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Répandre son Culte

Rappel du premier message :

De nouveau sur Inari, ça faisait trois ans que je n'y avais pas mis les pieds. Je n'y étais pas resté longtemps la dernière fois. Pas vraiment eu le temps de convertir ces hérétiques.

Inari, La Ville Religieuse, rassemblant presque tous les cultes du Monde entier. Culte des rêves et des songes, celui du Massacre et de la Destruction, celui de technologies et sciences physiques, celui de la Fête et du plaisir charnel. Bref, tout un tas de religions où chacun prônant que son culte est le meilleur. Pas facile de louait la parole de son Dieu dans un tel boxon.

J'avais débarqué ce matin avec un navire de Commerce. Le capitaine, un vieil homme, vivant de l'importation d'épices et autres condiment avait accepté que je monte à bord en échange d'une bourse bien rempli. J'aurais pu mainte fois le jeter à la mer mais, disons que mes aptitudes en Navigation frôle le niveau moins un. Non non, je l'ai jeté à la mer quand le bâtiment accosta sur le port d'Inari. Cette bourse, j'en avais besoin pour monter sur le Quartier Saint de l'île. Pas donné le trajet.

Je marchais dans une rue remplie de gens venant de toutes sortes de classe sociale. Brigand, prêtre, noble, commerçant. Cette partie de la ville basse était encore assez vivante et se trouvait des gens de classes sociales moyennes. Plus je m'approchais du lieu pour monter au Boru bodur et plus cet amas de terre et de construction cachait la luminosité de la ville basse.
J'arriva enfin à la station de nacelles à vapeur. Toutes les deux minutes, une nacelle pouvant contenir une vingtaine de personne arrivait vide et repartait pleine quelques secondes. A l'entrée des nacelles, se trouvait une personne encapuchonnée, qui, en échange d'une somme, acceptait qu'une personne monte. Une sorte de Videur pour curé. Impossible de voir son visage, l'homme était réglé comme une montre, répétant les mêmes mouvement. Prenant l'argent avec la main droite puis faisant un mouvement de la main gauche pouvant permettre à la personne de monter.

Mon tour était venu. Je posa la bourse qu'il me restait dans les mains de l'encapuchonnée, qui, la malaxa pour surement évaluer la somme qu'il y avait dedans. Ce fut plus longtemps que pour les autres. La longueur devenait presque suspecte. Croisant mes bras pour montrer mon mécontentement, j'en profitais pour attraper des scalpels se trouvant sous ma blouse, me préparant au pire. Mon coeur se mit à battre fort. Tuer un prêtre devant tous ces religieux, mauvaise pub.

L'encapuchonnée me fit enfin signe de monter dans la nacelle. Je devenais moins crispé à chaque pas en direction de la nacelle. Elle se mit à monter avec un vieux grincement de ferraille montrant que cette installation ne datait pas d'aujourd'hui. Tout continuant mon ascension, je posa ma main sur Le Journal du Looziste. J’espérais, en revenant ici, un signe de mon Dieu.


Dernière édition par Worth le Mer 31 Juil 2013 - 6:28, édité 3 fois


      -Non mais qu'est ce que c'est que ce bordel ?

      Comme à son habitude la marine débarque en force, et comme d'habitude, après la guerre. Cela dit, la scène est éloquente. Entre les pauvres types tabassés et les gros bras d'Arès qui paradent au milieu armes au clair, pas la peine de faire un dessin pour clarifier la situation.

      Les marines cernent efficacement la place et mettent rapidement en place un début de tri entre belligérants et touristes pendant que le Commandant de la garnison, venu en personne mettre un terme au bordel s'occupe personnellement des types d'Ares.

      -Non mais enfin, vous avez oublié la charte ou quoi ? Vous avez oublié ou vous êtes ? Tout le Boru Bodur est fondé sur une cohabitation exemplaire entre tous les cultes de bonne volonté. Je vous ai rendus vos armes parce que vous les considérez comme des objets de prière et que vous m'aviez assuré que vous ne les utiliseriez pas ! Vous savez que vous risquez le bannissement pour vos conneries? Allez les gars, foutez moi tout ça au trou !

      Subitement dégrisés par le rappel de leur serment et de la punition qu'ils encourent pour l'avoir brisé, les moines d'Arès se laissent désarmer et menotter sans faire d'histoires... Le chef des guerriers essaye bien d'expliquer que ce n'est pas sa faute, que c'est la faute de ce type en toge qui les a chauffé exprès pour qu'ils se battent, mais pour l'instant personne ne l'écoute vraiment...

      Pour l'instant... Mais pas pour très longtemps. Car pendant qu'on emmène les guerriers en disgrâce, quelques officiers commencent à recueillir les témoignages de ce qui s'est passé. Et la plupart des récits concordent, un type est venu sur l'estrade pour lancer le bordel et c'est bien de sa faute si tout ça a dégénéré...

      -Monsieur le marine…. Commandant !

      Une fois que le soldat le remarque, l’ange s’approche de celui-ci pour commencer son dialogue avec sa douce voix.

      -Le responsable de tout ceci n’est autre que moi. Il suffit de vous renseigner. Mais pourquoi tout ceci ? Vous n’avez probablement pas toutes les cartes en mains pour décider de qui a fait quoi. La situation est assez simple. La cabale a encore fait des siennes. Hier une attaque a été effectuée dans un lieu qui se nomme l’œil des dieux. De nombreux innocents ont rendu l’âme. Personne n’a bougé. Devais-je laisser ces criminels s’en sortir ? Non. Il fallait agir. C’est ce que j’ai fait. J’ai demandé l’aide du peuple et nombreux ont répondu présent. Nous avons investi les lieux de l’un des repères de la cabale et avons fait des prisonniers qui vous on était envoyé il n’y a pas si longtemps. Maintenant je vous prie de bien vouloir relâcher ces justiciers qui n’ont fait que rendre service à cette ile. Puis nous pourrions peut être nous charger du vrai problème qui est la cabale.

      Les choses sont claires, en tout cas pour lui. Trouvé la vérité dans cette situation est enfantine. Les témoins sont nombreux, ainsi que les preuves. C’est probablement cela qui agace notre handicapé. Trouvé la vérité est simple, pourtant le soldat viens et agi telle un abruti. Encore un homme avec un certain pouvoir qui ne mérite point. Ivan face à cette énergumène attend la réponse, les deux bras sur les accoudoirs.

        L'officier te regarde, et dans ses yeux, il y a la force tranquille de celui qui se sait puissant et qui a appris à se contrôler. Il y a la colère et l'envie de te coller au moins une beigne. Il y a tout le mépris qu'il nourrit à ton encontre.
        - « Je suis le Commandant Baresta, en charge de la sécurité des habitants de cette île et du maintien de la paix. Et vous, Monsieur l'anonyme donneur de leçon ? Peut-être un vice-amiral déguisé, ou un homme de terrain qui connaît parfaitement la situation présente, bien mieux, sans nulle doute, que les hommes et femmes de la Marine qui enquêtent depuis des mois, voire des années ? »

        Il fait signe à ses hommes, et te voilà menotté.
        - « Je vais vous dire, Monsieur « il suffit de vous renseigner ». Vous pensez donc que la Marine ne sert à rien ? Que nous ne faisons pas bien notre travail ? Que nous ignorons donc tout de la Cabale et de ses activités ? Avez-vous pensé un instant que le Caporal que vous êtes allés avertir mais que vous avez pris de haut, avait des ordres ? Avez-vous seulement imaginé que nous étions parfaitement au courant de cette opération, et que nous avons laissé faire pour une bonne raison ? Imaginez-vous vraiment que nous ignorions que la Cabale était là, dans ce bâtiment, juste sous notre nez ?  »

        Tu es amené, avec le reste des guerriers d'Arès, dans la base Marine. Les religieux-combattants sont fichus au trou – encore, tandis que tu reste dans la cour, où le commandant continue son petit laïus.
        - « Vos actions ont anéanti plusieurs mois de préparation. Ils étaient tous là, persuadés d'avoir déjoué notre surveillance, et nous aurions pu tous les attraper. A cause de votre imbécillité, les voilà dispersés dans la ville, avec Tarduk à leur tête. Vous allez être responsable de la mort de dizaine de personnes, avant qu'on arrive à remettre la main dessus.
        Voilà ce qui arrive quand on joue au justicier, Monsieur « je sais mieux que les Autorités ». Pff, impliquer la population locale ? Et puis quoi ? Je vous arrête pour trouble à l'ordre public, entrave à la justice, sédition et constitution d'une milice privée. Je vous colle aussi au derche meurtre avec préméditation.  Ces Cabalistes morts... c'est vous et votre faute uniquement. Vous n'avez pas le droit de tuer. Vous n'êtes pas Marine et vous n'êtes qu'un civil avec des grandes idées, une grande bouche et un cerveau limité.    »


        A ce moment, un homme type civil approche, comme s'il était en balade et s'approche. Immédiatement, le Commandant s'arrête de t'invectiver et se montre des plus disponibles envers le nouveau venu. Quelques murmures au creux de l'oreille plus tard, le gars s'en va, et Yoshi Baresta se tourne vers toi.
        - « Il paraît que vous aviez une mission, concernant un certain looziste. Si j'étais vous, je me concentrerai sur cette tache, parce que si vous échouez... Vous pensiez être dans les ennuis avec moi ? Ah, attendez de comprendre dans quel pétrin vous vous êtes fourrés.  »
        Son sourire goguenard est cruel, preuve qu'il se réjouit de ta situation. Situation qui semble donc bien comprise.

        - « Je ne peux pas interférer avec cette mission. Mais vous allez oublier cette histoire de Cabale et faire ce qu'on vous a dit de faire. Sinon, vous ne serez plus protégé. Entre temps, je fais un rapport sur vous, Monsieur Ivan de Cimietero, et ça, ça va vous suivre jusqu'au bout, mission ou pas. Si vous êtes encore une fois attrapé par la Marine, c'est le tribunal direct pour vous. »

        Te voilà libéré et foutu à la porte de la garnison avec l'équivalent d'un coup de pied au cul.

        _.o.O.o._

        Plus loin, plus haut, un cabaliste avait eu reçu la mission de suivre un étrange bonhomme, que Tarduk avait voulu tester. Qui dit teste, dit notation, et notre homme est donc le professeur en charge de dire si Worth a bien fait son devoir. Et pour le moment, il assiste à ce qui semble un semi-échec. Approche repérée mais action sanguinolente immédiate. Worth est à deux doigts de tuer la cible quand il s'arrête. Le Cabaliste retient son souffle. Si le « civil » ne conclut pas, s'il trahit la confiance de la Cabale, il devra faire face aux conséquences : la traque systématique et perpétuelle par un assassin de la Cabale, jusqu'à ce que mort s'en suive. La sienne, de mort. Un cabaliste en cache toujours un autre, et l'Ordre ne s'arrêterait que lorsque le cadavre de Worth aura été déroulé au pied du chef. Les traîtres, c'est ce qu'il y a de pire, sur terre.
        Bien caché sur les toits, l'homme attend. Quelque soit la décision de Worth, il s'éclipsera après faire son rapport. Worth ne pourra pas quitter Bodur ou Inari sans que la Cabale ne le sache. Personne ne sait ce dont la Cabale est capable....
          J'écoute son histoire. C'est long et c'est chiant. Je me grille une clope, histoire de ne perdre ce temps pour rien. J'avoue n'avoir écouté que ce qui m'intéressé, la partie où il a rencontré Looz.
          Ce type du nom d'Iskariott serait tombé sur le livre du Looziste il y a peine deux ans. Un nouveau serviteur; De la Chair à canon. Concernant ce problème avec la Cabale, il m'explique qu'il aurait essayé de récupérer un objet à lui que ce Tarduk lui aurait volé.Un artefact de Looziste d'après lui : Une dague Sacrificiel.

          Mon sang ne fait qu'un tout. Merde, pourquoi c'est la première fois que j'entend parler de cette dague. Pas une seul fois en mes plusieurs passages sur Inari j'en ai entendu parler. Bien, je sais ce qu'il me reste à faire : récupérer la dague.
          Je propose à Iskariott de retourner dans un endroit plus vivant. La Cabale doit déjà être en train de nous surveiller et maintenant, je leur ai donné une bonne raison de me tuer. Ça va être assassin sur assassin. Et quand ces derniers ont en tête de tuer quelqu'un, l'heureux élu ne se rends même pas compte de sa propre mort. L'écran noir, sans douleur ni blessure.

          Je traîne derrière moi Iskariott par le bras et nous nous fondons dans la foule de touriste et d'ecclésiastique. Sûrement pas ça qui arrêtera les Cabalistes mais ça permettra de ralentir leurs éclaireurs.
          Tout en marchant d'un pas pressé, mon nouveau compère me dit qu'il a un plan. Il m'explique qu'il existe un ordre d'ecclésiastique que nous pourrions utiliser. Un culte du combat et de la guerre s'appelant Les Fils d'Arès. Eh merde, mauvais calcul.


          "Disons que j'en ai imprégné quelque-uns à la Souffrance de Looz. M'étonnerais qu'ils nous aident."
          "Pas la peine Mister Worth. Le mensonge est une des forces les plus puissantes. C'est même encore mieux si ils ont une dent contre vous. Nous leur ferons croire que la Cabaliste vous protège et que vous tous, vous vous préparez à une attaque massive sur leur lieu de culte. Et donc, pendant qu'ils s'occuperont des assassins de la Cabale, nous...euh, enfin vous vous occuperez de Tarduk et de récupérer l'artefact."


          il est malin le jeunot. Diversion et distraction.
          Sur la route pour nous rendre au temple d'Arès, nous passons sur une place où un Hérault parle à la foule.


          "Citoyens, aujourd'hui encore, la Cabale gangrène la ville. Mais elle n'est pas la seule. Les fils d'Arès, eux aussi se croient au dessus de la Sainte loi. Ces barbares se battent quand bon leur semble et engendrent destruction et cadavres sur leurs passages.
          Mais c'est fini car aujourd'hui, une grande partie des serviteurs du Combat ont été enfermé ce matin dans le locaux de la Marine. Qu'ils y crèvent et espérons que ces chiens de la Cabale les suivrons bientôt."


          Voilà déjà une complication dans le plan initial. Nous allons devoir libérer ces guerriers si nous voulons continuer. Je suis maintenant Iskariott qui semble prendre la direction des locaux de la Marine. J'ai l'impression de passer sur des balcons et des patios privés. Il me fait passer par des passages dont le simple touriste lambda ne pourrait jamais connaître. Les ruelles sont étroites, bien plus de l'ordinaire. Impossible de passer à deux et obligation d'y aller de côté. Après plusieurs endroits plus spacieux, nous déboulons, sur une grand rue où là, écrit en gros sur une façade: "Marine".
          Au pied de celui-ci, un visage famillier.


          "Tiens tiens De Cimitiero, vos amis se sont fait mettre en taule. Ca vous dit de les faire libérer héhéhé."
            *Un monologue… Voilà ce qu’il vient de faire. Sans me laisser répondre à toutes ces accusations. Me coupant la parole à chaque fois que je voulais intervenir. Cet homme au sourire moqueur, fier de sa soit disant supériorité… Il n’est rien. Ce genre d’individu n’a aucune importance à mes yeux. Le jour viendra où je balayerais tous ces êtres immondes qui ne savent se servir de leur pouvoir. Je n’ai rien ressenti de bien. Rien n’émane de cette personne. Son cœur semble fermé… J’espère qu’il ouvrira ses yeux et deviendra un bon et brave marine, et que ces paroles ont était prononcé sous la colère due à l’échec de la mission qu’il s’apprêtait à mener…*

            L’ange ressent une certaine colère à l’égard du soldat. Après tout ce n’est qu’un homme. Qui ne ressentirait pas de la colère face à une personne qui vous traite de la sorte. Mais cette colère s’estompe rapidement et fait place à un autre sentiment. La peine. Mais les sentiments sont une chose qui nui au raisonnement, enfin d’après notre handicapé à cette époque. C’est pourquoi il efface rapidement le souvenir de ce dialogue inutile et va se mettre à la recherche de Worth. Après tout, la meilleure chose à faire est de retrouver le looziste.

            Alors qu’il avance sur quelques mètres, le destin semble lui épargner le travail de recherche et lui offre directement sa cible accompagnée d’un individu avec un sourire assez inquiétant. Qui était cette inconnu? Le temps lui apporterais probablement la réponse.

            -Docteur. Votre proposition est intéressante, mais faire une telle action risque de causer pas mal de désordre. Je n’ai pas l’intention de devenir un hors la loi. Les hommes sont injustement enfermés, mais la justice triomphe toujours. Ce n’est qu’une question de temps avant que ces hommes respirent de nouveau l’air libre. Enfin, parlé-moi de vous. Tout d’abord pourquoi une telle proposition ? Je suis assez intrigué…

            *Je devrais pouvoir boucler cette affaire aujourd’hui, et tout remettre en ordre.*

              Iskariott se permet d'entrer dans la discussion en enchainant mensonge sur mensonge. Des arguments qui le poussent à faire cela sonne tellement faux.  Tout cela devient insupportable pour Ivan qui fait un signe de la main pour l'interrompre tandis que Worth regarde un peu partout, et semble avoir repéré un éclaireur.

              -Monsieur Iskariott. Vous m'êtes inconnu, mais une chose est sur. Je n'apprécie pas les mensonges. Je vous prierai de jouer carte sur table. Je ne suis pas un individu lambda qui peut être endoctriné par de vulgaires paroles.

              -Comment osez vous me traiter de menteur?!


              Une légère dispute née entre les deux hommes tandis qu'à la surprise de tous, c'est Worth qui calme le jeu. L'inquiétude du docteur se lit sur son visage.

              -Ne ferions mieux de trouver un refuge.

              Le problème vient de la mobilité de l'ange. Impossible de fuir les assassins avec un handicapé comme camarade d'infortune. Sûr que la Cabale va tenter de réduire au silence les trois.

              -Enfaite Ivan, pensez vous que la cabale vous laissera tranquille après ce que vous avez fait? Leurs assassins vous ont déjà retrouvé.

              Les dernières paroles ne sont que vérité, mais la question est. Qui sont les assassins, Worth et son compagnon ou la personne que le docteur guette depuis tout à l'heure. Sans réponse à cette fameuse question, Ivan doit rester sur ses gardes. Mais avec les indices précédents, il se permet une hypothèse.

              -Je suppose que vous souhaitiez libérer les religieux d'Ares pour lutter contre la cabale. Ai-je tord?

              Le fait que Worth soit inquiété par l'individu et le fait de vouloir délivrer les combattants qui ont mis à terre la cabale ne sont pas de simple coïncidence.

              -Mister encapuchonné, vous êtes intéressé par le Dieu Looz et moi par votre sens de l'observation. Un échange d'informations peut être utile.

              *J'ai peut être jugé  hâtivement ce religieux. Il est vrai que la souffrance est universelle. Voyons comment il se comporte. Peu être n'a-t-il que des mauvaises manières et une patience limité.*

              -Je vous propose une alliance. Nous combattrons la Cabale et nous pourrons discuter plus longuement au sujet de Looz .

              Au premier regard, prendre Ivan comme allié semble être un mauvais choix.  Mais lorsqu'on connait son art pour le dialogue et sa façon d'endoctriner les hommes à sa cause, il devient vite un précieux compagnon.

              -Nous nous rejoignons au temple d'Ares. Nous allons semer le poursuivant. Bye.

              Les hommes se séparent et Worth suit de nouveau Iskariott qui l'entraine dans des ruelles.

              -Monsieur Worth, vous ne souhaitez plus libérer les fils d'Ares?

              -Si les éclaireurs sont déjà sur nous alors la libération est impossible. Ils vont prévenir la marine que quelque chose se trame et nous rejoindrons finalement les guerriers mais dans la même cellule … Par contre nous pouvons.  … Murmure … Murmure

              -Hum.. Ho… How, à c'est bon ça. Pas mal… Bon plan. C'est parti pour l'action. Je sens que Looz va être satisfait de cette journée.
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              Direction le temple d'Ares. Sauf qu'il y a un petit problème. Des assassins arrivent en renfort. Trois se lancent à la poursuite des adorateurs de Looz et un seul se dirige vers Ivan. Notre ange n'est absolument pas inquiété. Voyant les déplacements au loin, il décide de rejoindre volontairement les ruelles où les hommes se font rares. Comme pour encourager l'assassin à passer à l'action. Une zone bien réduite qui ne permet aucun mouvement avec la chaise roulante, sauf aller tout droit. Les pas de l'assassin se rapprochent. Probablement une arme blanche en main. La puissance du son n'est pas à la hauteur d'Ivan et a disparu. Ce qui signifie que l'assassin a bondi !

              L'ange fait une sorte de roulade avant et fini dos au sol. Le pistolet entre les deux mains cherchant une cible. Ce n'est en réalité qu'un chat qui se promène dans le coin. L'animal se rapproche de l'handicapé et se frotte à une aile. Ivan frappe légèrement sa tête contre le sol. Une manœuvre qui est un parfait échec.  Le chat plutôt à l'aise s'allonge sur un bout d'aile. Le soleil s'approche de l'horizon a une vitesse surprenante. La nuit ne va pas tarder à tomber. Après tout, les assassins ont une préférence pour les attaques nocturnes.

              Avec difficulté notre futur révolutionnaire regagne son siège tout en déplaçant délicatement l'animal. Ce coin n'a rien de douiller. Même si c'est un chat errant, notre justicier à roulette le garde et le place sur ses genoux en attendant un endroit plus approprié pour le déposer. Des légères caresses sur le minou de couleur grise avec de petites rayures noires. De petit ronronnement sorte de la boule de poil.

              De nouveau sur la route du temple, rien ne semble se mettre sur sa route. Pourquoi? Pourquoi ne pas avoir attaqué l'handicapé lorsque ce dernier fut isolé? En tout cas, c'est en un seul morceau et sans trou dans la peau que notre homme rejoint le lieu de rendez-vous. Etrangement c'est le premier sur les lieux.

              -SACRILEGE ! La statue d'Arès a été profanée !!

              Les hommes bien robustes rejoignent rapidement le lieu. Révoltées comme jamais, les inscriptions montrent que tous les adorateurs d'Arès font partie du grand dessin. Autrement dis, ils deviennent tous des cibles de la cabale. Le tout est signée par Worth, nouveau leader cette secte. Les hommes ont déjà entendu parler de lui. C'est l'homme qui a déjà tué des guerriers d'une façon assez atroce. C'est l'incompréhension totale pour l'handicapé. Qui est réellement ce docteur qui souhaitait libérer les adorateurs d'Arès? Ivan cherche un détail qui aurait pu lui échapper…

              *Quelque chose cloche. Un assassin n'avertit pas sa victime sinon il se complique la tâche. Lui nouveau chef de la Cabale? Aaaaah. Réfléchie Ivan réfléchie…
              [...]
              Mais oui ! Il soulignait mon sens de l'observation. Ça phrase était étrange. Il doit y avoir un indice.*


              Cherchant le petit détail, l'ange finit par apercevoir un bout de parchemin. Ce dernier n'est visible que par une personne se trouvant au niveau du regard d'Ivan ou plus petit. Après avoir ramassé cela en toute discrétion, tout semble plus claire.

              Tarduk est notre cible. Le chef de la cabale je pense.  Si nous le tuons avec ces sbires, nous aurons réglé nos problèmes. Dirige les hommes discrètement vers le temple du grand pardon. Vingt mètres à droite tu trouveras une sorte de trappe cacher derrière la statue de Bouda. A l'intérieur se trouve un des repères de la cabale. On se retrouve là bas.

              Il y a huit personnes dans le temple. La marine  ne va sans doute pas apprécier un affrontement de plus. De plus les rumeurs se rependent vite, et la réputation des guerriers d'Arès commence à changer auprès de la population. Après tout, c'est l'un des rares qui use la violence et qui n'est pas rejeté. En tout cas pour le moment.

              *La marine reçoit ses ordres de l'œil de dieux. Ces peureux qui m'ont forcé à suivre Worth. Qui mon entrainer dans cette histoire sans queue ni tête. Cette histoire auras t'elle une fin? Je vois déjà la prison me dire bonjour peu importe ce que je fais. Le docteur est dangereux c'est sur. Mais je n'ai pas l'intention de tué qui que ce soit. Je ne tuerais jamais jamais jamais. Ce ne sont pas des menaces qui auront raison de moi. Désolé, mais je n'ai pas l'intention de faire plaisir à ton Dieu Worth. Tu ne souhaites que davantage de combat. De souffrance.

              J'ai pas l'intention de finir au trou. Impossible. Ils ne veulent pas que je touche à la cabale… Mais Worth… Enfaite… ça vaut sans doute le coup. Je sais pas si tu sais mais avoir signé de ton nom va peut être me sauver… En annonçant à l'œil des dieux que Worth et le chef de la cabale. Mon attaque avait du sens. Ils m'ont demandé de le tuer. Or lors de l'attaque, Worth était avec la cabale. Je ne peux pas mentir en disant que j'ai essayé de suivre les ordres, mais je peux me débrouiller en jouant sur les mots. *

              • https://www.onepiece-requiem.net/t10966-ivan-fiche
              Toujours dans le temple, Ivan s'avance et se retrouve au niveau des croyants assez furieux. Il est temps pour lui de reprendre les choses en mains. Il est temps de faire jouer ses attributs.

              -Messieurs !

              Attrapant son tissu et le retirant d'un coup, ses ailes d'une blancheur apparaissent à la grande surprise de tous.

              -Les miracles existent. Je suis un ange venu du ciel. Vous pensez que ce sont les pires jours de votre vie? Cela ne fait que commencer. Dehors les citoyens haïssent Arès un peu plus à chaque seconde qui passe. La faute à qui? A la marine qui vous traite de meurtrier pour avoir vengé vos frères celons les dires d'Arès ou bien à l'œil des dieux qui ont libéré Worth. N'es-ce pas un complot? J'ai appris que l'œil des dieux a un certain pouvoir sur la marine. J'ai combattu auprès de vos frères et je devais finir au trou comme eux. Mais l'œil des dieux en a décidé autrement. Ils souhaitent que je tue Worth. Alors que si je m'attaque a lui, je mourrai surement des mains de la Cabale ou finirait au trou pour trouble à l'ordre public.

              Même si les hommes sont attachés à cette ile, certain pense forcément que c'est injuste d'être en prison pour avoir vengé ses frères. Le doyen s'approche de l'ange. Un vieil homme au dos vouté. Une chevelure assez longue ainsi qu'une belle barbe blanche. C'est avec une voix extrêmement grave qu'il prend la parole.

              -Suite à ce qui vient de se passer, nous sommes dans l'obligation de demander réparation. Pour l'atteinte à notre honneur. Cette île n'a rien de béni. Votre discours m'est parvenus Ange dénommée Ivan. Message de paix. Si ce que vous dites est vrai, alors les autorités ont violé le traité. Ils sont censés être neutre… Tandis que l'œil des dieux joue au justicier et ne subisse aucunes représailles. J'estime que nous avons trop calmé nos ardeurs ces dernières années.

              Dehors les hurlements commencent à gronder. Les civils souhaitent bannir cette religion de l'ile. Des gardes apparaissent rapidement tandis que les adorateurs d'Ares prennent leur arme.

              -Messieurs, l'œil des dieux requière votre présence.

              Avec un pas lent, le doyen s'approche des gardes.

              -Ho?! Nous avons des comptes à rendre qu'à Arès !

              Les hommes se mettent à rire tandis que l'interlocuteur garde le visage sévère.

              -Selon la loi, l'œil des dieux mérite d'aller au troue. Constitution d'une milice privée. Séquestration d'individu. Je ne sais pas ce qui m'a poussé à les obéir. Sans doute le manque d'information.

              L'ancien lève son épée et la place sur son épaule. Un petit regard vers la statue. Celle-ci est faite en pierre et représente un homme, un guerrier possédant un bouclier et une lance. Tous les adorateurs de ce Dieu sortent leur arme.

              -Pour qui vous prenez vous ! Déposer les armes où vous serrez banni de l'ile ! Vous avez fait assez de dégâts comme ça.

              Les gardes reculent petit à petit.

              -Ecartez vous, ou vous subirez la colère d'Arès !

              Même s'ils sont moins d'une dizaine, ces brutes ne doivent pas être prises à la légère. La foule qui continue d'hurler se tait petit à petit en voyant les guerriers sortir furax et arme en main. C'est même une dispersion d'une vitesse époustouflante. Le doyen saisi d'une main un garde et le traine.

              -Nous avons un mot à dire à l'œil des gueux.

              -Comment osez-vous blasphémer n…

              L'homme n'a pas le temps de terminer sa phrase que sa tête heurte violemment un mur et le rend inconscient. Direction les locaux de l'œil des dieux. Ivan demande gentiment d'entrer en premier pour tenter de régler tout cela de façon pacifique. Dans la cour du bâtiment, des gardes le reconnaissent et le laisse entrer seul. L'ange roule vers le bureau du monsieur qui ne s'est même pas présenté. Ce dernier ne semble pas être là. Les gardes demandent à l'handicapé de patienter un peu. Puis une porte s'ouvre et l'homme entre avec des restes de nourriture sur la joue.

              -Monsieur De Cimitiero. Que me vos ce plaisir? Laissez nous.

              Les gardes sortent et l'individu s'installe tranquillement.

              -Un plaisir non réciproque. Depuis le départ vous jouez avec moi. Je n'ai jamais eu mon mot à dire. Donc pour votre information, il est écrit sur le temple d'Arès que Worth est le chef de la cabale. Cela ne justifie pas mon attaque sur la Cabale?

              -Vous savez que c'est un mensonge. Worth est nouveau sur l'ile. Nous n'avons jamais eu affaire à lui. Mais poursuivez.


              -Tout ce qui est arrivé est de votre faute. Je vous avais dit que je ne suis pas là pour suivre un homme et tenter de le remettre sur le chemin droit. Je termine donc en vous demandant de relâcher les adorateurs d'Arès. Vous avez le pouvoir de les libérer.

              L'homme fait mine de réfléchir, puis croise les mains en les posant sur la table.

              -Vous n'avez pas accompli votre mission. Vous n'allez sans doute pas l'accomplir je présume.

              -Je n'ai aucun ordre à recevoir de vous. J'ai toujours agi celons mon libre arbitre.


              L'individu semble déçu. Il se dirige vers la sortie. Après avoir tourné la poigner, il se retourne une dernière fois.

              -Les oubliettes, voici votre destination. Garde, nous avons fini ici.

              L'ange tape sur la table avec un objet et fait un mouvement de la tête comme pour dire non. Sa deuxième main sur la tête. Puis avant que l'homme ne sorte…

              -Mais je n'ai pas terminé. Vous allez vous rassoir immédiatement, sinon j'ai bien peur que mes doigts se crispent sur l'arme à feu que j'ai entre les mains.

              Ce n'est pas tellement une situation qu'envisager le patron des lieux. Après avoir refermé la porte sans gestes brusques, il retrouve sa chaise tandis que deux gardes entrent mais ne peuvent agir.

              -Au sujet des adorateurs d'Arès, vous disiez ?

              -Vos menaces sont vaines.

              -Des menaces? Vous voyez des menaces?


              Ivan regard à droite puis à gauche pour se moquer.

              -Il n'y a qu'un handicapé en face de vous. Je ne vous menace pas. J'offre une proposition avec une seule réponse possible. Ce n'est pas ce que vous faisiez ? HO? Vous m'avez donc menacez? Mais attendez, j'ai des amis qui n'aiment pas tellement la manière douce. Garde, allez chercher les guerriers qui s'impatientent à l'entrer.

              Le soldat ne sait pas tellement ce qu'il faut faire. Son supérieur fait un signe de tête pour lui demander d'aller.

              -Vous ne réussirez jamais avec ce genre de méthode. Votre message de paix n'est que mensonge.

              Les croyants finissent par entrer et c'est avec le sourire que l'individu les accueille.

              -Saviez vous que votre ami est en admiration devant Worth. J'ai de nombreux témoins qui l'ont entendu dire que ce meurtrier est intéressant.

              -Mais nous ne connaissons pas cet homme !


              S'exclame le doyen. Qui montre bien toute sa rage.

              -Nous venons pour la profanation de notre temple pardi. Une histoire fâcheuse.

              Le poing tape sur la table.

              -Messieurs, nous vous avons convoqué pour régler les problèmes que vous subissez.

              L'ancien plante son épée dans le sol et s'en sert comme appuis. Attendant les belles paroles de l'individu. Ce dernier se lance dans un discours qui semble sans fin. Que tout cela va se régler sans le moindre problème. Mais ce ne sont que des paroles car la marine ne tarde pas à arrivée. A l'extérieur du bâtiment le commandant Baresta demande à tout le monde de sortir et de déposée les armes.

              -Vous avez gagné du temps pour que ce pauvre commandant vous sauve les miches? L'art de la guerre n'est pas si aisé. C'est un art.

              La personne d'un âge avancé s'approche de ce pauvre individu qui tente de fuir, mais tous les issus sons bloqués par des adorateurs d'Arès tandis que les gardes sont maitrisés. Lorsqu'il parvient à lui mettre la main dessus et à le soulever, tous les êtres de cette pièce sortent. Sans suit le blabla du soldat qui demande de relâcher les otages et patati et patata. Bien qu'à la surprise de tous, Ivan fait aussi partie des otages et cela ne fait absolument pas partie de la stratégie.

              -Relâcher nos hommes, nous quittons cette île.

              -Vous n'irez nulle part si ce n'est qu'en prison.

              - Connaissez-vous l'art de la guerre Yoshi.


              Sans aucun respect, l'ancien appel le commandant Bresta par son prénom. Pour lui ce n'est qu'un jeunot à vrai dire.

              -Voici le chef de l'œil des dieux. Il bouge un peu trop à mon gout. La question est, à quoi peut servir un otage mort ? Vous ne savez pas? J'ai la réponse à cette question… Pour n'avoir pu sauver cet homme si important, vous subirez sans doute le même sort.

              -Si vous touchez un de ces cheveux, vous mourrez tous sur le champ.

              -Les jeunes vous avez entendu?

              HA HA HA HA HA


              -Mourir au combat est un honneur pour nous. Arès serra si fier de nous. Mais avant de mourir nous emporteront bien un bon nombre dès vôtre.

              Le soldat semble embarrassé. Tandis qu'un spectateur inattendu admire le spectacle en espérant que les choses vont mal tournées. Les adorateurs de Looz sont là. Puis d'autres silhouettes assistent aussi à la scène. Des membres de la cabale. Une situation très délicate, tout peut arriver.
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              Les dominos sont fascinants vous ne trouvez pas? Ho pardonnez moi, vous ne voyez sans doute pas le rapport. Est bien c'est très simple, je vais vous expliquer. Un domino placer au milieu d'une fresque ne causera pas tellement de dégât s'il chute. Tandis que le domino qui lance la fresque les fera tous tomber. On remplace les dominos par l'homme. Suffit de toucher la bonne personne pour que le sang se repende à la vitesse de la lumière. Avez-vous trouvé la pièce maitresse? En tout cas, Worth l'a trouvé et ses scalpels ne tiennent pas dans sa main très longtemps.  Celui qui dirige l'œil des dieux les reçoit au niveau du cou et tombe comme un sac de patates jeté au sol par le travailleur.

              La scène se passe au ralenti. Le sang qui sort du corps comme le ketchup de sa bouteille. Le sourire malsain de l'adorateur de Looz qui c'est déjà réfugier pour éviter d'être la cible des futures représailles. Mais ses yeux ne sont pas loin et observent attentivement les réactions. Les adorateurs d'Arès qui semble tomber dans une détresse incommensurable. L'art de la guerre c'est bien, mais un otage mort, c'est moins bien.

              Le commandant Baresta regard la scène, impuissant. Sur son visage c'est loin d'être la tristesse qui s'affiche. Un léger sourire tout aussi malsain que l'homme responsable de cela. Les choses se débloquent pour lui et pas une minute de plus pour que son bras se lève.

              En joue !

              Les guerriers ont à peine le temps de se préparer au combat que les marines sont prêts à les envoyer dans l'autre monde. Pas d'illusion, des fusille braqué sur des hommes avec des épées. Le résultat  est d'une évidence. Alors l'ancien jette rapidement son arme et lève les bras. Ses mains se crispent tandit que son visage affiche une grimace immonde. Tout cela est fait à contre coeur et il aurait tant aimé rentrer dans le tas.

              -Quel déshonneur de mourir sans pouvoir combattre avant.

              Les autres religieux font de même assez rapidement. Malheureusement pour Worth, son spectacle n'aura pas lieu. Mais pas le temps d'en pleurer, des assassins de la cabale poursuivent ce dernier qui disparait. Les choses se règle assez rapidement, la marine embarque les adorateurs d'Arès et les envois en prison avec leur congénère. Tandis qu'Ivan est bien évidemment gardé en ces lieux et rejoint les oubliettes.

              Contrairement au massacre de la veille, un médecin apparait assez rapidement sur les lieux et tente de sauver le patron. Tandis que le commandant et tout fier de lui. Ses supérieurs vont apprécier cette action qui c'est passé presque sans effusion de sang.

              Les mots ont un pouvoir. Une force mystérieuse. C'est la plus puissante arme que dispose Ivan De Cimitiero. Mais toute arme doit être maitrisée. Celui qui ne maitrise pas un katana peut se faire trancher par un véritable expert avec un simple couteau de cuisine. Tout commença avec un simple mot. Le simple fait d'être intéressé par la folie de Worth. Ce simple point la conduit dans des problèmes qui le dépassent. Des problèmes qui ne cessent de s'accroitre.  Ironie du sort, c'est bien le Docteur qui est en liberté et l'ange dans les oubliettes.
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