Sur l’ilot flottant, notre groupe pense être arrivé à la dernière destination. C’est bien le type d’ile où on y cache son trésor. La suite de l’énigme récupérait sur Inari doit donner l’emplacement.
C’est jaune et les hommes en raffolent. Mais sous la plus grosse quantité il y a quelque chose qui pourra aussi vous intéresser.
L’énigme semble simple, peut-être même trop simple. Ivan c’est que les réponses ne sont pas celle qui saute aux yeux mais ici c’est presque donné.
-Il parle probablement d’un aliment jaune et abondant dans ces lieux. Avoir de l’or qui traîne un peu partout est improbable. Enfin le plus dur sera de trouver la zone où il y a cet aliment jaune. Je pense aux bananes. Mais bon il y a peut-être des autres fruits jaunes ici. *C’est si simple que la complication doit probablement être pour plus tard. Je pense pas que l’auteur de ces énigmes souhaite que le lecteur s’en sorte vivant.* Soyons sur nos gardes on ne sait jamais ce qu’il va ce passer.
…
Le groupe s’est enfoncé dans la jungle boueuse. Aucune banane en vue, de plus dans ces lieux il est difficile à Ivan d’avancer. C’est la galère totale. Des moustiques probablement porteurs de maladie entourent le groupe. L’énigme trop simple est compensée par la difficulté de réalisation. Ce n’est malheureusement que le commencement. Le groupe décide de s’écarter de cette zone de plus en plus profonde. Mais un animal ne semble pas apprécier ce changement. Des yeux sont à peine visibles à la surface. Il plonge et se rapproche du groupe. Il est obligé de sortir de son terrain de chasse pour espérer attraper une proie. Mais il est repéré par Cali qui ne semble pas connaître la dangerosité de la bête.
-Regardez un animal vert.
Ce n’est rien d’autre qu’un crocodile. Qui s’approche d’elle et ouvre sa gueule pour l’avoir. Heureusement que ses deux compagnons sont là. Ivan a tiré à plusieurs reprises tandis que Pédoras lui a simplement tranché la tête. Les coups de feu de l’handicapé produit un départ de plusieurs volatiles. Le groupe continue donc sa route.
…
Sur un terrain dur et sec, le groupe trouve des ruches. C’est jaune mais ce n’est pas quelques choses qui attirent les hommes. Même si le miel est bon, cela n’est pas tellement réputait. Enfin c’est la seule chose qu’ils ont trouvée. Un bruit étrange entre en scène. Il est reproduit à deux reprises. Des fléchettes contenant du poisson qui ne tarde pas à endormir les cibles.
Depuis les tirs d’Ivan, les indigènes ont su qu’il y a de la chair fraiche sur l’île. Ils les ont donc cherché, endormi puis capturés. Une fois ficelait comme des saucissons, ils les amènent à leur camp. Ces indigènes sont cannibales. Ils ont donc trouvé leur repas à l'insu des anges.
…
Les deux hommes, debout, sont attachés sur un poteau chacun. Non loin de là il y a un bûcher prêt à être allumé. Mais étrangement aucun indigène n’est là. Leurs habitations sont tout autour du bûcher qui semble être le centre du village. Elles sont faites en bois et couvertes de feuille. Ce village abrite environ deux-cent cinquante personnes.
Les deux anges reprennent connaissance. Ils entendent la harpe de Cali. Puis là, une voix angélique fait son apparition. Que se passe-t-il? Pourquoi joue t elle à un moment pareil ? Mais d’autre questions viennent en priorité. Que s’est-il passé? Pourquoi sommes-nous attachés ? Les réponses à toutes leurs questions arrivent. Dame Cali accompagnait des indigènes ne semblent pas être considéré comme ennemie. Cela dit, il semble la forcer à chanter. Ils prennent ça un peu comme une drogue.
Ils saisissent les deux anges pour les mètres à rôtir au feu. Ils enlèvent la cap de Pédoras et le tissu d'Ivan. Puis quelque chose inattendu de la part des cannibales survient. Ils voient des ailes blanches pour chacun des hommes. Certains se prosternent d'autres ne savent plus quoi faire, ils regardent à droite à gauche et se prosterne. Une personne ramène la chaise roulante d'Ivan pensant que c'est son trône. Puis ils se mettent à dire des choses. Il ne parle malheureusement pas la même langue. Le chef du village s'approche. Il possède de nombreuses plumes sur la tête, une sorte de protection sous ces vêtements faîte avec du bois. Par dessus cette armure, il possède un vêtement fait avec des poils d'animaux.
-Haow ! Bienvenu à vous anges envoyait de Dieu. Nous regrettons de s'en être pris à vous et implorons votre pardon. Ne nous enlevez pas la vie. Nous n'avons pas remarqué que vous étiez des anges.
Surpris par cette réaction, il faut quelques instants à l'ange pour mettre au point un plan. Il se met à parler en fessant des signes histoire que tout le monde comprenne.
-Nous sommes descendu du ciel! Si vous ne voulez pas subir mon jugement vous devez vous mettre sous mes ordres. Je suis sur terre pour répandre la paix.
Le jeune homme traduit et la foule fait une tête effrayée. Ils demandent pardon et acceptent d'être sous ces ordres. Ce qui est une chance inuite. Grâce à ces origines, il vient d'avoir une cinquantaine d'indigène en état de combattre sous ces ordres.
-*Une visite du village est réalisée. Ils vivent avec des méthodes rudimentaires mais au moins ils sont en paix. *
Le chef parle ce qui est immédiatement traduit.
-Vous avez dit que vous êtes ici pour répandre la paix. Vous êtes venue nous sauver?
L'ange ne comprend pas. Que risque une tribu dans un coin reculé comme celui-ci? S'il répond maintenant, il risque de se trahir. Il ne peut mentir et dire oui je suis venue vous sauvez. Un silence apparaît.
-Quel est le problème?
Le jeune un peu perplexe répond.
-Nous sommes en conflit avec les Hunkpapa. Ils utilisent les armes qui crachent le feu. Les deux autres tribus de l’île se sont soumis à eux pour éviter les pertes. Nous avons aussi quelque arme qui crache le feu dans la maison spéciale.
La maison spéciale n'est rien d'autre qu'un taudis où ils stock tous les objets qu'ils ont récupéraient sur des voyageurs. C'est une vraie petite boutique. Des armes blanches, des fusils, même deux den den mushi et bien d'autres.
L'ange décide de remettre de l'ordre sur cette île.
C’est jaune et les hommes en raffolent. Mais sous la plus grosse quantité il y a quelque chose qui pourra aussi vous intéresser.
L’énigme semble simple, peut-être même trop simple. Ivan c’est que les réponses ne sont pas celle qui saute aux yeux mais ici c’est presque donné.
-Il parle probablement d’un aliment jaune et abondant dans ces lieux. Avoir de l’or qui traîne un peu partout est improbable. Enfin le plus dur sera de trouver la zone où il y a cet aliment jaune. Je pense aux bananes. Mais bon il y a peut-être des autres fruits jaunes ici. *C’est si simple que la complication doit probablement être pour plus tard. Je pense pas que l’auteur de ces énigmes souhaite que le lecteur s’en sorte vivant.* Soyons sur nos gardes on ne sait jamais ce qu’il va ce passer.
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Le groupe s’est enfoncé dans la jungle boueuse. Aucune banane en vue, de plus dans ces lieux il est difficile à Ivan d’avancer. C’est la galère totale. Des moustiques probablement porteurs de maladie entourent le groupe. L’énigme trop simple est compensée par la difficulté de réalisation. Ce n’est malheureusement que le commencement. Le groupe décide de s’écarter de cette zone de plus en plus profonde. Mais un animal ne semble pas apprécier ce changement. Des yeux sont à peine visibles à la surface. Il plonge et se rapproche du groupe. Il est obligé de sortir de son terrain de chasse pour espérer attraper une proie. Mais il est repéré par Cali qui ne semble pas connaître la dangerosité de la bête.
-Regardez un animal vert.
Ce n’est rien d’autre qu’un crocodile. Qui s’approche d’elle et ouvre sa gueule pour l’avoir. Heureusement que ses deux compagnons sont là. Ivan a tiré à plusieurs reprises tandis que Pédoras lui a simplement tranché la tête. Les coups de feu de l’handicapé produit un départ de plusieurs volatiles. Le groupe continue donc sa route.
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Sur un terrain dur et sec, le groupe trouve des ruches. C’est jaune mais ce n’est pas quelques choses qui attirent les hommes. Même si le miel est bon, cela n’est pas tellement réputait. Enfin c’est la seule chose qu’ils ont trouvée. Un bruit étrange entre en scène. Il est reproduit à deux reprises. Des fléchettes contenant du poisson qui ne tarde pas à endormir les cibles.
Depuis les tirs d’Ivan, les indigènes ont su qu’il y a de la chair fraiche sur l’île. Ils les ont donc cherché, endormi puis capturés. Une fois ficelait comme des saucissons, ils les amènent à leur camp. Ces indigènes sont cannibales. Ils ont donc trouvé leur repas à l'insu des anges.
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Les deux hommes, debout, sont attachés sur un poteau chacun. Non loin de là il y a un bûcher prêt à être allumé. Mais étrangement aucun indigène n’est là. Leurs habitations sont tout autour du bûcher qui semble être le centre du village. Elles sont faites en bois et couvertes de feuille. Ce village abrite environ deux-cent cinquante personnes.
Les deux anges reprennent connaissance. Ils entendent la harpe de Cali. Puis là, une voix angélique fait son apparition. Que se passe-t-il? Pourquoi joue t elle à un moment pareil ? Mais d’autre questions viennent en priorité. Que s’est-il passé? Pourquoi sommes-nous attachés ? Les réponses à toutes leurs questions arrivent. Dame Cali accompagnait des indigènes ne semblent pas être considéré comme ennemie. Cela dit, il semble la forcer à chanter. Ils prennent ça un peu comme une drogue.
Ils saisissent les deux anges pour les mètres à rôtir au feu. Ils enlèvent la cap de Pédoras et le tissu d'Ivan. Puis quelque chose inattendu de la part des cannibales survient. Ils voient des ailes blanches pour chacun des hommes. Certains se prosternent d'autres ne savent plus quoi faire, ils regardent à droite à gauche et se prosterne. Une personne ramène la chaise roulante d'Ivan pensant que c'est son trône. Puis ils se mettent à dire des choses. Il ne parle malheureusement pas la même langue. Le chef du village s'approche. Il possède de nombreuses plumes sur la tête, une sorte de protection sous ces vêtements faîte avec du bois. Par dessus cette armure, il possède un vêtement fait avec des poils d'animaux.
- Spoiler:
- Spoiler:
-Haow ! Bienvenu à vous anges envoyait de Dieu. Nous regrettons de s'en être pris à vous et implorons votre pardon. Ne nous enlevez pas la vie. Nous n'avons pas remarqué que vous étiez des anges.
Surpris par cette réaction, il faut quelques instants à l'ange pour mettre au point un plan. Il se met à parler en fessant des signes histoire que tout le monde comprenne.
-Nous sommes descendu du ciel! Si vous ne voulez pas subir mon jugement vous devez vous mettre sous mes ordres. Je suis sur terre pour répandre la paix.
Le jeune homme traduit et la foule fait une tête effrayée. Ils demandent pardon et acceptent d'être sous ces ordres. Ce qui est une chance inuite. Grâce à ces origines, il vient d'avoir une cinquantaine d'indigène en état de combattre sous ces ordres.
-*Une visite du village est réalisée. Ils vivent avec des méthodes rudimentaires mais au moins ils sont en paix. *
Le chef parle ce qui est immédiatement traduit.
-Vous avez dit que vous êtes ici pour répandre la paix. Vous êtes venue nous sauver?
L'ange ne comprend pas. Que risque une tribu dans un coin reculé comme celui-ci? S'il répond maintenant, il risque de se trahir. Il ne peut mentir et dire oui je suis venue vous sauvez. Un silence apparaît.
-Quel est le problème?
Le jeune un peu perplexe répond.
-Nous sommes en conflit avec les Hunkpapa. Ils utilisent les armes qui crachent le feu. Les deux autres tribus de l’île se sont soumis à eux pour éviter les pertes. Nous avons aussi quelque arme qui crache le feu dans la maison spéciale.
La maison spéciale n'est rien d'autre qu'un taudis où ils stock tous les objets qu'ils ont récupéraient sur des voyageurs. C'est une vraie petite boutique. Des armes blanches, des fusils, même deux den den mushi et bien d'autres.
L'ange décide de remettre de l'ordre sur cette île.