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Ouverture de la saison de la chasse



Grand Line. La route de tous les périls. L'océan le plus grand et le plus dangereux au monde. Bien des noms ont été donnés à cette gigantesque source d'Aventure qui nous tend ses bras accueillants. Un terrain de chasse comme jamais je n'en ai visité d'autres depuis, emplis de pièges, de cataclysmes et de dangers. Seuls les plus braves de tous les marins s'y rendent et moins encore y survive. Pourtant, c'est là que l'amiral en chef à concéder de nous envoyer moi et mes chiens de guerres... Huhuhu voilà qui va se révéler passionnant je le sens !

Le terrible calme plat qui a mis notre patience à rude épreuve cette semaine a enfin abandonné, faisant place à un terrible courant qui nous porte toujours plus en avant, comme s'il était pressé de nous voir arriver à destination. Nous envoie-t-il vers notre mort ou vers notre gloire ? Ce sera à nous seul d'en décider ! Pour ma part c'est tout vu, la route de tous les périls ne justifiera jamais autant son nom que depuis notre arrivée en son sein !



C'est donc un sourire plein d'ambition aux lèvres et le cœur gonflé par excitation que je laisse mon navigateur emprunter les vents puissants qui seront capables de nous faire gravir cette montagne. Après, quand je vous ai dit « ses bras accueillants », je voulais dire son terrible lot de vagues, bourrasques et pluies torrentielles qui vous fouettent le visage en faisant claquer derrière vous vos fanions. Putain faut avouer qu'elle en jette cette montagne ! Au début on n'en voit presque rien, tout juste un épais mur de brume, d'où s'échappent les sons lugubres du fracas du ressac sur les falaises. Puis, tandis que le Fenrir s'y enfonce apparaît majestueusement deux immenses remparts noir, où se sont échoués tant de navires malchanceux. Ahahahaha finir sa route avant même de l'avoir commencé ! Certains pirates sont vraiment stupides pour vouloir passer ce cap sans un minimum de compétence ! Mais je ne suis pas inquiet, nous ne partagerons pas le même sort.

Comme en réponse à mon impatience toujours grandissante, le Fenrir fait un nouveau bond en avant tandis que ses voiles se gonflent brusquement d'une puissante bourrasque. Brave navire, une vraie flèche traversant les vagues ! Il ne prend même pas la peine de les gravir, sa forme profilée les transpercent comme une lame taillerait de la chaire fraiche. Et tandis qu'il prend de plus en plus de vitesse, une vague énorme le fait s'envoler au-dessus des crêtes ! Maintenant notre vaisseau ne touche presque plus mer, tant il bondis d'écume en écume ! Ahahah du calme vieux frère, nous allons y arriver.

Slalomant entre des récifs qui apparaissent au dernier moment sur notre trajectoire, le timonier nous amène bientôt à l'antichambre de Grand Line, les deux pilonnes indiquant l'entrée de la montagne. Rater ce passage et c'est la mort assurée. Prendre le mauvais angle, la mort une fois de plus. Par mes trois couilles j'adore ça !!





Au moment où notre passage semble inéluctable, je me hisse d'une poussée en haut du gaillard avant, me tournant alors pour faire face à l'ensemble de mes Sea Wolfs. Irradiant d'excitation et de détermination, je m'adresse à eux d'une voix suffisamment forte pour percer le tonnerre et la tempête !


« L'heure de prendre la route est enfin arrivée les enfants !
Derrière cette montagne se trouve le plus formidable terrain de chasse qui n'ai jamais existé ! Vous allez y découvrir les plus terrifiants dangers, les plus excitantes aventures et les plus beaux carnages de votre chienne de vie ! »

« Tremblez mes loups ! Tremblez d'excitation et d'impatience pour tous les formidables trésors que nous allons y récolter !
Je vous ai promis du sang ? Vous l'aurez ! Je vous ai promis de la gloire ?! Vous l'aurez ! Je vous ai promis la richesse ?! Vous l'aurez aussi ! Tout cela vous en obtiendrez bien plus que vous n'en avez jamais obtenu.

Pourquoi ?! Parce que vous êtes les Sea Wolfs de Toji Arashibourei et que rien ne nous est impossible !
Souvenez vous de notre devise :
« Sea Wolfs. Seuls contre le reste du monde, mais que le reste du monde prenne garde ! ».


Mais avant tout je vous offre une fête mes agneaux ! Les festivités sur la première île sont sur mon compte !
Mwouahahahahahahahah ! »


« Hiro ! Amène nous en haut de cette putain de montagne ! »


Dernière édition par Toji Arashibourei le Jeu 17 Fév 2011 - 22:18, édité 2 fois
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Tranquillement assis dans la cabine, Ryuuku s'endort. Il vient de passer une matinée longue, à se reposer. Il ne faut jamais sous-estimer la fatigue de quelqu'un, et ça, Ryu' le sort souvent, et s'en sert beaucoup. Sûrement que tous ses amis deviendront des flemmars par la suite. Tous ? Non, ça, c'est une certitude. Se réveillant quelques heures après, Ryuuku sent le doux déferlement des vagues sur le bateau. Après des années en mer, ce branlement devient familier, et même sympathique, le mot est rassurant. Et c'est sur ces pensées que Ryuuku sort de sa torpeur, et décide de se lever. Mais une question vient alors dans son esprit.*Mais putaing de bordel, on devait partir pour Grand Line, j'espère que je n'ai rien raté encore !* Non, il n'a rien raté, car c'est en sortant de sa cabine qu'on magnifique paysage lui apparaît. Magnifique, et surtout majestueux. Majestueux par ses navires détruits sur les côtés, et les nombreuses âmes en peines qui y sont sûrement encore. Mais ce n'est pas le cadet des soucis de Ryuuku, qui maintenant, réfléchit déjà à quoi faire. Il ne peut pas s'en empêcher, et décide de repenser à ce qu'il pense de Grand Line. Il y a déjà tellement pensé, mais là, il faut qu'il s'occupe.

*Encore de la flotte, de la flotte, et de la flotte. Mais au moins, quelques mystères pour une fois. North Blue, East Blue, et tous ces lieux, ils ne servent à rien. Par contre, de nouveaux endroits, comme Grand Line, et qui ont tant de choses qui ne demandent qu'a être découvertes... Que du plaisir donc, je sens que ça va être bien ! Sinon, tous ces pirates, faut vraiment que je trouve de quoi devenir plus fort, j'en ai marre d'être le plus nul. A oui, faudra que j'essaye de plus parler avec la nouvelle, on ne s'est pas beaucoup parlé pour le moment. Et sinon, en plus, je commence à beaucoup aimer le patron...*

Et c'est vrai, Ryuuku commençait vraiment à s'attacher à cet équipage, sincère. Et heureusement, car maintenant, ce ne serait plus des heures qu'ils passeraient ensembles, mais des semaines. Ryuu' décida de revenir à la réalité, et de regarder autour de lui. Ils allaient très vite, presque trop vite, mais encore une fois, la confiance régnait. Il avait même envie d'aller se recoucher, mais Ryuuku décida d'attendre, ce moment ne se passerait sûrement qu'une fois dans sa vie, et il fallait en profiter, chaque goutte, serait un grand souvenir. Le paysage défilait à vive allure, Ryuuku regarda ses compères, pour voir leurs attitudes. D'abord la nouvelle, pas facile à voir, et pour une fois, Ryu' ne s'attarda pas, ensuite Hiro. Je ne sais décrire ses sentiments, mais il avait l'air d'avoir une grande confiance en soi, enfin bon, c'est lui qui dira ce qu'il pense, ce n'est pas à Ryuuku de le faire. Et finalement, le patron. Lui, grand sourire aux lèvres, comme d'habitude, confiant, sûr de lui, défiant déjà la montagne, et rigolant de tout ces méfaits. Il avait l'air très content de lui, et il pouvait l'être. Le jour d'avant, il avait rapporté un gros poisson, que Ryuuku ne connaissait pas. Ils avaient failli en manger, mais il s'avéra qu'il était vénéneux. Tout le monde avait rétorqué que les poissons du fond, bein ils sont pas bons.

Le colonel Toji, était donc content. C'était sûr, sur Grand Line, il aurait beaucoup plus de champ libre, et ça c'est ce qu'il aime. Comme tout l'équipage, en fait. Même si parfois quelques ordres seront sûrement donnés... En parlant du colonel, il commença un discours, l'entrée étant en vue.

~

Il nous fit un joli petit discours, simple, comme d'habitude. Maintenant, tout le monde savait que c'était le moment, l'instant, que tout allait commencer, et que ce n'était plus possible de retourner en arrière. Il nous promit la gloire, Ryuuku n'en avait presque jamais douté, dès qu'on voit le colonel, et ceux qu'il recrute... On sait que ce sont des gars qui iront loin, et qui ne s'arrêteront pour presque rien au monde... Ensuite il parla de festivités, encore bien lui. Il pensait déjà à ça, alors que tout les autres pensaient sûrement à d'abord monter cette montagne... Confiance. Confiance était le mot maître de ce début d'expédition. Après le discours du capitaine, Ryuuku décida de dire aussi son petit truc à lui. Sûrement chacun en ferait de même, les Sea Wolfs sauraient ce que pensent leur camarades. Une voix ouverte aux autres pour une fois, laissa passer un message fort.

-Les gars, je suis simplement content d'être avec vous, merci patron d'être là pour nous amener vers le haut. Je suis confiant, et même plus, alors c'est parti !
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Nous y voilà, enfin devant cette immense montagne. Reverse Moutain ! Le torse en avant, regardant au loin fièrement. L'air rentre dans mes poumons, je respire un bon coup. Gomu Gomu Noooa Rocket ! ...Je me propulse vers le haut du mat, la vitesse prend de l'ampleur et ma joie autant. Ma main sur mon front, je guette les signes. Allions nous échouer et nous écraser ? Seul l'avenir nous le dira.

Sur ce lieu, il y'a des passages très courts, les courants sont trop fort. C'est pour ça qu'il faut s'y prendre à l'avance pour avoir une plus grande marge de survie. Je me remémore ce que m'avait dit Tati Kuina...

*Il y a divers chemin sur grand line, d'autres sont plus dangereux que certain...Y rentrer est une épreuve qui demande une grande concentration. Si un jour tu arrive à cet étape, souviens toi de ceci ! Regarde le haut et observe les nuages. Le vent te guidera ! La forme et la façon de bouger de ceux là t'indiqueront le chemin*

Aaaah ! Tribord toute ! Cap à 33 Degres sud !

Ordonnant cela aux hommes de mains. Le patron comptait sur nous et on allait pas le décevoir. Je redescend excité, me pressant pour sortir les voiles. Le Fenrir s’accélèrent de plus en plus, et les battements de mon coeur sont d'autant plus fort. Le son des vagues me hante. Dereshishi...Je n'ai jamais connu une sensation aussi forte, d'un coté la peur de mourir et de l'autre, un bonheur immense. Je pourrais enfin, mettre à profit l'enseignement de tati. Je retourne en haut du mat, Nous y sommes presque, ooooh ! Je n'arrive plus à réfléchir. Comme si je le faisais en temps normal. Je n'ai qu'une seule pensée en tête...Un bon festin ! Hein ? Ah ma pensée à été altéré parce que viens de dire le patron. Festivité sur la première île ? Ah c'était bon tout ça. Encore quelques mètres, nous allons savoir si oui ou non, nous étions de ceux qui avaient franchit cet endroit légendaire.

« Hiro ! Amène nous en haut de cette putain de montagne ! »

C'est dans ces moments là que les plus beaux moments de notre vie défilent devant nos yeux. Mais pas pour moi. Ce que j'ai vu, était devant, un équipage uni pour un même but. J'en ai le souffle coupé, figée, mes joues tremblent, le vent rentre dans ma bouche. Ma peau élastique se met en arrière. Mes globes oculaires sortent de mon visage. Wouaaah ! Face à notre ennemie naturel, on ne peut pas bluffer, ce qu'il faut faire, c'est d'avoir confiance en soit, avoir confiance en ses Nakama's et surtout au Fenrir !

Le navire ne flotte plus, il vole dans les airs. Il surfent avec finesse, c'était comme s'il était vivant et qu'il savait où aller. Les nuages défilent à l'ouest. Le vent vient de l'est, quelques mètres. Il faut bouger du coté gauche d'urgence. C'est inévitable, si on y arrive pas, nous allons percuter le récif !

Passez à bâbord ! Dépliez les voiles !

Merde, on va pas passer ! Je me presse vers le pont, une poignée de sable qui s'écoulerait d'une main peut faire une estimation du temps restant. Je me dépêche pour atteindre la barre, je projette mes bras pour l'atteindre, et là je pousse vers la gauche. Je sors sur le pont, trempé et je souris en voyant la même détermination dans leurs yeux. C'est là qu'on voit le vrai courage d'un loup !

In extremis, on est passé ! Enfin ! Un soulagement profond, et une joie immense se voit sur les visages. Le patron, Ryuuku, sur le pont, ainsi que la nouvelle, où était elle ? Je ne la voyais pas. Bref, pensif, je me visualise dans l'avenir en pleine montée. Un jour, je deviendrais Amiral de la marine !

*Oré wa ! Kaigun No Teitoku !*
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Lin était dans sa cabine, nouvelle dans l'équipage, Toji ne perdit pas de temps et fit d'elle la charpentière attitrée du navire. Alors qu'elle triait ses affaires de charpentiers, pendant ce temps, dehors, le Fenrir amorçait sa montée en Grand Line, mobilisant tous l'équipage.... sauf elle....
Alors que notre héroïne avait enfin fini de tout ranger, le bateau tangua violemment, ce qui renversa la rouquine et refoutu le bordel qu'elle venait de ranger.

- Nan mais qu'est-ce qu'il foutent ces....

Elle s'arrêtât, comme si elle devait se souvenir d'un truc important, après quelques secondes elle posa son poing sur sa mains comme si elle venait de comprendre.

- Oh merde...... c'était aujourd'hui !

Oui, cette conne avait oubliée que les Sea Wolfs passaient sur Grand Line aujourd'hui. A ben bravo ! Bref, sans perdre de temps elle prit une corde et ses deux marteau, se dirigeant vers le pont principale sur lequel se trouvait tout le monde. Une fois sortie elle constata les lieux, de nombreux navires échoué sur nos flanc, le Fenrir porté par un torrent sans égal, l'adrénaline montait pour tous le monde, y compris pour le peste !

Alors que le navire faisait de nombreux bond, elle attacha la corde à sa taille, l'autre bout étant accroché à un crochet sur le mat, tombé dans l'eau serait vraiment con, surtout maintenant ! Elle resserrait le nœud tandit que son nouveau capitaine proclamait un discours, faisant résonner sa puissante voix, motivant tout l'équipage. Maintenant la navire volait, la sensation que Lin ressentait était extraordinaire, à la fois terrifiée et excitée elle s'arrêtât, quelques instants, admirant ce qu'il se passe autour d'elle, le bateau était dans les air, lors du passage crucial. Elle reprit vite ses esprits et se souvint que au moindre dégâts sur le bateau, ce serait pour sa gueule...... Elle se mise à criée alors.

- LE PREMIER QUI ENDOMMAGE LE BATEAU EST MORT !

Légèrement ironique dans sa voix, elle savait qu'elle ne pourrait pas couper aux réparation de la traversée de la Reverse Mountain mais bon, il fallait bien qu'elle s'affirme ! Le Fenrir quand à lui, retomber sur l'eau, alors qu'enfin, les Sea Wolfs entraient en Grand Line.
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Enfin ! Enfin nous voici tout en haut du terrible cap qu'est Reverse Moutain ! Encore quelques mètres dans cette brume... J'entends déjà le son des quatre plus grands courants des mers se rejoindre tout en haut. Comme une flèche nous traversons en un bond le nuage de vapeur que l'on trouve en son centre, nous faisant alors percer l'épaisse couche de nuages lugubres qui entouraient notre ascension. L'espace d'une seconde nous flottons sur une mer de brume, au-dessus de laquelle un soleil resplendissant nous éclaire de ses rayons. Au loin, s'étale l'immensité de Grand Line et d'une multitude d'îles toutes plus excitantes les unes que les autres. Puis, nous rechutons dans les ténèbres de la montagne.

Pris dans les courants descendants les plus violents qui existent, le Fenrir prend de plus en plus de vitesse, nous obligeant tous à nous cramponner de toutes nos forces tandis s'ouvre à nos yeux l'entrée de la route de tous les périls. Pris par l'excitation je ne peux me retenir de dévisager les uns après les autres tous les Sea Wolfs présents, leur gratifiant à chacun d'un sourire éclatant. Difficile de dire s'il faudrait en prendre peur ou pas...


Mais tandis que nous descendons de plus en plus loin dans le canal, le courant jusqu'ici régulier commence à devenir chaotique. Un remous par-ci, une grosse vague par là... rapidement notre navigateur doit faire preuve de toutes sa concentration pour tenir le cap et nous éviter une sortie de canal des plus désastreuses. Bientôt, je peux observer des vaguelettes étonnantes remonter le courant, comme si quelque chose obstruait la sortie. Perché au-dessus de la figure de proue je m'abîme les yeux à percer la brume afin de voir dans quoi nous nous dirigeons. Mon instinct paranoïaque a repris le dessus, ça sent le roussi à n'en pas douter !




Brusquement le rideaux de vapeur s'ouvre devant moi, me laissant apparaître la cause de tout ceci.
Tout en bas de la montagne se sont entassés une demi-douzaine de navires, bloquant l'écoulement du courant. Détails étranges, tous sembles abandonnés et surtout démâtes. Qu'est-ce que c'est que ce bordel ?... Et puis c'est quoi le truc que je vois entre les deux phares qui bordent chaque côté de la sortie... Putain j'arrive pas à voir d'ici... Puis soudainement tout s'éclaire ! Une Foutue grosse chaîne est tendue entre les deux phares, visiblement pour couper net les mâts des navires en pleine vitesse ! Ce n'est rien de moins qu'une saloperie de traquenard à l'entrée même de Grand Line ! Je vois d'ailleurs maintenant les responsables de tout ceci, en train de se fendre la gueule à nous voir plonger vers eux, impuissant. "Impuissant", c'est mal nous connaître !

Sur la rive droite je peux compter une vingtaine de pirates en armes, mené par un homme de trois bons mètres. Sur la rive gauche, c'est un géant de pas moins de quinze mètres qui se dresse, finissant de retendre la chaîne. Putain, voilà comment ils ont réussi à mettre en place leur piège... Sa force doit être un atout de taille autant pour cette phase du plan que pour piller les navires une fois démâtés. Dans tous les cas va falloir se bouger les miches vite fait si on veut pas que le Fenrir finisse comme les autres épaves en bas !

« L'asticot ! Démerde-toi pour ralentir le Fenrir avant qu'on y laisse nos mâts ! Ryuuku, la Mouflette ! Chargez-vous de décrocher la chaîne à droite ! Moi j'me charge de son attache à gauche."

"J'vous avez promis du sang les enfants ? Le voilà déjà Mwouahhahahaha ! Alors en chasse Sea Wolfs »



Montrant l'exemple, je me projette du navire en une puissante poussée, avant de me précipiter vers ma proie dès que mes pieds ont touché le sol de la rive. Ça va barder c'est moi qui vous l'dis ! Personne n'a le droit d'abîmer mon navire, vous m'entendez ? Personne !


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    Et voilà, tous les visages sont d'accords, pour montrer le même sentiment. On sait voir les nuages, et autres, quelques petits problèmes, mais finalement, la descente s'en vient amorcée. Pour Ryuuku, tout est beau. Et une seule pensée vient germer dans son esprit : *Parfait, il n'y a eu aucun problème, c'est rassurant.* Et pourtant, après quelques secondes de délai, notre Colonel comprend. Là, devant, il vient de se passer quelque chose d'extraordinaire, de pas normal. Une chaîne, de plusieurs mètres se dresse sur leurs passage. Pas si con que ça ces pirates... Mais bon, ils ne savent pas contre qui ils sont, dommage qu'ils ne connaissent pas le Capitaine Toji, mais ça ne tardera pas.

    Tout de suite, Ryuuku comprend. Un piège, pas besoin de plus d'informations. Il regarde ensuite sur les côtés, et voit tout de suite quels sont les éléments qui ont permis la création et la mise en place de la chaîne. Un géant, et l'autre côté, une petite vingtaine de pirates, qui n'ont pas l'air des plus compétents, mais qui ont une grande confiance en le géant, enfin, sûrement. Et tout de suite, le Patron donne un ordre. Lui et Ayzami, cette nouvelle, au caractère fort, et sûrement à la force équivalente, doivent s'occuper des pirates, sur la rive droite. C'est une course contre la montre, et pour ça, Gakuen est fort, il sait réfléchir vite, et sait déjà aussi que Toji va s'occuper du géant, le dernier regard que notre penseur a, est vers Toji, ayant déjà d'un grand saut sauté sur la rive gauche. *Pauvre géant.*

    Ryuuku se détourne, ça va être à lui maintenant. Vite, comment atteindre pour lui la rive, proche, mais peut-être un peu trop escarpeuse à son goût. Tant pis, autant essayer. Le Colonel saute, quelques secondes, sent le vent passer sur lui. Il se sent bien, est presque dans un autre monde. Mais d'un coup, le choc brusque, de la réalité, et de la pierre. Il se sent vivre, et pas qu'un peu ! Il sent le contact de la terre, et voit le bateau encore avancer plus loin. Pourquoi ne pas faire comme le bateau ? Foncer ! Et c'est ce qu'il fait, sans aucun regard sur les côtés, ou pour son nouveau nakama, il fonce, presque tête baisée, vers les ennemis. Au fond, deux gars. On peut lire sur les visages de pirates l'étonnement. Un grand étonnement, très fort. Ils ne comprennent pas. C'est le parfait moment pour foncer tête baissée. Et sans un mot, Ryuuku charge.

    Aucune frappe, bien, petite esquive. Il arrive rapidement au bout. Là, il y a toujours les deux mêmes gars. Derrière, Gakuen entend des cris. Sont-ils fait pas la "Mouflette", ou alors des dégats causés par Ryuuku ? Peu importe, car maintenant, devant lui, se trouve un gars, très musclé, tenant une chaîne. Et devant, un gars avec des scies. Une dans chaque main. Ce gars là, il doit pas être normal, mais surtout, un peu gore. S'occuper du gars derrière, d'abord, le bateau se rapprochant rapidement d'eux. Ryuuku plonge en avant, se fait mal, mais pas gravement. Il passe en-dessous de son ennemi, et le surprend tellement qu'il ne fait rien. Pourquoi personne n'attaque notre Cuisinier dans le dos ? *Maintenant, m'occuper de ce gars musclé, comment faire...* Pas trop le temps de réfléchir, Ryuuku décide de mettre un simple plan à exécution. Il se rapproche en courant, et frappe. Frappe où ? A un endroit, où seul un homme peut avoir aussi mal qu'il mourait. Et c'est ce qu'il a, se tordant de mal par terre, il se roule sans le vouloir, et tombe dans la falaise. Un plouf très significatif doit signifier sa mort...

    La chaîne tombe. Merde, le mat se ferait encore détruire pour l'instant, que fait Toji, et que font les pirates derrière notre Colonel ? Il se retourne, et ouvre ses grands yeux, comme il sait le faire. Et regarde attentivement la scène devant lui, les sentiments étant mélangés en lui... Il crie juste quelque chose, avant de se positionner pour regarder cette fois Toji, et de peut-être retourner au plus vite sur le bateau, si tout s'est bien passé... Ryuuku lance ces mots sans regarder de l'autre côté.

    -Patron ! Faudra que vous lanciez la chaîne un peu plus loin, elle est encore dans le chemin !

    Peut-être est-il en train de le faire, peut-être pas. La seule façon de le savoir, est de regarder.
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Nous arborons la grande voile face à Grand Line. Une chose se dresse devant nous alors que nous étions sur la descente. Tout allait si vite, l’excitation du moment était de plus en plus forte. le danger nous guette depuis le début. Le destin de l'équipage était scellé ! Nous allons subir la même chose que toutes ces épaves ! Quand soudain, la voix du capitaine retentit au coeur de mes oreilles. Un son tremblant qui résonne, je frémis, mon corps vibre, je ne tremble pas de peur mais de ... !

Bam ! Je sentis comme un léger choc, sans doute un banc de poisson. Pas le temps de m'attarder sur mes pensées, je devais agir vite pour éviter la catastrophe. Cette longue chaîne dédié à couper les mats des bateaux allait donner un sacré boulot à notre charpentière et si je me loupe, elle va s'acharner sur moi cette tigresse ! Donc pas question de rester là à trop réfléchir, je sais ce que j'ai à faire. Je regarde le ciel, voyant les nuages aller à bâbord, je pris la barre et je la tourne. Je sens le bateau s'alléger. Zut de flûte, c'est pas bon, il va prendre plus de vitesse !

Mettez la grande voile à contre ! On se doit de changer l'allure !

Oh ! Mais personnes ne sait ce que c'est ! Gomu Gomu Nooo... J'allonge mon bras vers le grand mât, puis je prend mes deux mains et ensuite je modifie les écoutes, le bruit de la voile .Pherup..Pheruup...Un large sourire sur mes lèvres, j'ai aimé entendre ce bruit. Le temps minime pour régler la voile, n'était pas assez court. Une idée me vint lorsque la voile était en train de se faseyer.
Ou plus ou moins faire un bruit semblable à un drapeau au vent. Jusqu'à qu'elle se mit à gonfler quand le vent fît face, un travail précis.


Je ne me souciais plus de ce que faisais mes nakama's, la seule chose qui comptait était d'aller foutre une bonne raclée aux enflures qui ont tendu ce piège. Éventuellement de comment faire pour éviter de se prendre la chaîne. J'ai réussi à ralentir la vitesse du Fenrir.* tout doux.* Le vent était avec nous, seulement, il était impossible d'arrêter complètement le navire et si on le virait à bâbord ou à tribord pour l'éviter, le bateau va chavirer. La prochaine fois, je demanderais à la charpentière une nouvelle voile spéciale pour l'arrêt. Pas le temps de penser au questions techniques, je me devais d'agir avant qu'on ne percute la corde en fer.

Je cours en direction de l'avant, d'une façon coordonnée, à partir du mat en tenant une vitesse assez constante. J'attendis le moment où nous allions percuter le danger avant de m'élancer. Ce qu'on appelle communément le point de non retour. Je devance Ryuuku et Lin et ensuite je saute hors du navire.

Gomu Gomu Noaa Fussen !

Prenant une grande inspiration, je me gonfle comme un ballon géant, je touche la chaîne et l'avant droit du bateau, laissant ainsi beaucoup plus de temps à mes 2 camarades d'agir et aussi de pouvoir ralentir le Fenrir...Espérons que cela va marcher !
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Enfin nous allions entrer dans Grand Line, Lin était soulagée la bateau n'avait rien, elle était donc tout aussi heureuse que les autres membres de l'équipage, sans aucun problème extérieur pour venir gâcher cela. Elle sentait l'adrénaline monter encore plus encore c'était merveilleux ! Enfin.... jusqu'à ce qu'elle constate le comité d'acceuil de Grand Line.... un embuscade SUPER ! Ces enfoirés voulaient détruire le mât du bateau.
Toji donna ses ordres, la rouquine afficha une mine sombre.........très sombre..... il semble que l'éventualité que ces pirates veuillent endommager le bateau mettait dans une rage pour le moment contenue la jeune femme. Alors que Ryuuku se préparait à sauter sur la terre ferme, Lin détacha calmement son bout de corde attaché au mat pour l'attacher à un de ses marteaux.
L'autre bout de la corde était toujours attachée à la taille de la jeune femme.


-....J'vai vous battre......

D'un coup elle leva la tête ses yeux étaient ceux d'un prédateur, son nakama était parti devant et elle dans un élan fit un énorme bond, chargé en avant vers la terre ferme, utilisant son fruit du démon pour se transformée en une femme mi-tigresse, mi-humaine. Si le cuisinier cherchait plus à esquiver pour arriver le plus vite possible à la chaîne, Lin elle..... ne comptais pas laisser ces brigands s'en sortir.

- A MOOOORRRRRRRRTTTTTTTTTTTTTTT

Le marteau attaché à la corde suivait la jeune femme, qui une fois sur la terre ferme, fonça sur les brigands, prenant la corde de ses deux mains et se stoppant net dans sa course, laissant le marteau fauchés violemment deux hommes.

- AHAHAHAHAHAHAHAHAHAH

Dans une folie furieuse, elle se jeta de nouveau parmi les brigands, se retransformant en humaine. Alors que certains étaient déjà à terre grâce à Ryuuku d'autre tentaient d'aller attaquer le cuisinier par derrière pendant qu'il s'occuper du gardien de la chaine.

- Pas besoin de l'utiliser contre vous.....

Elle dégaina son second marteau et entama le combat, dans la mêlée elle prit de nombreux coups, ils étaient armés de poing américains, de sabres et autres armes de bases plus ou moins dangereuse. Quand la jeune femme ne répliquait pas à coup de marteau de son bras droit, elle lançait le marteau attaché à la corde de son bras gauche. Un esquive, un coup de marteau sur la tempe et ainsi de suite. Très vite elle dû cependant faire attention, son nakama s'était occupé de sa partie de la chaine. Maintenant c'était au capitaine du navire de s'occuper du géant qui retenait l'autre partie de la chaine. Alors que notre héroïne tentait de se dépêtrée de la mêlée à coup de marteaux, couvertes de bleu et de légère coupure, elle gueula un coup en donnant un grand coup de marteau devant elle pour dégagée d'éventuels gêneurs.

- Allez Boss ! Vous pouvez le faire !

*J'veut pas que le mât soit pété...J'veut pas que le mât soit pété....J'veut pas que le mât soit pété...*

Voilà ce qu'elle pensait en fait, elle ne voulait absolument pas avoir à faire des réparations d'une importance pareils sur le bateau..... elle voulait profité un peu de leurs arrivée en Grand Line et non passé ses premiers jours en ces eaux à réparer le Fenrir.....
Alors que l'action continuait elle se préparait à retourner sur le bateau, courant vers Ryuuku du plus vite qu'elle pouvait.
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Korosu, toujours à son aise devais prendre de son temps libre et se retrouver se Grand Line, c'est pourtant ce qu'il allait faire...du moins, ce qu'il en pensait. Sa journée, quoi que très peu banale, lui avait permis la rencontre d'un couple qui lui avait servis un bon repas venant de leur petit resto du coin. À vrai dire, ils lui avaient chuchotés à l'oreille qu'ils allaient s'essayer sur Grand Line. Bien-sûr, ce cher petit génie n'eut guère envie de manquer cela, enfin une chance de se retrouver sur cette mer maudite. M'enfin, il pourrait bien-sûr rejoindre comme il le pourras le premier équipage qui sauras le repêcher. D'une allure pittoresque, il s'était faufilé aux abords d'un navire marchand, se dirigeant sur Reverse Mountain, il s'était dit que le pire qui pourrait arriver serait les secousses que le bateau subirais.

Il était à bon port et prêt à partir, rien de moins que de bonne guimauve pour la route et ses objets médicaux si un vieux venait à se bloquer la colonne. Il avait son bagage habituel, rien de superflus et était bien placé puisqu'il devait être le seul médecin certifiés de la place. Comme voyage, ça allait être d'une immense relaxation selon lui, à vrai dire, jusqu'au rivage des monstres des mers. Donc, rien de plus qu'une vogue banale. Il avait décidé de reposer ses forces avec un somme qu'il n'allait pas oublié, les vagues qui frappait la coque ne lui donnait plus du tout mal à la tête, il était tellement habitué, que désormais c'était relaxant. Comme une douce mélodie à ses oreilles, quoi qu'il préfère ne pas entendre trop de bruit pendant qu'il dort...

Alors que son sommeil avait le dessus sur lui, un grand PAF le remit sur pied. Du coup il s'était cogné la tête sur un imbécile de bout de bois dans le chemin et avait titubé en bas du hamac. Quoi de mieux pouvait-il lui arriver. Mais il ne pouvait pas plus se plaindre sans avoir vue ce qu'il y avait dehors. Il marchait d'une stabilité extraordinaire malgré le fait que sa brassait sous le capot. Rien de très impressionnant malgré tout, mais en rejoignant la pont du navire, lui qui ballait encore, avait un flingue pointé à deux pouce de son visage. Il semblait un peu surpris de voir que des pirates avaient déjà abordé le navire, mais ce géant le gênait, c'était pas comme s'il pouvait pointer son regard dans la même direction que le flingue. D'un air dégouté, il ne pouvait que se retourner et ricaner dans sa barbe.

Mais cesse d'immaturité, il se ressaisit et redevint sérieux, il pouvait voir là des brigands des mers, quoi que de très bonnes cibles faciles. Il ne pourrait être en bonne positions de combat, le fait est qu'il risquerais de blesser quelqu'un de ce pauvre navire marchand. Il ne pensait pas encore qu'il devait faire cela, mais agis quand même avant de faire l'une des pires bêtises de sa vie. Ses mains menottés en un rien de temps, il fut menés sur une petite île sur le rivage, de quoi à rester prisonnier, désormais il ne pouvait qu'attendre des renforts, mais ça lui laisserais au moins le temps de régler la question des menottes. Pendant un long moment, autour de lui il s'était amusé à trafiquer une clé et trouver le bon mécanisme en observant la serrure des autres autour. Vraiment à faible budget ses pirates, à vrai dire, seul lui et deux autres avaient des menottes, tous les autres était rattachés par des cordes.

Bon ça lui laisseras la chance de se cacher en douce là derrière et retirer ces mesquines menottes qui lui serrait le poignet un peu trop fort. On avait retirés presque tout ces objets, il lui restait un fond d'un sac de guimauve, ainsi qu'une scalpels à lame bien aiguisé. Si les choses devaient mal tournées, même une scalpels pourrait lui permettre de décapiter, enfin il sait très bien qu'il n'a pas encore le niveaux pour découper un os humain, mais qui sait ce qu'il pourrait faire, les incisions ça lui connais. Une longue vague de vent fouettait les environs, lui qui se servait des guimauves en vitesse pour ne pas que l'on l'aperçoivent, se prenait plusieurs rafales incessantes et qui le dérangeait dans sa dégustation.

Au bout d'un moment, le vent c'était tut, mais l'apparition de part les cieux d'un grand mât avec un drôle d'insigne qui ressemblait à une de ces bêtes sauvages, il avait en tête soit la hyène...ou bien ce qui irais bien mieux, le loup. On pouvait apercevoir le bout du navire, mais c'est là que sa réaction changeas. Une immense chaine métallique jaillit des mers et était assez grande pour pulvériser le navire ci-joint. D'une drôle d'élancé, des personnes occupant le navire avait plongé tête baissé dans la baston avant que leur navire percute cette gênante chaine. On voyait l'équipage composé de trois hommes et une femme qui semblait très sur d'eux-même, chargés comme des défoncés et par surprise, c'était eux qui menait grandement la bataille.

C'était le moment d'agir qu'il se disait et en effet, il allait se servir de cette équipage afin de libérer les otages. Il avait prit le fond du sac de guimauve d'un coup sec et pendant que ces misérables pirates confrontait le navire imprévus de Reverse Mountain, il c'était mit à défaire les liens de ces malheureuse cordes, bougrement nouées. Finalement, le fait d'avoir libérer quelques otages lui donna la chance de s'en prendre à des pirates pendants que ces citoyens s'occupait des autres. De grand costaud à l'avant avait été terrassé, mais ce géant avec cet air ridicule semblait bien regardé l'homme-poisson dans cet équipage. Il se dit qu'il n'était pas si mal que ça dans son habit de matelot, mais pour l'honneur il était content que ce soit de bon fiers à bras qui débarquent au lieux de pauvres qui aurait pu se prendre cette chaine sans même agir.

Voilà un équipage fier de combattre, mais il ne devait pas se déconcentrer et devait garder son but. Se rendre sur Grand Line à tout prit et trouver toute antidote possible à n'importe quoi et n'importe qu'elle cure disponible contre n'importe laquelle des maladies hideuses de ce monde. Pour retourner dans le combat, il s'était positionner derrière un pirate ennemi et lui brisa l'os du genoux à l'aide d'une bonne poussé au sol et d'un grand coup de pied directement sur la partie supérieure du genoux. De quoi le faire tourner de côté... Quatre autres pirates avaient entendus de drôle hurlement à l'arrière, mais ne leur laissant pas le temps de réactions, il avait brandis sa scalpels et avait découpés la gorge du prochain. Ensuite, il dirigea un lancer droit dans l'œil gauche d'un autre pour lui sauter sur le thorax et l'aplatir au sol.

L'un des deux pirates restant sortie son épée et fonça comme on cinglé vers Korosu. Mais il avait prévus le coup, le sac de guimauve qu'il avait gardé lui permit de déconcentrer l'adversaire, car il l'avait projeté dans les airs, et comme un pauvre imbécile, il s'était fait prendre au jeu et c'était prit la lame de l'autre pirate au sol dans le cœur. Le dernier semblait indécis, mais n'avait que son flingue à porter de main, rien de mieux que ça pour tuer quelqu'un sans s'en approcher. Bien que très original, pour se couvrir, le cadavre de son camarade pourrait lui servir de bouclier et en effet c'était son bouclier. Le pirate n'avait pas encore décidé de tirer, selon Korosu, il était tellement nerveux, qu'il avait une peur bleue que de manquer sa balle au risque de se faire tuer.

Il avait connus la nervosité auparavant, mais cette fois-ci, ce n'était que de l'ancien, il était comme un nouveau Korosu, un qui n'a peur de rien et qui fonce, même avec ruse pour débusquer les faiblesses de l'adversaire et lui prendre la victoire. En voyant les veines ressortir de ces mains, il exerçait une pression assez forte encore pour tenir l'arme, comme Korosu la première fois qu'il avait flanqué une balle droit dans la tête d'un homme, que de bon souvenir après tout. Son pouce maintenant encore le déclencheur, ce qui voulait dire qu'il n'avait pas encore fait son choix. Donc ce qui voudrais dire qu'il n'aurais pas le temps de bouger son index assez rapidement sur la gâchette pour déclencher un bon tir. Il s'était dit, ''Quelle chance, un rookie'' ! Mais dans sa tête ça sonnait plus comme *Et merde, s't'encore moi qui s'tappe les nases...*

Il avait donc prit la chance de lancer l'homme qui lui servais de protection contre le pirate et donc le déconcentrer à max pour lui faire un plaquer au sol rapidement derrière. Il lui avait planté la scalpel droit dans la main tels un crucifix, pour lui faire lâcher son pauvre flingue inutile. Ensuite, il lui donna un bon coup de poing sur la mâchoire pour lui fermer la gueule une fois pour toute et en finir avec lui en lui perçant les poumons et lui déchirant la moitiés. Laissant ainsi, une marre de sang incessante et des hommes en moins pour leur victoire. Finalement, c'était presque comme une bataille gagné d'avance, il semblerais que cet équipage lui ait tapé dans l'œil et en sautant directement dans cette gué-guère, il avait comme idée d'en savoir plus sur ces quatre individus sortie de nul part !


    Enfin j'ai posé le pied de l'autre côté de Reverse Moutain, enfin je suis sur la route de tous les périls... Et la première chose que j'vais y accomplir, c'est d'faire couler le sang ! Une putain de semaine que jn'ai rien eu à me mettre sous la main qu'un pauvre monstre marin tout juste bon à me maintenir en forme, tandis que là... Un géant ! Le destin m'offre un foutu géant en guise de bienvenue ! J'adore ça !

    Quoiqu'à bien y regarder, celui-ci ne fasse pas vraiment honneur à sa race. Plus je me rapproche de lui plus je m'aperçois que mon adversaire n'a rien de vraiment terrifiant. L'allure négligée et les muscles disparaissant sous une graisse signe d'un entrainement négligé, il ne manque plus que son regard blasé et sûr de lui pour finir de me dépeindre un guerrier laxiste et au-combien décevant. Ce crétin ne prend même pas la peine de se mettre en garde tant il semble confiant de sa force, au combien misérable malgré sa taille impressionnante ! Tant pis pour lui, je ne compte pas m'attarder sur son cas avant de m'atteler à défaire cette putain de chaîne. Après tout, un combat reste un combat non ? Alors autant ne pas gâcher son plaisir huhuhu.



    Sur mes lèvres se peint alors un franc sourire, laissant apparaitre deux rangées de dents pointues. Aux vues de la réaction du géant je dois avoir l'air encore moins engageant, mais je m'en moque éperdument. Avant qu'il n'ai le temps de réfléchir à la conduite à suivre, je me rue à l'assaut tel une bête furieuse ! Les pas s'enchaînent sous moi alors qu'un cri de guerre gronde de plus en plus fort dans ma poitrine.
    Une enjambée... deux enjambées...
    Je laisse cette force sortir de ma gorge, comme une entité enchaînée qui ne chercherait qu'à se libérer...
    Trois enjambées... Quatre enjambées...
    La moitié de la distance nous séparant est déjà atteinte alors que l'exaltation continue d'enfler en moi, prête à me faire exploser !
    Cinq enjambées... six enjambées...
    Le géant s'empresse de dresser haut son poing avant qu'il ne soit trop tard. Tant mieux, je veux qu'il me rende coups sur coups avec ferveur !
    Sept enjambées... Je peux presque me voir dans ses gigantesques prunelles écarquillées.

    Sa main s'abat alors sur moi tel un formidable battoir, essayant de m'aplatir avec sa paume contre le sol. Trop lentement... Je suis loin d'être un des marchands couards qu'il a l'habitude d'affronter et qui se laissent paralyser par sa taille.
    Au huitième pas je prends donc une violente impulsion sur ma jambe porteuse, me projetant au-dessus de son bras qui frappe le sol avec fracas ! Profitant de sa lenteur, je prends appui sur son coude abaissé pour me lancer de tout mon poids et de toute ma fureur vers son menton maintenant à ma hauteur ! Ma droite lui crochète l'angle de la mâchoire avec la puissance d'un tsunami ! Le visage déformé par le coup, le géant part alors en arrière tandis que son cou se tend sous la puissance de l'impact, faisant alors jaillir un geyser de sang dans le ciel.

    A peine retombé au sol que je renchéris sur lui, profitant de sa surprise pour continuer un enchaînement qui devrait sans aucune forme de doute avoir raison de son endurance. Un high-kick fulgurant lui heurte donc l'intérieur du genou, dans un affreux bruit de cartilages broyés. Avant même que son cerveau n'enregistre la douleur, son menton est inconsciemment redescendu à ma portée, écopant par la même occasion d'un uppercut dans la trachée ! Nouveau bruit de cartilage écrasé. Mwouahahah j'ai jamais eu droit à un punching-ball aussi gros ! C'est pourtant tout ce qu'il est entre mes mains à ce moment-là, un foutu sac de sable qui subit mes attaques. Le cerveau secoué dans tous les sens et la gorge broyée, il ne m'offrira plus la moindre résistance maintenant. Putain... à quand un adversaire de valeur ?!



    « Patron ! Faudra que vous lanciez la chaîne un peu plus loin, elle est encore dans le chemin ! »

    Sans un regard à mon second je m'empresse de saisir le géant par le col de ses guenilles, avant d'effectuer un puissant balancement circulaire autour de mon épaule. Sous la force de ma terrible traction le géant décolle du sol tandis que la force centrifuge augmente encore un peu plus son inertie. Dans un terrible cri de rage je le projette alors tête la première sur le phare où est encore accrochée la chaîne. On me le reprochera sans doute plus tard, mais j'ai plus l'temps de faire dans la dentelle ! Lorsque la tête de mon adversaire heurte la bâtisse, les sons de ses vertèbres qui se brisent et de la pierre qui explose s'entremêlent, créant un fracas au son si plaisant. Dans une pluie de moellons de pierre l'édifice explose sous l'impact, libérant la chaîne qui s'abat alors dans l'écume du rapide !
    La voie est libérée pour l'Asticot.


    (…)


    La minute d'après, je grimpe sur le cadavre du géant mêlé aux décombres du phare afin de prendre un peu de hauteur pour évaluer où en est la situation. De là où je suis j'ai un point de vue magnifique sur la tournure des évènements... Les bras croisés sur mon volumineux torse, je scrute avec attention le spectacle qui s'offre à moi... Ryuuku et la Mouflette en train de faire leur petit carnage, L'Asticot qui se démerde comme un chef avec le Fenrir parmi les épaves de navire... Et cet autre type qui apparaît un peu plus loin... Qui c'est ce gars-là ? Mon regard perçant se darde sur lui tandis que le reste de mes Sea Wolfs finissent avec zèle le boulot.

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    Et ben ! Faut croire, que ce bon vieux patron sait y faire avec les gens qui sont sur son chemin. En même temps, personne ne s'en doutait. Ce gars, venait de terrasser un géant, en à peine quelques longues secondes, ensuite, il avait enlevé la chaîne à sa manière, en attendant, l'autre, Hiro, avait aussi super bien réussi son coup, ils venaient tous de gérer. Un autre homme était apparu au loin. En fait, pas si loin pour la bonne vue de Ryuuku, qui voyait bien que les traits du gars pas loin, semblaient fins, coupés. Notre Colonel l'analysait, doué le gars, il ne manquait pas une occasion d'utiliser son cerveau.

    Ensuite, il se retourna, et regarda derrière lui. La nouvelle, cette fille, aux cheveux rouges, et aux cordes vocales poussées. Un regard d'imposa sur elle alors. Le voyeur, comme l'on avait appelé Ryuuku par le passé, voyait bien maintenant que cette femme n'était pas n'importe qui. Une grande fougue, de l'intelligence... Elle dut sentir un regard lourd de jugements se poser sur elle, car dans un bref mouvement, elle acheva un pirate. Elle ne devait pas aimé être jugée, comme beaucoup de gens. Mais dans la vie, il faut parfois ce résoudre à ce qui est, et pas ce à quoi l'on voudrait qu'elle soit...

    M'enfin, cette fille, avait pris ses marteaux, et semblait savoir ce qu'elle faisait, sans vraiment y réfléchir. Chez elle, l'effet de simplicité devait faire son effet. En plus, elle à l'air d'aimer gueuler, le Patron devait l'aimer, beaucoup même. Cette charpentière aurait du cran. Le voyeur baissa les yeux. Son jugement fut positif. Il était maintenant fini, évidemment, il évoluerait, mais il savait bien que dans son esprit, que ce premier regard lui resterait à vie. Pas qu'une vue ce Ryuuku, aussi une bonne mémoire. Il revint maintenant au moment présent, il venait de beaucoup penser, il ne lui restait que peu de temps.

    Et le bateau s'approchait. S'approchait vite. Comme l'autre fille qui venait d'en finir avec la plupart des pirates. Imprévisible fut le premier mot.

    *Ptu. - C'est quoi c'te manie de cracher partout comme un lama ? -

    *Saloperie de manie. Depuis que j'ai connu ce Al', je peux plus m'empêcher de cracher quand j'ai émis un jugement trop rapide. * Le seul sentiment qu'eut notre Colonel fut celui qu'il venait d'avoir une nouvelle faiblesse, une nouvelle faille dans ses sentiments et ses pensées. Faudrait qu'il enlève ça, ça ne le ressemblait pas. Mais tout cela, ce serait pas pour maintenant, il allait rater le bateau. Il décida de vite dire un p'tit truc, et après, il reviendrait sur le bateau. Bonne idée ça.

    -Hey, fille, tu m'as l'air assez douée, jolie la fight. Bon, on va devoir sauter sur le bateau, essayons juste de pas le rater, faut dire qu'il va vite. Allez, bonne chance ! On s'retrouve sur le bateau !

    Chose faite, le Second du bateau s'accroupit, et leva les yeux au ciel. Le timing, c'est pas son fort, autant jouer sur sa chance légendaire. Quelques secondes, ou quelques minutes, peu importe, il ne sut pas, les yeux fermés, le temps peut paraître long comme court. Enfin bon.

    D'une grande impulsion, il sauta.
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    *J'ai des frissons, est ce de la peur ?*

    On formait une fameuse équipe, à nous quatre, on avait déjoué les plans de ces brigands. Malheureusement, je n'avais pas vu tous les évènements. Ce qui comptait pour moi était de revenir sur le bateau avant que je ne tombe lorsque la chaîne se détacha...Gomu Gomu...J'allongeais mon bras et hop ! Me revoilà Fenrir, tu m'as manqué ? Je me retourne et je vois que mes deux camarades s’apprêtait à revenir sur le bateau. Je pense qu'un coup de main n'est pas exclu.

    Gomu Gomuuu...*vite*

    J'attrape de la main droite, Ryuuku. Mais je ne voyais pas la tigresse, où était elle passé ? Je regarde le Colonel Gakuen, je lui souris et lui dit:

    Sympa ta médaille Colonel Huhuhu...Y a encore des brigands sur terre, maintenant que le bateau s'est calmé et qu'il n'a aucune égratignure, ça te dit un combo entre nos deux forces ? Et si tu veux pas, bah je vais m'occuper d'eux seul, t'auras qu'a regardé. Dereshishishi.

    Maintenant que le Fenrir n'était plus en danger, j'allais pouvoir faire la fête à tous ceux qui nous avaient menacé. Je m'apprêtais à me catapulter sur terre ! Sans attendre Ryu. Je ne savais pas s'il comptait rester là ou pas, mais moi. Je n'allais pas rester les bras croisés ! Je pris mes membres supérieurs et j'allongeais mon corps. Mes pieds me retenais, j'attendis quelques secondes et j'allais me lâcher.

    Gomu Gomu Noooo Rocket !


    Prêt pour l'aventure ! Nous allions montrer à tous ces ripoux que la marine n'était pas à prendre à la légère. Sentant l'air s'abattre sur mon corps, voyant me rapprocher de la terre ferme. J'applique à quelques temps avant l'impact ma technique balloon. Amortissant le choc, je me reforme normalement, en position de garde, prêt à entendre le mot bienvenue sortir de la bouche de ses malfrats.

    La tigresse, j'espère qu'elle va bien, enfin avec ses sauts, elle doit surement être dans le bateau. Ah dans la panique, je ne savais pas ce qui s'était vraiment passé. Pourvu qu'elle soit dans le bateau avec Ryuuku. Oui, et ils sont peut être en train de boire du thé ensemble, bon bref. Je stressais quelque peu pour mes Nakama's mais c'est des Sea Wolf ! Et On est tous le temps à la hauteur. Un loup n'a peur de rien !

    Je cours vers un brigand qui semble être trop sur de lui, une chance, il n'est pas armé. Et Vlam ! Un bon coup de poing dans l'estomac et j’enchaîne avec un autre sur le visage. Pauvre de lui, il s'agenouille face à mes attaques à distance. Qui est le prochain ? Je continuais comme ça jusqu'à mettre à genoux tous les pirates restant. A la fin, j'attrapai le dernier par le cou. Se ruant dessus par terre, je lui demanda qui était l'auteur de ceci. Il répondit en tremblant Rowbert Sencho ! Avant de tomber dans les pommes. Soudain j'aperçu un homme et alla à sa direction.

    P.S. L'homme c'est shinrin...Les pirates je ne sais pas combien il en restait alors j'ai fait ça.

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    Alors que Ryuuku et Lin en avait finis de leurs côté, le colonel, lui ne tarda pas à tout bonnement éclater le géant. C'est clair il méritait bien son titre de capitaine et toute cette force ne faisait que forcer l'admiration que la jeune femme éprouvait pour son capitaine même si c'était qu'un gros rustre d'homme poisson.
    Mais maintenant le temps n'était plus à l'observation ! Les pirates était quasiment tous K.O voir pire et le bateau semblait enfin hors de danger ! C'est alors que le cuistot s'adressa à elle..... alala ils sont cons ces mecs, pourquoi ils ne peuvent pas lui parler normalement ? Pourquoi l'avait il appeler "fille" de façon si primaire? A la fois perturbée par la tournure de la phrase et le ton que cela pouvait laisser supposer donner elle l'écouta. La rouquine le vit partir devant, elle grimaça.

    - Peuh, pas besoin de chance, j'vai pas rater le bateau !

    Quoique, c'est vrai que c'était un peu chaud là, elle devait pas se rater et sauter d'une traite. Elle se mit à courir non loin de la limite de terre, plus le choix elle devait faire comme à l'aller et revêtir sa forme à mi chemin entre la femme et la tigresse. Cette fois elle rangea son marteau en pleine transformation dans un mouvement magistral et d'un bond, avec un maximum d'élan elle se jeta en sautant comme une folle furieuse sur le bateau. De peur de pas arriver à temps elle n'avait pas visée et se ramassa contre une parois du bateau, mur d'une cabine. Le détruisant au passage et créant un petit trou. Elle se releva parmi les débris, constatant son excès de zelle et le petit trou dans la cabine qui offrait une magnifique vue panoramique vers l'extérieur. Une fois qu'elle réalisa totalement son bourde elle ne pu s'empêcher de penser que cela allait lui donner du boulot.

    - NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON

    Et oui, premier jours en Grand Line...... réparation d'un mur de la cabine pour la peste. Blasée elle commença son boulot, faisant fit de ce qu'il se passait sur le pont du bateau. Si sa se trouve ses camarades se faisaient du soucis pour elle mais elle ne voulait pas qu'on voit qu'elle avait abimée un petit peu le beau bateau des Sea Wolfs. Donc elle préféra se faire discrète pour une fois et commencer à retaper ce qu'elle pouvait avec les bouts de bois de la parois brisée encore utilisables. Après quoi elle devra bien sur le dire à Toji........ elle appréhendée un peu ce moment, chose qui n'arrivait pas souvent à cette jeune femme imbue d'elle même qui en a rien à foutre des supérieurs. Faut dire, le père Tempête c'était pas un enfant de choeur hein.....

    *Aller il dira rien, il osera pas hein ! Je vais m'en sortir et réparée ça tranquille.....*

    Se disait elle tout en stressant quand même pas mal.
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    Il fallait être là pour le croire, en effet, cet homme-poisson, sourire moqueur, on aurait dit qu'il pouvait te détruire n'importe qui très facilement. Il n'était sûrement pas quelqu'un à prendre à la légère. Après tout, ils ne seraient jamais venus ici si ce n'était que pour un petit voyage de touriste. Non non non, c'était sûrement de fier combattant à vouloir intégrer Grand Line, à son niveau actuel et vue le nombre de personnes dans cet équipage, il espérait de tout cœur que ces vestons de la marine n'avait pas été volé afin de faire discret. Il n'avait qu'à le demander, ce grand homme était sur ce géant comme si de rien était et son regard perçait les siens. On pourrait croire qu'une aura était dégagé jusqu'à lui, à ce qu'il semblait imposant ! Mais il se fichait de ces petits détails, pas après avoir été remarqué. Un autre homme se dirigeait vers lui, mais qui pouvait-il bien être ?

    Petite question, pas trop troublante, ne causerait sûrement aucun ennuis s'il la poserait. Il semblait posséder un certains pouvoir, parce que devenir élastique aussi rapidement et d'un coup se propulser dans un tas d'ennemis pour les achever, c'était presque irréel. Ouais et il ne devait sûrement pas être le seul, cette femme là-bas, n'était-elle pas devenus un tigre pendant un petit moment ? Soit qu'il avait bu quelque chose sans le savoir, ou bien il avait raison. L'autre homme sur le navire, il semblait fort et même s'il n'avait pas vue toutes ces capacités, peut-être avait-il un secret ou un truc ? Tandis que l'autre, bien son style était époustouflant, c'était la première fois qu'il voyait quelqu'un envoyé valser un géant de la sorte. Quoi qu'il ne semblait pas être un géant qui devient fort par l'entraînement, mais juste en se fiant à son physique, le coup de l'homme-poisson avait dû scier dans ces oreilles.

    Leur bateau à eux n'était pas mal, petit, mais dois faire l'affaire sur de longue trajectoire et des poursuites. C'était soit des marins, à causes des uniformes, ou bien des chasseurs de primes, ou des pirates qui auraient prit possession d'un navire et des vêtements. Ils ne semblaient pas trop ingrat, mais on dirait qu'ils avaient cet air, de ne pas vouloir trop accepter des choses et suivre la meilleure vois pour eux. Un peu dans son style, obéir à certains ordres, mais une fois libre, en faire qu'à son affaire et ne pas rester là à rien faire ! Le vent devenait un peu plus fort, les oiseaux eux tournaient encore dans le ciel, en autant qu'ils n'osent pas faire leurs besoin ici ça ne faisait pas trop de mal. Il avait un regard intense ce mec, on aurait dit qu'il le foudroyait du regard, c'était presque horrifiant. Mais il était resté pied à terre et n'avait en aucun cas bouger avant même qu'il soit devant lui.

    Tous ces foutues pirates avaient finalement tomber et il devait remercier ces mystérieux personnages.

    ''Yo ! Je vous remercie...de...de...bah d'avoir atterris ici comme par pur hasard et d'avoir défié ces brigands'' !

    Il ferma alors ces yeux, inclina un peu sa tête sur le côté et se donna un petit air mesquin. Son sourire s'affichait encore, jusqu'à ce qu'il demande imprudemment.

    ''Dîtes moi, ces uniformes, enfin, pour ceux qui en portent, sans être indiscret, est-ce qu'ils vous appartiennent'' ?

    Il n'était pas inquiet, seulement qu'il n'aimerais pas enclenché une autre bataille pour trop de blabla, mieux valait faire vite et direct et en finir directement. Lui qui désormais se cherchait un équipage à rejoindre pour traverser Grand Line. S'il était tombé sur la marine, sans hésitation il posterais sa candidature. Peut-être était ce une manœuvre risqué, ou bien simplement trop difficile, puisqu'ils semblaient tous avoir quelque chose de plus que lui. De la force...peut-être, mais de la camaraderie, ça oui ! Ils devaient déjà tous se connaître au moins depuis un bon bout, et son arrivé pourrais changer un peu leurs habitude. Dans ce cas, il s'était dit qu'il allait rentrer dans un équipage marin qui aurait besoin de médecin, car s'ils en avaient déjà d'assez compétent et avec un niveau plus élevé que lui, les rejoindre ne feraient que nuire d'autre équipage dans le besoin.

    Mais cette impression soudaine ne lui laissait pas froid dans le dos, comme s'il était fait pour voyager avec eux, après tout, ils avaient sans doute le même objectif que lui ? Disons...détruire complètement cette fausse menace de pirate qui enfaîte ne sont même pas ce qu'ils prétendent tous. Son sourire était largement formé jusqu'au prunelle de ses joues, il adorait des moments comme ceux-ci. Il ne pouvait s'empêcher toujours de croire en quelque chose qui pourrait se produire, quelque chose de bien spécial.
    La seul chose qui l'inquiétait finalement était...*Comment ces foutus marchands vont faire pour traverser une mer aussi dangereuse...*


      Du haut de mon estrade aussi improvisé que spacieuse, j'ai un superbe point de vue sur l'ensemble du panorama. Sans pour autant m'émoustiller comme une pucelle le soir du bal, je dois dire que ce que j'ai sous les yeux me remplis d'allégresse. Pensez-vous ! En deux temps trois mouvements mon équipage de chiens de guerre vient de massacrer sans la moindre égratignure une petite bande de pirates. Ils n'étaient certes, ni assez fort, ni assez nombreux pour représenter autre chose qu'un vulgaire apéritif, mais le petit jeu qu'ils nous ont permis d'assouvir a largement de quoi me ravir. C'est donc avec un sourire inquiétant que je descends de mon perchoir pour me diriger vers le cœur du champ de bataille.

      Traversant sans difficulté le rapide qui me sépare alors de l'autre rive, j'arrive rapidement devant l'asticot et un étrange gamin aux cheveux mauve. Bien que la vue de ses scalpels teinté de sang pirate et l'étrange intérêt qu'il me porte a tendance à titiller ma curiosité, je décide de l'ignorer pour le moment. C'est un geste tout ce qu'il y a de plus calculé évidement, mais si je devais me précipiter vers tous les étrangers un tant soi peu intriguant, je n'aurais plus une minute à moi. Je décroche donc à l'attention de l'asticot un signe de tête éloquent dans sa direction, message clair bien que dénué de parole à l'encontre de mon jeune officier. Il devrait facilement comprendre que c'est d'abord à lui de voir de quoi il retourne et de juger si ce type vaut la peine de me déranger ou non.




      C'est donc sans aucun regard que je continue ma route à la recherche de ce qui ressemblerait le plus à un survivant. De tels vermines n'auraient probablement pas eu l'idée d'un tel plan sans une aide extérieure, et je tiens à savoir laquelle. Surtout que le géant portait sur son torse un étrange symbole de piraterie, une tête de mort servant de chope de bière. Où est-ce que j'ai déjà vu ce Jolly Roger déjà ?... Bah, j'ai entrevu l'asticot interroger un des pirates avant que celui-ci ne tombe dans les vapes. Il avait l'air plutôt éloquent, on va voir jusqu'où nous mènent ses bavardages.

      Deux trois tartes dans les gencives le ramène à la dure réalité, où il n'aurait jamais voulu revenir si j'en crois le visage terrifié qu'il arbore à la vue de ma face à quelques centimètres de la sienne. Si mon visage semble à première vue affublé du masque de la sympathie, un simple coup d'œil à mes yeux suffit à y lire de la pure malveillance. Toujours sans un mot, ma bouche s'ouvre dans un sourire qui tient surtout de l'horrible grimace de croquemitaine. A mon plus grand plaisir, l'homme ne peut réfréner à cette vue un petit hoquet d'horreur, huhuhu.



      Sans me presser, je saisis alors un autre de ses camarades blessés, le tirant vers lui d'une poigne puissante. Lentement, jouant avec ses peurs, je dégaine mon gigantesque poignard devant son nez. L'instant d'après, l'homme me regardera horrifier enfoncer la lame dans les tripes de son compagnon d'infortune. En douceur, comme un artiste se délectant de sa création ,je tourne et retourne le poignard dans la plaie, arrachant à ma victime d'immondes gargouillis d'agonie. Je prends autant de plaisir à faire souffrir cette vermine de la mer qu'à savourer les expressions de mon spectateur.

      L'art de la torture présente bien des subtilités... arriver à déceler le point précis où la victime souffre assez pour dévoiler tous ses secrets les plus intimes est difficile... Il faut savoir s'arrêter juste avant le choc traumatique qui ruinerait tous les efforts du bourreau. Pour ma part, je préfère user d'une autre méthode : L'intimidation.

      Après deux longues minutes d'agonie, l'homme que j'ai sous la main finira ainsi par passer l'arme à gauche dans une râle. Une fois mon méfait accompli, je repasse alors au premier des deux pirates. Je m'adresse alors à lui dans un calme olympien, bien que nettement teinté de menace.

      « Bon gamin. Maintenant que tu as vu ce que je savais faire, tu vas me dire tout ce que je veux savoir. Dans le cas contraire, si tu voulais me prouver que t'as des tripes en refusant de parler, j'irais tout de même vérifier à l'intérieur moi-même.
      Allez, mets-toi à table. »


      (…)

      Peu de temps après, j'ai enfin tout ce que je voulais savoir... Ce misérable n'a pas offert la moindre résistance... Ptuh ! Il s'est mis à me débiter toute sa foutue vie à une vitesse prodigieuse, c'en était presque dégoutant ! Je me détourne donc de lui, puisqu'il ne présente maintenant pas plus d'intérêt qu'un insecte à mes yeux. Un cafard répugnant...




      Bon, il va être temps de mettre mes hommes au courant de mes petites découvertes...
      Mais avant il reste une dernière chose à faire, mais pas des moindres. Celle qui sera comme une signature mise à l'entrée de Grand Line... Celle qui dira au monde que les Sea Wolfs sont arrivés.

      « Les enfants ! Égorgez-moi tous les survivants. Laissez juste celui-là en vie, qu'il puisse raconter à tous ce dont il a été témoin aujourd'hui. Pour les autres, on n'a pas les moyens de les emmener, et ils ne se sont pas montrés assez vaillant pour mériter notre clémence.
      Faites ça vite et bien mes loups, j'ai des nouvelles fraîches. »



      Une fois mon ordre donné, je me retourne alors vers le nouveau venu aux cheveux mauves, remarquant au passage une petite foule de civils emprisonnés derrière lui. Maintenant que le cas des pirates est réglé, je vais pouvoir m'intéresser aux détails. Je lui fais ainsi signe de venir à moi de la main, tout en le scrutant sans gène des pieds à la tête.
      Quel genre d'homme avons-nous là ? Mais surtout, quel intérêt pourrais-je en tirer ?


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      *Ça doit faire mal !* fut la première pensée de Ryuuku après avoir atterit sur le bâtiment de la marine avec une chance inouïe. Comme d'hab' quoi, lui, ne s'en étonnait pas beaucoup. Il avait eu de la chance, et ça, il savait que c'était quelque chose qu'il avait en sa possession. Et il s'en servait chaque jour. Quoi qu'il en soit, il était bien arrivé sur le bateau, et il n'avait pas eu si mal aux jambes avec le choc qu'il l'aurait pensé. Mais il repensa à ce que venait de faire Toji. C'était ingénieux, et à la fois dégoutant et envoutant. Pourquoi envoutant ? Voir le reflet des yeux du pirate si apeurés dans ceux du patron... Ça faisait peur, et même pas qu'un peu pour dire.

      Pas le temps de s'occuper de ça en fait. Il y avait du bruit en bas dans le bateau. Le nouvel ordre avait été lancé par Toji, décidant de tous les buter. Dans l'esprit du Colonel Ryu', il trouvait ça tellement futile, ça ne l'intéressait pas de tuer pour tuer, surtout qu'aussi, il n'avait rien sur lui pour trancher une gorge. Il préférait donc aller s'occuper de son cher bateau, et voir quel était ce bruit. Il ne stressait pas, et ne savait pas vraiment pourquoi. Il était confiant, et pensait que ce bruit n'était en fait rien du tout. Mais il arriva en bas, et entendit des bruits. Un marteau à l'oreille, contre du bois ! Un sabotage ?

      Qu'une seule façon de vérifier, et Gakuen le savait bien, il commença à avancer pour aller voir ce qu'il se passait. Il marcherait calmement, et entendit quelques cris dehors. Les marines enrôlés par le patron semblaient n'être pas des enfants de cœurs. Ça n'étonnait pas plus que ça le voyeur. Et oui, il fut un temps où l'on appela comme ça Ryuuku, ce qui fit un peu sa renommée il y a un temps. Mais ce temps n'était plus vraiment. Peut-être revenant à Marie-Joie, lui redonnerait-t-on se surnom... Il réfléchissait trop, et n'était toujours pas allé voir qui était cette personne qui touchait au Fenrir.

      Quelques marches. Quelques pas presque inaudibles. Il arriva enfin, et regarda par un bout du plancher, qui était cette personne qui travaillait à l'étage plus bas du bateau. La nouvelle, Ayzami. Elle semblait bien se débrouiller avec les planches, et Ryuuku l'observe pendant un petit moment. Elle réfléchissait, et devait sûrement être fachée contre elle. Elle qui ne voulais pas que quelqu'un abime le bateau... Finalement, c'était elle qui l'avait endommagé. Cela se voyait, sûrement en revenant sur le bateau, elle avait du se louper. Et le Voyeur avait raison sur ce coup-là.

      Il hésita à aller parler à la nouvelle, mais il se décida. Il allait aller lui parler. De toute façon, ce qui se passait sur le pont ne l'intéressait pas beaucoup pour l'instant. Il suivrait Ayzami quand elle remontrait sur le pont, mais en attendant, il irait taper quelques mots avec elle. En attendant que le carnage sur le pont soit fini. Et il réavança, maintenant avec des pas plus lourds, pour se faire entendre. Il était maintenant arrivé en bas. Il prononça une phrase simple :

      -Moi c'est Ryuuku, tu es donc Ayzami. Tu te débrouilles bien. Mais tu fais quoi ici ?

      C'est sûr, Ryuuku n'était pas le plus doué pour la discut'...

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      ''Yo ! Je vous remercie...de...de...bah d'avoir atterris ici comme par pur hasard et d'avoir défié ces brigands'' !

      J'avais réussis à mettre K.O. le reste des pirates. D'un coup, Je me sentais bizarre. Ce n'était pas parce que je n'avais eut que le reste, je m'en fichais. Car je savais bien que les vrai défis sont à venir. Je reprend donc mon souffle. Un jeune homme louche aux cheveux gris ou mauve qui avait un signe particulier, une marque au bas de l'oeil, il était devant moi et souriait bêtement. Je me disais que peut être il me connaissait, mais rien. J'avais beau réfléchir encore et encore, rien ! Nada ! Quelque chose m'échappe, j'ai pourtant le pré-sentiment de l'avoir déjà vu.

      Je ne m'attarde pas sur mes pensées et là une phrase de trop qui ai sorti de sa bouche. Il avait des doutes sur ce qu'on était. Mais de quel bled, il venait ! Quand je vais lui annoncer mon grade, il fera moins l'ignorant ! Je m'étais mis en colère, une rage soudaine qui me faisait du bien. Quel culot il avait, je vous jure, j'allais lui mettre une belle droite. Fallait que je me calme, ce n'était pas moi. Ah mais oui c'est moi, en plus mature, je me rappelle ma première mission avec le Vice Amiral Scarlet, que de bon souvenirs à West Blue. J'en avais reçu des leçons de conduite, c'est aussi parce que j'en faisais des conneries. Ah c'est bon, ça me redonne le sourire...

      C'est dans cette dernière pensée que je vis le patron s'avancer et me faire signe de la tête. Au même moment, je sentis comme un malaise. Ma vue se trouble, ma main gauche commence à trembler, puis je reprend le contrôle. Surement l'émotion d'être aux portes de Grand Line, nous allons vivre de grandes aventures comme celles raconté dans les livres et pourquoi pas un jour, nous seront des légendes. On racontera les exploits des Sea Wolf's. Ah que de rêves. Je m'éloigne de l'individu le laissant seul avec le boss. Je pose un dernière regard sans aucun mot. Je n'avais pas la force de parler, plutôt je ne voulais pas m'embêter avec les paroles. Pourquoi ? Même moi je ne le savais pas. Quelques instants plus tard vint l'ordre du capitaine.

      Impossible ! Égorger les survivants ! Mais, c'est totalement injuste ! Certes c'étaient des brigands ! Certes ils ont faits des choses pas net ! Mais notre devoir est d'isoler toute menace, tuer était en dernier recours, en cas de légitime défense. Je tremblais de plus en plus fort, j'avais extrêmement chaud. Mon coeur battait de plus en plus. Je n'allais pas avoir une conscience tranquille. Mais les ordres sont les ordres. Je m'approche lentement d'un truand, je ramasse une arme tranchante difficilement...quelque chose m'arrive. J'ai une affreuse douleur au ventre ! C'est anormal, ça s'accentue.


      AaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaH !

      J'étais tombé sur mes deux genoux, intentionnellement j'avais activé ma technique vocalize. Celle qui vous n'offre aucun bien au niveau de vos oreilles. Puis le noir total. Cette fois ci ce n'était pas l'eau de mer qui m'avait mis K.O. Mais on va dire que c'était une chose vivante qui peut affecter tout être dans ce monde et cela même si on était des surhommes !






      Dernière édition par Hiro Shima le Dim 20 Mar 2011 - 14:17, édité 1 fois
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      Lin était clairement emmerder pour le coup, nouvelle sur le bateau, PIRE ENCORE charpentier du bateau depuis quelques jours et déjà c'est ELLE qui endommager le bateau ! Alala le pire c'est que pour une fois elle s'inquiétais de ce que l'on pourrais penser d'elle. Enfin bon elle était concentrée, elle voulait essayer de réparer sa gaffe discrètement pendant que tous le monde était occupé sur le pont. Cependant, problème, impossible de réparer le trou qu'avec des débris, elle allait devoir se faufiler vers sa cabine prendre du matos. Alors qu'elle finissait de retaper ce qu'elle pouvait avec le matériel présent elle sentie quelque chose, comme si elle était observée et elle avait raison ! Ni une ni deux v'la que le cuistot du navire arriva lui parler tranquillement. La rouquine frissonna à l'entente de la voix de l'homme.

      - Euh, j'ai un prénom hein.....

      Pfff qu'elle est chiante cette fille, fort heureusement elle se rendit bien vite compte que l'homme ne semblait pas lui chercher des noise, elle se mis un peu moins sur la défensive et continua.

      - Enchanté Ryuuku, moi c'est Lin....

      Si Ryuuku n'était pas doué pour la discute, Lin aussi, en effet la jeune femme à plus l'habitude de gueler sur les autres ou de les provoquer, mais bon. Elle se retourna quelques secondes pour finir avec les planches présentes.

      *Bon......*

      Elle se releva, un clou entre les dents, elle rangea son marteau et prit le clou dans sa main.

      - Quand à ce que je fait ici je crois que ça se voit, je répare un trou. Dit elle naturellement, comme si c'était pas sa faute à elle.

      Puis elle essaya de retourner la conversation, elle n'avait pas envie de se faire emmerder pour sa bourde.

      - Mais j'suis à court de planches je vais devoir aller en chercher dans ma cabine.......

      Elle s'avança, une fois proche de Ryuuku elle le regardât un air fourbe dans les yeux.

      - Et toi tu fout quoi ici ? T'es pas censé être sur le pont ?

      Ahhhhh sa politesse légendaire, en fait elle essayait surtout de camoufler le fait qu'elle avait fait un putin de trou dans le mur. Elle n'attendit pas la réponse du cuisinier et commença doucement à s'avancer dans le couloir du bateau, laissant loisir à Ryuuku de la suivre ou pas.
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      Quelques minutes plus tard, tout était fini. Comme une machinerie bien huilée, une petite partie de l’équipage des Sea Wolfs venaient de mettre la main à la patte, exécutant aussi bien mes ordres que la douzaine de prisonniers ligotés. La pratique peut sembler barbare voir injuste pour les civils spectateurs de la scène, mais nous n’avons pas le choix. Qu’aurions dû nous faire à la place ?!Les laisser repartir gentiment ? Hors de question ! Les prendre avec nous à bord du Fenrir ? Pas assez de place ! Et puis dans tous les cas, ma volonté fait office de loi en toute occasion, et aujourd’hui ma volonté est donc de faire passer un message fort à notre arrivée sur Grand Line. De plus, passer le fil de ma lame sous la gorge d’un pirate m’a toujours procuré le plus grand plaisir huhuhu. J’y suis donc allé de ma petite personne, montrant un exemple vite suivi en saignant quelques-uns des prisonniers que j’avais sous la main. Aaaah quel beau spectacle que celui que contemple le guerrier victorieux jouissant des pleins pouvoirs sur un champ de bataille dévasté... Grisante sensation de toute puissance dont je ne saurais plus me passer.
       
      Par contre, si mes sous-officiers et matelots ont été intraitables, je ne peux pas en dire de même pour mes officiers supérieurs. Mais où sont-ils donc passés par les cornes du grand Bouc ?! Entre leurs replis précipités au moment du labeur sanglant et l’autre asticot qui nous vrille les tympans avant de s’effondrer, me voilà bien lotis ! Je m’apprêtais à jeter pour l’exemple l’élastic-boy à la mer pour donner l’exemple, lorsque l’étrange individu aux cheveux mauves me fit pertinemment remarquer qu’il ne s’agissait pas d’un évanouissement de pucelle comme je l’aurais pensé en prime abord, mais plutôt les conséquences d’une « crise pathologique »... Crise pathologique ?... Il est malade quoi ! Putain, pourquoi il me cause jargon celui-là, il se croit médecin peut-être ?! Ah... ben ouais en fait il est médecin... Hum, bon ben j’ai rien dis ça va !
       
       
       
      Tandis que l’ensemble de l’équipage remonte à bord d’un Fenrir en apparence intact, je m’y hisse à mon tour, un Hiro toujours inconscient sur l’épaule. Une fois sur le pont je le refile sans ménagement au Sergent Karl afin qu’il lui fasse les soins nécessaires. Je lui jette par la même occasion un remède que m’a refourgué le « Doc’ Mauve ». Bien que d’apparence honnête, je ne le connais pas assez pour lui laisser administrer un quelconque produit à un de mes loups sans en avoir fait d’abord tester la composition. Je tiens à la santé de mes petits protégés, surtout quand ils se sont battus comme des enragés. C’est donc avec un regard dur mais néanmoins teinté d’une pointe de bienveillance que je vois Karl s’occuper de mon navigateur à même le pont. De son côté, l’étrange médecin est retourné délivrer les civils qui se pressent en masse vers la rive. Cela fait partie de l’accord auquel nous sommes parvenus après un courte discutions. Nous le laisserons là en compagnie de cette vermine marchande en attendant de se recroiser à l’occasion sur Grand Line. Il fut aussi convenu que nous lui laissons la responsabilité du pirate survivant, dernier témoin du carnage dont les dires étayeront grandement notre réputation. Bien que méfiant sur les motivations du marine, je dois avouer que j’ai hâte de voir ce que vaut un médecin sur le terrain... Mes Sea Wolfs en auraient grandement besoin dans le futur... Oui, j’espère vraiment qu’on aura la chance de se recroiser et de prendre plus le temps pour faire connaissance. En attendant nous n’allons pas tarder à mettre les voiles vers notre destin. Ne reste plus qu’un menu détail...
       
       
       
      Je me penche par-dessus le garde-fou, les mains posées sur la balustrade surplombant la foule qui n’attend qu’une autorisation de ma part pour monter à bord. Aucun d’entre eux ne souhaite rester plus longtemps ici, attendant un hypothétique passage salutaire.
       
      « S’il vous plait ! laissez-nous monter à bord. Emmenez-nous sur la prochaine île » M’implorent-ils tous en cœur.
       
      « Et puis quoi encore bande de moules ?! Vous nous avez pris pour une agence de voyage ?! Démerdez-vous ! »
       
      Manquerait plus qu’on me prenne pour un bon samaritain ! Je n’ai ni la place, ni le temps, ni même la patience de faire le taxi pour une cinquantaine de pleurnichards. Qu’ils doivent attendre deux jours ou vingt ans avant qu’un autre navire passe les aider ne me dérange pas le moins du monde, c’est pas mes oignons. L’amiral en chef m’a envoyé ici pour chasser de la vermine et c’est ce que je vais faire, le reste ne me concerne nullement.
       
      « Donnez-nous au moins des provisions pour tenir le coup ! Cela fait trois jours que nous n’avons plus rien à manger! »
      S’égosillent-ils tandis que je fais mine de m’en aller.
       

      Raaaaah mais ils insistent ces cloportes ! Plus pour avoir la paix que par soucis d’humanisme je leur jette alors négligemment une boîte d’une vingtaine de biscuit sec de la marine...Tiens, contentez vous de ça, aujourd’hui je suis d’humeur généreuse Huhuhu. Visiblement mon humour n’est apprécié que moyennement, mais je n’en ai cure, je les ai déjà effacés de ma mémoire, eux et les dommages infligés au phare pourtant séculaire. Je me retourne donc vers mon équipage cette fois au grand complet, scrutant chacun de leurs visages avec une once de fierté. Malgré quelques menus détails ce fut un bon début... Oui un bon début, ils ont de quoi être fier. C’est donc la motivation plus gonflée que jamais que je lance l’ordre du départ, jetant le log pose que le QG m’a confié à mon second en attendant que notre navigateur reprenne des couleurs. Sur la petite boussole est écrit : Mysterious Way Numb.4., ainsi que le nom de la première île sur le chemin de notre ascension aux sommets. Mysterious way... Quelles surprises nous réserves-tu ma jolie ?
       
      « En route les enfants !
      L’Aventure nous attend et je ne voudrais pas que cette garce s’impatiente !

      Mwouahahahahahha !»

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      L'autre était remontée en haut. La discussion, s'était pas non plus son dada finalement. Ils ses ressemblaient, sans vraiment se ressembler. Bizarre sentiment qui investit le Colonel. Cette fille, aux cheveux rouges, semblait aimer l'impolitesse. Cacher ses sentiments derrière tout cela ? Je ne disais rien, je l'observais, j'écoutais mon cerveau plus que mon cœur, comme a mon habitude. Elle était à la fois renfermée, et à la fois ouverte. Ne pas vraiment aimer le monde, mais ne pas le détester... Difficile de l'analyser, je devrais y revenir, car maintenant, elle sortait déjà du bas du bateau. Et Gakuen, lui, restait là, comme un con. Il se ressaisit. Il délia ses membres, fit craquer ses doigts, et respira un grand coup. Il savait que dehors, ça allait recommencer, l'aventure allait continuer.

      Il serra les poings, prêt à faire ce qu'il devra faire, et ce qu'il voudra. En marchant, il ne ressentissait plus rien. Il marchait juste, sûr de lui. Le soleil était présent, et quand Ryuuku sortit, il put voir devant lui que tout le monde était réuni. Hiro dans les bras d'un autre marine. Il semblait inerte. Le voyeur, comme l'on appelait parfois Ryu', allait se diriger vers lui juste pour voir. Un peu d'inquiétude, mais à la fois, il savait bien que ce gars, qui était fait de caoutchouc, ne mourrait jamais. Pas avant d'avoir réalisé ses rêves. Un objet fut lancé par le patron à son second. Par pur réflexe de peur, il l'attrapa. On ne sait jamais ce que le capitaine peut lancer, parfois, ça ne rassure pas. Mais là, c'était le log pose, ce qui allait les faire avancer sur cette voie...

      Oui, Grand Line. Maintenant, ça allait être drôle. Un regard vers Toji, qui lui, jouissait déjà de plaisir, à l'idée de faire ce qu'il voulait. Finalement, tout le monde était prêt. Sur les côtés, des gens criaient maintenant en ma direction, et en celle de la charpentière. Nous les regardions, mais pas plus longtemps. Le patron avait dut déjà décider de leur sort il y avait longtemps. L'autre, celui qui avait libéré les autres, nous regardait. Il semblait un peu perdu... M'enfin, Gakuen regarda avec plus d'attention l'objet qu'il avait en main. Une mystérieuse inscription... Numéro 4 ? Pourquoi un numéro ? Cette voie était connue pour quoi ? Il faudrait rechercher des informations, et ça, notre marine savait que ce serait un de ses boulots, chercher avec intelligence des informations.

      Quoique, s'il y aurait un danger, il viendrait à nous, et il repartirait assez vite. Sur le bateau, la fierté et la confiance en soi était plus que présente. Tous auraient pu se jeter tête baisée dans un traquenard, juste pour s'amuser encore plus... Mais heureusement, ils auraient le temps de se calmer... Heureusement ? Peut-être pas, mais ils verraient bien.. Maintenant, une petite aiguille dirigeait le nord-ouest, à 80 degrés. Ryuuku connaissait pas bien tout ça, mais comme le navigateur semblait un peu stone, même s'il s'était peut-être déjà réveillé, le voyeur dit les infos qu'il avait comprises à celui qui tenait la barre. Ça semblait être bon. Le patron attira l'attention. Il était prêt, comme au tout début. Lui, cette petite aventure n'avait fait que l'échauffer. Il était prêt à faire plus, beaucoup plus.

      Je regardais à mon tour en avant. Le bateau avançait peu à peu. Je ne dis rien, mais regarda le patron dans les yeux. Il avait compris. Je le suivrais, et je ferais ce qu'il me demanderait, comme je lui avais toujours promis.
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