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Une partie au casino.

Quelques jours après la mort de son mentor.

Le temps lui semblait long et terne depuis la mort de son maître. Leurs fous rires, leurs colères, leurs combats et tant d'autre chose encore. Tout ça, ça lui manquait. Son mentor lui manquait. Mais la vie était ainsi. Il devait passer à autre chose maintenant. Tout ça appartenait au passé. À une époque révolue de sa vie. Il avait envie de se changer les idées, mais que pouvait-il faire ? Il ne savait pas. Il se gratta le menton en guise de réflexion. Tout à coup, une idée lui vint en tête. Son mentor allait souvent dans un endroit appelé « casino » quand il passait à Manshon. Peut-être qu'il pourrait faire un tour là-bas, histoire de se changer les idées. Hum … Ouais c'est ce qu'il allait faire. Il prit donc ces clics et ces clacs et se dirigea vers Manshon. Par chance, il était sur une île voisine non loin de celle-ci.

Il arriva sur l'île en question deux jours plus tard. Il y débarqua un beau matin. Les oiseaux chantaient et le soleil rayonnait. Bref, c'était une belle journée. Il attacha son voilier sur une bite, puis se dirigea en ville. Ce jour-là, la marine était assez présente dans les rues. Allez donc savoir pourquoi ! Peut-être s'était il enfin décidé à bouger leur cul. M'enfin, ce n'était pas ses affaires après tout. Il marchait tranquillement dans la rue et regardait un peu les commerçants du coin. Il s'arrêta devant l'enseigne d'un bar qui le laissait perplexe. Voici ce qu'on pouvait y lire : « Jere Micle ». Quand soudain, une bataille éclata à l'entrée de ce dernier. À première vue, deux hommes ivres. L'un poussa l'autre qui par malchance ou par chance, allez savoir, tomba sur Ylvikel. La marine n’étant pas loin de la scène déboula à toute vitesse. Et que vit-elle ? Bah l'autre pochtron allongé sur Ylvikel.


« Vous deux, on vous emmène au poste. »

« Mais, je n'y suis pour rien M'sieur ! »

Les marins menottèrent les deux hommes et les firent avancer vers la geôle la plus proche.

« Vous n’avez rien fait ? Eh bien, vous aurez toute la journée pour méditer sur ça justement. »

Ils jetèrent alors sans scrupule Ylvikel et l'autre abruti en prison. Ce n’était vraiment pas son jour ! Lui qui était venu ici pour prendre du bon temps ! Le voilà derrière les barreaux. Quelle vie de merde ! Bon ben puisqu'il n'avait plus rien à faire, autant dormir.

« Allez, dehors. Et j'espère que vous ne recommencerez plus ! »

*Ouais c'est ça. Du con, va … *

Avec tout ça quelle heure pouvait-il être ? La nuit était déjà tombée. Bon, il fallait voir le bon côté des choses. Au moins, c'était plus intéressant d'aller au casino le soir qu'en journée. Ça a plus de charme. Il arriva quelques minutes plus tard au casino. À quoi allait-il jouer ? Machine à sous ? Non. Black jack ? Non. Roulette ? Hum … Oui. Combien avait-il ? Dix milles Berry. Il partit donc à la caisse et échangea cinq milles Berry en jeton. Puis, il se dirigea vers la roulette et s'installa.

« Cent Berry sur les rouges. »

Connaissiez vous le principe de la roulette avec les couleurs ? Si on tombait sur la bonne couleur, les gains étaient doublés. Sinon, c'était perdu. Il fallait toujours jouer petit pour enchaîner sur du lourd. La bille tomba sur le neuf noire. Perdu. Continuons.

« Deux cents Berry sur les rouges. »

Le croupier lança bille. Elle tournait, tournait et tournait. Quelle verdict allait-elle rendre ? Il n'en savait rien …
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- Ah, putain j’ai vraiment mal au crane merde.

Az venait à peine d’ouvrir un œil que sa douleur le ramenait déjà à la raison. À moitié effondrer dans une ruelle sombre alors que le soleil n’était déjà plus de la partie, sa tête résonnait comme s’il venait de se prendre un coup de marteau et il sentait mauvais. En regardant plus bas, il se rendit compte que des taches de divers alcools s’étaient répandues sur tous ses vêtements.

- Ou t’es ma belle ?

Eh oui, le premier réflexe après s’être assuré de ne pas être nue dans un lieu public était de retrouver sa gigantesque lame, sa chérie qu’il venait de laver avec précaution. Au moins elle n’était pas trop loin, elle trainait juste là sous ses fesses. Il s’en équipa et se releva, le vertige s’empara de tout son corps, il devait manger quelque chose se n’était vraiment pas normal d’avoir le ventre vide après s’être réveillé dans un lieu inconnu.

- Oh yeah, tout une soirée, je me rappelle encore de ses jumelles…

Az se dirigea directement vers la rue à ça gauche et trouva un petit bar à brochette, il fouilla le fond de ses poches pour tomber sur sa petite bourse. Surprise ! Elle n’était pas vide, se qui était complètement impossible, mais bon le dernier jour n’était plus que rêve aux yeux de l’épéiste, expliquer cet argent était donc aussi impossible. Il s’acheta donc la plus grands et grosse brochette, porc, bœuf et poulet épissé enrober de lamelle de viande exotique ainsi que divers morceaux colorer de légume enseveli sous une couche de sauce sucrée. Un vrai régale ! Il donna l’Argent et repartit.

- Hé Monsieur, vous en avez laissé trop !

- Garder la monnaie mon ami.

Le cuistot regarda une fois de plus les billets, au lieu de lui donner cinquante milles Berrys, le con lui avait donné un triple billet, il faut avouer que les trois billets étaient légèrement collés ensemble, mais bon une personne proche de son argent aurait rapidement calculé l’énorme quantité supplémentaire. De son côté, Az n’avait simplement pas pris la peine de compter et avait sorti le premier billet en espérant que ça ferait l’affaire. En marchant, le malheureux se rendit bien vite compte que toutes ses poches étaient remplies de billets verts. Quelle poisse, il n’avait pas envie de deviner à quoi il les perdrait, quand soudain, l’insigne d’un casino s’alluma pour éclairer la ruelle sombre.

- Merci oh dieu de la clémence, se sera donc le casino.

Une fois le portail western passé, Az atterrit devant une troupe de gens bourrés de cigares et de vêtement chic. Un petit tour vers la petite fille qui tenait le bar et il sue ou aller pour changer ses billets en jetons multicolores. Il tourna donc les talons avec son ver de saké frais commandé, puis arriva directement sur la caisse enregistreuse. Là il changea tous ses biens sans les compter en une tonne de pièces de plastique qu’il reçut dans un sac.

- Quel jeu, un jeu, je dois trouver un jeu !

Comme toujours, il décida de s’en remettre au destin, il agrippa donc un petit homme bedonnant et le plaqua contre une poutre.

- Hé, dis-moi à quoi je devrais jouer ce soir.

- Heu, pardonner moi monsieur, je ne vous avais pas vue je euh...

- Un jeu aller j’ai toute la nuit.

- La roulette ?

- Pas fou, je t’aime bine gras du bide, tien prend cette poigné de jeton et va racheter ta soirée.

- Mer… Merci…

Il relâchât sa prise, fourni se qu’il avais promis et donna une tape sur l’épaule du pauvre homme, il se dirigea ensuite vers une table ou se jouais le célèbre jeu de la roulette, un jeu hasardeux et complètement incroyable ! À sa droite se tenait une femme à la robe rouge et au collier de diamants, le genre de fille qui devait surement se faire vivre par un mec vieux comme la terre. Enfin en face de lui se tenait le croupier ou le responsable de la petite bouboule et pour finir, à sa gauche un homme élégant, mais mystérieux à la chevelure blonde et épaisse, peut-être un Okama qui sais…

- Monsieur souhaite-t-il jouer ?

- Ouais, je mets tout ça sur les rouges, ma couleur favorite.

- Parfait, je lance la sphère du destin ! elle tourne, tourne et s’arête sure ! Sur ! Eh oui nous avons deux gagnants ! le rouge est victorieux, mais je suis désolé de vous apprendre que la politique de la maison interdit deux vainqueurs, je vous prierais donc de bien vouloir choisir chacun une couleur et je relance pour désigner le réel vainqueur.

Il se foutait de sa tronche non ? Lui qui venait ici pour perdre tout son argent venait de gagner, à moins qu’il ne perde face au blondinet, mais bon il n’avait pas envie de rejouer, d’habitude ça ne lui prenait qu’un coup et hop il était bon pour un mois…

- Dit moi, tu te fou de moi, je veux pas relancer cette boule !

- Alors veuillez vous arranger entre vous, je euh ne peut rien faire de plus sinon…

- OK, viens ici mon minet, on va jouer du coude pour régler tout ça, tu penses à quoi ?

Dit il avec un sourire intense qui apparaissait tranquillement sous ses bandelettes, sa, mais s’était également déposé sur le manche de sa grosse épée, un simple réflexe, mais au moins il donnait l’impression d’être enragé et serais près à tout.

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ROUGE ! Il avait gagné. Et qui plus est, le double de sa mise. C'était son jour de chance. Mais ça, c'était bien avant que cet abruti de croupier sorte une raison pour le moins hasardeuse. Il venait de leur dire qu'il ne pouvait y avoir qu'un gagnant. C'était quoi ce casino ? Une ferme ou quoi ? Il ne savait même pas les règles de leurs propres jeux ? Non, il se foutait de sa gueule. Il allait gueuler sur le pingouin quand tout à coup une espèce de momie commença à lui gueuler dessus. Pour lui, c'était simple : il devait se battre. Mais quel abruti celui-là ! Il ne voyait pas qu'on était en train de le manipuler ? Ylvikel le fixa de haut en bas. Effectivement, il ne pouvait pas s'en rendre compte. Il ressemblait vraiment à un débile profond avec son bandeau et tout son accoutrement. Devrait-il essayer de le raisonner ? Non. Ce n’était pas le jour où l'on devait lui casser les couilles. Il était venu se détendre et voilà qu'un emmerdeur de première classe avait débarqué. Il se tapa le front.

« Je n’ai vraiment pas de chance. »

Il fixa une dernière fois l'abruti complètement dépité. Il n’avait pas envie de se battre. Surtout que la mafia locale n'allait pas rester les bras croisés. S'en rendait-il compte ? Non. Ce genre d'homme, il ne s'en rendait pas compte. Même s’il lui disait ce qu'il se passerait ça ne l'aurait que plus excité. Décidément … Il rencontrait toujours des drôles de spécimens.

« Écoute, je n'ai pas envie de perdre mon temps avec quelqu'un comme toi. »

Ça avait le mérite d'être clair. Puis il fixa le croupier. Ce dernier se marrait bien. Il avait du manigancer tout ça. Pourquoi ? Certainement pour se barrer avec tout l'argent qu'il pouvait y avoir sur la table. C'était certainement un escroc qui s'était fait passer comme tel. Ylvikel avait percé son subterfuge. Malheureusement, il n'y avait que lui. L'autre abruti devait être dépourvu d'intelligence. Il regarda l'arnaqueur droit dans les yeux.

« Je ne suis pas dupe. »

Ce dernier fit un drôle de visage. Comme s'il avait compris quelque chose. Comme s'il avait été découvert. Un petit sourire apparut sur son visage. Il attrapa le croupier et murmura à son oreille. Seul lui pouvait entendre.

« Écoute-moi bien mon gars. Je vais m'occuper de l'autre abruti et puis ça sera ton tour. Surtout, ne fais rien d'irréfléchi. Sinon je me verrais dans l'obligation de te tuer. »

À ces mots, Ylvikel éclata de rire et dégaina son katana. Il fixa la momie qui n'avait toujours pas bronché. Était-il en train de réfléchir ? Venait-il de percuter ce qu'avait dit Ylvikel ? Aucune idée. Néanmoins, il voulait être sûr que ce combat était inévitable.

« Tu ne penses pas que le croupier s'est joué de nous ? Ou penses-tu que nous devons régler ce problème maintenant ? »

Le ton était donné. Qu'allait être la réponse de l'homme momifié ? Il n'en était pas sur, mais il y avait de fortes chances pour que le combat éclate. Rendez-vous au prochain épisode …
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L’homme à la tignasse blonde était pourvu d’un caractère de vraie pute, le genre de personne qu’on ne peut pas écouter trop longtemps sinon on sent ses oreilles vibrer sous l’incohérence de ses dires. Bref, il était sur les nerfs lui aussi, et ce n’était surement pas une petite crise de nerfs comme celle-là qui allait l’impressionner. Du coup ça permit à Azraël de se rendre compte qu’effectivement ce croupier n’était pas net et pas net du tout.

« Tu ne penses pas que le croupier s'est joué de nous ? Ou penses-tu que nous devons régler ce problème maintenant ? »

Que voulez-vous répondre à ça ? En temps normal Az aurait répondu de sa lame, mais le pactole était en jeu et avec le double de ça mise il pourrait peut-être se payer un voyage dans le sud du pays, peut-être même qu’il pourrait voler la part de cette fausse femme blonde aux airs de mégère.

- Calme tes ardeurs jeunes Okama, nous n’avons aucune raison de nous affronter pour lui, dit-il en pointant le croupier. Mais si tu t’en sens capable, je te propose de reprendre nos biens et gins, on lui fait payer sa part de sottise et ensuite si on n’est pas arrêté par les probables gardes des lieux, on peut toujours foncer à la caisse du casino.

Az venait d’avoir une idée merveilleuse, par contre, il ne pourrait jamais y arriver seul et en espérant que le blondinet soie aussi fort qu’il puisse le prétendre, une mince chance de faire un gros coup d’éclat n’était pas négligeable. C’est donc en se levant de son banc, puis en finissant le verre d’alcool fort sur la table qu’il se rapprocha de son compagnon tout en éloignant la pointe de son arme. Il lui chuchota ensuite à l’oreille que l’lorsqu’ils seraient bien loin d’ici, il pourrait soie se séparer le magot en deux ou s’affronter pour trouver le gagnant.

Dans toutes les histoires, les scénarios et les idées possibles, la sienne était de loin la plus alléchante. Un partenariat provisoire et une double ration d’argent pour les deux bretteurs.

- Alors qu’en dis-tu ? Veux-tu tenter de te défouler en vain ici, maintenant devant tous ses gens riches et épeurer ou veux tu de mon aide et peut-être doubler ton salaire annuel ?
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INCROYABLE ! Ça devait être un miracle, comment l'expliquer autrement ? L'autre abruti venait de comprendre que le croupier voulait les rouler. Cependant, il avait pris un ton des plus arrogants. Comme s'il l'avait compris depuis le début, alors que ce n'était certainement pas le cas. Il le trouvait vraiment de plus en plus pitoyable. Il le regarda de haut en bas et se mit à applaudir.

« Bravo ! Je ne pensais pas que tu allais comprendre son petit subterfuge. Cependant, m'allier avec toi ne me serait d'aucune utilité. Je n'aime pas traîner les boulets. »

À ces mots, Ylvikel lui fit un petit sourire et récupéra l'argent qu'il avait misé. Après tout, il n'avait pas misé grand-chose. Pour deux cents malheureux Berry, il préférait encore dénoncer ce croupier à la sécurité du casino. Pourquoi ? Eh bien, par ce biais, il allait savoir si c'était le croupier qui voulait les arnaquer ou bien l'enseigne. Il rangea alors son argent dans la poche intérieure de sa veste. Il chercha alors un garde afin de lui en toucher quelques mots. Il ne mit guère longtemps à le chercher. Une main vint se poser sur son épaule. Qui cela pouvait-il être ? L'autre abruti ? Non. Il était juste à côté d'Ylvikel. Il se retourna.

Il vit alors deux gardes. S'ils étaient là, c'était pour une bonne raison. Fallait-il encore la connaître. Mais en tout cas, tout laissait à croire que ce n'était pas le croupier l'arnaqueur, mais bien le casino. Il se devait de le demander. Il n'aimait pas rester dans le doute.

« Que puis-je faire pour vous ? »

Les gardes le regardèrent et explosèrent de rire.

« Mon ami, vous êtes en train de voler le casino. Veuillez reposer immédiatement ce que vous venez de prendre. »

« Vous parlez des deux cents Berry ? »

« Oui. »

Eh bien, il n'y avait plus aucun doute maintenant. Ce n'était pas seulement le croupier qui voulait les arnaquer, mais bien tout le casino. La momie l'avait-elle compris ? Rien n'était moins sur. En tout cas, il n'aimait pas se faire prendre pour un con et il allait le prouver tout de suite.

Il fit un sourire au garde et mit sa main dans sa veste. Ils avaient bien vu que l'argent avait été rangé là-dedans. Cependant, il ne comptait pas le leur rendre. Dès qu'il sentit les formes de son scalpel, il l'empoigna. Les deux gardes ne se méfiaient pas. Grave erreur qu'ils allaient commettre là. Il le sortit rapidement et leur trancha la carotide. Les deux gardes s'effondrèrent alors comme deux grosses merdes au sol. Il rangea son scalpel et dégaina son katana. Puis, pointa l'abruti avec son arme.


« Il ne faut pas blâmer le croupier, mais le casino. Qu'en penses-tu si nous faisions une petite razzia sur ce casino ? »

Le ton était donné. Allait-il accepter son invitation ? On ne parlait plus de quelques Berry maintenant, mais plutôt à des millions. L'argent, il n'y a que ça de vrai et même un abruti peut le comprendre. Enfin, il l'espérait …
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La blondinette avait raison, mais Az avais encore un doute sur ses réelles intentions, ce mec avait trop l’apparence d’un noble pour pouvoir être un type bien. Bref, il décida de l’accompagner, se qui en revenir à sa propre proposition, mais s’il préférait accepter en retournant la situation, pas de problème qu’il prenne la grosse tête…

- Ouais ça me va, mais une dernière chose avant de continuer, les gorge c’est mon truc essaye d’éviter tu veux ?

Sans attendre de réponse et sur que son compagnon allait comprendre l’ironie de ses dires, il fonça sur les deux gorilles suivants. Dans le vif de l’action l’un des deux eut la brillante idée de fermer les portes, que se soie en restant devant ou en envoyant un tas d’obstacle pour en empêcher l’ouverture, les deux criminels ne se chamaillerait pas longtemps, l’idée était tout simplement brillante. Se fut une lute compliquer, dure et très sanglante, pour sa part Az tranchait tête après tête des qu’il s’agissait d’un mec super costaud en cravate et avec se qu’on pourrait appeler des armes de poings. Les civils eux s’étaient roulés en boulle sous les tables et pensaient ainsi s’éviter la pluie de sang qui prenait de plus en plus d’ampleur.

Tout en continuant, le sabreur eut la nette impression qu’une chose clochait et la réponse ne tarda pas à arriver. Alors que Ylvikel était un peu plus loin stoppant toute sortie, un homme assez gras et petit fit son entrée, accompagner de quatre macaques supplémentaires, il se présentât comme étant le responsable. Aussitôt Az stoppa le massacre et se mit à l’écouter, l’homme expliqua d’une manière saccadée qu’ils pouvaient trouver une façon plus propre de régler le conflit que la marine ne devait effectivement pas mettre le nez dans l’histoire et le train-train quotidien. Avec cette preuve ils auraient le bon rôle dans l’histoire, s’il se fessait plumer il n’aurait qu’à blâmer l’innocence en voulant arrêter se hors la loi et dans le cas contraire il repartirait riche.

Une fois la réflexion terminée, quatre têtes de plus trouvèrent appuis au sol, retrouver par le reste de leur corps quelques secondes plus tard. Derrière se massacre se cachais le petit propriétaire effrayer et en pleure, mais lui sa vie n’était pas encore terminée. Az le pris et lui donna un bon coup de lame, côté plat, en pleine poire, l’homme d’affaires s’effondra

- Que tout le monde reste calme, placer tous vos objets de valeur au centre de la pièce, argent, bijoux et tous les jetons du casino, ensuite aller vous placer en rang de se coté ! dit il en trainant le corps engourdit du nain de service.

Les gens effrayer et stresser l’écoutèrent sans argumenter, ça fonctionnait, les idiots trop effrayer par la mort se blottissaient en boule après avoir déposé tout ce qu’ils avaient sur eux.

- hey blondinet, regarde, j’ai trouvé le responsable, je me suis dit qu’il nous serait utile pour le coffre fort et tu n’imagines même pas se qu’il vient de m’apprendre, ils travaillent dans le secret, donc nous sommes riche !
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Voilà que l'autre momie coupait les têtes les unes après les autres. Quel manque de classe. Du moment que le sang ne giclait pas sur ses habits, cela ne lui posait aucun problème. Il s'était contenté de le regarder tout en bloquant toute sortie. Pour l'instant, cela le satisfaisait. Les civils étaient apeurés. Il avait réussi son coup, il les avait tous terrorisés. C'était tellement drôle à regarder, qu'Ylvikel éclata de rire. Il les regarda, histoire de voir que personne ne prenne d'initiative. Puis, ce fut là qu'il la vit. Une jeune brune âgée de vingt ans. Elle avait une poitrine fort généreuse, des lèvres pulpeuses et un superbe fessier. Ce fut là qu'une idée lumineuse lui vint à l'idée. La momie était tellement occupée à décapiter les gardes, qu'il avait bien le temps de s'amuser un petit peu. Il s'avança vers la demoiselle et se mit à sa hauteur. Elle était terrifiée et tremblée de partout. Ylvikel lui fit un sourire puis l'enlaça. Elle fit de même et éclata en sanglots. La pauvre …

« Ne t'inquiète pas, je vais m'occuper de toi. »

À ces mots, il éclata de rire et lui asséna un violent coup de poing. Le coup fut si violent, qu'elle perdit connaissance. Les autres civils apeurés s'écartèrent d'Ylvikel et le regardèrent avec des yeux ébahis. Lui, ça ne le dérangeait pas. Il sortit son scalpel et découpa les habits de la jeune femme. Qu'allait-il bien pouvoir avec elle. Elle était tellement belle … Ça serait un pêché de ne pas faire ce que vous pensiez. Il lui arracha sa petite culotte et son soutien-gorge, la laissant totalement nue. Puis, il commença à lui lécher son ventre et tripoter ses seins. Suite à ça, il dégrafa sa ceinture. Il mit la jeune femme sur le ventre et attacha ses mains avec ses pieds. La douleur fut si intense qu'elle la réveilla. Elle se mit alors à hurler comme une truie, mais cela l'excitait davantage. Il se mit alors à l’éventrer, et elle criait, mais lui, il continuait. La première chose qu'il aperçut, ce fut ses tripes, suivit de très près par ses intestins et le foie. Elle baignait maintenant dans son propre sang, il aimait voir un tel spectacle. Il sortit de sa veste un petit bocal puis prit son foie. Il ne savait pas vraiment ce qu'il allait faire avec, mais ça serait toujours utile. Il se releva et regarda les civils. Certains avaient dégurgité tout leur repas, d'autres s'étaient pissés dessus. Il éclata une nouvelle fois de rire et prit la parole.

« Je m'appelle Ylvikel Strauer. Je vous conseille de vous tenir à carreau, sinon vous finirez comme elle. »

Tout à coup, l'autre abruti l’interrompit. Que pouvait-il bien lui vouloir encore ? Il aimait le faire chier ou quoi ?! Il se retourna et le regarda. Il trainait un mec par terre. A priori, c'était le gérant du casino et d'après lui, on pouvait se servir à volonté. Ylvikel le fixa et il pouvait y voir ses yeux pétiller. Il y croyait ? Quel abruti ! Il se mit alors à rire, il n'avait pas envie de le prévenir cette fois-ci. Il allait simplement le suivre et voir comment les choses allaient évoluer.

« Dis-moi petit malin, maintenant qu'il est dans les vapes, comment va-t-on faire pour ouvrir le coffre ? »

* Quel abruti ! *

Ylvikel se mit alors au niveau du gérant, et lui asséna une volée de baffes afin de le réveiller. Au bout de quelques minutes, il reprit enfin connaissance. Ses joues étaient boursouflées, peut-être y avait-il été trop fort. Peu importe, il était réveillé. Il le prit par les cheveux et lui montra ses gardes décapités, puis la jeune fille éventrée. Il le fixa et fit un petit sourire satanique.

« Tu as le choix : coopérer ou mourir. Que décides-tu ? »

Il se mit alors à rigoler. De toute façon, il allait s'occuper de son cas un petit peu plus tard. Il avait envie de tester quelque chose. Une opération jamais réalisée par aucun médecin. Mais pour l'instant, il se devait de patienter …
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Le dirigeant n'hésita guère longtemps. Il savait très bien qu'Ylvikel aurait mis ces menaces à exécutions. Ce fut pour cette raison qu'ils les amenèrent devant la chambre forte. L'excitation était si intense qu'il se mit à trembler. Pourquoi ? Et bien, il ne restait plus qu'une simple porte entre eux et la richesse éternelle. De quoi devenir fou ! Ylvikel se mit à rire, ce qui rendit le gérant encore plus nerveux. Il était apeuré et suait comme un porc. Ylvikel le poussa afin qu'il se hâte. Il en avait ras le cul d'attendre ! Quelques secondes plus tard, le gérant ouvrit enfin le coffre fort. À l'intérieur, il y avait des liasses et des liasses de billets. Il n'en revenait pas, ses yeux pétillaient. Les deux hommes entrèrent et prirent chacun deux sacs qu'ils remplirent au maximum de leurs capacités. Une chose était sûre, ils ne s'étaient pas déplacés pour rien. Ylvikel commença même à fredonner une petite chanson. Hélas, ils n'étaient pas au bout de leurs surprises.

Tout à coup, une force de la nature fit son apparition. La joie des deux hommes s'estompa aussi tôt. Qui pouvait-il bien être ? Un garde ? Non. L'autre momie les avait tous exterminés. D'où pouvait-il bien sortir ? Qui l'avait prévenu ? Il n'en savait rien. Quand tout à coup, il eut un déclic. Il se retourna aussitôt vers le dirigeant. Ce dernier avait un petit sourire en coin. C'était donc lui le responsable ! Ylvikel pencha un peu sa tête sur le côté puis se mit à rire.

« Je m'occuperais de toi juste après ... »

Il n'eut guère le temps de finir sa phrase, que l'abruti fonça tête baissée sur la montagne. La réaction de cette dernière ne se fit guère attendre. Il lui asséna un violent coup de poing en pleine face. Le coup fut si violent, qu'il fut projeté sur le dirigeant et s’encastrèrent tous deux dans le mur. Ylvikel jeta un bref coup d’œil vers son « partenaire ». Celui-ci avait été assommé par le choc. En plus d'être débile, c'était un incapable. Enfin, il n'avait jamais compté sur lui, ça lui a évité d'être déçu. Il porta son attention au nouvel arrivant. Il avait envie de le découper, le réduire en charpie, mais avant il voulait en savoir plus …

« Je m'appelle Ylvikel Srauer et toi ? »

« … »

« Pas très bavard. Faisons un pari. Si je gagne, tu réponds à mes questions. Dans le cas contraire, tu feras ce que tu veux de moi. »

« … Ok … »

Il était en transe. Son excitation atteignait son paroxysme, si bien que la couleur de ses iris s'interchangea. Le voilà entré dans une nouvelle crise de démence. Un sourire apparut sur son visage. Il lâcha les sacs remplis de pognon et dégaina son katana. La brute quant à elle se contenta de mettre des gants de boxe. C'était rare de voir ce genre de combattant, mais ce n'était pas la première fois qu'il voyait ça. Il se rappelait de son dernier affrontement avec le dénommé Joseph. Cette fois-ci, il ne ferait pas les mêmes erreurs. Les deux hommes se fixaient, comme pour se jauger. Ils attendaient tous deux le moment opportun. Tout à coup, la masse se jeta sur Ylvikel enchainant les jabs. Il les évita sans trop de difficulté, mais c'était un piège. Il se retrouva rapidement dos au mur. Le boxeur avait réussi à l'isoler dans un coin. Il l'enchaina avec des enchainements droite/gauche. Les coups furent si violents, que le mur cédait petit à petit sous l'impact des coups, pour finir par s'écrouler entièrement. Le combat était mal engagé pour Ylvikel, mais il ne fallait pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué. Certes, il était sonné et un tant soit peu amoché, mais, il était en vie. Il se releva tant bien que mal et cracha par terre. Le boxeur quant à lui pensait en avoir terminé. Quelle ne fut pas sa surprise lorsqu'il aperçut le beau blond se relever indemne de son enchainement. Un sourire apparut sur le visage d'Ylvikel.

« À mon tour ... »

À ces mots, Ylvikel fonça droit sur le boxeur et enchaina des coups nets et droits. Il voulait garder ses distances avec son adversaire. Ce dernier se mit alors à reculer. Il évita plutôt aisément les attaques d'Ylvikel, puis riposta lui aussi. Ils faisaient tous deux jeux égaux. Quelques coups atteignaient leur but pour les deux hommes, les abimant un peu plus à chaque fois. La lame et les gants se croisèrent à maintes reprises, mais la balance ne penchait pour aucun des deux. Cependant, Ylvikel n'avait pas tous dévoilé de ses talents, et il savait comment mettre un terme à ce match. Il fonça de nouveau sur son ennemi, qui évita de nouveau les coups portés par notre héros. L'étreinte se refermait petit à petit sur lui. La montagne n'avait pas remarqué le stratagème d'Ylvikel. En effet, ce dernier ne tenait son sabre que d'une main, tandis que dans l'autre, il tenait une aiguille. À l'affut de la moindre petite erreur de son adversaire, il était prêt à en finir avec lui. Il n'attendit guère longtemps avant que ce dernier ne trébuche sur la jambe de l'autre imbécile. Sa garde était brisée ! C'était le moment d'agir, et en une fraction de seconde, Ylvikel vint planter son aiguille dans son coup. L'homme gisait à terre, la fatigue commençait à l'envahir.

« Je t'es anesthésié. Tu vas très vite t'endormir, mais avant, réponds à mes questions. Pour qui travailles-tu ? »

« Pour … la maf … mafia … Temp … Tempies … Tempiesta … »

À ces mots, l'homme s'endormit d'un sommeil profond. Ylvikel avait eu ses réponses, mais il ne voulait pas en rester là. Si cette famille possédait un casino d'une si grande envergure, c'est qu'elle devait être imposante. Il traina l'homme par terre et fouilla ses poches. Il y trouva deux couteaux. Il les prit et se dirigea vers le gérant. Ce dernier était toujours dans les pommes. Mais plus pour très longtemps … Il le déplaça et le posa contre le mur. Puis, il prit ses deux mains et les posa l'une sur l'autre et enfonça le couteau dedans. La douleur fut si intense qu'elle le réveilla et se mit à hurler. Il gigotait dans tous les sens tel un ver de terre. Il lui planta la deuxième lame dans la jambe et le baffa.

« Ferme là ou je t'égorge comme un porc. »

Le silence se fit entendre, l'homme savait que s'il voulait vivre, il valait mieux lui obéir. Ylvikel se poussa un peu et lui montra du doigt la montagne. Le gérant fut si stupéfait que ses yeux manquèrent de se décrocher de leurs orbites. Ylvikel se mit à rire puis se dirigea vers le gros bébé.

« Je sais pour qui tu travailles. Tu as vu de quoi j'étais capable, mais, je vais t'en faire une démonstration, plus … comment dire … plus poussé. Regarde bien … »

Il se baissa et sortit son scalpel. Il avait une poupée pour lui tout seul. Qu'allait-il bien pouvoir lui faire ? Il l'avait toujours le foie pris sur sa victime précédemment. Ce fut là qu'une idée démoniaque lui vint en tête. Il prit les deux mains de l'homme et les posa côte à côte puis, dégaina son katana. Il regarda le gérant pour voir si ce dernier regardait bien et sectionna les mains. Le sang gicla de tous les côtés. Il fallait faire vite, s'il ne voulait pas qu'il se vide de tout son sang. Il prit le foie qu'il avait prélevé un peu plus tôt et commença à le lui greffer à la place de ses mains. L'opération lui prit une demi-heure et le résultat fut surprenant. L'homme n'avait pas clamsé et se retrouvait avec pour main un foie. Le foie avait été cousu au niveau de ses deux poignets. Il se mit alors à rire et se dirigea vers le gérant.

« Je m'appelle Ylvikel Strauer. Tu diras à la famille Tempiesta que je reviendrais d'ici peu revendiquer la place du parrain. »

Il admira une dernière fois le travail qu'il venait d'effectuer puis ramassa les deux sacs. Ils avaient récolté une petite fortune grâce au casino. Il se dirigea vers la sortie, mais s'arrêta sur le quai de la porte.

« Merci et à bientôt. »

Il éclata de rire et quitta le casino. Le voilà riche. Qu'allait-il bien pouvoir faire dès à présent ? Il n'en savait fichtrement rien.
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