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La folie de Matsu

1624 :La folie de Matsu
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Cela fessait un moment que j’avais maintenant 17 ans, j’étais jeune, j’étais encore inconnu, mais j’étais surtout un homme qui voulait la vengeance et la liberté. Deux choses certes différente en un sens, mais dans le fond très proche. J’ai été esclave et aujourd’hui, je suis un homme libre certes. Mais je n’ai jamais été un homme libre totalement. Je ne dis pas que j’ai vécu les choses les plus terribles du monde, mais je sais que je n’ai pas été béni... Quoi qu’il en soit, dans ce que je rêvais de faire, il y avait plusieurs choses importantes. La première était détruire les esclavagistes. Beaucoup de gens comme les révolutionnaires, pense que parce que je veux détruis les esclavagistes, je veux détruire l’esclavage. Mais ma vision des choses est légèrement diffèrent. Ce que je veux c’est tuer, tuer ses hommes, ses femmes et même ses enfants qui pense qu’ils valent mieux qu’un autre être humain. Je ne suis pas un homme foncièrement mauvais. Mais je peux me montrer sans pitié envers les choses et les gens qui se montrent supérieur aux autres. Les dragons célestes par exemple sont la parfaite démonstration de la haine que j’éprouve envers ses gens. Pour eux, nous esclaves nous ne sommes pas plus importants que de bétail. Une vache aurait même plus d’importance que nous. Rien que de pensé à ça j’ai des envie de massacre...

Il y a autre choses que j’aimerais aussi faire. Evidemment, il y a le plaisir de liberté que je veux. Ayant été esclave toute mon enfance, le mot liberté est comme une approche du paradis. Pour moi ça l’était en tout cas. Et même si aujourd’hui, je suis techniquement libre. Je me sens encore un peu emprisonner. C’est d’ailleurs pour ça que depuis quelques temps je pense à rejoindre un groupe de pirate. Certains ne pensent qu’au meurtre et à l’argent. Mais d’autre être pirate est avant tout un signe de liberté. Voyager sur les mers, affronter tous les dangers du monde et en découvrir toute les merveilles. Voilà une vision du monde qui me plait assez. Mais une autre chose que je garde plutôt pour moi, c’est celui de mes origines. Cette perle que je porte autour de mon cou, une perle d’une grande valeur, que je refuse à vendre, même au prix de ma vie. Elle est une source de souvenir et de paix pour moi. Mais elle est aussi la seule chose, le seul indice que j’ai pour savoir d’où je viens. Ce n’est pas que j’ai envie de retrouver mes vrais parents... S’ils sont encore en vie. Mais plutôt de savoir qui je suis vraiment d’où je viens. C’est un peu bête, mais dans le fond, je crois vraiment que j’aimerais savoir ce que j’aurais pu être dans le passé... Même si je sais d’avance que cela ne changera pas mon avenir.

Quoi qu’il en soit, aujourd’hui je me trouvais sur une ville des plus dégoutantes. Rien que d’entendre le nom me donnait la gerbe... « La ville d’esclave ». Comme généralement, je ne choisis pas mes destinations, vu que je voyage d’ile en ile clandestinement. Je ne peux pas savoir ou j’atterris toujours. Aujourd’hui maque de chance, je tombais sur l’ile ou se tiens la ville d’esclave. Je n’étais pas tombé sur un convoi de marchant d’esclave et c’était sans doute tant mieux, mais je n’avais rien mangé depuis deux jours et je savais que si j’arrivais à entrer dans la vile, je risquais de faire un massacre. J’avais donc deux solutions, mourir de faim ou entrer dans la ville et risquer de provoquer des problèmes... Cela fut donc sans discussion que je décidais de pénètre dans la ville. Mais je ne fis pas une simple entré. Je devais être discret pour sortir du bateau et pour entrer en ville sans attirer l’attention des gardes. Je volais alors une veste à capuche pour masquer mon visage, pris une caisse au hasard et sortie du bateau alors que la nuit était déjà tombé depuis un moment. De cette façon le bateau était presque vide, il ne restait qu’un ivrogne sur le pont qui semblait déjà ne plus avoir les yeux en face des trous. Je passais les gardes assez facilement qui croyais que je venais apporter une caisse oublié lors du déchargement et me voilà entrer dans la ville des esclaves...

Une fois hors de vue des gardes, je déposais la caisse et partis dans une taverne pour boire et manger un coup. Ici en dehors de pirate, il y avait de tout, ça passais par la marine, à l’esclavagiste en passant par le chasseur de prime... Mais la chose qui me surprit c’était qu’il y avait un noble ici. Il était jeune et ivre, mais surtout il avait un esclave avec lui qui lui servait de repose pied. Je savais que j’étais en territoire ennemi, je devais me contrôler et donc je mangeais doucement en serrant mes couverts avec une force terrible. Je tentais de me retenir, il y avait beaucoup de monde ici et je savais que le moindre faux pas tous les gardes de la marine rappliquerais. Mais c’est homme, ce noble... C’est ordure était non seulement trop bruyant, mais surtout était un vrai monstre. J’avais entre temps, demande à barman qui était cet homme. C’est lui qui m’avait expliqué que c’était un noble de la ville. Ce n’était pas le noble le plus important du monde, mais dans la ville, sa famille était l’une des plus importantes. Toujours est-il que c’est après tout ça qu’il fit l’acte de trop. L’esclave se mit à tousser à cause de la poussière qu’il avalait et son maitre se mit à le frapper comme si c’était un chien...Non, c’était même pire que ça. Pour moi c’était devenu trop. J’avais déjà les yeux pleins de sang et l’une de mes mains sur mon sabre quand je m’avançais vers lui, je me plaçais à coté le visage encore masqué et je lui dis d’un ton froid et agressif

Matsu : Je ne te le dirais qu’une fois... ne fais plus ça !

Noble : Faire quoi ? Frappe se moi que rien... Dit-il en le refrappant de plus belle Que vas-tu faire, hein ? Je suis un noble, un être supérieur, j’ai le droit de faire, ce que je ...

D’un mouvement rapide et précis, je glissai mon sabre sur sa gorge ce qui avait évidemment pour effet de la lui ouvrir et de libère une vague de sang qui coulait sur sa table à manger. Que voulez-vous j’avais craqué... De toute façon, je l’avais prévenu, je lui avais dit de ne plus le faire. Sauf que maintenant je devais assumer les conséquences. Tout la salle se tus pendant un bref moment avant que l’un des membres de la marine parte en courant prévenir les renforts alors que le reste des troupes sortir à leurs tour leur épée pour m’arrêter. Les conversations étaient superflus, même si les gardes voulais que je me rende je n’en avais pas l’intention. J’allais me battre défendre ma vie et quitter cette ile le plus vite possible. J’avais eu le temps de manger et de boire. Je pouvais essayer de trouver un bateau et me sauver... Mais avant je devais me débarrassé de ses trois gardes qui me bloquait le passage. Par chance c’était des amateurs, ils foncèrent vers moi assez stupidement et moi qui était sur la défensive je n’avais qu’à guète un bon moment pour attaquer avec mon attaque

Matsu : « Dragon furie »

Une série rapide de coup de lame pénétrais mes adversaires et les uns après les autres ils finirent par périr sous les coups de lame de mon sabre. Même si le combat était relativement facile sur le coup, cela avait pris du temps. Sans doute trop de temps, car alors que je tentais d’ouvrir la porte pour me sauver. Un petit peloton de garde était devant la porte armer de fusil pour le tirer dessus. J’eu juste le temps de fermer la porte et de sauter au moment où ils tiraient. Une balle réussi quand même à traverser la porte et à me toucher légèrement à l’épaule. La majorité des gens qui était dans la taverne était déjà partie quand je me battais contre les trois soldats, il ne restait donc pour ainsi dire plus personne. Ce qui voulait dire qu’il y avait de grande chance qu’il tente une entré en force... Rapidement, je me suis donc mit à réfléchir à ce que je devais faire.

Matsu :* Merde ! Je ne pourrais pas tous les abattre en même temps et plus je reste ici plus je risque de me faire prendre... Je vais tenter le tout pour le tout.*

Ce que je fis, c’est monter à l’étage du dessus rapidement et j’attendis que la marine face une entrée fracassante. Une fois leurs entrer faite, je sautais par une fenêtre du dessus pour me retrouver à la sortie alors qu’eux venait d’entrer. Une fois que je retombais sur la terre ferme, je ne réfléchis pas deux minutes et pris mes jambes à mon coup. Je pouvais d’ailleurs entendre l’une des gardes à l’intérieur de la taverne dire :

Marine : Je le vois, il est dehors, il faut l’attraper et vite.

J’entendis des coups de sifflet, des cris dans tous les sens pour signaler ma position. J’essayais de trouver une cacher, mais il avait mis le paquet. Un moment j’ai dut même affronter un caporal. Celui-ci était beaucoup plus fort que les gardes que j’avais affrontés dans la taverne. Mais je savais que je pouvais le battre. Mais le temps que je l’affronte d’autre membre de la marine arrivèrent. Ceux-ci n’attaquait pas de peur sans doute d’être prit dans l’attaque de leurs chef ou de le blesser en tirant. Ce qui était ma chance car, la seule sortie que j’avais était derrière le caporal. Ce qui je fis pour passer à travers le caporal était assez simple... Même s'il réussit à me blesser au niveau de la joue. Je fonçais vers lui attendis qu’il m’attaque et esquiva au dernier moment avant de lui planter mon sabre dans le ventre. Ensuite j’attrapais son bras avec mon bras libre et j’inversais nos places. De cette façon, je pouvais me servir de cet homme comme bouclier et me sauver le plus vite possible. Cela-dit malgré mon succès pour le moment. Et les blessures plutôt légères. Mon calvaire n’était pas terminer. Durant ma fuite, je fini par me faire prendre au piège. Des gardes accompagnés d’une Lieutenant-colonel me tenait. J’avais dans mon dos une falaise sans fond et face à moi environs 100 hommes et un Lieutenant-colonel qui me dit :

Lieutenant-colonel : Rend-toi vermine. C’est ta seule chance de salut si tu ne veux pas mourir. Ton crime est déjà plutôt grave donc si tu ne veux pas l’aggraver rend toi sans faire d’histoire.

Matsu : Mon crime grave... Voilà une belle connerie. Je préfère mourir que me rendre. Ce que j’ai fait était justifier et cet homme méritais 100 fois son sort.

Lieutenant-colonel : Soit... Si tu as décidé de mourir en tant que vermine, je ne t’en empêcherais pas.

A la fin de ses paroles, je fis un bon pour sauter sur lui. Mais peut-être que c’était la fatigue, mais au moment de mon saut, il tira d’un fusil assez puissant pour le propulser au loin et provoquer ma chute dans la falaise. Je fis une chute que je croyais je jamais fini. A peine conscient j’avais bien essayé d’arrêter ma chute avec mon sabre. Mais trop faible et tombant trop vite, je ne pouvais pas y arriver. Je pouvais à peine ralentir ma chute. Je fis sauver miraculeusement grâce à une branche arbre qui arrêta ma chute et me fit aussi perdre conscience.

Au petit matin, je me réveillai pour constater la chance que j’avais. Mais aussi à quel point j’étais encore faible et surtout que j’avais besoin de gens. Des gens pour canaliser ma rage et mais aussi pour m’aider à l’exprimer. Toujours est-il qu’une fois remit de mes blessures. Je tentais de me diriger vers un moyen de sortie... Coup de chance, une grosse cargaison devait quitter le port. Il y avait des caisses énormes qui devaient apparemment prendre un bateau. C’était donc ma chance, je me faufilais dans l’une d’elle avant qu’elle soit fermée à coup de marteau. Il ne restait plus qu’à les laisser faire et prier pour que tout se passe bien et surtout pour que je ne tombe pas sur une ile pire que celle-ci.
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