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Mon Voisin le Cadavre !

Bienvenue sur ce jeu Sombre, Glauque, et j'en passe et des meilleures qu'est Mon Voisin le Cadavre !


C'est en quelque sorte une variante du " Mon Voisin du Dessous", mais dans un tout autre registre. Ne soyez pas rebutés par le nom, ce n'est qu'une appellation Puis, essayez, vous verrez

Le principe est simple : Un membre A donne le nom d'un objet, ou de tout autre chose ( dans un registre réaliste, merci! Ne parlez pas de Tour Eiffel ou de je ne sais quelle autre aberration ! ) , et son Voisin du dessous, le "meurtrier", devra décrire, en 5-6 lignes minimum, la façon dont il a tué le Membre A, pauvre victime innocente, avec l'objet qu'il/elle avait choisi.

Enfin, 5-6 lignes minimum, c'est peu, vu qu'ici c'est un forum RPG ! Enfin à vous de voir !

Et n'oubliez pas, votre méfait accompli, d'annoncer l'objet qui marquera votre fin à votre tour !

Sur ce, fini la parlote, place à l'action! Qui sera le courageux membre, qui le premier inaugurera cette suite de faits macabres en tentant de me tuer avec un...

SABRE ?
    Kana empoigna le sabre. Elle n'avait pas le choix, il fallait tuer. A tout prix. Son adversaire était une femme à la poitrine beaucoup trop grosse. Des implants ? surement. Toujours était-il qu'elle semblait forte et prête à tout. Suu s'élança avec une seule idée en tête, transpercer cet immonde amas graisseux. Enfin, le but était plutôt ce qu'il y avait en dessous. Le cœur. Drôle d'organe mais bon... Concentrée, la jeune femme réussit à trancher la chair de son opposante. Un liquide rouge se répandait maintenant partout mais une question subsistait. Pourquoi n'avait-elle pas cherché à se défendre ? L'albinos regarda sa proie.

    Bordel ! Un kigai, je suis pas sortie de l'auberge ! Ce que je peux détester Bleach ! C'est pas du jeu ces machins-là !! Kana partit furibonde avec le kigai dans la main.

    Qui veut avoir l'honneur de tuer Kana avec une fourchette ?
      Manger ou mourir, il faut choisir... Pharaun, pour sa part, préférait largement la première solution. Il devait absolument chercher un endroit pour se nourrir. C'est alors qu'il entendit, de l'intérieur d'une maison, quelqu'un s'écrier:

      je suis pas sortie de l'auberge !

      Autrement dit, la personne qui avait dit ça y était encore. Autrement dit, s'il passait cette porte, il pourrait manger. S'armant de la fourchette qu'il avait toujours sur lui, Pharaun se précipita à l'intérieur. Quelle ne fut sa surprise quand il ne trouva rien d'autre qu'une jeune fille avec une poupée trouée à la main ! La rage d'avoir été trompé s'empara de lui. Ni une ni deux il bondit sur la traitresse pour la fourchetter sauvagement, ne lui laissant aucune chance de survie.

      Non mais... On joue pas avec la nourriture !


      Je demande Madame Fune, dans le salon avec un balais !


      Dernière édition par Pharaun Mizzrym le Mar 15 Fév 2011 - 18:50, édité 1 fois
        Balai à la main, faisant le ménage dans l'établissement, Fune vit toute la scène, tout en fulminant des manières sans galanteries. Ni une ni deux, la jeune femme approcha du garçon aux cheveux longs, puis, d'un geste sec, lui colla le manche de l'outil dans la bouche, le laissant s'étouffer à petit feu. Après quoi, elle prit un torchon et nettoya le comptoir, tout en maugréant sur le sans-gêne des clients ici.

        *Ces mecs, je vous jure...*

        Une cuillère
          Rachel aiguisait sa faux avec des outils variés en général, mais aujourd'hui, son aiguisoir lui avait fait faux bond. Il avait préféré s'en aller voir ailleurs si les sabres femelles étaient plus attirantes. Elle devait donc se rabattre sur le petites cuiller pour maintenir le tranchant de sa lame et ce tout en maugréant.
          Alors qu'elle menait à bien son utile activité, une jeune femme aux yeux verts et aux cheveux noirs vînt vers elle et lui tînt à peu près ce langage.

          °Pourquoi faire courir cette pauvre cuillère sur le tranchant de votre lame?°

          Rachel, qu la situation exaspérait au plus haut pont, prit cette réplique comme une atteinte délibérée à son calme. Elle empoigna la cuillère à deux mains, armant son bars et fit, d'un mouvement vif et violent, sauter l'un des deux yeux verts de son interlocutrice puis s'en alla, laissant seule sa victime se vider de son sang, évanouie, pour s'en aller acheter un aiguisoir, terminant mon histoire.


          [Je te tue avec ma tasse à thé!]

          Pardon, essayez de me tuer avec un... Chapeau Melon
          • https://www.onepiece-requiem.net/t889-fiche-de-rachel-100
          • https://www.onepiece-requiem.net/t816-rachel-la-grande-faucheuse#8700
          [Ça date je sais, mais je trouve ce topic bien sympa]

          Le bruit d'une lame qu'on aiguise est un bruit bien exaspérant. Surtout lorsqu'on essaye désesperement de tombé dans les bras de Morphée.

          -grrreuh nondidjou ! C'est pas un peu fini ce bordel ?

          Et non ce n'était pas fini et loin de là. A bout de nerf, la doctoresse sortit de son lit en trombe, encore vétue de sa chemise de nuit en pilou-pilou et de ses chaussons-chaussettes à pompon, elle prit un chapeau melon qu'elle mis sur sa tête, pour avoir un minimum de classe. Puis elle alla voir l'origine de tout ce tintouin, et quelle ne fut pas sa colère quand elle vit que la personne qui avait perturbé son sommeil, ne faisait pas attention à elle.

          Dans un élan de fureur meurtrière, elle prit son chapeau et le fit avaler de force à la belle brunette qui se tenait en face d'elle. Elle la laissa ensuite s’étouffer avec et s'en alla retrouver le sommeil.

          Je demande un cure-dent pour me tuer. :p
            Roh j'adore ces trucs x)

              Qu’est-ce que ça pouvait agacer Ceres ! Ces hommes qui sans discrétion la décortiquait du regard, prenant soin de s’arrêter sur chacune de ses formes sur lesquelles ils s’éternisaient. Irritée par ces animaux sans gêne et particulièrement contre celui qui venait de lui parler tout en fixant son décolleté pendant qu’elle mangeait dans un restaurant des plus luxueux. Ceres prit alors en main le cure-dent qui se trouvait là et tout en agrippant la chemise de son interlocuteur, lui planta les deux yeux. Il y eut dans ce geste un si violent despotisme de passion que les gens qui se trouvaient là en furent choqués. Après avoir piqué son globe oculaire comme on pique une olive dans un supermarché, elle s’empressa de le lui faire rentrer dans une de ses narines, faisant de même avec l’autre œil afin de boucher complètement son nez qui était à deux doigts d’éclater. Et pour l’asphyxier totalement, la jeune femme prit le couteau qu’elle utilisait pour couper sa viande afin de trancher la langue de l’homme. Plus qu’il l’avale !


            Allez hop, je demande un éventail. \o/
            • https://www.onepiece-requiem.net/t3158-ceres-o-fall