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[RP Équipage] Il y a du courant, des récifs et du sang

Rappel du premier message :



Il y a du courant, des récifs et du sang



Combat acharné sur Reverse Mountain en 1624


Sur Le Bel Espoir




Voilà qu'on montait férocement sur Reverse Moutaine. La brume se formait toujours, mais on pouvait encore voir lisiblement les environs, voir que cette cascade inversée nous portait loin vers le ciel telle une ascension divine. Sautant de ma corde, je dégainai, Senkō kirameku kasai, ma gunblade. C'était plus calme par-ici. Disons que je n'avais pas encore vu d'hommes pour l'instant. Je commençais alors ma procession avec détermination, je n'avais pas peur d'affronter le danger. Je portais sur moi mon canon portatif, j'aimais bien avoir un petit plus histoire de faire plus mal. Une silhouette apparut face à moi. Mon premier adversaire était un jeune garçon aux cheveux noirs et qui était plutôt sexy. Sans réfléchir, j'ouvris le combat. Même prit en traître, il riposta aisément. Cela me surprit. Je sentais que le duel allait être très intéressant. On s'échangeait nos premiers coups tranquillement dans notre coin. Pour l'instant, c'était moi qui dominais, je testais ses capacités, voir jusqu'où il pouvait tenir, ahahah. Je n'avais pourtant pas encore commencer le vrai duel que je l'admirais déjà. Après avoir tenté une attaque, puis une seconde de revers, je fis un bond en arrière pour reprendre de la distance. Un rictus se dessina sur mes lèvres. Je ne pouvais pas m’empêcher d'exprimer ma joie débordante.


    Tu te défends bien petit, dommage de mourir jeune. Hélas, tu ne peux décidément rien contre la Déesse que nous sommes! Cela dit, nous te faisons la grâce de pouvoir jouer un peu avec nous.


Mon sourire cessa lorsque je repris l'affrontement. Je m'élançai en première sur ma cible. Je portais un coup horizontal circulaire, mais mon adversaire se baissa à temps pour éviter et enchaîna une contre attaque. Belle agilité.

Pendant ce temps, de l'autre côté du navire, la bataille se faisait rage sous les bruits des fers qui s'entrechoquèrent. Le combat n'allait pas être aussi facile qu'on pouvait le penser. Des secousses éphémères et soudaines déstabilisaient parfois les combattants, aussi bien sur un navire que dans l'autre. D’ailleurs, sur l'Inferno aussi ça se frottait sévère... Un seul équipage ne terminera pas la traversée sans encombre. Et à l'heure actuelle, il était impossible de savoir quelle équipe remportera sur l'autre, surtout que des facteurs incontrôlables comme des récifs ou des secousses qui faisaient pencher la faveur tantôt à l'un, tantôt à l'autre. Reverse Montaine aura bien des âmes à prendre...

Un coup d'estoc par-ci, un autre par là, puis un coup tranchant à la hanche, un autre à la tête et tout cela fut évité, dévié ou paré avec une excellente habilité. J'inversais maintenant ma position, laisser croire mon ennemi être le plus fort, pour mieux le surprendre. Comment ce jeune homme se comportait? Était-il arrogant au point de croire être le meilleur? Il fallait qu'il se gagne en confiance et qu'il relâche sa garde de manière subtile, ahahah.

Nonchalant, je reculais, j'esquivais moi aussi ses assauts. D'un coup, nos lames se chevauchèrent et sous le choc, par reflex, on se dégageait l'un de l'autre rapidement d'un bond en arrière. C'était une occasion de placer une autre réplique.


    Finalement, tu mérites plus d'être honoré. Est-ce toi le capitaine de cet équipage?


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Il y a du courant, des récifs et du sang



Combat acharné sur Reverse Mountain en 1624


Sur le Bel Espoir


Le bordel! Voilà ce qu'il y avait autour de moi. Rien d'autre. Si ce n'était que ça, je ne m'en plaindrais pas. Seulement, voilà que j'avais de plus en plus de peine à voir mes adversaires dans cette cohue. Non pas que je ne savais plus m'y retrouver, loin de là, mais qu'on venait sans cesse me gêner/m'interrompre dans mes mouvements. Certes, ces éléments extérieurs qui rendaient le combat plus difficile et plus dangereux, étaient des imprévus à prendre en compte dans sa vigilance. Et il y avait bien une chose que je détestais, c'était cela. Il n'y avait rien de plus dégoûtant, d'ignoble et d'horreur que de gâcher un tel moment: celui d'un duel singulier. Un combat entre capitaine, même quand ce dernier était appuyé par son nakama, se voulait être mythique!! Par conséquent, il ne devait pas être dérangé. D'autant plus dans un environnement aussi dangereux que la traversée de Reverse Moutaine!

Parmi les gêneurs de service, il y avait d'abord, cette forme titanesque et absurde qui renversa l'un de mes duellistes (et fort heureusement, sinon, je ne serais certainement plus là). Puis, en deuxième, j'avais eu le droit à une énième personne, dont son coup si puissant, m'aurait éjecté par-dessus bord si ce malheureux freluquet ne l'avait pas pris à ma place. Désormais, ce gamin torse-poil devait certainement plané au-delà de son navire. Paix à son âme. De plus, les secousses toujours de plus en plus inquiétantes, rendaient les manœuvres des deux vaisseaux délicat, voir impossible! Les deux bâtiments avaient du mal à éviter les récifs. Bien sûr, tout cela contribuait à m'empêcher de me battre convenablement.

Venant de nulle part, une gamine volait littéralement dans les airs, puis, elle s'écrasait sur l'une des voiles du Bel Espoir. L'arrivée peu commune ne manqua pas d'attirer beaucoup d'attention sur la fille. Personne ne comprit d'où elle sortait, ni ce qu'elle faisait, mais après avoir réalisé que la jeune femme était venue du ciel, chacun reprit sa tâche. Après la chute de la jeune, il n'y avait guère de monde qui se souciait de sa présence, car les gens la croyaient morte. En ce qui concernait Aoi D. Nakajima, elle ne s'était pas préoccupée. D'ailleurs, ne sachant pas si ses adversaires étaient captivés par la "femme-oiseau", la pirate profita pour rebondir sur la dernière phrase du cachalot. Alors, un léger calme s'imposa soudainement, juste assez pour qu'Hathor dévisage son illustre gêneur. Ce dernier semblait bien vouloir aider l'homme-poisson à son tour.


    Nous te retournons le compliment. Seulement, ce n'est pas la rage qui guide nos pas vers la victoire, mais quelque chose qui t'est inaccessible. Oui, une chose que seul la Divinité que nous sommes avons la possibilité d'obtenir. Car tu as beau te défendre comme un diable, saches que cela demeurera vain. Tu ne resteras qu'un vulgaire poltron. Oser nous défier par ta résistance est une erreur que nous ne permettrons pas. N'oublie pas qui nous sommes. Que le nom d'Hathor reste gravé dans ta mémoire comme étant celui qui te ridiculisera. Tu trembleras alors de honte en repensant à la manière dont nous t'aurions vendu comme esclave, ahahahahah!! Tel est le salaire de cet affront!


Je souriais sournoisement. Mes bras étaient au repos, mais je sentais un peu de faiblesse en moi. Je me battais avec un homme-poisson, une race bien plus supérieure que la mienne. Autrement dit, j'échangeais des coups de sabres avec une créature terriblement fort. Peut-être que si je parvenais à le battre (et je ne pouvais pas m'y résigner), le capturer ne serait pas une perte dramatique. Bien au contraire, avoir à sa solde une armée de puissantes bêtes, capables de sombrer des navires en quelques instants, était plutôt avantageux. Je verrais bien ce que je pourrais faire après.

Je laissais donc le nouveau venu et ce Ishii de m'attaquer en premier. Je bloquais une frappe avec ma main gauche, puis, tout en évitant l''estoc du sabreur à la moustache, je pivotais sur moi-même pour contre-attaquer. Laissant soin à ma lame d'asséner un coup du côté plat de Senkō kirameku kasai, je me pris un pied dans les côtes. Bordel! Il m'était plus difficile d'éviter des jambes et des bras. De plus, à cause de la suffocation, mon geste eut le même effet que lorsqu'un gamin de 8ans tape de toutes ses forces sur un mur. Autrement dit, rien. Je reconnaissais chez le nouveau combattant une puissance bien plus supérieure que le précédent (le bretteur-pervers). Je pouvais être blessée partout, perdre un bras ou bien même un œil, mais je ne devais pas avoir mal à mon ego. Oh que non! Pour rien au monde, je ne pouvais pas me permettre d'avoir le dessous, surtout après des paroles aussi démesurées (ce qui reflétait bien ma personnalité). L'heure de la victoire n'était pas encore arrivée, particulièrement après le coup reçut sur mon flanc. J'en avais encore le souffle coupé!! Je redoublais alors mes efforts. Quitte à m’épuiser plus rapidement, je devais au moins être sûre de pouvoir me débarrasser de ce combat au plus tôt, négligeant ainsi la précision. À mon tour de faire belle impression et de prouver ma valeur. Aïe!

Je rejetais mes cheveux en arrière et je m'élançais sur le blond, toujours avec ma pistolame à la main. Je donnais plusieurs séries de coups. Tantôt vertical, tantôt horizontal, puis tantôt obliquement. J'avais dans mon collimateur les deux individus, mais l'un esquivait aisément (ce qui m'agaçait) et l'autre bloquait efficacement, certes avec un peu moins de facilité, mais quand même! C'était un homme-poisson!! Soudain, le sabre de la poiscaille vint m'érafler le visage. Ce n'était pas grave, je saignais juste un peu. Seulement, c'était mon orgueil qui avait plus morflé. Et... à cause d'un réflexe prétentieux complètement sot, j'avais alors baissé ma garde pour gueuler, car cet acte était impardonnable.


    Insensé!!! Qu'as-tu fais-là?!! Tu as abîmé notre magnifique visa...


Je n'avais pas eu le temps de répliquer qu'un puissant coup de poing m'éclata le nez. Trop occupée par la blessure superficielle, je n'avais même pas vu l'assaut du blondinet. Sous le choc, je volais loin en arrière. J'échappais malencontreusement mon arme. Saacerace! J'enchaînais les erreurs.

Comme si ce n'était pas assez, les problèmes s'accentuaient pour tout le monde. Les deux navires montaient tellement vite, qu'ils décolèrent une fois arrivés au sommet de Red Line!! Tous les membres à bords du Bel Espoir et de l'Inferno furent propulsés, secoués, dérangés. Il y avait de quoi perdre ses hommes avec un bond pareil! Les deux vaisseaux restèrent donc ainsi un moment, pendant que les Étrangers et les Ombres du Chaos s'accrochaient à ce qu'ils pouvaient. Surpris par la puissance du décollage, Aoi D. Nakajima faillit tomber à la renverse et chuter pathétiquement sur la montagne rouge. Tenant comme elle pouvait d'une main son arme, elle s'accrochait désespérément avec son autre membre à la rembarre. Elle se situait complètement sur le bastingage de la poupe, tandis que ses illustres adversaires se cramponnaient férocement en face de la femme. La pirate sanguinaire tentait malgré les risques de tuer ses ennemis. Elle visa ses cibles avec difficulté.


    PaANnn !! !!!


    PaANnn !! !!!


Rien à faire, c'était trop instable. Je gaspillais inutilement mes munitions. Autant pisser dans un violon! En tout cas, une bonne chose était faite (passer la première moitié de Reverse), mais on avait encore un bout de chemin à parcourir. Il valait mieux mettre fin à ce conflit qui dégénérait trop vite et ce, avant d'arriver sur la route de tous les périls. Sentant le vent sur ma peau, je me préparais à ma prochaine attaque. Je devais avoir un bon timing si je voulais réussir. La caravelle s’écrasa sur les furieux courants après son vol "géostationnaire". Je m'aidais donc de la propulsion pour m'éjecter au loin vers ma cible. Grâce au choc puissant à "atterrissage", je bondis sur une longue distance. Maintenant, la proue pointait Grande Line, l'attraction terrestre nous attirait vers le bas. Ainsi, je me dirigeais vers ma cible avec la ferme volonté de l'embrocher. Ce dernier se retrouvait le dos contre la paroi. Moi, je chutais vers lui, le bout de ma lame dirigée sur son corps. Ce soir on bouffe du Cachalot!!!


    Meeuuurrs!!!!


~~ Page 3 ~~

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Dernière édition par Hathor le Lun 11 Mar 2013 - 15:10, édité 1 fois
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Le coup du grand gaillard avait fait mouche sans prévenir, sans être perceptible pour Ulcky. La seule chose qu'il avait remarqué, c'était un craquement... Bizarre après un coup de pied hyper violent... et l'image de son agresseur qui rétrécissait rapidement...

Ulcky : Polisson !

Insulte de dernière minute qui n'avait pas fait son effet, ou alors autant que ses pichenettes envers ce curieux personnage restant inconnu aux yeux bandés du charpentier. C'était le décore du navire qui défilait a contre sens à présent. Et étrangement, il y ressentit une chaleureuse douceur pendant un instant... Il y eu ensuite une douleur intense au visage... puis le trou noir... Un sursaut, de nouveau cette douleur au visage !

****

Ulcky : C'est peut-être le paradis qui arrive ?

Yuan : Alors tu as négocié notre arrivé ?

Ulcky : Moué...

Yuan : Menteur...

Ulcky : Regarde le visage de l'ange alors !

Yuan : Comment tu as fait ????

****

Devant son œil bleu ouvert, la vision d'un visage doux... En revanche, il commençait à souffrir de la paupière, car tirer dessus comme un élastique... Et bien quand tu relâche la pression sa pique dure et réveille d'autant plus ! Mais il ne pus s'empêcher de prendre dans ses bras la douce dame qui se trouvait devant lui...
Les mains de l'homme caressait les énormes bras de la sauveuse et .... Pouic, pouic... Après de multiples palpations et un recul pour dévisager ce qui ressemblait d'avantage à un homme qu'a une femme. Ulcky commença à reprendre ses esprits.

****

Yuan : T'es vraiment un gros menteur...

Ulcky : J'y ai cru pourtant à notre place là haut...

****

Ulcky : Vous devez être une personne de l'équipage adverse je suppose ? Enchanté de vous rencontré. Je présume de votre appartenance car je ne vous ai jamais vu avant... Bref je vous salut !

Ulcky leva le bras en signe de salut d'une façon totalement honnête, mais il sentit une douleur sur son torse et au vue de se dernier complètement bandé... Il devait y avoir de la casse là-dessous. Alors effectivement, il avait eu la confirmation qu'elle était celle qui l'avait soigné, de plus il apprit qu'il était le deuxième gus au sol. A croire qu'ils atterrissaient tous ici.

Yuan : Oh regarde !

Oui, Ulcky tutoies plus que rapidement…

Yuan : Une autre !

Une jeune femme s’étala au sol, mais là c’était plus grave que pour nous deux. Elle perdait beaucoup de sang et perso, réparer un bateau c’est simple, mais là… Et bizarrement, mes doigts c’étaient retrouvé dans la blessure de cette dernière. J’avais eu comme seul explication une sorte de « Laisse-toi faire, bouge pas ta main, je fais le reste »… Quant j’ai voulu désobéir, car je n’aime pas trop les ordres… La main démesurée de la femme au visage si doux écrasa mon petit poignet et mon petit poignet commença à écrire à message au cerveau. !

" Chère cerveau, je suis sous l’emprise d’une pressions assez douloureuse car il semble que tu ne souhaite pas aider un personne en difficulté, demandé gentiment par ailleurs ! Je me permets donc de te souligner que la douleur que je subis, montre le mécontentement de ton interlocutrice et que j’aimerais bien que tu change d’avis dans les plus brefs délais. J’ai expressément envoyé le message en recommandé 4 secondes pour avoir une réponse rapide. PS : Tu trouveras en pièce jointe la douleur !"

Bizarrement, j’ai obéit après… Le pire, c’est quand on a pris la descente de reverse, car avant cette chute, il y a la fin de la monté et le passage à vide avant le fracas. Au départ c’était cool. Presque reposant, mais ensuite… Beaucoup moins. Déjà car il y avait les douleurs récentes qui se réveillaient malgré les soins et qu’en plus, il fallait bien soutenir la bande d’éclopé que nous étions. Bref, nous étions en lévitation et la chute allait être énorme, surtout pour la petite, moi après et notre ami le brun ensuite... Quand le bateau repris sa descente ce fut le choque pour tout le Monde. L'ami homme et moi, nous avons attrapé la jeune demoiselle, ce qui était beaucoup plus facile pour nous blessé et moins fatiguant. Mais nous étions encore sur un sol non palpable... Notre infirmière commando, elle, nous avait saisi les jambes comme de vulgaire petits bouts de bois... Nous avions formé une pyramide ! Oui dans une telle situation tout était possible ! Puis, je ne sais pas pourquoi, mais j’ai regardé notre bateau et là, pour une des rares fois depuis longtemps, j’ai eu un mauvais pressentiment, une gêne, enfin je ne sais pas… Mais en voyant les combats si violents et notre navire en décomposition… après cette violente secousse pour la descente. Je n’ai pas trop réfléchis… J’ai agis… Dans ma tête, la peur d’en perdre certains… Porco par exemple. D’autre moins… plus dans le sens où ils étaient bien plus fort que moi, donc pas de souci normalement. Malgré la querelle entre nos équipages, nous avions créé un lien étrange et non agressif… (Sauf pour mon poignet…). Et j’en avais oublié les confrontations pour pousser ce monde vers l’entre-aide…

Ulcky : Viens là ma belle !

Simplement dis, envers la jeune inconnue qui encore grogui, voir inconsciente, faisait du cheval sur mon dos alors que la douleur était encore présente sur mon torse.

Ulcky : Toi le brun ! Si tu peux te lever, lève-toi et suis-nous !

Presque comme un ordre, l’inconnu qui avait reçus lui aussi des soins avait le choix de suivre l’intrépide décision d’Ulcky ou pas ! D’ailleurs, j’avais également attrapé le bras de notre infermière de choque pour l’attirer dans la direction de l’Inferno.

Yuan : Aller, viens papa, il y a du monde à aider.

Là, maman ça passait pas dans ma tête, trop de volume musculaire, alors papa me semblait bien. Toujours utile qu’au moment de passer d’un navire à l’autre j’ai lâché le bras de la guérisseuse et gardé en main la jeune fille en espérant que tous le monde me suivent. Du coté de l’Inferno, il y avait de rude bataille, j’arrivais du coté de Kusanagi et d’un inconnu brun à moitié nue... Et le premier coup d’œil que j’ai donné me fit frissonner… Notre ami Kusa avait envoyé un boulet vers lui sans penser aux dégâts collatéraux… Toujours pas en tous cas. Alors simplement, mais avec violence j’ai tapé dans le boulet qui allait en direction cet ennemi, enfin j’ai supposé qu’il en était un. Car être la cible de notre boucher, c’était souvent synonyme d’animosité. Le projectile tomba à l’eau comme un caillou dans une mare. Je m’étais fais mal au pied, mais par chance j’avais réussis à gardé la fille sur moi sans tomber outre mesure… La suite des événements devaient me diriger ver les zones fragilisées du bateau et pour cela, direction la cale !


Dernière édition par Ulcky Yuan le Sam 4 Mai 2013 - 8:42, édité 1 fois
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*Tudu*

+Fri vous remercie d'avoir patienter durant la mise à jour de votre système d'exploitation+

+Vous pourrez maintenant goutez au bonheur du Haut-débit de transfert de données, aux rythme incroyable de 3 ko de données par h, et ce pour une durée gratuite à 2euros par mois pendant trois jours+

Je m'éveille complètement maintenant. La mise à jour a été légèrement plus longue que prévue. Je ne voudrais pas faire compliquer pour l'homme curieux qui suivra le récit passionné et trépident de mes aventures, mais en gros ya le port X12 qui à eut un vice de lecture des données cryptées en correspondance du compréenteur humanoïdique multidirrectionnel, a nécessité une mise à jour. Je n'arrive pas à ce que ma base de donnée me dise si les concéquence d'une telle chose aurait été mon explosion, ou le fait de dévellopper mon système d'intelligence.

Alors qu'enfin mes organes sensoriels me transmettent les premières informations.

Un homme à moitié nu est en train de se battre, sur quelque chose d'une matière manifestement organique et végétal, que mes informations me présentent comme étant... Un navire à 63% de chance, un concombre de mer à 57% de chances.

Les données sont insuffisantes, je me vois donc dans l'obligation de pouruivre les recherches. J'entends des sons caractéristiques de l'explosion de canon de navire, de calibre aproximatif 31,4 cm, portée, 3 km, mèche de longueur 12cm, et boulet de 21kilos deux. On ne trouve ces canons que dans deux types d'endroits : les navires de combats de la marine, et chez les pirates volant les navires de combats de la marine. A ces indices révélateurs sur la situation actuelle, je peux appercevoir une immense forme ressemblant à s'y méprendre à celui que je suis sensé appeler capitaine, en train de molester un impromptus contrevenant qui vient d'ailleurs de disparaitre du rebord du bastingage de ce que j'identifie maintenant comme un concombre de mère doté d'un bastingage, d'un mât, et de canon.

Un concombre de mer qui ressemble à s'y méprendre à un navire en quelque sorte. Heureusement, l'eau qui recouvre ma structure ne me trompe pas je suis sous l'eau, donc ce n'est pas un navire !

Tandis que je sens le vent s'abattre sur ce que vous humain appeleriez ma peau, mais que je préfère désigner modestement, et par soucis de concision comme ma structure métallique de constitution définie à carractère polymorphique, je suppose que nous sommes en l'air. Heureusement, mon poid est bien plus important que celui d'un humain de mon volume, ainsi, je ne me détache que peu du sol.

La situation est claire à présent. Nous sommes en pleine fête ! Tout ces joyeux quidams sont en train d'organisé une manifestation groupale compulsive de célébration dans le cadre de l'anniversaire de l'un d'entre eux. Mais c'est bien sûr ! Il s'agit du pluritentaculaire gélatinomorphe nommé Monster ! Il n'est pas là car partit se livrer à la traditionnelle cérémonie de répartition de part de la galette des rois, dévorée avec assiduité par tous les garçons de sexe féminins lors d'un anniversaire savemment organisé par une autorité compétente !

Il faut donc au plus vite en appeler à l'unité de personnalité la plus adaptée à cette situation. La seule de mon attirail de combat capable de gérer efficacement une telle situation très instructive d'un point de vue humain, mais peu adaptée pour un prototype de robot de combat non assisté...


Oh, et attention aux oreilles !


Transformation, C-404/#FF358B Maïty Morfingue Go!





Changement de forme :

Magical Girl.exe activée
Fichier config Sakura, Emmy et Nyan chiby cat trouvé, Mode poney girly avec paillettes et arc-en-ciel, lancé !
Couleur rose camouflage activée.
Accès aux armes de destruction modèle Lucile Amour et Rock n' Roll activée
Position de combat, superclasse, modèle aimez-vous jusqu'à l'infini... activée !


♥ C-404 modèle #FF358B, flower power Ha! ♥




[RP Équipage] Il y a du courant, des récifs et du sang - Page 2 1651862216


Euh tu te rends bien sur compte que personne n'a remarqué quoi que ce soit ?

♥ On s'en fiche, l'amour ne connait aucune frontière, je n'ai pas besoin d'être vu pour tous les aimer ! ♥

Alors que je prend conscience de l'afflut de donnée particulièrement dense que je reçois, la plupart impliquant une sombre et abstraite notion, basée sur le respect, l'affection, et une certaine forme d'admiration de l'autre, que ma personnalité principale sembel nommer...

♥ L'amour ! ♥

Voilà, c'est ça !

Alors, pendant que je prends conscience de cela, nos senseur nous indique que l'altitude du concombre de mer su lequel nous nous trouvons est en train de baisser à une vitesse semblant évoquée sensiblement la chute libre. Effet rigolo pour les fans, grâce à une humouristique application des lois de la physique, nous nous retrouvons un instant suspendu dans les airs de manière fort comique, d'autant plus que FF358B n'a pas jugé utile d'arrêter de prendre sa pose de combat.

♥ Mais mais mais... C'est dramatique, il faut faire quelque chose ! ♥

Ah ben oui, je suis bien d'accord, vu notre poids, du à la consitution exclusivement métallique de notre structure représentative, si nous ne diminuons pas notre vitesse, nous risquons de percer une énorme bêche dans la caracpace du concombre de mer, et peut être atteindre son processeur interne, ou tout organe vitale nécessaire à son bon dévellopement en temps qu'espèce vivante semi-intelligente.

♥ Mais non, pas ça, regarde le capitaine va avoir un calin de la part d'un vilain garnement armé d'un canif c'est super-dangereux ! Ils vont se faire mal ! C'est mon devoir de les protéger, au non de la lune et de l'amour ! ♥

Euh, je suis pas dur genre à m'opposer à la lexicologie d'une personnalité aussi riche en informations que toi, mais, on appelle pas ça un combat ?

Et au-dela de ça, il reste un léger problème technique, prenant la forme d'une chute à une vitesse ascendante sur le point d'atteindre 50km/h, ce qui va poser problème pour une intervention dans l'ordre de l'horizontale. Comment tu compte faire pour intervenir et te placer entre cette étrange créature armée d'une lame, et Ishii Mosh, digne représentant du clergé, à en juger par son tour de taille dépassant très largement les critères d'obésité moyens de l'homme ?

♥ Le power du Love mon chéri, le power du Love... ♥

Lancement de commande activée, processus d'armement engagé.
Pivotation des systèmes de rechargement des antérieurs, côté droit.
Ouverture des volets de sécurités enclenchés.
Dégagement et activation.

*Canon à fission multidirectionnel branché, et prêt à réduire en une poudre paillettée super kawaï suite à la désintégration totale de l'individu !*

Non c'est pas par là qu'il faut le pointer, tu es à l'exact opposée du combat que tu essaie de...

♥ Feu ! ♥

*Canon à fission enclenché, merci de bien vouloir envoyer une lettre de réclamation si votre cible n'est pas réduite en cendre*

Blupblupblupblupblupblupblupblup.

Il faut admettre l'idée est bonne. Propulser par la toute puissance de notre générateur de bulle de savon, #FF358B a réussit à générer une poussée horizontale qui nous décale et nous permet ainsi de foncer en oblique, droit dans la direction du combat entre l'humanoïdoforme à l'odeur de merlan un peu trop cuit, et l'étrange projectile hurlant armé d'une épée. Précisément, notre chute devrait nous amener à 1,13 mètre de la zone de l'impact présumée entre les deux protagonistes de cette fête d'anniversaire improvisée. Mais il me semble que je n'ai pas prit en compte une donnée dans le calcul, ne bougez pas, pendant que je fais ça, #FF358B semble vouloir s'adresser à nos deux cibles :

♥ ARRETEZ ! VOUS ALLEZ VOUS FAIRE MAL ! C'EST DANGEREUX ! ♥

Ah, ça y est ! J'ai retrouvé la donnée manquante. Il semblerait que par un hasard fortuit, notre déplacement horizontal n'a en rien influencé notre vitesse verticale, ce qui, traduit en terme profane veut dire que nous évoluons en diagonale vers les cibles désignées à une vitesse d'aproximativement 220km/h, que nous allons générer une zone d'impact importante. Traduit en langage en langage concombre de mer :

Nous déplacer vite, nous faire boum sur concombre de mer, concombre de mer gros trous !

Impact dans...

3...


2...


1...



♥ Bonjour, je suis Hugh... ♥



BLAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAM

CRAAAAAAAAAAAAAAAAAAAC


SBATOUPRUTKTUFRA


Et autres bruits servant a représenter la chute d'un corps de métal dans une structure en bois.

Estimation des dégâts: 21%


♥ Bliss ! ♥


Dernière édition par C-404 le Mar 30 Avr 2013 - 10:16, édité 1 fois
    L'oeil s'agite dans son orbite. Haut, bas, gauche, droite. Je pronostique un état de santé stable. Ces jours ne sont pas en danger. En tout cas, pas ces heures. Son œil se fixe sur moi, comme troublé, voire hagard. Je lui fais mon plus beau sourire dans le genre l'infirmière s'occupe de vous, vous s'inquiétez pas. No stress. J'lâche la paupière, parce que je suis pas un monstre et je vois bien l'irritation grandir. Nan, pas celle du gus, celle de la paupière. Ça devient rouge, très localement. T'vois ? Hé. J'suis pas infirmière pour des prunes. Aussitôt lâché, aussitôt qu'il se redresse pour me serrer dans ses bras. Il vient de l'autre équipage ? Ouaip. L'autre équipage nous attaque ? Ouaip. Bah t'as aussi des gus qui te font des calins. De la reconnaissance surement. Boah. Si je fous un pansement sur leur capitaine, elle va me faire un calin aussi ? Ça serait bien parce qu'ils se foutent bien sur la gueule là. J'détourne la tête pour justement les regarder. T'as justement le grand blond qui est parti affronter la capitaine ; c'est à ne rien y comprendre. Par contre, je comprends parfaitement que l'autre gus est en train de me ploter. Il est futé ; j'tourne ma tête légèrement énervée vers lui. Il est aussi rapide. Il réussit à trouver une échappatoire en la personne d'une nouvelle venue. J'détourne la tête dès qu'il en parle. Bah ouai, ça pourrait être du flanc, mais ça pourrait être aussi une blessée et j'suis pas l'antenne médicale pour rester les bras croiser. J'capte alors que j'ai à faire une jeune femme. Là aussi, c'est pas une Étrangère. En même temps, les seules femmes du bateau, c'est moi, Jackie et Chan. Ça fait pas masse. Et pour Jackie, y a pas besoin de lever la tête pour la voir. Plutôt la baisser. En bonne infirmière que j'suis, je capte direct la blessure qui semble lui faire assez mal pour qu'elle titube vers moi. Blessure par balle, cette dernière est ressortie, mais ça pisse suffisamment le sang pour que j'm'en occupe. Sans me prévenir, mon Blake-bis me jarte pour s'avancer vers elle. L'autre gus que j'ai soigné ; et frapper aussi ; s'est aussi redresser et s'approchent d'elle. Comme si les mecs étaient attirés par la fille ? Mmmh. Mouai. J'pense pas que ce soit pour la soigner. Ou alors, j'ai des doutes sur leur médecine et leur potion.

    En même temps, le type aux yeux rouges qui se met à pousser la nouvelle venue. Hé ! C'est la fête ici ? Je me lève illico et j'lui passe une balayette du pied sous sa cheville. J'accompagne sa chute en le tenant. Ou pas. Ça lui fera la leçon. La main secourable se transforme en index accusateur et vient se diriger vers le mal élevé.

    Le médecin a dit repos, alors, c'est repos.

    Et j'suis pas médecin, mais on me pardonnera c't'écart pour la bonne cause. Je me retourne alors vers ma blessée qui s'est écroulée et qui semble vouloir que je la soigne. Un peu que j'vais te soigner ? C'pas marqué « idiote qui pousse les blessés » sur mon front, moi ! Bon, par contre, les grands mots tels que « femmes de sciences » à l'article de la mort, c'pas ça qui va te soigner ma pauvre, tout comme le doigt de l'autre mec qui se met ostensiblement dans ta blessure. J'suis un peu surprise sur le coup. D'où qu'il a vu qu'il fallait mettre son doigt dans les blessures par balle des gens ? De quel bled paumé peut venir un type pareil ? Sérieusement, ils craignent sévères les gens de ce bateau ! Je racle ma gorge et je le regarde, légèrement incommodée. Il me regarde.

    Qu'est ce que fout ton doigt dans cette blessure ?

    J'veux pas savoir en vérité. Les mecs ont la fâcheuse tendance à mettre leur doigt n'importe ou. Et puis, j'ai rapidement la promesse de son poigné qu'il ne le fera plus. Faut les éduquer, ces corniauds ! J'pousse le mec pour me dégager de la place autour de la fille. Je la mets en position pour que je puisse opérer, elle dit rien ; c'est l'inconscience. J'sens juste les palpitations de son corps blessé et j'entends son souffle court et rapide. Ni une, ni deux, j'approche mon sac et j'sors une seringue que je remplis rapidement d'antidouleur. J'l'injecte direct dans le bras. En douceur ; j'suis pas une brute. Et puis les filles, c'est plus sensible que les tas de muscles sans cervelle que j'ai traitée juste avant. Je dégage ensuite la blessure des vêtements. J'les arrache au besoin ; désolé. J'laisse alors une ouverture suffisante pour la blessure sans avoir de fibre dans la blessure. J'sors une petite bouteille d'eau et je nettoie la plaie. Je regarde sommairement, mais je sais que la balle est ressortie. J'fais de même de l'autre côté avant d'appliquer un pansement autour de sa taille, sous les vêtements. Pour la peine, j'ai à peine remonté ses vêtements et j'ai frappé au hasard derrière moi, sentant qu'un petit profiteur venait de pointer le bout de son nez. J'ai agi rapidement. Mais pas assez. Concentré dans ma tache, j'm'aperçois trop tard qu'il y a comme une sorte d'apesanteur, comme dans l'espace ; quoique je sais même pas pourquoi je pense à ça parce que je sais même pas qu'on peut aller dans l'espace. Bizarre non ? M'enfin, je flotte. J'suis comme dans l'eau. Voilà, c'mieux comme comparaison. Et je continue d'appliquer le pansement alors que je flotte. Hé ouai, j'suis comme ça. Les soins avant tout. J'regarde même pas tous les autres qui flottent tout autour, continuant même à se foutre sur la gueule. Nan, ce qui m'intéresse juste après le soin de la blessée, c'est que ma trousse de soins et ma hache s'envolent pas trop loin. Pour cette dernière, elle est toujours dans mon dos. La trousse, elle, est à portée de main.

    Voilà, j'passe Reverse Mountain.

    J'aurais voulu un passage moins mouvementé. J'ai même pas profité de la montée et de ce sentiment d'accélération. J'serais pas aussi gentille, je demanderais de retourner en arrière pour retenter la montée. Et sans les autres guignols cette fois. Un truc que je sais, comme tout le monde ; j'espère ; c'est qu'après la montée et le petit instant dans les airs, il y a la descente. Et c'pas le meilleur passage, surtout quand je suis tête en bas et pas du tout prête pour me remettre sur mes guiboles. Et t'as aussi la fille qui risque de mal apprécié l'atterrissage. Heureusement, les deux hommes semblent avoir un soupçon de jugeote pour la récupérer. Pas moi. Comme si j'étais pas une femme en détresse aussi, pfeuh. J'leur chope les jambes, ouai, parce que je sais que je vais retomber sur le navire et que je risque pas de rebondir. Pas comme eux. Alors j'les tiens. Et on finit par tomber. Rapidement. Brutalement. La tête la première. J'ai jamais vu un plancher de bateau arriver aussi vite. Je ferme les yeux sans lâcher les guibolles des autres. Et j'entends un gros craquement en même temps qu'une vive douleur à la tête. J'réouvre les yeux et j'capte rapidement la situation. Chouette ! J'ai la tête dans le plancher. J'lâche les deux gus et j'fais pression sur le bois pour me dégager. Sauf que je pars avec une planche. Me v'là debout avec une planche en travers de la tête. Niveau esthétisme, c'est le pied. J'sens alors la descente. Les flots tumultueux qui passent sur la coque du bateau et qui nous emmènent vers notre destin. Vers GrandLine ! En d'autres occasions, je serais à la proue pour prendre le grand bol frais de l'aventure, mais là, c'pas trop l'occaz'. Surtout que je mire trop tard que le mec avec son bandeau sur les yeux se casse avec ma blessée. J'lui ai pas dit de pas bouger à lui ? Nan ? Merde. Oups. Yésus Mawie Yoseph. Amstramgram, c'est excusé.

    On se casse pas avec ma blessée impunément. M'enfin ! J'pars à sa poursuite, parce que c'est comme ça. Et j'm'en tape d'Ishii et des autres qui se foutent sur la gueule. Y'en a qui veulent soigner des vies ici ! J'passe sur l'autre bateau sans même penser que j'vais être amenée à affronter des gus de l'autre bateau. En passant sur l'autre bord, je zieute Blake et je détourne rapidement le regard parce qu'il est vraiment pas digne d'intérêt. Parce qu'il y a Jackie et Chan aussi. Tous ont des adversaires, mais j'suis sûre qu'ils vont pas les dérouiller sévère. Alors que je pose le pied sur l'autre bateau, je me mets à gueuler à Jackie tout en courant vers mon kidnappeur de blessé.

    Jackie ! Choppe le !

    Et j'pointe du doigt, même si c'est mal. Et que je continue à courir dessus jusqu'à ce que je l'ai chopée, plaquée, ou qu'il ait abandonné ma blessée.
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    Vous imaginez bien que pour Ishii, n'avoir qu'un seul adversaire n'est pas assez difficile. A lui, il faut du périple, de l'épic, de la vente de rêve permanente pour réussir à épater sa foule de fan. Et comme épic, surnaturel, inattendu, quoi de mieux qu'une aubergine volante de plus de deux cent kilos ?

    Oh oui, il est heureux l'Ishii quand il sent toute cette tonne de graisse venir le percuter de plein fouet amenant avec elle la puanteur digne des plus grands et laids clochards de l'époque. Quoi qu'un clochard sent quand même moins mauvais et son attaque ultime ne consiste pas à simplement lever les bras. Mais ça,il n'a pas le temps de le dire. Juste de parer les coups de son adversaire déjà remise et d'admirer le nouveau venu au cigare. Il se bat bien le bougre, joue de l'éstoc comme la vieille joue des coudes pour un repas, sauf que l'Ishii, lui, n’apprécie guère. Il y a quelque chose, un infime problème que seul un homme distingué comme lui aurait pu remarquer :

    _Hmm... Ici, le fumeur de cigare... C'est moi...
    Mais.. Le bonheur, ça se partage...

    Alors l'Ishii tente son plus beau sourire, remonte ses lèvres vers ses deux grosses joues, plisse ses deux yeux déjà plats et montre ses magnifiques dents blanches au nouveau venu. Quand on ajoute à la scène une magnifique vitesse de chutte, d'énormes rafales de vent et un bruit de canons et de chocs assourdissant, on comprend mieux le regard ahuri du pauvre Rydd qu'avait rien demandé.

    _Merci.

    Ça, c'était sincère, presque beau et si la capitaine n'était pas venu tout briser de son épée, on aurait presque eu le temps de verser une larme. Mais non, la bougresse est déjà repartie à vouloir trouer le pauvre Ishii qui se débat comme il peut. Le Rydd vient l'aider, joue de la lamelle comme il sait bien le faire. Donne un cours aux deux autres qui se perdraient presque à la contemplation si ce n'était pas une histoire de vie. Mais l'Ishii se dit qu'à vouloir trop admirer on se perd dans l'abstrait et que l'art moderne, ce n'est pas son genre. Les bonnes vieilles méthodes ont fait leur preuve et rien ne sert de vouloir améliorer le déjà bon. Alors l'Ishii joue au basique, sort ses doigt, surtout un, et alors que les deux autres énergumènes sont au prise, enfonce son indexe dans l'abdomen de la pirate. Oh ça ne lui fait pas du bien, oh non. Elle grimace, gesticule, se mettrait même à pleurnicher si elle ne s'était pas rendu compte... Qu'il lui manque son arme.

    En face, le monstre fait la tronche, ses deux mains prises ; et le plus petit des fumeurs lâche les mains de la minette pour les laisser libres...De toute fuite.

    L'Ishii se dit que si le tigré n'était pas arrivé, le cachalot serait frit, que si l’aubergine n'avait pas déboulé, y'aurait de la minette laminée. C'est peut être ça le destin,subir les coups du sort et que justement,s'il on en sort,c'est que l'on est bon... Pour un autre coup.

    L'autre coup ?

    Une bombe rose. Une femme, évidemment. Le genre de chose rose qu'arrive la bouche en cœur à 500 km/h et qui fout tout en l'air, hommes et lames. Larmes aussi, parce que la chute fait mal et que les cœurs se lâchent. Avant de reprendre les armes. L'Ishii se jette en avant pour être le premier, la minette répond mais le tigré cogne et quand le calme revient ce sont encore par trois poings. Trois poings qui s'écrasent sur trois tronches et trois yeux qui crachent leurs mers au même moment.
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    Il y a du courant, des récifs et du sang



    Combat acharné sur Reverse Mountain en 1624


    Sur le Bel Espoir


    Non! Non!! NON!!! Pourquoi diable je ne pouvais pas battre ce capitaine trop relaxe? Comment il faisait pour rester toujours aussi calme pendant que son navire se faisait attaquer? Il m'énervait! Bon sang, je ne pouvais pas perdre aussi honteusement. Il m'était impossible pour la déesse que j'étais de renoncer à ma gloire et aux mérites qui me revenaient. Seulement, j'étais contrainte d'abandonner lâchement mon duel. Même s'il n'était très équitable, j'aurais dû vaincre ces deux imbéciles. Foutue mal-chance... J'étais vraiment dans une mauvaise passe avec les bras tenus fermement par ce crétin blond. Sans arme je ne pouvais pas grand-chose. Mais j'avais encore de la ressource. Peut-être qu'avec mon charme, il y avait moyen de déstabiliser un de mes adversaires. J'utilisais alors ma technique qui consistait à attirer les faibles sur moi. Les misérables qui tombaient dans ce piège devenaient vite fou amoureux. Ma beauté les absorbait.


      Yowa seru miryoku!


    Comme je me doutais, l'homme-poisson tomba sous le charme. Mais à ce moment-là, un machin rose et aussi inutile qu'un gamin de 4ans s'écrasa sur nous trois dans un violent impact. Déjà que les doigts du monstre m'avaient beaucoup fait mal, là, cette chose métallique ridicule me donna encore plus de peine. Des larmes coulaient même sur ma joue. Je saignais un peu. Encore des vêtements bons à mettre à la poubelle! Ils allaient le regretter!! Nos armes étaient à terre, mais quand on voulait les reprendre, sans rien comprendre, des poings s'enfonçaient dans les faces. Qui tapait sur qui? Erreur de cible? Le coup qui me fit un oeil au beurre noir me projeta en légèrement arrière. C'était assez. Je perdais le combat. Je n'étais plus dynamique et réactive qu'au début. Tout partait en couille et cela méritait aussi. C'était la honte et le déshonneur. Me faire ça à moi alors que j'entamais la route vers les sommets? Personne ne saura cette triste bataille. Personne. Nul ne devait savoir. Cela restera entre nous. On se reverra. Oui, on vous retrouvera...


      Il est temps de te dire au revoir, car notre heure de gloire nous appelle. Nous nous reverrons, Ishii Môsh. Tôt ou tard, tu tomberas sous le joug de notre domination.


    Je jetais alors de la poudre noire sur le sol pour créer un écran de fumée. Je m'envolais loin de ces cloportes à grands pas vers la cabine trouée. Je me glissais alors sans un bruit à l'intérieur. Personne ne m'avait vue, j'étais invisible. La Reine du camouflage. Hm, pas de Log pose par ici. Certainement au bras de leur navigateur. Il n'y avait pas d'argent non plus et je ne voulais plus aller dans la cale. Je voulais revoir mon cher Inferno. Je donnais un grand coup de pied dans la porte et je m'écriais.


      Que les Ombres du Chaos regagnent le Noun immédiatement!!!!


    Je vérifiais d'un coup d'oeil s'il me restait des hommes à bord du Bel Espoir. Tant pis pour les retardataires, il était temps de sortir de cet enfer. Je pris une corde et passais de l'autre côté.

    ~~ Page 4 ~~

    D'après les testaments de la Reine des Masques, dit Hathor.
    ©odage by Hathor


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    *Système de réactivation lancé*

    *Redémarrage système suite à un fort potentiel de dégât*

    *Restauration personnalité #FF358B*

    Entouré des débris de bois et de sciure, nous réactivons les système de perception environnementale. Que cela soit un combat ou un anniversaire, il est important que nous ne décrochions pas du fil des évènements. De multiples données saturent encore tous les systèmes, sans compté le parasitage constant que m'impose #FF358B avec son truc qu'il appelle...

    ♥ L'amour ♥

    Oui voilà, ce truc étrange semblant régir la vie des femelles humanoïdes, avec l'argent.

    Nous percevons au travers de la fumée et du trouble de nos senseurs une silhouette monstrueuse, effectuant plusieurs mouvements rapides. Autour d'elle plusieurs corps sont propulsés. Un espèce d'étrange concombre géant se tortille a proximité, et il semble que deux lueur semblable à un cigare en train de se consumer luisent . Est-il possible que dans notre élan, nous ayons confondu fête d'anniversaire et tournoi clandestin de boxe underground ?

    ♥ Quoi un combat ? Non il ne faut pas, il vont se faire mal ! ♥

    C'est un peu le principe du combat tu sais...

    ♥ Nous devons intervenir ! Il faut stopper ce...♥

    Attends !

    Voilà que s'exprime d'une voix probablement féminine. Elle s'adresse à Ishii Mosh, celui qui se désigne comme capitaine du navire sur lequel nous nous trouvons, et dont je suis officiellement l'otage, depuis les actes de l'une des mes personnalités nouvelles. Nos senseurs sont à nouveau opérationnels. Elle parle de faire tomber notre capitaine sous le joug de sa domination. Cela s'apparente à..

    ♥ Une déclaration de haine caractérisée ! ♥

    Oh non..

    Nous nous redressons, et malgré l'ordre de fuite hurler par le capitaine ennemis, je perçois les ordres d'activations d'armement. Au milieu des planches de bois éparses, nos pieds prennent appuie. #FF358B se tourne vers le capitaine.

    ♥ Boss... Cet saleté d'enfant de catin refuse de répandre l'amour. Un mot de votre part, et je vous jure qu'elle va va gouter à la violence de mon armement lourd jusqu'à ce qu'elle finisse par vous aimer. ♥

    ...

    ♥ Bordel de merde !♥

    Ah oui, je vous ai jamais dit, amis lecteurs que le gros défaut que j'ai observer chez l'être humain c'est que le fanatisme vis-à-vis de l'amour peut générer quelque chose, qui, pour un profane tel que je le suis, peut passé aisément pour de la haine ou de la fureur guerrière.

    ♥ Notre créateur était un dieu d'amour ! Ne pas aimer, c'est mériter la destruction sous une avalanche de poings. L'amour n'admet pas qu'on ne puisse l'honorer ! ♥

    Mais c'est haineux ça comme...

    ♥ Tu t'oppose à ma vision, et j'installe Norton Antivirus... ♥

    D'accord, tu es un être d'amour aimant, avec des paillettes des petites fleurs et des tourbillons roses chevauchés par des licornes chibie faisant des caca papillons et se nourrissant d'arc-en-ciel.

    ♥ Sérieux ? Oua t'es trop un dieu du love t'es mon meilleur ami pour la vie !♥


    Dernière édition par C-404 le Mar 30 Avr 2013 - 10:17, édité 1 fois
      Faire un choix c'est perdre une possibilité. Ça, l'Ishii l'a appris il y a bien longtemps et alors que les pieds adversaires se taillent un chemin vers la sortie, l'Ishii repense. A l'argent qu'il se ferait en pillant et tuant. A la réputation qu'il aurait en mettant à sac tout ce bac.

      Et pis surtout, il pense à cette foutue descente qui l'empêche de mettre un pied devant l'autre sans se casser la figure.

      Il repense à sa pauvre mère aussi, taillée dans un trou de terre. A ce bon vieux Barry qu'est lui aussi parti. Faute à pas de chance.

      Toute cette mer de sang, formée de gouttes laissées ça et là, de flaque même parfois, toutes celles là lui rappellent à son envie de paix. Au sourire d'amis qui continueront de monter haut sur les joues tant que la vie coulera. Alors l'Ishii choisit encore ce qu'il sait faire le mieux.

      Laisser couler.

      Le noir épais du chaos disparaît au même moment que cette infime peur qui bouffait le cœur du pauvre cachalot. Cette fois encore, il n'y aura pas de morts. Les épées et les poings ont volé, les lames d'écume se sont fracassés mais rien y a fait, le monstre a paré. Et alors même qu'il se fait cette idée, un énorme vague vient cogner la coque jusqu'à tout renverser, homme, femme, lames et larmes. Le pauvre Shishou, les tentacules bloquées sur le crane d'Iwa à la barre a beau hurler ses ordres au gros bonhomme, les muscles n'y font rien, le bateau cahute, chahute même. Gigote, se perd à d'interminables soubresauts, virevolte entre les vagues et manque de se laisser couleur au fond. Mais la brute et le tentaculé tiennent bon. Donnent dans ce qu'ils savent faire. Tenir un cap et s'y tenir.

      _Shishou, Iwa restez collé au navire, Jackie est de l'autre côté !!

      Ishii, c'est le genre à avoir une voix imposante, qui pourrait reveiller un gosse dans son lit s'il criait de l'autre bout d'une ville. C'est le genre de voix qui ne passe pas inaperçu, qui donne des sueurs froides même aux plus grosses brutes de Logue Town. Et pourtant, là, à l'instant précis où il crie son ordre, il n'est même pas sûr de se faire entendre.

      Le chaos des vagues, de la bataille bien entamée mais pas fini, tout ce bordel ambiant plus noirâtre qu'un tunnel sans lumière, plus lugubre qu'un ventre de plomb ; et au milieu ; la voix toute colorée du robotisé criant à l'amour.

      ♥ Boss... Cet saleté d'enfant de catin refuse de répandre l'amour. Un mot de votre part, et je vous jure qu'elle va va gouter à la violence de mon armement lourd jusqu'à ce qu'elle finisse par vous aimer. ♥

      _Mon ami, l'amour c'est la non violence. Laisse les partir. Laisse leurs péchés pour ne pas t'en tacher.

      _Mes amis, nous avons gagné une bataille, rentrez ! Rabattez la petite voile, maintenez le cap et surtout, accrochez vous ! Ce qui est important, ce n'est pas la chute, c'est atterrissage !

      Et sacrebleu, il arrive bien vite, l’atterrissage.

      La miss est rentrée. L'autre miss pas tout à fait miss et sa copine continuent leur grabuge. L'homme de fer continue le spectacle, le fumé s'enfume et l'homme femme guérit. Tout rentre dans l'ordre.Tout semble trop beau et l'Ishii a appris que dans ce genre de cas, il faut s'attendre au pire.
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      Shishou et Iwa se battent toujours. Iwa, les bras crispés sur la barre, le visage mangé par une grimace affreuse et les tempes trempées par la mer et le stress. Shishou, toujours campé à sa place, les tentacules gesticulant en tout sens, poussées par le vent, continue à crier ses ordre à son pauvre ami. Mais les autres, eux aussi, se perdent dans les gesticulations du bateau, dans le fracas des vagues et des derniers coups de lames. L'Ishii, lui, continue à crier au retour sur la coque, à tenter de persuader le pauvre Blackou perdu à vouloir contempler l'incontemplable.

      Le monstre, les yeux grands ouverts, tente aussi, désespérément,de trouver le moindre signe d'une naine unijambiste, d'une poulpe dévastateurs et d'une rappeuse à l'essai. Mais rien y fait. Rien n’apparaît. Et pourtant, ils ne sont normalement pas discret. Le cachalot a beau renifler, a beau humer l'air de tout son souffle, il ne sens que l'humidité, le bois et le métal, le tissu trempé et la poudre. Comme si toutes les vies n'appartenaient maintenant qu'au bon vouloir de l'océan.

      Et le Jevta qui lui aussi a disparu. Et les énormes vagues qui comment elles aussi à peu à peu disparaître, mais le monstre sait bien ; que ce qui est important, ce n'est pas la chute, c'est l’atterrissage. Et l’atterrissage, il se fait de plus en plus pressant, avec la belle bleu plate qui pointe son nez, qui arrive vers les deux coques pour bientôt les embrasser avec toute sa force. Alors le monstre s'évertue à hurler. A hurler pour que reviennent ses hommes. Jevta, Black, Jackie, Chan, Monster. Tous ces hommes et femmes dont la vie, à cet instant présent, ne tient plus que sur une goutte d'eau. Une grosse goutte d'eau.

      Les quelques poils de cheveux du Monstre virevoltent en tous sens, au gré des rafales de vent pourfendant le navire, sa moustache vient piquer le nez du cachalot et son costume tout humide, ne tient sur lui que par la force du bon Dieu. Mais l'Ishii s'en fiche, il veut revoir ses hommes. Sa voix fracassante crache les noms.

      _Jevta ! Blake ! Jackie ! Chan ! Monster ! Revenez !!!

      Soudain, au gré d'une vague, les petits yeux plats du monstre croient apercevoir quelque chose. Une forme étrange, visqueuse, Une forme se faisant avaler par de l'écume trop grosse pour elle, puis réapparaître, toujours combattant la grande mer pour rester en dehors. Et alors, deux formes volantes sortent de l'eau, giclant vers le bateau pour venir s'écraser contre la coque. Les deux yeux plats discernent difficilement les corps de Jevta et Jackie, à cracher leurs poumons remplis d'eau et leurs corps refroidis.

      Le monstre se jette alors sur la pauvre naine presque amorphe, la saisit par le col jusqu'à ce que son visage sans vie soit en face des yeux plats du monstre.

      _Où est Chan ?

      _Neuh... Beuark....

      _Où est Chan ?

      Le monstre secoue l'unijambiste, lui donne une paire de claque, attend une réponse. Redonne des claques. Re attend. Abandonne.

      _Monster !! Où est Chan ?

      Sans même une réponse, le poulpe gesticule une nageoire. Saute en dehors de l'eau et replonge. En profondeur. Les eaux l’engloutissent. Les courants l'englobent mais le mollusque sait y faire, profite de la vitesse gagnée, cherche désespérément une trace de vie là où la toute Puissante mer est seule détentrice de souffle. Mais il persiste, écoute son radar sentant quelque chose, là où aucune lumière n'est, il s’engouffre encore plus loin, jusqu'à ce que le néant s'abatte, noirâtre, et qu'enfin, il puisse sentir la présence d'un être.

      Lorsque jaillit de l'enfer bleu la mistinguette toute suintante et qu'accourt la bodybuldé pour la soigner ; les deux navires sont déjà loin loin de l'autre. Le Shishou a réussit sa manœuvre. Et il ne reste plus qu'une chose à faire. Attendre l’atterrissage.

      Le Grand BAM.

      Qui fait craquer chaque planche de navire, fait voler chaque homme et retourne le cœur de tout l'équipage. Mais ils ont réussi. Ils sont en vie.

      _Mettez la grande voile, serrez les esgourdes, rafistolez les dégâts sur la coque, soignez les bléssés et soyez prêts les amis ! Nous sommes sur Grande Line ! Là où tous nos rêves se réaliserons, mais là aussi, où les barrière au bonheurs se feront aussi présents que les tempêtes, aussi fracassants que les coups de canons et aussi violents que la haine humaine. Soyez prêts les amis ! Et prenez garde. Grande Line, nous voilà !
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      La pauvre mémé n’a jamais eu beaucoup de classe. On aurait dit qu’elle est née naturellement sans. Mais cette fois, elle était dans un état de grâce. Elle sentait l’inspiration divine guider ses pas. Ou alors, c’était l’effet de son atterrissage sur le mât arraché de l’équipage envahisseur. En tout cas, elle se sent presque attirée par une force invisible vers le centre du bateau de son petit-fils. Là, ses mains cherchent toutes seules son sac à main. Dedans, elle y trouve une guitare, un ampli, un microphone et tout ce qu’il faut pour les relier.

      Un son aigu se fait ouïr alors que les combats prennent fin. C’est le moment de son grand final. Elle vérifie vite que l’instrument est accordé et plaque son premier accord suivis rapidement d’autres.


      See us ride out of the sunset
      On your color Den Den screen
      Out for all that we can get
      If you know what I mean
      Males to the left of me
      And males to the right
      Ain't got no gun
      Ain't got no knife
      Don't you start no fight

      'Cause The Strangers are dynamite
      (The Strangers) and we'll win the fight
      (The Strangers) we’re a power load
      (The Strangers) watch them explode

      We're dirty, mean and mighty unclean
      We’re wanted men
      Public enemy number one
      Understand
      So lock up your daughter
      Lock up your wife
      Lock up your back door
      And run for your life
      The men are back in town
      So don't you mess us 'round

      'Cause The Strangers are dynamite
      (The Strangers) and we'll win the fight
      (The Strangers) we’re a power load
      (The Strangers) watch them explode

      The Strangers, (oi, oi, oi)
      The Strangers, (oi, oi, oi)
      The Strangers, (oi, oi, oi)
      The Strangers, (oi, oi, oi)
      The Strangers, (oi, oi, oi) we’re dynamite
      The Strangers, (oi, oi, oi) and we'll win the fight
      The Strangers, (oi, oi, oi) we’re a power load
      The Strangers, (oi, oi, oi) watch them explode

      Et de finir sur un solo endiablé, au rythme effrénée. Plaquant furieusement des notes sur la gratte. Les mains et le cœur en feu. Pour se retrouvée agenouillée, le visage face au soleil couchant. Le crépuscule d'une ère où elle était seule. Désormais, elle a trouvé sa place parmi les siens. Une phrase qu'elle n'a jamais pensé pouvoir se dire. Une bande de marginaux, d'anormaux, de tarés. Chacun portant un fardeau qui briserait l'échine la plus solide.

      Pourtant, à eux, ils allaient changer la face du monde. Pris seuls, ils n'étaient que des être incomplets, des infirmes de la société. Mais, leur unité changeait les rendait meilleurs, voire parfaits. Prends gare à toi, Mer De Tous Les Périls, la menace la plus dangereuse qui soit vient de pénétrer ton territoire. Dans un moment, tu apprendras à crier son nom et à craindre sa renommé.

      "Tu es maigre comme une ficelle, Ishii. Viens, je vais te préparer du boudin au lard. Et je m'attends à ce que tu finisses ton assiette, aucune protestation possible."

      J'en étais où avec la citrouille magique, moi, déjà ?
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