son pied botté vient se poser sur l’accoudoir de ta chaise, comme s'il allait te repousser contre le mur ou qu'il se préparait à t’empêcher de fuir.

    -Vic Harley Oswald. Un soldat de premiére classe qui juste avant le premier assassinat était sous vos ordres à Sirup !

    Alors c'est a moi de vous poser la question Commandante Aoko. Que pouvez vous me dire sur tout ça ?
      Un de ses hommes venant de Sirup? Non, impossible, la plupart de l'équipage était encore sur North Blue et aucun n'avait demandé de congé directement à Aoko. A moins que cet imbécile ne soit passé directement par le biais du commandant en demandant un repos prolongé par rapport au événement de l'île ce qui serait assez logique. En plus le nom Vic Harley Oswald, elle avait déjà travaillé avec un Oswald il y a quelque années... Non, ce n'était définitivement pas la même personne. Attendait voir, L'Oswald dont parlait le colonel faisait parti de la patrouille dont elle avait eu charge durant son temps sur Sirup. Cet Oswald était un très bon tireur, c'était vrai qu'il était toujours bloqué en temps que première classe parce que celui-ci ne voulait pas monter en grade. Ce gars-là voulait rester près du peuple pour le servir du mieux possible. Et donc il aurait quitté la marine pour rejoindre l'autre camp? Ce n'était pas impossible, mais impensable pour Aoko. Celle-ci déforma son visage dans toutes les positions possible en réfléchissant. Une tête à faire peur, et parfois une tête d'ange... Elle revint avec une réflexion assidue et ne mit rien en avant, les preuves étaient insuffisantes.

      « Colonel, étant donné que je manque de preuve à l'appui pour prouver quoi que ce soit sur l'homme qui était auparavant sous mon commandement, j'aimerais pouvoir le voir seule et le questionner moi-même, vous pourrez bien sûr me surveiller si vous le souhaitez. J'aimerais également avoir accès à la totalité de ce que vous avez pu lui confisquer. Ais je votre autorisation et si oui pouvez-vous m'y conduire tout de suite? Parce que le plus tôt serait le mieux si vous voyez ce que je veux dire. »

      Elle avait une grande patience avec le colonel et ça pouvait se voir de son point de vue. Celle-ci ne savait pas du tout si on partageait son avis, mais de son côté tout paraissait clair. Il était pratiquement impossible que son homme puisse commettre un tel acte contre la marine sachant très bien à quel point il y tenait. La situation n'allait pas en s'arrangeant. Aoko allait tout faire pour remettre tout en ordre avant son départ et découvrir ce meurtrier qui courait toujours. Elle était sûre qu'il était toujours en liberté, peu-être pas sur l'île, quelque part dans une des blue.

      Celle-ci s'était levée de son fauteuil n'aimant pas rester assise devant un tel individu qui pourrait la déshabiller simplement du regard, d'ailleurs ça la mettait mal à l'aise. Dans le bureau en cette brillante journée, la discussion allait peu-être enfin se finir en apothéose que ce soit pour Aoko ou le Colonel.
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      Tu soutiens sans ciller le regard de braise du colonel, une minute, puis deux, et il finit par abandonner le duel de regard pour se rasseoir sur le coin de son bureau et croiser les bras d'un air mécontent.

      -Mouais. Le voir seule c'est hors de question, un de mes officiers va vous accompagner et vous servir d'escorte tant que vous serez dans la base; il vous guidera et s'occupera de vous trouver un coin ou dormir si vous êtes amenés à rester. Et il s'assurera aussi qu'on vous aide dans votre enquête le temps qu'il vous faudra pour être sure que c'est bien oswald l'assassin. Évidemment, je tiens a être mis au courant de tout ce que vous découvrirez. J'espére que c'est bien clair.

      Le colonel se léve et te tourne ostensiblement le dos pour aller faire mine de regarder par la fenêtre de son bureau. Visiblement l'entretien est terminé. Et tu as ton autorisation.

      Tu quittes le bureau mais tu n'as pas le temps d'aller bien loin que tu es rattrapé par un jeune homme en uniforme de sous lieutenant. Il doit tout juste sortir de l'école des officiers et c'est lui que le colonel a choisi pour te surveiller. Il s'appelle Jeremy. Et il semble tout à fait disposé à t'aider. Notamment en t'accompagnant sur le champ a l'endroit ou est oswald et ou on a stocké toutes les preuves.

      Plutôt chouette non ?

      Infos utiles:
        Voyant le colonel se retourner vers la fenêtre, Aoko en comprit que l'autorisation était effective et que celle-ci pouvait continuer son enquête non sans être surveillée de près par un officier de l'île même. Ce n'était pas réellement ça qui allait la compromettre au point de vouloir être seule. La vue depuis la fenêtre du colonel de la base était vraiment splendide au point que la jeune demoiselle voulu partir de suite pour ne plus voir la face de ce Colonel. Maintenant, il était vrai que son bureau était enviable, mais pas au point de le vouloir pour soit. Il y avait trop de paperasse sur le dessus et Aoko en avait déjà donné assez pour sa paperasse. En tant que Commandante et anciennement tous les grades qui suivaient derrière, elle se retrouvait parfois à faire beaucoup de papier pour les nouvelles recrues ou bien l’entraînement ou encore les différents rapports de mission.

        Em revenant à nos moutons, Aoko sortit du bureau pour être rejoins par un jeune officier. Elle le regarda droit dans les yeux. Celle-ci avait l'habitude de voir directement si les marine qui venaient vers elle étaient des jeune recrue ou bien des vieux vétéran. Celui-ci devait sortir de l'école ou encore y être, peu importe, il allait l'accompagner vers le prisonnier. Le jeune homme eut quand même la politesse de se présenter en saluant.


        « Sous-Lieutenant Jeremy à vos ordres Commandante. Vous avez, d'après ce que le colonel m'a dit,  demandé à voir le prisonnier immédiatement, veuillez me suivre s'il vous plaît »

        Par pure retour de salutation, elle fit de même, mais pas aussi appuyé que ce jeune homme. Il était plus grand qu'Aoko avec une stature assez impressionnante. D'après ce qu'elle pouvait deviner, il avait aux alentours de 24-25 ans, des cheveux blond avec yeux bleu. Un bel exemple de ce que la marine pouvait recruter de plus beau. Aoko se mordu les lèvres de ne pas avoir pu voir d'aussi beau spécimen auparavant. Il en manque sur North Blue et surtout sur le QG de la marine.

        Après un moment, Elle secoua la tête pour se remettre sur le moment même de ce qu'elle devait faire, cela voulait dire, faire son enquête. Dans le couloir, elle croisa plusieurs marine qui saluait à chaque fois. Ça devenait fatiguant à force, mais au final, elle arriva à l'endroit où se trouvait le prisonnier, dans l'infirmerie. Pourquoi dans l'infirmerie? Quelque chose clochait... Normalement, il devait l'amener dans une salle d'interrogatoire ou autre, mais en s'approchant, celle-ci s’aperçut que le dit prisonnier était dans le coma et, d'après le rapport du médecin de la base, il aurait beaucoup de mal à s'en remettre dans les prochains jours. En effet, il avait de multiple blessure sur le corps et on pouvait à peine le reconnaître. Ce fut alors qu'Aoko, avec une rage immense, se retourna vers Jeremy qui fit un pas en arrière sentant son aura menaçante.


        « SOUS-LIEUTENANT... J’espère que vous avez une explication quant à son état? »

        « euh... Hum, désolé Commandante, je pense que les marine ce sont mis à cœur joie de le massacrer pour le punir du meurtre du Colonel Yakamito. Tout le monde était assez proche de lui vous savez... »

        « Bon... ça sera dans le rapport. Je ne peu le questionner vu son état, ni en retirer quoi que ce soit. Conduisez-moi au preuve que vous avez pu recueillir... Maintenant!! »

        Ils quittèrent tous deux l'infirmerie sans attendre. Le médecin ne posa pas plus de question sur leur venue ici, mais il était clair que cette personne, Aoko, venait simplement pour faire une enquête. Dans la suite de dédale de couloir, celle-ci vit plusieurs officier commencer passer dans le couloir pour sûrement aller manger un bout. Il était vrai qu'Aoko commençait à avoir faim, mais elle secoua la tête pour dire non à son estomac pour le moment. Elle devait absolument finir son enquête au plus vite.
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        Après un long dédale de couloir interminable, blanc et bleu, Aoko arriva enfin dans la salle pleine de preuves. Celles-ci s'empilaient les unes sur les autres bien rangées par enquête et ensuite ordre alphabétique. La marine préconisée de garder toutes les preuves d'enquête pendant 25 ans et ensuite de les archiver. Heureusement pour elle, son enquête ne datait que de quelques jours. Beaucoup de gens se rendaient dans cet endroit lugubre. Oui en effet, après avoir descendu plusieurs paires d'escalier, on arrivait dans les profondeurs de la base. Il y avait des toiles d'araignée ici et là. L'endroit ne subissait pas de nettoyage constant comme les couloirs du dessus plus utilisé que tout ce qui se trouve ici. Si cette pièce était en aussi mauvais état... Aoko ne voulait même pas imaginer celle des archives.

        Son enquête étant récente, le jeune jeremy la conduisit directement au bon endroit où l'on avait omis de ranger dans les tiroirs ce qu'il y avait de la scène du meurtre. Elle y trouva de quoi lui faire plaisir. Plusieurs pièces étaient en bon état ce qui était suffisant pour elle pour commencer. On pouvait aussi voir quelques mots écrits sur du papier ayant des indications quant au meurtre lui-même. C'était trop précis, la personne qui avait inscrit une telle chose connaissait les habitudes de la cible et devait l'étudier depuis un bon moment. Quant à savoir combien de temps... c'était impossible à dire. En tout cas, malheureusement pour son ancien subordonné accusé de meurtre, toutes les pièces indiquaient qu'il était le coupable. Aoko se tourna, après son rapide coup d'oeil, vers Jeremy qui attendait sagement, semblant observer chaque mouvement de la commandante.


        « Est-ce là toutes les preuves dont vous disposez pour cette enquête ? »

        « Oui Commandante, tout est là, nous avons pu trouver la plupart des pièces sur le suspect. Par contre, nous avons trouvé l'arme ainsi que des munitions dans un faux plafond. Tout mène à croire qu'il était là pour tuer le colonel. Quelqu'un a même identifié le suspect, je pense qu'il est foutu.. »

        Un regard noir s'afficha sur le visage d'Aoko vers le pauvre petit Jeremy qui se tut immédiatement ne voulant pas subir sa colère. Elle se rapprocha assez près de lui jusqu'à sentir l'odeur de son haleine. Ensuite, elle regarda de nouveau la table pleine d'affaire suspecte, notamment ce fusil sniper. Il avait quelque chose d'anormal. Elle prit la pièce en main et vérifia la bouche du canon. Rien, pas de poudre, pas de brulure, pas de trace de tir. Elle attrapa ensuite la munition de sa poche pour faire une comparaison avec l'autre venant du faux plafond. Celle-ci observa autour d'elle pour voir s'il y eut une loupe proche. En effet, elle la chopa rapidement et, manquant de frapper le jeune officier de peu, constata quelque chose. Les deux munitions n'étaient pas pareilles du tout. Aoko mit celles-ci face au jeune officier et écrasa sans difficulté la fausse. L'autre, étant tellement dure, ne se plia pas d'un poil.

        « La munition que vous avez trouvée est une fausse et je parie que le fusil également. Ce sont tous deux des copies pour nous mener dans la mauvaise direction. Maintenant, si vous le voulez bien Sous-lieutenant, j'aimerais passer à l'autopsie du colonel. »

        « oui, tout de suite commandante. »

        Et ils partirent tout de suite, direction la salle de l'autopsie.
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        Sur le chemin, Aoko se posait beaucoup de question. La chose qui bloquait dans l'enquête était le pourquoi de la chose qu'a fait son subordonné ? Avait-il réellement besoin de tuer ce colonel ? La révolution recrutait à tour de bras, mais pas dans le public directement et ouvertement. Peu-être que son ancien marine avait été contacté par un agent de terrain pour qu'il agisse. Cette équipe était assez proche de trouver quelque chose, mais quoi ? Il allait devoir demander l'autorisation de fouiller dans leur dossier... Mais au point de vue de l'enquête, Aoko avait toute autorisation concernant ces documents. Elle revint à elle en arrivant dans la salle d'autopsie.

        Le médecin sur place, grand, mince, environ la quarantaine avec quelque cheveux gris, ce qui est logique avec ce qu'il voyait, se leva de sa chaise pour rejoindre les deux personnes qui venait d'arriver.


        « Euh... oui c'est pour ? »

        Aoko ne prit pas le temps de respirer convenablement et eut, pendant un moment, le souffle coupé. Ils avaient tous deux parcouru la base au moins trois fois d'affilé en passant de salle en salle. La jeune demoiselle devait bien avoir du mal même avec son physique avantageux. Surtout que son dos lui faisait mal, même avec des soutien-gorges adaptaient pour elle. La salle était assez calme, logique, vu que c'était le monde des morts dans ce coin. Ça ne plaisait pas beaucoup à Aoko de devoir aller dans ce genre de pièce. Même si elle côtoyait la mort chaque jour de sa vie et au fur et à mesure qu'elle montait en grade dans la marine, celle-ci s'y habituait difficilement. Peu-être que l'on voyait la commandante comme cruelle avec ses ennemis, y prenant plaisir... Mais ça lui arrivait de boire jusqu'à plus soif pour noyer ses souvenirs.

        Ne laissant pas le jeune officier parler, Aoko prit la parole rapidement tout en faisant les gestes nécessaire pour expliquer la situation et surtout passer le mot qu'elle avait l'autorisation de la part du Colonel, ainsi, en exagérant, que de voir tout dossier top secret pour cette affaire.


        « Jee.... pff... », Aoko reprit son souffle rapidement, une grande bouffée d'air, emplissant ses poumons d'oxygène qu'elle relâcha sur le médecin se bouchant le nez... Elle avait oublié de se laver les dents de matin... Alors l'odeur du déjeuner avec, actuellement, un estomac vide... ça ne le faisait pas du tout.

        « Hum... désolé » fit-elle en rougissant, « j'enquête sur la mort du colonel Yakamito, et je viens voir le rapport d'autopsie »

        « vous arrivez au bon moment, je viens de la finir. Si vous me permettez un moment », le médecin se retourna vers ses affaires, continuant de les nettoyer les unes après les autres. Ça commençait à prendre pas mal de temps... 5 minutes, puis 10 minutes. Les nerfs d'Aoko lâchait les uns après les autres. Le médecin ne voyait rien et continuait son nettoyage tout en chantonnant... Il était vraiment atteint à tel point ? Était-ce une manie de faire attendre ou de nettoyer jusqu'au bout la totalité de ces outils ?

        Aoko se retourna à un moment donné pour voir jérémy qui se retenait de vomir... Elle s'approcha de lui et dit d'un ton calme et sereine, ce qui n'était pas dans ces habitudes.

        « Tu peux aller à la toilette si tu veux, je t'attends ici de toute façon », accompagné d'un joli clin d'oeil. »

        Le jeune jérémy fondu sur place et partit rapidement pour rejoindre les toilettes les plus proche. Pendant ce temps, Aoko approcha du médecin et pointa son doigt sous le menton de celui-ci qui se retourna doucement.

        « Euh... commandante, vous savez que mon grade est de lieutenant-colonel et que vous n'avez... »

        « Rien à foutre... j'ai toute autorité sur cette enquête et je veux une réponse ou un rapport papier tout de suite... Je ne vais pas m'amuser à attendre qu'un idiot, complètement prit par ses essuyages d'outils, finisse ses affaires pour me donner son rapport. »

        « Oui bien... euh... » il se tourna vers sa table d'opération pour prendre son rapport et le donner à Aoko, « voilà, veuillez maintenant quitter cette pièce, sinon vous allez avoir des problèmes »

        « Merci, Lieutenant-Colonel ! », fit-elle en faisant avec une révérence avant de sortir de la pièce.

        Celle-ci pu enfin lire le rapport d'autopsie. Ce maudit papier était rempli d'une écrite typique de médecin. Mon dieu, Aoko avait une bonne difficulté à le lire. Elle dut déchiffrer mot par mot ce qu'il voulait dire. Ça prit un certain temps avant d'arriver à la fin et au retour de Jérémy qui s'en remettait  de cette mésaventure. Il se mit à côté d'Aoko en faisant attention à ce que son haleine, nouvellement rénové odeur de gerbe, n'y arrive pas et se mit à lire aussi le rapport ayant plus de facilité avec l'habitude d'habité dans la base. Une chose tapa à l'oeil d'Aoko dans le rapport. Celui-ci mentionnait l'angle par lequel la balle entrait. Par rapport à la scène du crime et la description de ce que la jeune commandante avait reçu, elle s'en faisait une idée rapide et quelque chose clochait. Ça ne collait pas du tout. Il fallait que celle-ci en aie le coeur net. Ensuite, en regardant le jeune officier, elle remarqua que celui-ci était plus jeune que ce qu'elle pensait et s'autorisait à lui poser la question.


        « Euh... Jérémy, quelque chose qui n'a pas rapport à ce qu'on fait pour le moment, mais vous avez quel âge ? »

        « 15 ans Commandante »

        Ensuite de ça, Aoko se frappa la tête contre le mur le plus proche se disant qu'elle avait complètement merdé. Est-ce qu'elle s'intéressait réellement au gens plus jeune qu'elle ? Non, non, non, il fallait qu'elle se ressaisisse. Celle-ci sortit la tête du mur, se mit de nouveau droite, enleva quelque bout de plâtre sur elle puis se tourna vers Jérémy.

        « Bon, et bien, amenez-moi vers la scène du crime s'il vous plaît »

        « Oui Commandante », Il salua et ils partirent tout deux pour la suite des événements.
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        La base de la marine, toujours celle-là, était longue comme pas possible. À la fin, on pouvait devenir fou à force de devoir parcourir plusieurs kilomètres d'un bout à l'autre sous le prétexte que ça rends difficile les attaques ennemis. Aoko le croyait bien, vu qu'elle ne voulait pas remettre les pieds ici après avoir fini son enquête sur le meurtre.

        La jeune demoiselle avançait, au fur et à mesure, vers sa destination. Ils marchaient tous deux d'un pas normal, sans trop forcer, sachant bien que l'un était plus fatigué que l'autre. En parlant de celui-ci, Jérémy s'assit quelque minutes sur un banc se trouvant sur le côté d'un jardin fort bien garni. Aoko adorait la nature, elle vivait une telle expérience avec, c'était son endroit favori que de ci-retrouver. Le soleil se situait vers la fin d'après midi, un bon moment pour observer la mer. Elle comprenait petit à petit pourquoi le Colonel Yakamito venait si souvent à son endroit favori.

        Le temps continuait à s'écouler et le vent de souffler quand tout d'un coup, un buisson bougea soudainement. Aoko eut le réflexe de sortir son arme et de mettre en joue. Rien, pas un animal, bizarre. Elle ne connaissait pas l'île, mais ce bruissement avait semblé si suspect. En vivant assez longtemps dans une forêt on pouvait en deviner ce qui s'y tramait rien qu'en tendant l'oreille. Dans le cas de la snipeuse, elle avait engrangé un nombre d'heure incroyable dans sa forêt, oui parce que la forêt, pour elle, lui appartenait.

        La brise la réveilla d'un coup de ses pensées tournées vers son île d'origine. L'enquête était toujours présente et devait se finir malgré le repos qu'on lui accordait pour le moment. Elle parla au jeune officier pour essayer d'en avoir une réaction positive pour repartir.


        « on s'est assez reposé Jérémy, on va y aller maintenant, debout. »

        « Bien Commandante, mais juste pour que vous le sachiez, nous sommes déjà arrivé. »

        « ah... euh... Je comprends que tu reprenne ton souffle, mais tu aurais pu le dire. »

        « Oui et non, je n'étais pas content que vous ayez arrêter de me séduire juste après avoir appris mon âge.»

        « Heee... Ben, en faite, je n'aime... pas vraiment les gens plus jeune que moi. Pour être franche, je ne sais pas du tout encore quel type de gars j'aime... MAIS qu'est-ce que tu me fait dire là. »

        « Je sais pas, vous parlez toute seule. »

        « Rahhh.... Bon, je retourne sur l'enquête, reste-là si tu veux pas me gêner. »

        En s'approchant, elle relu la totalité du rapport d'autopsie, ne manquant aucun point du médecin et surtout ce qu'il avait souligné. Le fait que la balle était entrer dans le front de la victime et était ressorti à l'arrière du crâne, le défonçant à moitié, devenait suspect avec l'angle d'ici. D'après les rapports des marines ainsi que de toute personne ayant vu l'affaire de loin, tous s'accorde à dire que le colonel regardait en direction de la mer et non en direction de l'endroit où se trouvait son ancien subordonné. Dans ce cas, il devait y avoir quelque chose qu'ils auraient manqué au cours du ramassage des évidence. A priori, ils auraient crié trop vite au loup après avoir trouvé les faux. Avec un certain flair, Aoko regarda en direction de la mer. Rien de neuf, juste quelque navire. Le coin était assez bien dégagé pour des navires éloignés et donnait un bon angle de tir. À cause de la vitesse du vent et de l'inclinaison de la forteresse, il était pratiquement impossible de faire un tir pareil avec une arme de la marine ordinaire. Peu-être qu'avec leur sniper c'était possible, mais ça restait dans le difficile. Elle sortit de nouveau la balle de sa poche. Avec une comme celle-ci, ça rendait la chose plus facile. La façon dont elle était faite, faisait qu'on pouvait traverser un mur de vent plus rapidement qu'une balle ordinaire, mais il fallait le fusil qui l'accompagnait.

        Non, son subordonné n'avait pas tué le colonel, elle en était certaine à présent. En se retournant, on pouvait remarquer un petit trou dans le mur en opposé à la mer. Elle se rapprocha un peu plus pour voir ce qu'il en fut. Avec ses doigts agiles, elle en ressorti une balle et un résidu de poudre spécial, rien qu'à l'odeur on pouvait aisément deviner que les deux balles étaient identiques en tout point ainsi qu'en les mettant côte à côte.


        SCCHLINNKKKKK

        un couteau avec un papier venait d’atterrir, sur le mur, à côté d'Aoko. Ensuite, une ombre, qui sortait des buisson, s'enfuyait à toute vitesse vers le port. Le jeune Jérémy, malheureusement pas encore habitué à ce genre de chose, se releva le plus vite possible, pris son sifflet et...

        TRRRIII TRRRIIII

        « MARINE, RATTRAPEZ MOI CE FUYARD ET VITE, IL A TENTAIT D'ASSASSINER LA COMMANDANTE!! »

        Un troupeau de marine sortit des rues, et également de nul part, pour poursuivre l'ombre qui manifestement était plus rapide qu'eux. Pendant ce temps, le cœur d'Aoko se calma petit à petit, elle fut aussi surprise, mais prévoyait quelque chose du même genre vu le coup du buisson plus tôt. Le couteau, lui, restait planté là, attendant la main habile et gracieuse de la jeune femme pour l'enlever de sa brique. Avec délicatesse, la brique tomba au sol, écrasant par la même occasion le pauvre pieds d'Aoko qui fit une grosse grimace et prit son pied, pas au sens propre du terme, pour essayer de calmer, cette fois-ci, la douleur.

        Après un bout, et au retour de Jérémy, elle lut le soit-disant papier. Sur celui-ci on pouvait lire :
        « Bien joué Commandante Longshot. Si vous le voulez bien, je vous attendrais patiemment chez moi sur l'île de Goa. Demandez tout simplement le nom de Von Clausewitz et on vous mènera directement à moi. Si vous ne venez pas seule, je le saurai. Aussi, de préférence, jetez vos vêtements disgracieux, les gens de votre espèce ne sont pas très bien accueilli par ici. Bonne chance. »

        Elle serra le papier de toutes ses forces, son cœur commençait à battre fortement dans sa poitrine. Un sourire carnassier s'afficha sur son visage, ses yeux devinrent deux beau soleils embrassés. Jamais elle ne s'était sentie aussi exaltée d'être défier en duel. Le problème restait encore le Colonel.

        « Je vais voir le colonel suivez-moi lieutenant »
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