Precedently
T'es enfin sorti de cet enfer et à l'extérieur, il fait tout noir. Il y'a autre chose... De l'eau coule sur ton visage, petit à petit, tu es trempé comme un chien. T'aperçois par terre du sang, il y a le tiens et celui des nouveaux criminels incarcérés dans cette putain de taule. La pluie nettoie ce liquide rougeâtre qui te permet de vivre, le tiens coule toujours malgré les plaies cautérisés. Bientôt, t'en perdras beaucoup trop et cela conduira à ta perte, tu le sais, le temps ne joue pas en ta faveur, alors tu vas vite monter sur ce bateau marine qui est devant toi. Il s'apprête à prendre le large vers une direction que t'ignores, mais tu t'en fous, t'y vas, car n'importe quel endroit te paraîtras plus paisible qu'Impel Down. Seulement, t'oublies qu'il peut bien aller à Enies Lobbies ou à Marine Ford et là mon petit, je vais rire et tu seras dans de beaux draps...
Un drap blanc qui te recouvriras... Je serai à tes côtés en train de t'observer. Profites de cette main tendu du destin, prends ton pied en savourant cette liberté, mais sache qu'elle est éphémère. Dés que tu poseras tes jambes sur ce navire, ils se douteront qu'un intrus est à bord, ils remarqueront les tâches de sang... T'as eu du bol jusque là, mais je suis tout prêt. Je vais te cueillir à la seconde où tu redeviendras visible... Je suis la mort et toi à quoi tu joues ? Le petit chanceux, celui qui s'est évadé de la plus grande prison du monde, tu penses être plus fort que moi ? Je te battrai, je gagne toujours.
A l'intérieur du bâtiment ennemi, c'est la débandade, tout le monde s'agite à bord, ils hissent la grande voile et toi tu te caches, mais je vais te retrouver. Pour l'instant les marines sont occupés à faire bouger leur rafiot d'infortune, à passer la grande porte. Ils s'orientent grâce à un Eternel Pose vers une île et affrontent la tempête qui leur fait face. Tandis que la majorité travaillent dur pour conduire l'engin, certains savourent leur victoire passé et chantent un air que tu connais très bien. Celui du Nouvel an... Le monde s'apprête à passer en 1625, quelle est ta résolution ?
Soudain t'aperçois un docteur qui marche, tu décides de le suivre de loin. Mais qu'est ce que tu fais ? Pourquoi tu mets les deux moignons de tes avant-bras sur la bouche ? Astucieux, j'avoue. Tu le vois rentrer dans sa cabine, il prend quelques seringues. Il ressort et dit à un matelot de le conduire vers le Colonel pour sa piqûre du soir. C'est de l'insuline, foutus médocs ! Foutus toubibs ! A cause d'eux, je bosse à mi-temps, heureusement que c'est la guerre dans chaque coin de rue... Sinon, je serai en intérimaire et ça me fout les jetons de penser qu'un jour, je devrais chercher un autre job pour tenir le coup, c'est la crise pour tout le monde petit.
Tu rentres en mettant un coup de genoux sur la poignée et tu refermes derrière toi avec ton pied, tu peux voir à ta droite, un lit pour ausculter les patients, à ta gauche, quelques caisses en carton avec plein de paperasse et devant toi, un bureau pratiquement vide. Rien d'utile pour ta pomme. Faut croire que le bras de fer que nous menons, toi et moi n'est pas prêt de s'arrêter, mais soudain tu remarques une armoire à pharmacie. Elle est fermée, tu comptes l'ouvrir comment sans tes mains ? La briser avec ton crâne ? Fait un seul bruit et les matelots arriveront à la seconde même. Mais un petit malin comme toi, trouveras bien une solution... Dépêche-toi, il va bientôt revenir... Héhé. Tu jettes un coup d'oeil dans toute la pièce mais avec ta posture de débile, tu risques pas de voir clair, t'enlève donc tes avants bras de ta bouche et tu vois une poche suspendu à un bâton en fer juste à côte du lit. Tu prends la perf' et tu te l'injectes. Chapeau ! Certes la douleur qui t'as rongé tout le long se dissipe, mais tu comptes nettoyer les tâches de sang comment ?
Un drap blanc qui te recouvriras... Je serai à tes côtés en train de t'observer. Profites de cette main tendu du destin, prends ton pied en savourant cette liberté, mais sache qu'elle est éphémère. Dés que tu poseras tes jambes sur ce navire, ils se douteront qu'un intrus est à bord, ils remarqueront les tâches de sang... T'as eu du bol jusque là, mais je suis tout prêt. Je vais te cueillir à la seconde où tu redeviendras visible... Je suis la mort et toi à quoi tu joues ? Le petit chanceux, celui qui s'est évadé de la plus grande prison du monde, tu penses être plus fort que moi ? Je te battrai, je gagne toujours.
A l'intérieur du bâtiment ennemi, c'est la débandade, tout le monde s'agite à bord, ils hissent la grande voile et toi tu te caches, mais je vais te retrouver. Pour l'instant les marines sont occupés à faire bouger leur rafiot d'infortune, à passer la grande porte. Ils s'orientent grâce à un Eternel Pose vers une île et affrontent la tempête qui leur fait face. Tandis que la majorité travaillent dur pour conduire l'engin, certains savourent leur victoire passé et chantent un air que tu connais très bien. Celui du Nouvel an... Le monde s'apprête à passer en 1625, quelle est ta résolution ?
Soudain t'aperçois un docteur qui marche, tu décides de le suivre de loin. Mais qu'est ce que tu fais ? Pourquoi tu mets les deux moignons de tes avant-bras sur la bouche ? Astucieux, j'avoue. Tu le vois rentrer dans sa cabine, il prend quelques seringues. Il ressort et dit à un matelot de le conduire vers le Colonel pour sa piqûre du soir. C'est de l'insuline, foutus médocs ! Foutus toubibs ! A cause d'eux, je bosse à mi-temps, heureusement que c'est la guerre dans chaque coin de rue... Sinon, je serai en intérimaire et ça me fout les jetons de penser qu'un jour, je devrais chercher un autre job pour tenir le coup, c'est la crise pour tout le monde petit.
Tu rentres en mettant un coup de genoux sur la poignée et tu refermes derrière toi avec ton pied, tu peux voir à ta droite, un lit pour ausculter les patients, à ta gauche, quelques caisses en carton avec plein de paperasse et devant toi, un bureau pratiquement vide. Rien d'utile pour ta pomme. Faut croire que le bras de fer que nous menons, toi et moi n'est pas prêt de s'arrêter, mais soudain tu remarques une armoire à pharmacie. Elle est fermée, tu comptes l'ouvrir comment sans tes mains ? La briser avec ton crâne ? Fait un seul bruit et les matelots arriveront à la seconde même. Mais un petit malin comme toi, trouveras bien une solution... Dépêche-toi, il va bientôt revenir... Héhé. Tu jettes un coup d'oeil dans toute la pièce mais avec ta posture de débile, tu risques pas de voir clair, t'enlève donc tes avants bras de ta bouche et tu vois une poche suspendu à un bâton en fer juste à côte du lit. Tu prends la perf' et tu te l'injectes. Chapeau ! Certes la douleur qui t'as rongé tout le long se dissipe, mais tu comptes nettoyer les tâches de sang comment ?
Dernière édition par Mizukawa Sutero le Jeu 6 Juin 2013 - 23:52, édité 2 fois