je m'étais prévu un entrainement tranquile et je suis tombé sur des mecs en pagne.

*derrière*

Je me retournai et tranchai le pirate qui s’était glissé dans mon dos.

-comment t'as su qu'il arrivait


*Il respire aussi fort qu'un troupeau d'éléphant qui vient de sprinter sur 153 kilomètre et pue l'ognon*

-ah...


*Avec tes sens minables aussi*

-tu pourrais m’apprendre.


*apprendre ?¨*

*à sentir et entendre comme un loup*

*pourquoi pas*

Pour communiquer avec mon loups nous avions crée une langue basée sur des grognements, claquements de langues, ex, chacun représentait une syllabe, il comprenait aussi notre langue et peu à peu je savais traduire ce qu'il disait lorsqu'il utilisait un mot qui n'avait de sens que pour les loups.

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-venez me chercher dans un moi ou truc du genre OK les gars.


-a vos ordres lieutenant !

Ça me fait toujours marrer ça, ainsi je montre que je les considèrent comme mes égaux mais eux s'aplatissent devant moi, quand je vois certains haut gradés qui menacent leur hommes pour avoir un semblant de respect, ou alors ils étaient tous coincés.

Je ne m'étais pas trop encombre, un sac, deux trois chemises quelques jeans et un chapeau à la Indiana Jones (si jamais il pleut)(*tu te tape juste un délire avec ton chapeau*)(mais non)(*t'as vu le film et tu veux faire la même chose*)(mais non c'est...)

Je regardais le bateau s'éloigner, profitant des embruns. Je pénétrai dans l'ile que j'avais repérée quelques jours plus tôt, aucune ville, juste des jungles et des plaines à perte de vues. Nous nous arrêtâmes dans une clairière où coulait une rivière tranquille et à une centaine de mètres d'une cascade, c’était un coin magnifique, à boire à mange il ne manquait rien sauf peut être...

* un snack ?*

-non laisse tomber.

Je montai ma tente, j'avais hésité à me construire une cabane mais j'avais la flemme de le faire. J'allai accorder une sieste à mon loup durant laquelle je m’entrainerais. Ayant déposé mes affaires et ne gardant que mon pantalon .J'enchainai une série de katas à l'aide d'un de mes marteaux (que j'avais emprunté à ma forge sur Shimu) et qui pesait une trentaine de kilos au bas mot. Je remontai aussi la rivière à la nage. Quand je reviens au "camp" mon loup m'attendait.

*prêt ?*

-et toi ?


Il retroussa ses babine et fis un bruit de gorge, signe qu'il riait.

*Je peux entendre ton cœur battre et tes poumons se gonfler avant que mes yeux ne te voient, je peux savoir qui tu es grâce à ton odeur et interpréter tes émotions je vais essayer de te l'apprendre.

-comment ?


*j'en sais rien.*

-Ah...cool.

*je suppose qu'il faut que tu entraine tes sens...*

-t'aurais pas pu y pensé c'est toi qui a proposé de m'aider.


*pourquoi pensé à demain tu ne sais pas ce qui se passera*

J’acquiesçais c'était la mentalité du loup. Autant commencé de la même façon que pour les autres exercices de développement: la méditation et le vide dans l'esprit. Je m'assis en tailleur dans l'herbe et fit le vide et me concentrait sur mon ouïe pour commencer. Mais malgré cela je ne remarquai rien ou alors c'était top infime. Je décidai d’essayer un truc psychologique en me disant que mon ouïe s'améliorait mais sans résultat. J’essayais une dizaine de méthode, mais rien ne marcha.

Je finis par me coucher avec un fort mal de crane et les oreilles sifflantes sans que j'en voie la raison.

Je passai toute la matinée du lendemain à chasser avec mon loup, on rapporta un gros sanglier que l'on fit cuire à la broche et que l'on dégusta avec un jus de fruit. Un peu découragé je passai le reste de la journée à explorer l'ile plongé dans mes pensée portant un poids de 10 kilos, j'avais élaboré une théorie selon laquelle un corps exposé çà un effort devenais plus résistant et rendait la réflexion plus profonde.

Je me souvins du cous que nous avait donné Hadock pour apprendre le pas du chien, il avait parlé du haki et si j'avais bien compris un onde parcourait chaque corps et on pouvait mobiliser cette onde peut être que...
Rentré au camp à la tombée de la nuit, je me mit dans l'esprit du pas et me concentrait sur l’ouïe, ce n'était peut être qu'une impression mais j'entendais mieux le vent dans les branches .J’essayai de me concentrer au maximum.

Je me réveillai avec Œil se nuit qui me léchait le visage deux pattes sur le torse l'air inquiet, il faisait encore nuit et j'étais allongé dans l'herbe sans le souvenir de m’être couché, j'avais l'impression d'avoir de la glace dans les oreilles et des épines dans le crane, les sons était comme dédoublé, il dut se répéter trois fois pour que je le comprenne.

*ça va t'étais debout et tu t'es effondré*

-j'ai du m'évanouir

Je me relevai, je devais être sur la bonne voie, je me dirigeai vers ma tente et me laissai tombai sur mon lit de camps.

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-on se croirait dans un manga.

*un peut ta faute aussi demander à un animal parlant de t'apprendre à mieux maitriser tes sens*

Je remis mon bandeau sur mes yeux et me concentrait mon ouïe et mon odorat s'étaient nettement amélioré depuis que j'avais trouvé la technique, tous le jour je me concentrais presque comme pour le pas du chien mas à dans le nez et les oreilles. Tous les jours je m'étais approché du point de rupture et me relâchant au dernier moment je tenais grosso modo cinq minutes.

A présent que je savais comment améliorer je devais savoir m'en servir. J’avais donc prévu une petite catapulte sur laquelle je posais un fruit, Mon compagnon tirait sur une petite corde et cela lançait le fruit vers moi ensuite grâce au son de la catapulte, des fruits fendant l'air ainsi que de son odeur et sachant qu'il m'arrivait droit dessus je le tranchai avant qu'il ne m'atteigne, mon score était de 4/9 pas terrible quoi.

J'entendis la corde se détendre, suivit du léger bruit de la plaque s'immobilisant, d’après le son du fruit fendant l'air il devait peser léger et être de taille sphérique et petit. D'après l'odeur c'était une pomme elle était un peu au-dessus de moi, il y avait un vent léger donc dans deux seconde je devrais trancher.
Ma lame trancha le fruit qui roula par terre. En me repérant à l'odeur je pus retrouver les deux moitiés.

*5/10*

-faut aussi dire que j'ai les yeux bandés.

* j'ai une idée, va dormir, ce te sera plus utile¨*

J'écoutai mon loups et allai flemmarder dans un hamac que j'avais confectionné quelques jours plus tôt. Il me réveilla à la nuit tombée.

*Tu ne peux pas voir un loup dans la nuit, si tu réussis on passera à la suite, un autre jeu de louveteau*

-o...
Je n’eus même pas le temps de finir qu'il avait disparu dans la nuit se fondant dans les ombres telle une ombre fuyante (oulah c'est profond ça)je me levai comme 'était un exerce d'endurance je devais utiliser mes sens au minimum (façon de parler),je ne tenais que 5 minutes avec les sens au max alors il ne fallait pas exagérer. Je partis sur ces traces. Je marchais dans les bois tous les sens en alerte (ce qui est stupide tu n'as pas besoin du gout) Je le cherchai longuement mais ne le trouvai et rentrai au camp découragé.

Je me réveillai de bonne heure et me lavait rapidement.

*On réessaye ce soir*

Je passai le reste de la journée à chercher tel ou tel plante selon l'odeur et attraper des poissons dans le torrent en me basant seulement sur le bruit de leur déplacement sous l'eau (je n'en chopai aucun et le loup se moqua longtemps de moi après être tombé pour la troisième fois).

*prêt*

Il disparut dans la nuit. Cette fois je donnais à mes sens la puissance comprise entre les sens de loups et de l'homme : 20 minutes. Je marchai longuement lorsque j'entendis un craquement sur la droite, j’activai le pas du chien et m’avançait par la l'odeur du loup était de plus en plus forte, je le trouvai assis me regardant.

*t'en a mis du temps aller demain la traque mon jeu préféré*

*comment cela ?*

*j'ai décidé de prendre des jeux d'enfants pou t'entrainer chacun doit chercher l'autre le premier qui touche son adversaire a gagné*

*ça à l'air sympa*

Pour une raison inconnue j'avais parlé comme mon loups.

~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~

Je marchai me retournai toute les cinq minutes, voila trois nuits que mon loups me mettait la pattée (désolé pour le jeu de mots pourris) j’entendis du bruit dans un buisson que je venais de dépasser, je me jetai instinctivement à terre et vit une former noire passer au dessus de moi et partir en courant : Œil de nuit.
J’avançai à petit pas et avec un vent de face, je sentais son odeur il ne sentait pas la mienne. Le loup était la marchant lentement regardants de gauche à droite de l'eau brillant sur son pelage. Je lui sautai dessus.

-touché.

*pas mal demain étape 3 et je considérerais que tes sens sont égaux au mien, tu devras me fuir pendant toute la nuit et j'y irais sérieusement.*

Je courrai toute cette nuit la l'esquivant à chaque bond fuyant chaque fois que je sentais son odeur.
Je m'écroulai aux camps à l'aurore. Il arrivât dix minutes plus tard.

* tu as réussit frère loups.*




Dernière édition par Yamamoto Kogaku le Ven 18 Mai 2012 - 11:10, édité 3 fois
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-On à encore deux trois jours avant qu'ils ne reviennent.

*Ils viendront quand ils viendront*

-Hum...je vais encore un peu m’entrainer mais je pense que je surtout plutôt me la couler douce.


* C'est toi qui voit*

Je me levais, ne voulant pas trop m’encombrer pour ma promenade je ne me munis que de mon poignard et de quelques couteaux de lancer. J’étais habillé comme lors de mon arrivée chemise, chapeau et jeans. Je m’enfonçai dans la foret suivi de prés par Œil de nuit. Nous marchâmes longuement entre les arbres humant le parfum des arbres, nous nous lancions de défis: qui trouverait tel fruit en premier (grâce à l'odorat) ou qui trouvait un ruisseau (par l’ouïe).

Mais après ce qui me paraissait une heure de marche nous trouvâmes une grande arche en pierre qui s'ouvrait sur un tunnel, le tout couvert de végétation. D’un regard nous décidâmes de l'explorer je coupai une grosse branche tandis que le loup ramenait un lapin. Je fis un petit feu et posai le lapin sur une pierre sous laquelle se trouvait le feu et fit en sorte que la graisse fonde bien. Ensuite j'enroulai un chiffon au bous de mon bâton que j'imbibai de la graisse ayant coulé sur la pierre. A présent que j'avais une torche j’éteignis le feu que j'avais fais et allumai ma torche.

*Il faudrait que je t’apprenne à voir quand la l’œil de la nuit règne*

Dit il en bombant le torse, fier que son nom soit apparenté à l'astre lunaire et qu'l ait fait un sorte de jeux de mot.

*Faudrait aussi que tu aies des vraies dents et pas tes petites machin de proie qui aime la verdure*

-et que je me fasse pousser les poils.

*et que tu apprennes à courir.*

Nous entrâmes dans... (Nous passâmes l'arche)(* tu ne savais même pas quoi dire t'es nul*)(La ferme)(*y'as que la vérité qui blesse*)(Et pis Quesque tu fais dans ma tête)(*euh...*) nous trouvâmes un long couloir tapissé de toile d'araignée. Je m'approchai de l’un des murs et remarquait qu'il était finement ouvragé et que l'ont pouvait observer des gravures à moitiés érodée. Je continuais à marcher et j'observai à la lueur des torches des cavités sur les deux faces du mur, pourquoi étaient-elles-la ?

Mon flambeau révéla plusieurs plaques sur le sol et remarquai qu'elles étaient légèrement plus haute et qu'il y avait un espace entre le sol est ces plaques, étranges au moment de me lever je remarquai une trace sur le sol ; une empreinte de pieds nu. J’appuyais du bout des pieds sur la première plaque et entendit très nettement le son d'un mécanisme, le cliquetis des rouages, sans doute à cause de la vieillesse du mécanisme.

Une flèche se planta dans la torche, elle provenait d'une des cavités, le couloir était donc piéger il y avait donc un truc intéressant au bout.

-ne marche pas sur les plaques.

*ah bon, je n'avais pas deviné*

Je marchais lentement prenant bien garde de ne pas effleurer les plaques tandis que mon loups traversait sans difficulté se faufilant entre les plaques (il refit même le trajet trois fois pour se moquer de ma lenteur).

Je continuai à marcher mais cette fois plus précautionneusement, Parfois certains blocs étaient tombé et je pouvais apercevoir le ciel au travers, ce qui m’étonnais fort : je n'avais remarqué aucun trou lors de mes autres balades. Le tunnel allait tout droit depuis peu être une dizaines de minutes quand il tourna tout à coups vers la droite.

Au sol je remarquai qu'il y avait une sorte de tige qui dépassait à coté d'une plaque arrachée, apparemment un piège avait été grossièrement détruit. La curiosité me poussant j’appuyai dessus mais rien ne se passa.
Nous continuâmes notre route et arrivâmes dans une grande salle en partie à ciel ouvert, je crus apercevoir la montagne de l'ile et si c'était le cas nous en avions presque traversé la moitié. Je remarquai que de gros gorille avait établi leur repaire ici et dés qu'ils flairèrent mon odeur trois gros mâle foncèrent vers moi. Je lâchai ma torche pour pouvoir mieux combattre.

Je lançai un couteau de lancer qui alla se ficher entre les deux yeux d'un primate mais il continua de courir, sans doute que son os frontal était très résistant, je n'eus pas le temps d'en jeter un deuxième que le premier était déjà sur moi, j'esquivai sa grosse paluche et lui tranchai la gorge avec mon poignard tandis que mon loups venait de sauter à la gorge du deuxième, il lui arracha ce qu'il tenait entre ses crocs et le recracha.

*tu vois ca c'est des dents, trop poilus ces machin*

Le troisième me plaquai au mur m'expulsant tout l'air des poumons, Œil lui mordit au tendon et il relâcha sa prise j'en profitai pour lui planter mon poignard entre les cotes (malgré les coups j'avais réussi à ne pas le lâcher.)

*pas mauvais ces trucs*

-Des gorilles.

*pas mauvais quand même*

Les quelques jeunes et femelles restantes s'enfuirent en escaladant le mur. Je me laissai tomber sur le sol pour reprendre mon souffle tandis que le loup dégustait la viande de gorille.

*c'est bien fait les gorilles, ils ont des parties sans poils*

Je souris de sa remarque et me relevai en reprenant la torche pour continuer notre exploration. Il lâcha son steak de gorille à contre cœur (qu'il avait d'ailleurs bouffé). Nous sortîmes de la pièce et arrivâmes dans un nouveau tunnel. Âpres cinq ou six minutes de marche il me posa une question.

* Dis t'entend ?*

-non, attend je rends mes sens comparable au tient.

J'entendis une sorte de rumeur comme des chants humains mais dans une langue inconnue soudain cela fut recouvert par un déclic à peine audible je fis un bond en arrière et évitai de justesse des piques qui jaillirent du mur, coups de chance si je ne m'étais pas concentré je serai mort.

Je remerciai le loup (il n'allait pas arrêter de se vanter pendants des mois) (*des années même*) et nous continuâmes de marcher pour enfin arriver devant une énorme porte faisant bien 5 mètres de haut et 8 mètres de larges. Ses créateurs devaient être de grands ouvriers.

Je découvris dans le coin de la pièce un squelette sur lequel pendaient de vielles loques, une sorte de fléchette (sans doute empoisonnée) était posé contre se qui était sa gorge sans doute ce qui l'avait tué et je remarquai qu'il portait un fourreau au niveau du dos. Je ramassais sa besace et l’ouvrit il n'y avait rien d’intéressant à part un cahier de note, je le parcourus rapidement et appris que c'était un explorateur je lus la dernière page.

"J'avais découvert une vielle ruine sur une ile encore non inscrite sur les cartes. Je m'y aventurais le bâtiment était remplis de piège d’ailleurs j'en détruisis un pour regarder son mécanisme qui était assez complexe, si je n'avais pas le katana de mon père que certains appelait "meitou" je n'y serais pas parvenu (hein...un meitou, donc le fourreau) je me détends actuellement dans une salle devant une grande po_________"

Cela s’arrêtait la comme si il avait du s'interrompre et ranger le bouquin précipitamment sans doute le moment où il avait trouvé la mort. Je m'interrogerais plus tard sur l'homme pour lui trouver une sépulture correcte avant je devais finir l'exploration...pour lui (c'était mon métier: aider les citoyens à finir leur taches)
je ramassai le fourreau et me tournai vers la porte.

J'y pesai de tous mon poids et à mon grand étonnement la porte s'ouvrit facilement comme si c'était une simple porte bien huilée. Je la passai et elle se ferma derrière moi, j’essayai de la rouvrir c'était impossible et j'eus un choc. Si i; était mort la et qu'il avait rangé son bouquin il avait été attaqué et non peu à peu empoisonnée par la fléchette, il y avait donc des habitants ici. Je levai les yeux et ce que je découvris me stupéfia.

Nous étions au cœur de la montagne, ou plutôt ce que j'avais pris pour une montagne était un volcan et des gens avaient construit une ville en son sein j’apercevrai aussi quelques autres portes similaires. Sous mes yeux s'étendait une vielle en ruine, contres les bâtiments des taudis en bois avait été construits quand ce n'était pas des tipis. Il y' avait un groupe d’habitant ils avaient la peau pale et portait tous un pagne et des peintures sur le torse et le visage.

-Reste discret.

*Zut je voulais faire un concert pour signaler notre arrivée.*

Ils ne remblaiement en rien aux gravures, c’étaient ou leurs dieux qui étaient représenté ou ils squattaient ce coin qui avait été abandonné, ce qui expliquait son délabrement. Ils étaient tous (enfin je pense) assemblé autour d'un autel sur lequel quelque chose de long brillait. Dés qu'il me virent, ils me foncèrent dessus et nous cernèrent de leur lance, je ne savais rien faire.

On m’emmena dans ce qui semblait être un ring, tandis que mon loup était enfermé dans une cage et ma torche accrochée à l'un de leur mur. Je vis ce qui était sur l'autel: un katana, sans doute ne connaissent ils pas la brillance du métal et qu'ils trouvaient cela divin, sans doute celui de l'homme devant la porte, son meitou.Ils parlaient une langue gutturale incompréhensible.

Un homme à la panse rebondie couvert de graisse rentra dans le ring, sans doute le cuisinier local (non je ne suis pas raciste envers les cuistots, d’ailleurs j'ai beaucoup de très bon amis cuistots.)La graisse provenait sans doute des animaux de l'élevage que j'apercevais au loin.

Il se mit face à moi frappa sur son torse et fonça vers moi en rugissant; je m’effaçai évitant de justesse le coup, pour être entré dans leur sanctuaire j'avais droit à un combat (sans doute à mort, si je voulais vivre je devais me battre) à main nue. J’étais peu être un épéiste mais aussi un forgeron autrement dit beaucoup de forces et des poings résistants."Smith Hammer" je lui abattis me deux poings joint dans le dos, il était plus grand que moi je ne serai sans doute pas lui atteindre le crane. Il se retourna envoyant sa lourde main vers moi, je m'abaissai "Smith punch «et je lui enfonçai mon poing dans le ventre, il s’enfonça dans tous les sens du terme, mon bras s'était enfoncé jusqu’au coude tant sa bedaine était grosse, ses yeux roulèrent mais il ne s'écroulait et m’écrasa la tête entre ses imposante paumes. Je reculai à moitié sonné sous les huées des indigènes qui abaissèrent leurs lances pour faire un cercle pointu tout autour de l'arène.

Je commençai à chercher une stratégie pour le vaincre, ses jambes était robustes (à force de soutenir son poids aussi), je pouvais me focaliser sur son ventre mais cela ne servirait à rien, par contre il était lent et ses bras étaient bloquées, j'allai utiliser ce point faible. «The hammer and the anvil" Je sautai en lui assenant mes poings de chaque coté de la mâchoire et en retombant je m’accroupis. Il essaya de me saisir mais sa bidoche l'en empêcha."Smith Upercut"m'étant ramassai je sautais une deuxième fois mais cette fois je lui envoyai mon poing sous la mâchoire, Une de ses dents s'envola suivi par un filet de sang, il m'envoya son poing dans les tripes je me pliai de douleur et il me frappa dans le dos à l'aide de son coude, je tombai à terre."Strong Hammer" Je lui frappai de toute mes forces dans le genou et à mon grand étonnement son genoux se brisa avec un craquement sinistre, l’’homme tomba à terre avec la jambe repliée vers l'intérieur, par contre j'avais les phalanges ensanglantée et salement éraflée."Finish Hammer" je lui frappai sur la tempe, cette fois avec mon poing gauche mon droit étant blessé et il s'écroula.

Le "public"hurla quelque chose et un homme cette fois armé d'une lance rentra dans le cercle. Il fit des grands moulinets dans le vide (comme un glandu) et ils poussèrent tous un sorte de "oooh" d'admiration.il cria un truc bizarre, se mi dans une position toute aussi bizarre et me fit signe d'approcher avec la main qui ne tenait pas la lance.

-oh ta gueule.

Je sortis un couteau de lancer et le lui envoyai à la gorge il tomba à terre avec un gargouillement. J’avais voulu la jouer faire Play en espérant qu'ils me laissent partir mais ils voulaient ma mort .Un homme eu le courage d'avancer vers moi l'air énervé de ma traitrise (on est quitte non ?) et il pointa vers moi avec sa lance mauvaise idées."Kaiyō niokeru" j'attrapai la hanse la tordit et la tirant vers moi lui envoya le coude dans le visage, son nez se brisa et il lâcha l'arme, j’’enfonçai la hampe dans la gorge d'un autre qui tomba à terre en suffoquant et lançai la lance sur un homme en face, elle le manqua largement as facile à lancer ces trucs la avec une main.

Je dégainai mon poignard et courant vers l'autel j'en tranchai quelques un au passage, j'attrapai le katana et une lance s’enfonça juste à coté de mon flanc de 5 bons centimètres dans le bois de l’autel ce qui était effrayant car la lance avait une pointe en bois. Une deuxième fila vers moi, je fis tourner le katana dans ma main et la tranchai en deux, il était parfaitement équilibré un vrai plaisir à manier. Je courus vers la cage où se trouvait mon loups et tranchai les barreaux nous courûmes poursuivi par les hommes en colère, j'avisai un bâtiment qui semblait encore en état et qui possédait une porte renforcée de fer et je fus heureux de voir que c'était une ancienne forge en voyant un marteaux pendre à une chaine.

Nous nous engouffrâmes dans la pièce et fermèrent la porte avant de la bloque avec une barre en fer prévue à cette effet. Je m’écroulai épuisé et il s'assit à coté de moi.

*Dure journée hein*

je déchirai ma chemise et me bandai ma main blessée.

- je ne te le fais pas dire.

La porte vivra, ils voulaient l'enfoncer. Je détaillai la pièce c’était une forge à l'ancienne à moitié détruite, je remarquai un truc dans un coin. C’était un casque assez bizarre (ou autre chose) mais li correspondait la tête de loups, ce n'était qu'une plaque d'acier avec des lanières.je le lui attachai.

-t'évitera de te faire buter et tu pourras mordre.


J'examinai le katana que je tenais à la main et sortis le carnet de l'explorateur que j'avis fourré dans ma poche. Le sabre avait une centaine d'année sa lame luisait pourtant encore et il était à peine émoussée, je me dirigeais vers une meule, le mécanisme marchait encore j'aiguisai la lame la frottant contre la pierre tournant le crissement faisait mal aux oreilles mais j'avais entendus pire, j'entendis des cris de terreur de l'autre coté du port ils n'avaient sans doute jamais entendu ce bruit. Il s'adaptait parfaitement au fourreau que je portais dans le dos depuis tout à l'heure. C’était donc le prétend Meitou.je l'inspectai plus profondément.

Le katana était assez longs et possède un manche noir agrémenté de fils argentés et d'une perle à son bout. Sur la lame on pouvait observer une lune .Sa garde était sphérique, la face d'un vieil homme riant y était gravé. Son fourreau est noir avec une bande argenté .Et Yuguré était gravé sur la lame qui était légèrement courbée. Le carnet avait raison ce type de lame était forgé il y à cent ans.

-ainsi donc tu t'appelle crépuscule, car tu mets fin à la vie des gens ?

Il était parfaitement équilibré je pouvais le poser sur mon doigts en son milieu sans qu'il ne penche d'un coté ou l'autre.je le cognai contre un seau il produisit un long son cristallin, il ne s’émoussait quasi pas: j'avais devant moi un meitou.

Boum

Il y eut une énorme explosion quelque part dans la grotte et je sentis le sol trembler. Il y eut des cris de terreurs et des coups de feu. J’ouvris la porte. Le mur droit avait volé en éclat et une dizaine de personnes venaient d'entrer tirant à vue. Ils étaient armé lourdement ils venaient ici massacre les citoyens ils étaient peut être sauvage mais cela restaient des humains. J’avançai prudemment quand je senti une présence dans mon dos et je vis une ombre un indien la lance levée. Mon loups lui sauta dessus et lui déchira la gorge.

*c'est avarié ce truc ça pue et ca à mauvais gout*

c'est vrai qu'ils puaient mais bon.

Je courus vers le premier tueur, d'une main j’abaissai son arme de l'autre je lui tranchai la gorge à l'aide de Yuguré, pas de pitié pour les assassins. Le suivant n’eus même pas le temps de m'attaquer que je me glissai sous sa garde et lui transperçant le cœur de dessous les cotes.

'Dead Walk" on allait voir ce qu'il avait dans le ventre, je courus vers un homme j'esquivai son tir, il portait une cuirasse je fis tournoyer la lame dans ma main et l'embrochai par derrière. Le suivant m'envoya un couteau que je déviai d'un revers de la lame ma lame fit une gracieuse courbe et forma un croissant sur son torse je fis tournoyer la lame et sans me retourner ou m’arrêter fit de même dans son dos.

Un gars arriva sur le coté je lui envoyai le pommeau dans la gorge assez fort pour que sa pomme d’Adam flotte dans la cuvette des WC (ce qui bien sur impossible car il serait mort sauf si le coup est porté était tellement fort et qu'elle traversait tout le corps tandis qu'il était assis sur cette même cuvette.)

Une fois que j'eu tranché tous les gars je décidais de m'enfuir par le trou qu'ils avaient creusé, je n’avais pas envie de retomber sur les gars en pagne. J’y couru et arrivai dans un grand couloir que je parcouru rapidement j'arrivai dans une grande salle bardée de pilier, il y avait un trou dans le plafond et une échelle en descendait.

J'entendis un déclic et le bloc sur lequel je me trouvais se leva, un piège le temps que je reprenne mes esprits le bloc était encerclé nous nous imes dos à dos (ou plutôt dos à queue sinon je devrais être couché sur lui.)Une fléchette ripa sur le casque du loup et j'en déviai les quelques une qui fonçaient vers moi, ils étaient 5, Ils sortirent leur lances et me sautèrent dessus, j'empalai le premier avant qu'il ne puisse toucher le sol et envoyai sa dépouille sur son comparse qui sautaient ils s'empalèrent sur la lance du troisième qui fut écrasé par le poids. Mon loups poussa celui qui venait de monter par derrière avant de lui sauter dessus de le mordre je sautai sur le troisième et lui coupai le bras grâce à mon élan.

Soudain je partis en arrière et tombai sur le sol et vit une fléchette passer la où se trouvait ma tête mon loups venait de me sauver la vie, c'était celui qui avait été écrasé qui l'avait lancé dans son dernier sursaut.

Arrivé à la surface, un gars me cria.

-alors ca y est t'as le meitou...t'es qui ?

Ils étaient al pour Yuguré, il y avait trois autre gars en plus de celui qui venait de me parler, j’allai les laissez partir pour que leurs éventuels comparses ne reviennent pas.

-dégage il m'appartient à présent...j'ai buté tous vos potes.


Il me coinça contre un arbre et commença à m'étrangler. Mon loups lui sauta dessus et retomba sonné, L'homme qui m'avait lâche se retourna et leva son pieds pour le frapper, il vit 50 centimètres d'acier lui sortir du ventre. Les autres s'enfuirent à bord d'une chaloupe.

~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~

J'appris que l'explorateur était fils de forgeron et qu'il avait hérité de la dernière lame de son père, la meilleure, celle au crépuscule de sa vie. C’était un grand explorateur je fis un semblant de cercueil l'y mettant avec toutes se possession sauf son meitou griffonnai une note "j'ai fini ma dernière exploration".

Mes hommes arrivèrent et je leur donnais son ancienne adresse ils ne s posèrent pas de question et nous revînmes avec un meitou et une nouvelle capacité.
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