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Bouyouyouyou !!! ▬ Heu, Vous allez bien Monsieur ?

Bouyouyouyou !!! ▬ Heu, Vous allez bien Monsieur ?
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'Y a vraiment des gens bizarre des fois ...

Une gourde à la main, contenant du saké de West Blue, mon île natale, je me saoule sur un banc, au beau milieu d'un parc public. Les cerisiers viennent de terminer leur cycle de floraison, les pétales roses submergent le parc. L'air chaud, le soleil qui tape à température ambiante, le champ des oiseaux qui anime le silence du pré, l'herbe des plus verte, me rappellent mes saisons de printemps à la Nouvelle Ohara. Affalé sur la planche de bois, je me remémores mon enfance à l'école d'art martial. Je me revois avec les potes, déglinguer les mannequins qui nous servaient de punching-ball pour les entrainements. Le claquement de nos sabre en bois contre les épouvantails résonnait jusqu'au champs des alentours. Les exercices étaient certes durs, mais ils nous apprenaient à devenir plus fort. J'me rappelle au stage d'été, Tenshi, mon meilleur ami, m'avait demandé de le suivre une nuit. On s'était rendu dans la chambre du coach et on l'avait asperger de liqueur de litchi. On s'était bien marrer ... Hahaha. Ma mère me manque. J'ai envie de la revoir, voire ce qu'elle est devenu, si elle va bien... Bref ... /SNIF/

Entre deux arbres, mon banc était à l'abri du vent lorsqu'il venait des côtés. C'était parfait. Le soleil venait me réchauffé tout en traversant les groupements de feuilles de cerisier accrochés aux arbres. Quelle bonne sensation. Mais ça ne dura pas longtemps. Assommer par le poids de l'alcool, je ne contrôlais plus trop rien autour de moi et je n'arrivais même plus à être responsable de mes actes. Un homme se présente devant moi me cachant des rayons du soleil, ne laissant que sa silhouette m'apparaitre. Qui est il que me veut il ? Il murmure quelque chose à ses deux collègues derrière lui, mais je n'arrives pas à déceler ce qu'ils se disent. Quelle poisse d'être arraché dans des moments pareils ... Et si c'est la Marine ? J'suis foutu. Mais j'suis pas en état. Mes paupières commencent à devenir lourdes, je vais...je vais ... m’endormir...

2 heures plus tard...

Le bruit d'une charrette résonne de gauche à droite dans ma tête. C'est insoutenable. Ça m'fait mal, c'est insupportable... J'aurais jamais dû boire autant, c'est atroce. A croire les capacités physique de la charrette, cette dernière est faite de fer et se trouve sous forme de cage fermé. Je ne l'avais pas remarquer mais ... trois autres hommes sont présents à l'intérieur. Tous sont à peu près comme moi. Jeune, surement célibataire et ayant aucune idée de qu'est ce qu'on fou là. Que va t-il nous arrivé ? Tel est la question ... Va t-on être vendu à un chasseur de prime, sur le marché noir côté esclave ? Va t-on nous éliminés un par un pour une raison ou une autre ? J'en sais rien. C'qui est sûre, c'est que pour ma part, je dois me tiré de là. Je ne sais pas il est quelle heure mais ça commence à sentir la fin du voyage. La charriote ralentit, puis s'arrête. Une personne descend, surement un des types que j'avais vu tout à l'heure. Son poids se fait ressentir quand il saute hors de la carriole. Les portes s'ouvrent doucement, un léger grincement laisse s'entendre et l'homme nous fait signe d'avancer. La lumière du soleil m'aveugle, alors il me choppe par le bras, moi qui suis à la sortie de la cage, et ma balance par terre, enchainant avec les autres "prisonniers". On est quatre, devant trois hommes. Enfin si c'est des hommes. Ils sont tous trois habillés comme des ninjas, tout en noir avec seulement les yeux de découvert. Pour ne pas les démasqués ? Surement. Ils nous demandent d'avancer droit devant nous. Qu'est c'qui s'y trouve ? Une planque, intégré dans la roche. Magique ... On traverse tout un couloir, étroit et humide, pour enfin tomber devant une porte où ils nous foutent comme des chiens. L'un d'eux nous regarde, nous disant d'attendre.

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Bouyouyouyou !!! ▬ Heu, Vous allez bien Monsieur ?
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'Y a vraiment des gens bizarre des fois ...

    ▬ Allez-y, entrés là ! ▬

Les mains enchainés, on était comme trois esclaves. Mais qu'est ce qu'on va devenir ? Quel sort nous réservent-ils ? C'est vraiment bizarre. Mais la question, c'est pourquoi moi ? J'ai rien fais de mal cette fois, enfin je crois. Surtout que j'étais complétement saoul alors quel intérêt ? 'Fin, j'cherche pas à comprendre, surement des gens timbrés encore une fois ... Quoi ? J'men fais pas pour ma sécurité ? Nop. Pourquoi ? C'est comme ça c'tout, cherche pas à comprend toi non plus. Trois. On est trois types dans une cellule. Chacun dans un coin, on se regarde tous un peu bizarrement. Moi, près de la porte, un autre en face mais vers le fond, et un autre à côté en face de la porte. Personne parle, personne ne bouge, personne n'est à l'extérieur. Aucun bruit de se fait entendre pendant au moins deux minutes, c'est la mort.
    ▬ Bon, qu'est c'que vous faites là vous ?? ▬
    ▬ Et bien surement comme toi, on en sait strictement rien ... ▬
Et bah comme ça, on est pas sortit de l'auberge ... Mais à mon avis, on doit tous avoir un point commun. Mais lequel ? Faut qu'on trouve ce pourquoi on est là. Et vite.
La porte s'ouvre et laisse apparaitre une femme, plutôt bien foutu. A ses côtés, deux hommes de mains carafes comme personne. Deux molosses si tu vois les engins. Mais quoi qu'il arrive, je m'en sortirais, enfin j'espère, enfin, il le faut. La femme situé au milieu nous fait signe de la suivre et demande à ses deux gros copains de nous collés au train. On traverse un long couloir, où plusieurs portes de cellules comme la notre s'alignent, dans un silence des plus profond. Les mains au niveau de ses fesse, le dos courbé, elle engage la conversation.
    ▬ Bien, alors je suppose que vous aimeriez savoir pourquoi vous êtes ici n'est ce pas ? ▬
    ▬ Ouais. Et t'as intérêt à pas nous raconté d'la merde, sinon ça va chier des patates. Alors j't'écoute. ▬
    ▬ Il en va de soit. Très bien. Nous vous avons "capturés" pour une seule et simple raison, votre renommée et vos actes. Jacky La moule, vous êtes accusés de voyeurisme dans des camps de nudistes spéciales pour jeunes adultes. Roro la boule de billard, vous êtes accusés de plusieurs crimes sur les mers d'East blue ainsi que de South Blue. Et pour finir, vous ... Phoenix D. Juusei. Pirate dont la tête est mise à prix pour 15 millions de berrys ! ▬
    ▬ De quoi vous parlez là ? Et comment vous savez tous ça ? ▬
    ▬ Ce n'est pas très compliqué lorsque quelqu'un atteint les quinze million, les quatre blues placarde votre tronche un peu partout à côté des autres. Et donc, on sait à quoi vous ressemblez et pourquoi vous êtes primés. Mais parlons un peu de nous. Nous sommes une organisation payé par les chasseurs de primes du coin pour stopper les individus dans votre genre dans tous les blues. Dès que nous savons qu'un de vous se rend sur East Blue, il est fiché dès son passage à la frontière d'une des îles de l'Est. Désolé mais ... vous êtes finis.▬

Quoi ? Bordel de merde, une organisation de chasseur de prime ? Ça craint à mort. Faut s'barrer d'ici. Mais on est prit au piège. Pendant qu'on tape la discute, elle nous amène dans une salle, très sale. L'air est humide et une sensation de meurtre en ressort, c'est atroce. Ils nous alignent tous les trois au centre de la pièce. L'un d'entre nous, le fameux voyeur, n'en peux plus et pense que tous ça n'est qu'un cauchemar. Il décide donc de s'enfuir mais trop tard...
    PAN !


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Bouyouyouyou !!! ▬ Heu, Vous allez bien Monsieur ?
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'Y a vraiment des gens bizarre des fois ...

C'est inimaginable ! On ne peux pas s'en fuir sous peine d'être exécuter sur le champs ! Mais à y réfléchir, ça parait normale. On est du côté de la piraterie, et eux, celui des chasseurs de primes. Mais de là, à tuer directement la personne c'est vache. Après, son prix restera surement le même au près de la Marine mais ça c’est pas mes affaires. J'ai d’autre chose à penser. Je dois d'abord récupérer mes massues puis ensuite disparaître d'ici au plus vite. J'ai pas envie de finir comme le pervers moi. Je ne l'ai pas remarqué tout de suite, mais une chaise en vieux bois est derrière nous. A côté, une bassine d'eau avec pas mal de glaçon à l'intérieur. Puis sur le mur, pas mal d'objet pour faire mal aux prisonniers. On va pas tarder à connaitre la torture. La femme, qui avait l'air d'être la chef de groupe, nous dit qu'elle se retire dans ses appartements et nous laisse entre de bonnes mains, les deux gros molosses. Elle claque la porte et s'en va. On se retrouve à deux contre deux donc ? L'un des deux gros nous regardent et fait signe au criminel de s’asseoir sur la chaise. Je ne l'avais pas remarqué mais l'assise était faite de barbelé. Ça va faire mal ... Pendant qu'il cri de douleur, moi, je cherche désespérément une solution à mon problème, chose pas très évidente vu l'adversaire en face. Je n'ai plus qu'à attendre le moment propice. Pendant ce temps, mon colocataire de cellule se fait torturer comme jamais. Après avoir goûter au râpage de l'arrière train par les barbelés, il enchaîne par un interrogatoire forcé dans la bassine d'eau glacé puis un bain de sangsues suivit de coup de fouet contre le mur. Ils ne ressentaient vis à vis de la torture qu'il infligeait aux gens. Ce sont des sans coeur et les contrariés pourrait être très dangereux ... Alors qu'ils le torturaient, je me suis rapproché de la porte, pour tenter de sortir de là. Mais l'un d'eux me repère et s'approche. Il me dit de venir vers lui dans l'immédiat ou c'est la mort qui m'attend. Je n'ai pas le choix... J'attends qu'il se rapproche un maximum et BAM. Dans les roubignolles. Il tombe à terre et j'en profite pour fuir. Je dois trouver la pièce où ils entreposent tous nos objets. Je dois me dépêcher, l'autre ne va pas tarder. Le couloir est infiniment long et il n'y a que des cellules. Je tombe nez à nez avec un escalier montant. Une pancarte y est attaché, renseignant que l'étage est composé de l’entrepôt ainsi que du bureau de Mlle Candy. Ça doit être la femme. Avec un nom pareil, on devrait se croire au pays des bisounours ... Je monte les escaliers de fer, et arrive au premier et dernier étage, présentant deux salles. Le bureau et l’entrepôt comme dit sur l'écriteau sont présents. Je m'empresse d'aller dans la salle qui m'intéresse le plus et quand j'y rentre, mon camarade de cellule hurle à la mort. C'est fini pour lui... Me voici enfin dans la salle de stockage des objets perdus. Mais où sont mes massues ... 'Y pas mal de caisses entassés les unes sur les autres, suffit de regarder à l'intérieur alors. Aller première caisse, Rien. Deuxième caisse, rien. Troisième caisse, ri... Oh ! C'est quoi ça au fond ?! Un lo..log...log pose ? Il m'a l'air en bon état, j'vais le prendre au cas où. Ça pourra toujours me servir un jour.Et enfin la quatrième caisse, normalement elles devraient être ici. Bingo ! J'les prends et j'me casse de là. Direction la sortie !
    ▬ Où comptes tu allé comme ça ? ▬

Et merde, v'là l'autre. Accompagné desdeux gros, dont un toujours mal en point.
    ▬ Tu veux d'la glace bonhomme ?? Hahahahah !!! ▬

    ▬ Hilarant ... ▬

    ▬ C'est drôle non ? Allez rigolé un peu nan ? Bon. Sinon ou j'comptes allé ? Tout simplement, j'compte quitté cette île de merde. Et si vous comptez m'en empêché, j'vous préviens, j'vous ferais pas de cadeaux. ▬

    ▬ Mais on y compte bien. Et sache que nous aussi, on sera intrépide. ▬

Sur ces mots, les deux molosses exécutent les ordres de la maîtresse, me foutre mal. Je dégaine le plus rapidement possible des massues et les balances vers l'un d'entre eux. Il se les prend en plein l'estomac mais ça ne l'affecte pas beaucoup. L'autre arrive et m'attrape pour une fois sa course fini, m'éclater contre le mur. Je suis à côté de la fenêtre. Je regarde dehors et observe la hauteur à laquelle je suis. A priori, je suis dans une petite toute, au centre d'un îlot entouré par un lac. Et après le lac, la ville. J'avais peut être un moyen de m'échapper, mais d'abord, je dois me débarrasser de ceux là ...
    BIM,BAM,BOUM !
Un nouveau coup d'pied dans les parties, et il était K.O. A terre, il essaye de se relever, mais c’est trop tard.
    ▬ LARIAAAAT ! ▬
Mon avant bras vient trouvé sa gorge et je lui explose la cage thoracique, juste en dessous. Et un de moins... Au suivant. Le deuxième arrive sur moi, mais je ne peux rien faire. Il me dégotte une droite je traverse la pièce pour ensuite défoncer la porte derrière moi. Les débris de bois volent, la poussière forme un nuage assez grand, et moi, je suis dans la merde. S'élançant dans une course ou rien ne peut l'arrêter, il n'a qu'une seule cible, moi. Je ramasse une de mes massues et la lui balance. Ce qui arrive, arriva et il ne fallait pas s'en douter. Il récupéra la massue en plein vole. S'envolant dans les airs l'arme à la main, j'étais mal. Je me relève vite fais, me débarrasse des débris et me décale juste à temps, avant qu'il m'écrase.Mais il est rapide, et me donne un coup de ma propre arme. Je la ralentit avec ma main main il est trop puissant. Je vole à nouveau et défonce le mur, me ramenant dans la salle d’entrepôt. La femme me regarde d'un air de dégout, et donne pour ordre à son sou fifre de me finir. Il vient vers moi, mais je le fou des coups de pieds au visage. La douleur le pousse à lâcher mon arme. J'en profite donc pour enchainer. Une ouverture comme celle-ci ne se représentera surement plus. Je lui attrape les anches, le retourne pour avoir ses pieds au niveau de ma figure. Malgré son lourd poids, je puise dans mes forces pour le soulever et d'un coup je l abat au sol.
    ▬ RAIIIGA BOMB !!!! ▬

Le sol se fissure en milles morceaux et je lui éclate la colonne vertébrale. Paralysé à vie, c'est ce qui l'attend. La fille me regarde, la peur au ventre. Elle sait très bien qu'elle est finie. Je ramasse mes armes, les ranges dans l'dos et la regarde. Elle est perdu. JE fonce vers elle, elle qui est juste avant la fenêtre. J'attrape vite fait une corde, en fait un boucle, l'accroche ua porte-manteau et ensuite dans mon élan, ligote la fille, l’attrape et traverse la fenêtre. Elle n'a rien vu venir. L'eau du lac se rapproche de plus en plus, je la lâche et tombe dans dedans. Elle, est dans une position des plus délicates. Elle ne tient qu'à un fil du rebord de la fenêtre. Si elle tombe elle s'écrasera sur les rochers, juste avant l'eau. Et là, j'ai pas envie d'être là pour voir ça ...
    ▬ Reviens , Phoenix D. Juusei !!!!Je t'aurais un jour, je t'aurais !!!▬
    ▬ Ouais ouais c'est ça ... Allez, à la prochaine si t'es toujours en vie ! ▬

    ▬ Je te traqueraiiiis !!! ▬

Sur sa dernière parole, je fuis de cette île, fuyant tous ces gens complètement dingue. Mais entre nous, 'y a vraiment des gens bizarre ...
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