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La baston c'est c'que j'préfère !

La baston c'est c'que j'préfère !
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Attention, ça va saigner !

North Blue, ah la la... Quelle mer de merde ! Il a beau faire un minimum frais avec cette toundra qui nous casse les couilles à tous, nous les touristes des autres mers, y'a aucunes baraques pour pouvoir avoir un minimum chaud. Tsss, m'en fou moi j'ai pas froid , mais pour une fois, j'pense aux autres tu vois. On s'fait de mauvaises idées sur moi là d'où je viens. Certains disent que j'suis qu'un radin, alcoolique et irrespectueux. Mais t'entends ça toi ? C'pas croyable. Fin bref, dans tous les cas, personnellement j'essaye de m'améliorer, de changer, enfin tu vois. Quoi ? J'essaye de murir ? Euh ... T'aventure pas sur ce sujet là tu veux ... Murir, mais ça veut dire quoi c'mot déjà ? Les gens te jugent par rapport à ta maturité d'abord ! C'est qu'des conneries, et j'en suis la preuve. On peut être un vrai gamin chieur et tout c'que tu veux, mais on peut aussi faire preuve de bon sens de temps en temps. Pour revenir à notre histoire du grand froid polaire, faut dire que même certains habitants ne s'étaient pas encore habitués, c'pour dire ! Mais l'allure de l'île me laissait perplexe. Des paillotes, y'a que des paillotes en terme d'habitation. C'est bizarre. Mais bon, c'est pas ça qui allait m'impressionner... Oh, d'la pastèque rouge ! Sans même m'en rendre compte, je venais de marcher tout au long du village pour arriver au marché locale. Nan mais vous y croyez vous ? D'la pastèque rouge ! Mais ça à l'air trop bon ! J'demande au marchand combien elle coûte et lui me dit que pour un touriste, la première acheté est gratuit. Bah, j'refuse pas et j'dois être le premier, Ahahahah ! J'm'en presse de la prendre et d'aller me cacher dans un coin pour la déguster. Du bout des doigts, j'la casse en deux morceaux et commence à manger avec interrogation. Ouahh la vache, c'est trop sucré ! Encore mieux qu'la pastèque verte dis donc ! Tu veux que j'te dise, cette île et même cette mer, commencent à me plaire. Mais je ne dois pas trainer ici, si je veux pouvoir atteindre mon objectif. Je dois absolument quitter cette mer au plus vite ! Un bar ! Youhou ! J'vais pouvoir m'en mettre plein l'bide tiens. Le nouveau saké qu'il s'appelle, ça présage que du bon et ça en dit long sur la suite. J'suis ici pour encore cinq bonnes heures à mon avis. Allez, c'est partit.

« Bonjour mademoiselle, servez moi un verre de votre meilleure saké ! »

Elle me sert ça dans un verre spécifique, juste pour le saké. Je la paye, je le goûte et elle m'dit.

« Alors vous le trouvez bon ? C'ets le meilleur saké que l'on peut trouver sur les Blues, importer directement de la belle mer de l'est, East Blue. »

« Que, que quoi ? Alors c'est ça votre "nouveau saké" ? Merci l'arnaque. Tiens cul sec et j'me casse. »

Faudrait arrêter d'se foutre de la gueule du monde nan ? Quelle bande de mécréants j'te jure, à peine si leur bar en est un vrai. Raa, ça m'énerve ! Moi qui voulais passer un peu d'bon temps avec les gens d'se pays, bah c'est raté ! Je sors alors de l'auberge et là, je vois deux types face à face. Ils ont l'air d'avoir la haine.

« Ça sent la baston ahahah ! »

[HRP: Bon voilà comment j'ai tourné le truc."Disez" moi si ça vous convient :p
Après le but c'est que deux mecs d'entre nous se retrouve face à face et après vous tournez ça à votre sauce ^^]


Dernière édition par Phoenix D. Juusei le Jeu 17 Mai 2012 - 17:27, édité 1 fois
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Inari... Deux îles ?


    Cela faisait maintenant 4 jours qu'Howard Prince était arrivé sur Inari, à North Blue. Il savait qu'il avait peu de chance de trouver des réponses, ou simples indices, concernant ses nombreuses questions, mais sa route l'avait mené jusqu'ici. Le hasard ? C'était en effet surement le cas... En arrivant sur l'île, le pirate avait d'abord été surpris et étonné par l'originalité d'Inari : elle était coupée en 2. Une première partie représentait l'île principale, disposant de maisons et autres lieux de vie standard, tandis qu'une... deuxième île semblait flotter au-dessus de la principale. Après avoir discuté avec quelques citoyens, le Prince avait entendu dire que la deuxième partie de l'île était consacré à divers lieux de cultes et autres temples. La lévitation serait assurée par la puissance mentale d'un groupe de prêtres, une volonté tellement puissante que ces derniers parviendraient à garder cette immense bloc de terre au-dessus de la première île.
    C'était bien la première fois que Prince entendait pareille chose. Il savait que dans le monde, des hommes pouvaient accomplir des miracles, des choses incroyables, mais ce qu'il voyait là... Dépassait l'entendement.
    Adossé à une habitation, il regardait une nouvelle fois ce bloc majestueux qui tenait, à une centaine de mètre au-dessus de lui :

    « Tss... Par une simple volonté hein ? Jamais entendu pareil sottise de ma vie... Comment une poignée de prêtres pourraient réussir à faire voler cette masse de terre gigantesque ? Quelle est donc cette magie ? Encore des questions qui resteront sans réponses si je ne vais pas vérifier ça moi-même. »

    Après avoir marché quelques centaines de mètres à travers les habitations, Howard avait envie d'une petite pause et désirait manger quelque chose. S'il trouvait une taverne, il pourrait peu-être récolté quelques informations intéressantes.
    Il demanda ou se diriger et trouva finalement une taverne, apparemment d'assez grande taille et plutôt bien entretenue.
    Le Pirate entra et commanda un verre de rhum au comptoir, avant de s'asseoir sur un tabouret, face à l'homme qui était en train de lui préparer son verre. En récupérant son verre, Howard se pencha vers l'homme :

    « Dites, je suis ici depuis peu de temps et je ne connais encore que peu de choses sur cette île disons... originale. Pouvez-vous me parler un peu plus d'Inari et me donner quelques informations importantes à savoir ? »

    Le barman, un homme qui devait facilement approcher les 1m90, crane rasé et regard percent, regarda l'individu qui lui avait posé cette question avec méfiance. Puis après quelques secondes d'hésitations il commença :

    « Comme vous avez pu le remarquer, Inari est coupé en deux, deux îles à la verticale. Ce qui est important de savoir... »

    Mais pendant que le barman était en train de renseigner le Prince, un individu, également assis sur un des tabourets du bar, haussait le ton auprès d'une des serveuses, ce qui focalisa l'attention du pirate et de son interlocuteur :

    « Que, que quoi ? Alors c'est ça votre "nouveau saké" ? Merci l'arnaque. Tiens cul sec et j'me casse. »

    L'individu, apparemment très énervé de la qualité de la boisson quitta le bar et se dirigea avec non joie vers la sortie.
    Toujours en train de regarder ce « spectacle », Howard Prince avait le sourire aux lèvres. En effet, l'individu en question ne lui était pas tout à fait inconnu...
    Il se retourna vers le barman tout en se levant de son tabouret :

    « Tenez mon brave et merci pour ce verre ! Je viens de me rappeler qu'une affaire importante...m'attendais »

    Après avoir payé son verre, Howard Prince, toujours le sourire affiché sur le visage, réajusta son manteau sur ses épaules avant de se diriger, à son tour, vers la sortie de la taverne.





Dernière édition par Howard Prince le Sam 7 Juil 2012 - 9:51, édité 4 fois
    Année 1623 - Après l'arc du Royaume de Goa.

    Après une longue et pénible traversée depuis la mer de l'est, le Maréchal arriva à sa dernière étape avant le Royaume de Luvneel : Inari. Depuis quelques mois déjà, il avait entrepris de prendre un peu de pouvoir sur les Blues, pour pouvoir remplir au mieux son rôle d'agent de la B.D.A.I, et parcourait les océans afin d'assouvir ses fins. Il n'était pas croyant, n'aimait pas les lieux de cultes et détestait tout ce qui avait attrait à la religion. A son arrivée sur l'île il remarqua immédiatement un gigantesque "îlot flottant" qui d'après les légendes urbaines tenait en l'air grâce à la simple volonté de prêtres.

    *Bien sûr. Ca semble évident : pourquoi n'y ai-je pas songé plus tôt...*

    Dès qu'il arriva sur l'île il décida de pas s'éterniser.


    Je me traîne à travers la ville, sans plan. Les allées propres et de bonne taille sont jonchées de nombreuses paillotes, sûrement adaptées au climat de l'île. Malgré l'énorme masse flottante au-dessus de ma tête, je n'ai aucun mal à me balader dans Inari: le soleil est à son zénith et ce n'est qu'une ombre rafraîchissante que produit l'île volante. Mes pas me conduisent lentement vers un quartier glauque. En y allant, je passe devant une taverne assez sympathique et me promet d'aller y faire un tour (dans peu de temps, mes jambes commençant à me faire légèrement souffrir). Je trouve une école, tout du moins une affiche "école" mais ce n'est qu'un batîment à moitié rasé, sans doute désaffecté. Je jette un coup d'oeil autour de moi car je suis prudent, tout le temps. Soudain, une ombre traverse derrière moi. Je l'ai sentie.
    Je ne peux m'empêcher une pointe d'ironie.

    *Un lieu tout à fait charmant : des criminels qui rôdent, une taverne...*

    Je ne tente pas un ridicule "qui va là" et me contente, circonspect, d'avancer vers les ruines. Aux alentours seules quelques paillotes inhabitées rompent avec le noir charbonneux des vestiges de l'école.

    Nouvelle ombre. Plus grosse.

    *Est-il plus proche ? Est-ce quelqu'un d'autre ?*

    Je me refuse à rebrousser chemin maintenant et sort un den den mushi pour donner sommairement ma position à quelque officier de la marine de l'île. Il me répond mais je ne l'écoute pas : je suis concentré sur l'espace qui m'entoure. Je sens l'air derrière moi, quelque chose bouge...

    *Attaque par derrière. Rapide et fluide. Précise et discrète. Assassinat ?"

    Je me retourne pour parer le coup.
    Et à l'aide de ma toge je dévie la trajectoire de ce qui était en fait un simple caillou. Je suis dos à l'école et la situation ne me plaît guerre. La petite visite risque rapidement de mal tourner.
    Bong. Un gravillon m'arrive dans le dos. Je pivote et remarque un homme en noir fonçant dans ma direction sans faire le moindre bruit.

    *Remarquable... Ma première théorie de l'assassinat, bien que fondée sur une simple pierre est donc exacte. Replis stratégique puis contre-attaque ou attaque immédiate ?*

    J'opte pour la première solution.



    Jezal recula prudemment et esquiva de justesse le couteau que lui avait réservé l'assassin. Il attrapa ce dernier par le poignet et le fit durement basculer à terre. Il ne mettrait qu'une dizaine de secondes à s'en remettre, le Maréchal décida donc de s'en retourner vers le seul lieu d'activité aux environs : la taverne.
    100 mètres le séparait de son objectif.
    Au bout de 90 environ, il se retourna: le tueur n'était qu'à quelques mètres de lui.

    *Et merde*

    Jezal s'imagina devoir combattre de nouveau et en finir mais un "pan" salvateur le coupa dans sa réflexion.

    Le marin qui venait de lui donner un sérieux coup de pouce ne semblait pas très gradé. Il était apparemment très content de son geste: l'homme en noir était étendu à terre. Il recevrait sans doute une promotion pour avoir "sauvé la vie" d'un agent du CP0.

    *Du moment qu'il ne l'ébruite pas...*

    "Maréchal Jezal, je viens de vous sauver la vie, saleté de Cabale ! Mes chefs vont être contents quand ils vont savoir ça... Sauver la vie d'un agent du gouvernement... Si seulement je pouvais faire cela tous les jours je serais déjà amiral !!! Hahaha."

    *Abruti fini. Merci d'avoir ébruité ma venue. Je savais bien que je n'aurais pas du passer l'appel par escargophone. Si c'est "ça" qui va m'accompagner...*


    Dernière édition par Maréchal Jezal le Ven 23 Mar 2012 - 17:01, édité 1 fois
      - S'il y avait bien une île assez mystérieuse qu'il faut voir, c'est bien l'île d'Inari à North Blue. Combien d'île peut-il avoir avec un bloc de terre à "moitié" flottante au-dessus d'un autre bloc qui baigne dans l'océan. Je dis bien moitié, car il ne faut pas exagérer, quand même! Vous y croyez? Enfin, vous faites ce que vous voulez, hein. Euh... vous cherchez quoi déjà là-bas?

      - Des vieux manuscrits gardés par les prêtes de l'île qui parle d'un savoir un peu mis de côté.

      - Oh, je vous déconseille, ils sont mal vus là-bas. Personne ne l'ai aime!

      - Ecoutez, c'est votre point de vue et non le mien. Je ne puis me référer à vos dire à ce niveau-là. Toujours est-il qu'il s'agit juste d'une simple recherche et je doute que des prête aussi dévoués ne m'accorderait pas audience.

      - C'est que vous êtes croyant?

      - Pas vraiment. Ne confondez pas la religion et ma profession. Je suis historien, il n'y a aucun rapport. Hmm, pourquoi avez-vous dis tout à l'heure "à moitié"?

      - Je vous demande pardon. Ah! ça? Ahah! Oui à moitié, car soit disant se serait ces fameux prêtres qui par leur seul force de volonté garderait leur bloc de terre au-dessus de l'autre. Ahha. Laissez-moi rire. Hiihhhi. Ça me fait marrer.

      - Eh bien soit, c'est ce que nous verrons.

      Il lui remercia et tourna les talons. Il se dirigea alors au port, puis trouva une embarcation qui veut bien de lui. Des semaines passaient terriblement lentement en plein milieu de l'océan à attendre que le navire arrive enfin à sa destination. Worhwèlch était impatient. Il frémit de joie lorsqu'il commença à voir l'île d'Inari. Il n'était ni choqué, ni surpris. Il en avait déjà vu des verts et des pas mures. Entre ce qui était vrai ou pas, il s'habituait à entendre ce genre de choses qui pourraient être aussi loufoque.

      Une fois a terre, l'historien observait longuement cette immense masse étendue dans le ciel qui faisait de l'ombre à la pauvre "vrai" île clouée dans la mer. Il était même en extase devant ce spectacle aussi impressionnant. Il se demandait surtout comment il allait faire pour rejoindre cette deuxième île suspendue. Eh oui, c'était bien beau de savoir qu'il y avait le bloc dans les airs, mais si on ne savait pas comment s'y rendre, cela nous servait strictement à rien. À force de regarder bêtement la tête penchée en arrière et que sa gorge lui réclame à boire, il décida de prendre un peu de temps dans une auberge pour estompé sa soif et profiter pour poser la question qui tue: comment se rend sur cette satané d'île flottante. Ah! à propos, il étant courant d’entendre ce genre de jeu de mot pourri dans le coin. Les gens étaient habitués...

      Il entra donc dans la première taverne où ses pas le guidaient. Il y avait du monde. Il se dirigea au comptoir et demanda une île flottante. Certes, c'était petit, mais il ne pouvait pas s'en empêcher. Après que le barman lui servit de l'eau, il alla trouver une place de livre pour boire tranquillement son vert. Et réfléchissait encore longuement.


      Dernière édition par Wohrwèlch le Dim 25 Mar 2012 - 16:04, édité 1 fois
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      La baston c'est c'que j'préfère !
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      Attention, ça va saigner !

      Deux types, au centre de la rue, se regardant dans le blanc des yeux de l'un et l'autre. Une scène typique des plus grands far-west. Des jets de poussière traversent la rue et d'un coup d'un seul, le silence règne sur l'allée principale de la ville. Ils ont tous deux un sabre à la main et souhaite qu'une seule chose a priori, se mettre sur la gueule. En tout cas, de mon point de vue, c'est ce que j'crois. Mais bon ce n'est pas mes affaires, j'vois pas pourquoi je m'en mêlerais. Après tout, je suis ici pour passer du bon temps et l'épisode du saké nul à chier m'a déjà suffis à gâcher ma matinée... Amateur et passionné de bagarre, je ne vois pas pourquoi je priverais mes yeux d'un tel spectacle. Un banc est situé sur la terrasse de l'auberge, je m'y assoie et attends patiemment le départ de ces giclées de sang. Le glissement d'un pied appartenant à l'un des hommes, sonne désormais le commencement d'un combat qui s'annonçait...prometteur. Un grand type, musclé qui à vu d'oeil devait bien mesurer deux mètres et une dizaine de centimètres pour environ une bonne grosse centaine de kilos. A son opposé, bah... son opposé. Soit un mètre et une soixantaine de centimètres pour seulement, cinquante kilos et encore, j'suis gentil... Il allait se faire déglinguer, mais comme j'le dis, c'est pas mes oignons et si j'peux me divertir, j'en profite un max ! Zihahaha ! La brute fonce sur le deuxième type et l'enchaîne par une série de coup de poings, y'a d'la chique et du mollard qui vole dis donc ! C'que j'trouve un peu étrange c'est qu'il ne se défend pas avec son sabre... Et l'autre ne l'attaque pas non plus avec son arme. Donc qu'est c'qui cloche avec eux ? Finalement, à première vue, ils décident ensemble de ranger lames aux fourreaux et continuer à mains nues. C'est le gringalet qui vient de le lui supplier après s'être fait frapper dans tous les sens. Bref, il était mal. Tellement mal que ça m'fais pitié tiens ... Alors qu'il se retrouve de nouveau à terre, le tas de muscle allait lui assigner le coup final, un coup dont on peut être sûr, qu'il n'y survivra pas, je m'y oppose. D'un geste rapide, je dégaine mes deux marteaux et me place devant l'homme à terre, déviant le coup adverse.

      ” Je ne sais pas ce qui vous pousse à vous battre vous deux, mais ce qui est sûr, c’est que ce ne doit pas être pour rien. J'ai beau être amateur de baston, j'ai pas envie d'avoir un mort sur la conscience vois tu, gros tas ... ”

      A priori, il n'a pas l'air d'apprécier ma remarque et m'enchaîne comme il venait d'enchaîner le cure-dent peu avant. Je recule de plus en plus, suite à la violence de ses coups. Si ça continue, j'vais me retrouver comme ce pauvre gars qui avait l'air d'en baver avant que j'intervienne. Je repousse l'une de ses attaques et à mon tour, le frappe avec mes armes. J'avais beau le frapper, il ne ressent absolument rien. C'est hallucinant ! Est-ce ses muscles qui lui maintiennent une telle énergie et une telle résistance ? En tout cas, ce gars-là, c'est du sérieux. Il a l'air indestructible et m'envoie au tapis, suite à une patate en pleine mâchoire. Je ne peux pas me relever, le coup a été bien trop violent. J'ai les bras et les jambes qui tremblent, je crache de la salive mélanger à mon sang. Il m'a fait sacrément mal l'enflure... Cette masse musculaire se rapproche de plus en plus de moi et je ne peux rien faire. Il me choppe par le coup et me suspens en l'air. M'envoyant plusieurs coups de poings en plein torse, je ne peux riposter. D'un cri jouissant, il me dit.

      ” Tu ne les avaient pas vus venir ceux là hein ?? Hahahahahaha ! Ça t'apprendras à venir t'occuper des affaires des autres, minables... ”

      ”Et toi.... Kufkuf, j'crois bie nque tu ne l'a pas vu venir aussi celui là... ”

      ” Quoi mais de quoi tu paaaaaa !!! ”
      Et ouais ! Pendant qu'il m'étouffait tout en me tapant la discute, je recueillais mes dernières force pour donner un coup bien placé qui allait le faire taire. Oui, tu l'as surement deviné ! Le coup que n'importe quel homme ne peut éviter, celui qui nous fait mal même si tu y vas doucement, le coup fatal ! Un bon coup de pied dans les couilles suffit à le faire plier en deux. Il me lâche enfin et je reprends mon souffle. Tout en reprenant mes armes, je me relève et regarde au tour de moi, des personnes venaient de se rassembler et devait attendre quelque chose. Jusqu'à lors où quelqu'un se fit agresser dans la rue. L'un de ses hommes le débarrassa vite fait bien fait, mais ça m'parait louche tout ça !

      ”Maréchal Jezal, je viens de vous sauver la vie, saleté de Cabale ! Mes chefs vont être contents quand ils vont savoir ça... Sauver la vie d'un agent du gouvernement... Si seulement je pouvais faire cela tous les jours je serais déjà amiral !!! Hahaha”


      Maréchal Jézal c'est bien ça ? Ca m'dit quelque chose, mais j'me rappelle plus ... Attends que j'te cherche ça... AH mais oui !!! C'est un d'ces types du gouvernement ! 'Y pas de question qui se pose, ces gars là, sont en alliances avec la marine, pas question de le laisser vivant.

      ”Allez, l'maréché ! On va jouer un peu !”

      J'fonce sur lui en ayant pour objectif, de lui adresser quelques droites !


      Dernière édition par Phoenix D. Juusei le Jeu 17 Mai 2012 - 17:23, édité 2 fois
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        Howard Prince s'était donc dirigée vers la sortie de la taverne afin d'avoir la confirmation que l'homme qui venait de sortir avant lui était bien celui qu'il croyait. Il avait tout de même attendu quelques minutes avant de se décider à sortir. L'agitation était toujours présente dans le bâtiment, mais cette dernière avait baissé d'intensité par rapport au moment où il était entré quelques minutes plus tôt. Il du tout de même écarter un peu brutalement deux, trois hommes qui étaient sur son passage, dont un qu'il éjecta à coup de pied sur une table de poker. La table de jeu se cassa en plusieurs morceaux sous le poids de l'homme et ses occupants tombèrent en arrière. Heureusement, les joueurs avaient été cherchés des explications vers un homme derrière Prince, pensant que l'auteur du coup était ce dernier...
        Jetant un coup d'oeil rapide dans le fond de la taverne, il remarqua également un homme seul, un peu dans l'ombre, qui était apparemment en train de lire un ouvrage.

        « Comment fait ce type pour lire dans un endroit si... peu calme ? Je ne sais même pas si ce mot est utilisable tellement ce lieu est mouvementé. Ce mec doit vraiment avoir un don, ce n'est pas possible autrement... »

        Arrivé dehors, il fut surpris de voir autant de personnes amassés :

        « J'ai bien l'impression que le bazar de l'intérieur c'est un peu prolongé à l'extérieur de la taverne... Je ne pensais vraiment pas que cette ville pouvait avoir autant d'agitation. »

        Le pirate regarda autour de lui afin de trouver la personne qu'il cherchait. Une bagarre entre 2 hommes étaient en train de se dérouler dans la rue dont un était à terre. Les 2 combattants étaient complètement différents : un grand massif et... non « Princié » faisait apparemment passer un mauvais quart d'heure à l'autre, de proportion plus « normale », qui était cependant recouvert de sang. Le gaillard attendit quelques secondes et souleva alors son adversaire par le cou avant de le suspendre dans les airs telle une brindille soulevée par le vent. C'était comme ci cet homme n'avait fait aucun effort pour cela. C'était assez incroyable, sa force devait être assez exceptionnel...
        Mais Howard Prince n'était absolument pas surpris par cela. Il avait en effet, pendant sa vie, déjà rencontré des individus bien plus impressionnants que celui là lorsqu'il était encore commandant de flotte des Fushi Akumas. De véritables monstres même comparé à ce gars.
        Les souvenirs de ce temps émergèrent dans son esprit et il repensa à un ennemi qu'il avait éliminé après un combat difficile : « Ashlak ».
        Le pirate se mit à sourire et pensa alors à son adversaire défunt :

        « Ah mon vieil ennemi... Si tu étais encore de ce monde, je pense que tu rigolerais bien en voyant ce mec devant moi qui ne t'arrive même pas à la cheville... »

        Il chassa ses pensées de son esprit et se re-concentra sur le combat devant lui en s'appuyant sur un mur. La brute était littéralement en train d'écraser l'autre gars. Ce dernier était en très mauvaise situation et semblait suffoqué. Si cela continuait comme ça, il allait mourir...
        En regardant plus attentivement l'homme en mauvaise situation, il y eut un déclic dans la tête de Prince qui reconnu l'homme qu'il connaissait : Juusei !

        « Juusei ! C'était donc bien lui dans cette taverne, j'avais vu juste. »

        Le pirate posa sa main sur son pistolet à silex, prêt à intervenir et à tirer sur l'assaillant. Il voulait à tout prix éviter un drame. Puis avant qu'il ne dégaine, Jussei assena un coup de pied suffisamment fort pour reprendre l'avantage sur la montagne de muscle. Pendant qu'il reprenait son souffle, Howard Prince réajusta son long manteau sur ses épaules et passa sa main dans ses cheveux pour se recoiffer. Il se décida enfin à s'approcher de lui pour le saluer, mais ce dernier était apparemment déjà en train de se diriger vers quelqu'un d'autre...

        Prince ne réussi qu'à entendre un nom sortir de la bouche de Jussei : "Jezal" ? Son regard fixa l'homme en question vers qui Juu' se dirigeait alors que sa main restait suspendu au dessus de son pistolet à silex... Le gouvernement était donc bien présent sur l'île et quelque chose était certain : cela n'allait pas aider les choses à s'améliorer...



        Visiblement une petite bagarre a éclaté et dramatique hasard, moi, mon poursuivant et le marin sommes arrivés quelques secondes à la fin de ladite bagarre. L'idiot de marin n'ayant pas pu s'empêcher de clamer haut et fort mon nom, tous les regards se sont tournés vers moi dans la ruelle. Les bruits ont diminués dans la taverne, un chien a commencé à aboyer et comble du comble, un homme visiblement déterminé fonce droit sur moi.

        *Ce marin, quel imbécile.*

        Je peste de m'être laissé entraîner seul dans un tel imbroglio. Je me trouve sur une île qui n'est qu'une étape et à ce titre je ne bénéficie d'aucune escorte de la marine, ni même de Tuuk ou Reale. Je viens d'échapper à un assassinat dont je ne connais même pas les motivations et voilà qu'un second problème surgit, le premier n'étant pas réglé. La situation va vite s'accélérer et j'envisage les options qui se présentent à moi.

        *Fuir ? Et l'avoir dans le dos, non merci. Entrer dans la taverne ? Et décupler les problèmes... sans façon.
        L'ignorer ? Pourquoi pas, mais de toute façon il va chercher la confrontation -son pas est déterminé-.
        Appeler des renforts et tenir jusque là ? De toute façon c'est trop tard pour faire autre chose.
        *

        "Première classe, appelez immédiatement l'officier de la marine responsable de la sécurité à Inari et demandez lui d'accélerer la manoeuvre.

        Le marin semble ébahi, pour lui la situation actuelle est parfaitement normale. Ca m'agace, en quelques minutes la situation peut devenir critique et je ne suis plus tout jeune.

        -Exécution soldat !

        Il obtempère finalement et hochant la tête, saisi son escargophone. Voilà qui devrait nous permettre de nous en sortir en un seul morceau. [...] Maintenant qu'il n'est plus qu'à quelques mètres, je distingue mieux l'individu qui s'approche vers moi. Il porte une longue tunique noire recouvrant tout son corps et deux énormes marteaux en guise d'armes. Charmant quidam. Je me demande qu'est-ce qui le pousse à venir au combat : la simple horreur du gouvernement ? L'ivresse ? Le refus de l'autorité ? Un simple dégoût des toges, ou des senior ?

        -Gouvernement mondial. Arrêtez-vous immédiatement, lui dis-je assez fort.

        IL a forcément entendu ma sommation mais sans surprise refuse d'obéir. Je jette un oeil au marin, il semble avoir compris la situation et me fait signe que son appel est terminé.

        -Marin, mettez cet individu en joue. Ne tirez que si j'en donne l'ordre et mettez vous dos à un mur. "

        L'homme ne semble pas impressionné, mais je ne le suis pas non plus. Je sors mon premier pistolet, vérifie les environs et tire en visant son torse. La vraie bagarre va pouvoir commencer.

        BANG

          Alors que Wohrwèlch lisais péniblement son livre, l'ambiance du dehors se faisait de plus en plus remarquer. Même que certain de la taverne se jetèrent sur derrière les baies pour voir tranquillement ce qu'il se passait. D'autre encore, osaient sortir leur nez à leur risque et péril. Un homme visiblement excité par ce qu'il se déroulait cria pour faire signe aux autres personnes de l'auberge de venir observer la miteuse scène:

          - Hé, venez voir les gars, une baston!! Ça va saigner. Ya un type allongé sur le sol et un autre qui va passer un sale quart-d'heure!

          - Ouaaaiiiis, une bagarre! Aller, les amis.

          L'historien grognait dans sa barbe. Il avait de plus en plus de mal à se concentrer. De plus, la salle se vidait de plus en plus. Il est vrai que l'envie d'y rejoindre la masse l'effleurait l'esprit. "Gnmb, encore un règlement de compte. Ils ont beau faire du lèche-vitrine, ça m’empêche franchement de traduire ce bout de texte! Mais que diable, cela pouvait les intéresser tant?" Il leva la tête et demanda à l'aubergiste:

          - Il y a souvent de l'agitation au point de rendre ses habitants aussi tarés pour voir les pitreries de l’extérieur?

          - J'en ai pas la moindre idée, hélas étranger. Cela vous gêne tant pour votre lecture?

          - Ouais! Et je vais aller vite trancher le problème d'une traite. Même si cela n'est pas mes affaires directement, elles le sont indirectement! Et puis, c'est vrai que je n'aime pas l'injustice.

          L'archéologue, rangea ses affaires et se leva d'un bond. Il se pointa à l'entrée mais l'homme qui avait ciré tout à l'heure lui bloqua la route et lui disait fermement:

          - Hé monsieur le... Enfin l'étranger. N'y va pas tu va te faire zigouiller.

          - Dégage! J'ai nullement besoin de tes conseils.

          - Mais... C'est plus les mêmes types, là. Le combat a changé!

          - M'en fout. Ils m'énervent tous autant qu'ils sont. Ce n'est pas un problème.

          Déterminer, il l'écarta de sa main et força les villageois qui regardaient la scène à se pousser. En agissant ainsi, il trébucha et se retrouva en plein de la ligne de mire d'un individu également encapuchonné. Trop tard, le tire fut actionné. La balle le toucha en plein dans sa hanche gauche. Autrement dit, là où se trouve sa lèpre. Sous la douleur et la puissance du projectile, Wohr fut sauvagement projeté sur sa droite.

          Wohr n'avait été que projeté. La bille de plomb lui frôla à vrai dire son flanc. Il se dressa avec bien tant que de mal. Ne faisant pas gaffe à l'homme qui arriva sur sa droite et qui se retrouva rapidement de l'autre côté. Il lui adressa une parole menaçante:

          - Hé, misérable, ne me tourne pas les tallons, ne fais pas semblant de n'avoir rien fait. Je sais que c'est toi qui m'as tiré comme un lâche.

          En regardant un peu plus loin, il vit un homme avec un fusil et un autre. Alors, il se rectifia et demanda pardon au mec:

          - Désolé je me suis trompé de personne.

          Il continua sa phrase, mais en s'adressant cette fois au Marine et Jézal:

          - Hé, vous deux là-bas. Ça vous arrive souvent de tirer sur des mecs comme ca?
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          La baston c'est c'que j'préfère !
          ....................................................................................................................................................................................................................................................................................
          Attention, ça va saigner !


          BANG !

          L'enfoiré ! Il vient de tirer ! S'en même que je m'en rends compte, il venait de sortir ses armes et de suite, je me trouvais dans son viseur. La balle vient d'me traverser le haut de l'épaule droite, et fini sa course près d'un homme à capuche, qui lui eut le temps d'esquiver la bille de plomb. Nous étions deux. Deux cibles maintenant, à la merci de ses gûsses. Tsss, sale lâche, comment ose-t-il de se servir d'arme à feux ?! Ne sait-il pas se défendre avec ses poings comme toute bonne personne ? En même temps, c'est un membre du Gouvernement, c'est un faible. Un faible, un lâche, ce n'est qu'une pourriture qui mérite de crever. Et ça, j'en fais une affaire personnelle. Un groupe de marines le rejoint et l'assiste devant moi et l'autre homme. En parlant de l'autre homme, il commença à m'adresser quelques mots.

          Hé, misérable, ne me tourne pas les tallons, ne fais pas semblant de n'avoir rien fait. Je sais que c'est toi qui m'as tiré comme un lâche.

          Hum... ? Tu parles de quoi là ? Regarde mon épaule crétin, et tu verras bien qu'c'est pas moi, tête d'âne vah... Nan mais j'te jure !!!

          J'le vois, il détourne le regard de moi et le fixe vers Jézal et ses hommes. Il s'excuse auprès de moi comme pour excuse, qu'il s'était trompé de personne. Il leur parle donc et moi, j'me fais mettre sur le côté *NORMALE !*. Bref, j'vais pas m'morfondre comme ça, j'vais en profiter. Cette bande de rigolo cause, j'en profite donc pour m'échapper et trouver un p'tit coin pour m'infiltrer derrière eux. Mais manque de bol, rien à l'horizon. On est dans une de ses rues tu sais, avec des commerces d'un côtés, des commerces de l'autre. Une rue longue qui donne l'impression de ne jamais se terminer, bref, l'angoisse. Je n'peux faire qu'une seule chose, foncé ! J'dégaine comme d'hab, mes deux massues et j'vais vers eux. Pour vu qu'il ne me canarde pas maintenant !! Je sais, je fonce tête baisser, mais j'ai déjà enduré bien des choses alors c'est pas quelques balles qui vont m'arrêter.

          J'me lance, je suis en l'air les armes en mains, prêt à frapper. Pour mettre toutes les chances de mon côté, je balance d'abord l'une de mes armes vers sa tronche de macaque, ce qui a pour effet de l'esquiver. Je retombe à terre, au milieu des deux hommes, tout en récupérant ma masse et les deux en mains, je pivote sur moi-même provoquant un tourbillon d'air en mettant en avant mes armes. Le marine vole sur quelques mètres mais je ne sais pas comment il a fait, mais il s'est retourné pendant qu'il flottait, a sorti son pistolet et ma tiré dessus à deux reprise, me blessant un minimum la jambe gauche. Je lui envoie ma massue en plaine face et fonce la récupérer. Je me remet droit et m'envole vers Jézal toujours les armes en mains...

          HRP: Voilà, petit message pour toi red, si tu veux, poste avant Jézal et là t'interviens. Tu peux arrêter l'un de mes coups et m'envoyer valdinguer si ça peux t'aider à la réponse ;)



          Dernière édition par Phoenix D. Juusei le Jeu 17 Mai 2012 - 17:04, édité 2 fois
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            Les fusillés avaient agi sans qu'Howard Prince s'en rende compte : les balles étaient partis, avec un son net qui se propagea quelques instants dans les airs et Juusei avait été touché à l'épaule. Ce dernier avait reculé sur quelques centimètres en grimaçant, mais ne semblait pas vraiment affecté par cette blessure.
            Prince avait d'ailleurs appris cela sur son ami : sa force était sa grande résistance, cette capacité à encaisser un grand nombre de coups ou autre blessures avant de tomber. La balle qui venait de transpercer son épaule était donc éphémère voir même inutile.

            Et pour confirmer ses dires, Juusei entama le combat contre un groupe de marin devant lui, utilisant ses massues afin d'envoyer ses adversaires dans les airs et d'asséner à ses derniers des coups lourds et puissants. Un type de combat qu'Howard trouvait un peu trop barbare ou peut-être pas assez « Princié » mais qui faisait également partit du personnage de Phoenix D Juusei. Il était comme-ça, agissant souvent sans trop réfléchir tant que la bagarre était au rendez-vous.
            L'inquiétude qui était affichée précédemment sur le visage du Prince lorsque les fusillés avaient tirés avait disparus, laissant place à un petit sourire. Il était rassuré de la tournure qu'avaient pris les événements. Il devait cependant couvrir les arrières de Juusei, car il était fort probable que d'autres fusillés de la marine étaient cachés ou camouflés, prêt à agir au premier ordre donné par Jezal.
            Regardant autour de lui pendant que son ami se battait toujours, il bondit sur un marin qui avait levé son fusil, prêt à tirer : Prince posa sa main sur le fusil, le baissant vers le bas avant de lui retirer des mains :

            « Je ne ferais pas ça si j'étais toi... Tirer sur quelqu'un qui est en train de se battre et qui n'as donc pas sa pleine concentration autour de lui n'est pas quelque chose de très sympa... »

            Le marin allait répondre, mais le pirate lui envoya la cross du fusil, qu'il venait de lui subtilisé, directement dans le menton. Ce dernier tomba par terre, inconscient. Prince continua d'observer les alentours et vit une nouvelle fois un marin qui avait, apparemment, pris en joue notre cher Juusei. Sans attendre, Prince hâta sa course et tout en se faufilant entre les personnes autour de lui, il arriva rapidement sur sa cible. Cette fois-ci, le pirate lança son coude dans l'estomac du marin qui se pencha en avant en crachant de la salive, avant qu'une nouvelle fois, il envoie la cross du fusil dans la tête de ce dernier. Le marin vola dans les airs avant de s'écraser dans des caisses en bois, au pied du mur d'un bâtiment.
            Prince se passa la main dans les cheveux afin de se recoiffer avant de souffler. Il avait fermé les yeux quelques instants.

            Cependant ; alors que le combat continuait entre Juusei et les marins, Prince remarqua, complètement à l'opposer de lui, un groupe de 3 fusillés de la marine, dont un qui était apparemment en train de parler dans un escargophone portable. La stupeur l'envahit : il devait agir rapidement avant qu'un malheur ne se produise. Se frayant un chemin parmi la foule, il dû accélérer lorsqu'il vit les 3 marins brandir leurs armes. « Non ! »
            Il devait agir et vite : bondissant en avant, il prit appui, avec ses jambes, sur les épaules de deux gaillards qui étaient devant lui et tout en dégainant son révolver dans les airs, il fit feu sur les cibles avant que ces dernières passent à l'action. Ses adversaires tombèrent à terre, touchés respectivement aux bras et aux épaules pendant que le pirate touchait le sol, soulevant par la même occasion un nuage de poussière. « Tampis pour la discrétion... ».

            Il venait d'atterrir à quelques centimètres de Jussei qui se retourna vers Prince, alerté par les détonations et alors que les 3 marins criaient de douleurs, il rangea son pistolet en s'avançant vers son ami :

            « Yo Juusei ! Comment vas-tu vieille canaille ? Toujours en train de faire du grabuge à ce que je vois ! Ahahaha ».

            Abordant un grand sourire radieux, il serra la main de son compère qui paraissait étonné mais également ravi de voir une connaissance ici.

            Puis, se tournant vers Jezal qui regardait toujours ce spectacle avec attention, Howard Prince proposa quelque chose à l'agent du gouvernement :

            « Hey Jezal ! Que dirais-tu d'un petit combat singulier contre nous deux au lieu de donner des ordres à tes gorilles ? Ca serait peut-être plus intéressant pour toi et ta... renommée... Tu ne crois pas ? ».




            Le désordre règne. A ma droite, quelques marins viennent d'arriver en renfort et attendent mes ordres, désemparés. A treize heures, se trouvent "Juusei" et un de ses amis. En face une victime collatérale et à ma gauche, d'autres marins se préparent au combat. Je jette un oeil autour de moi, et ordonne à un marin d'aller s'excuser auprès du civil touché et de lui promettre des soins au frais du gouvernement. Je me moque de la victime mais il est inutile de s'attirer des ennuis supplémentaires car pour le moment ma situation n'est pas très enviable... Deux contre un... cela fait bien longtemps que je n'ai pas laissé le stratège en moi prendre le dessus: là il va bien le falloir en attendant des renforts.

            Juusei et son nouveau compagnon ont commencé à s'en prendre aux marins et les défont assez commodément, mais ils ne s'en prennent pas encore à moi.

            *Ils attendent de pouvoir être certains de ne pas se prendre quelques balles perdues. Ils sont bien prudents pour des têtes brûlées.*

            Je réfléchis vite avant d'avoir une esquisse de plan. Et alors que "Juusei" se remet de sa chute et de la balle dans la jambe j'attrape mon escargophone et donne quelques ordres aux marins en périphérie.

            "Placez vous en formation comme je vais vous le dire, et ne discutez pas. Je ne répéterais pas ces ordres. Vous êtes prêts ?
            -Oui monsieur !
            -Je veux deux hommes en première ligne, fusil vers l'avant, deux hommes en seconde ligne, fusils vers les côtés pour couvrir le flanc et un homme en arrière qui vise les airs. Je veux deux tireurs sur les toits de chaque côté et un homme pour couvrir leurs arrières.
            -C'est que... nous allons manquer d'effectifs monsieur.
            -Combien êtes-vous ?
            -5 à votre droite et 7 à gauche.
            -J'avais demandé de nombreux renforts au QG !
            -Nous ne sommes qu'une patrouille venue vous prêter main forte, un officier ne devrait pas tarder.
            -Laissez tomber les hommes sur les toits et mettez vous immédiatement en formation !
            -Bien monsieur.
            -Une fois paré faites feu dès que possible et ne vous tirez pas dessus à travers la rue."

            Je raccroche l'escargophone. La conversation a duré quelques secondes, temps qu'il faut pour l'homme aux masses pour se mettre à portée de frappe. J'observe les alentours, son compagnon est légèrement en retrait. Il frappe hargneusement mon flanc avec sa première masse et ma tête avec la seconde. Au lieu de reculer stupidement et de me prendre un des deux coups de plein fouet, je me colle à lui, dévie le bras gauche avec ma jambe et le droit avec ma main.

            BANG BANG BANG

            Je lui tire en plein visage, mais cette fois il réussit à éviter toutes les balles, même avec du plomb dans le bras et dans la jambe.

            *Merde. Ca aurait du marcher ça.*



            Le Maréchal se rendit bien vite compte que ses ennemis n'étaient pas les premiers pirates venus. Ils avaient une certaine expérience du combat malgré leur style un peu barbare. Pourtant il n'avait pas sous-estimé la difficulté et avait immédiatement mis en place bon nombre de stratagèmes pour lui permettre d'en sortir en vie, mais aussi d'arrêter ces fauteurs de troubles. Mettant de côté son aversion pour les pirates stupides, dénué de diplomatie et qui attaquaient juste pour la bagarre il avait réussi à toucher par deux fois l'un deux.
            Il retombait dans sa jeunesse à chaque combat : la vitesse des balles, leur précision, la faiblesse du corps face aux impacts. Il avait choisi d'apprendre à dévier les coups, non pas à les esquiver ni à les encaisser -la chose la plus stupide à faire-. Cela lui permettaient de rester en contact avec l'adversaire et d'avoir un avantage temporaire sur lui : quatre membres utiles contre trois.
            Malgré cette belle théorie, il s'était plusieurs fois retrouvé en difficulté voire mis en échec par le passé et avait décidé de devenir plus fort. Si il n'est plus aussi robuste qu'autrefois, il a poussé son plaisir pour la stratégie à un travail de forçat qui s'est bonifié au fil des années.



            L'homme au bandana m'a coupé dans ma réflexion me proposant un combat "plus intéressant pour moi et ma renommée".

            *Un deux contre un alors que les marins sont en formation. Ne plongeons pas dans un abîme de stupidité en acceptant. Les renforts de qualité ne devraient plus tarder [...]
            Leur mettre la pression ? Et risquer de les acculer...
            Temporiser par le dialogue ? Et risquer qu'ils s'en prennent aux marins pour me laisser à deux contre un...
            Continuer un combat, mollement, sans trop monter le rythme pour ne pas leur donner matière à s'appuyer. C'est la meilleure option.
            *

            Je jette un oeil au loin et me concentre sur le prochain assaut.

            "Ceci est une dernière sommation. Veuillez vous rendre immédiatement !

            Ils refusent. Je m'avance lentement vers eux et accroche deux pistolets avec des lanières à mes poignets. La poussière s'élève, la rue s'embrase

            -FEU A VOLONTE !"

              Wohr ne comprenait absolument plus rien. C'était un vrai bordel. La foule dans le public, les mecs qui se batte et la Marine pour stopper la pagaille. Tous se mélangeaient dans sa pauvre tête. Comme à son habitude, il était capable de se mettre dans des situations aussi périlleuses que celle-ci... "Mais quelle idée..."

              Le pauvre homme n'avait pas vraiment le temps. Il devait choisir un camp ou s'abstenir, mais il fallait faire vite! Quel cruel dilemme. Il était là, debout au milieu de la rue. Quel foutoir pour lui, il n'aimait pas ce type de problème. Il mit sa main sur sa vilaine blessure, ce n'était si grave, mais du sang en coulait. Il valait mieux pour lui de trouver sa place. Et il avait fait son choix. Oui, il n'est pas du genre rancunier, mais il n'aimait pas les fouteur de merde. Et à en juger selon le comportement de Juusei et de Prince, il se décida de se battre contre eux. Aider la Marine pouvait être utile.

              Il courra finalement vers le pirate qui était selon lui le responsable de cette zizanie. Le type au marteau. Il criait comme un zouave ses deux sabres à la main. Les habitants était à la fois terrifiaient et intéressaient par la scène. Wohr ne réfléchissait pas quand il se mettait une idée en tête. Les soldats qui tiraient et les hors-la-loi qui faisait de même.

              Seulement, l'homme en bandana était trop loin pour lui et il s'en prenait alors à celui qui visiblement l'aidait. Il bondi sur lui par surprise. Le coup allait violent, l'historien s'apprêter à asséner une attaque avec Erx et Zaarïn en même temps.

              - Ayahhh!!
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              La baston c'est c'que j'préfère !
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              Attention, ça va saigner !


              Un bordel pas possible vient de s'installer. Moi et Prince, contre la marine et en plus de ça, des civils s'en mêlent. On va plus s'en sortir. De l'autre côté, le maréchale commence à appeler ses compagnons d'armes pour venir nous mettre une branlée. Mais on va pas s'laisser faire si facilement. Après tout, on est des pirates et ce genre de gars ne sont pas très loquasse. Mais les membres du gouvernement doivent mourir tout comme les marines, c'est une évidence. J'suis au milieu de la rue, j'observe Prince en retrait. Jézal est toujours là et il vient de finir son appel radio. Il faut que j'le castagne avant l'arrivée des renforts, sinon j'suis bien dans l'caca. Les masses en mains, je lui assigne deux coups au niveau de la tête. Mais encore une fois, trop lent.

              BANG BANG BANG

              Il me tire dessus, par chance, je réussis à esquiver ses coups de feux. C'est trop dangereux, j'me recule et réfléchit un minimum. Dans quelques secondes, les renforts armés de fusils vont s'ramenés et là on ne pourra rien faire pour les empêches d'nous tirés dessus. Mais je privilégie mon plaisir avant toute chose, alors autant mourir en kamikaze. Derrière moi, Prince.

              ▬ Yo Juusei ! Comment vas-tu vieille canaille ? Toujours en train de faire du grabuge à ce que je vois ! Ahahaha ▬

              ▬ Comme tu vois ! ^^ J'espère que tu viens t'amuser avec moi ? è_é Allez ... C'est partit. ▬
              Prince était un peu comme moi, l'amour de la baston le connaissait. La preuve. Il propose un combat à Jézal contre lui et moi. Un deux contre un quoi. Dans tous les cas, le maréchal aurait des renforts, alors pourquoi se priver ? Si en plus il ne veut pas tuer sa réputation ... Le maréchal s'approche de nous en nous demandant de nous rendre. On est des pirates nan ? On refuse donc. Mais il nous a prévenu. Il sort ses flingues et là ...

              ▬ FEU A VOLONTE ! ▬

              Un nuage de feu avance sur une vingtaine de centimètres et les balles fusent à travers un écran de poussière.

              ▬ Howard, à couvert ! ▬


              Ils nous canardent comme des lapins, c'est pas très catholique tous ça ... On est maintenant à terre, derrière des barils de flotte, vider par les balles. Ils m'ont touché encore une fois, cette fois-ci, en bas du ventre au niveau des abdomens. Quelle bande de chien ... Je demande à Prince si tout va bien ,mais apparemment, lui aussi est touché. Ils ne vont pas s'en sortir comme ça. Mais il faut passer au-dessus de la douleur si on veut s'en sortir. Je prends une de mes masses et la balance devant profitant du nuage de poussière, touchant un homme. Je ramasse un pistolet d'une ancienne victime et tire à feu et à sang dedans, ayant pour seul objectif, en buter un maximum. Mais alors je me suis déplacé quelques mètres derrière un nouveau baril d'eau, Prince se fait attaquer par le civil.

              * Et merde ... *



              Dernière édition par Phoenix D. Juusei le Jeu 17 Mai 2012 - 17:00, édité 1 fois
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                Derrière un tas de barils en bois, Prince et Juusei s'étaient rapidement mis à couvert, évitant de justesse, la pluie de balle qui s'était abattu sur eux telle une marée de plomb. Le bruit était insupportable et les divers éclats de bois venaient s'inviter à la majestueuse danse de poussière qui avait pris place tel brouillard brunâtre. Les deux pirates avaient vraiment eu de la chance et devait leur salut à leur incroyable agilité... Une personne moins entrainé ou moins athlétique aurait surement eu moins de chance qu'eux.
                Le bruit des tirs avait cessé et de fin filets d'eau coulaient de divers endroits des tonneaux. La scène était comme immortalisé tellement le silence semblait irréel comparé au bruit précédent...

                Les deux pirates, assis et à couverts s'étaient d'abords regardé, avant de constater les blessures. En effet, bien que leur réaction avait été incroyable pour esquiver les balles, ils avaient été tous les deux touchés : Juusei était touché au bas du ventre et Prince juste en bas de l'épaule droite. Ils grimacèrent ensemble, mais ils pourraient, sans problème, continuer le combat. Juusei était, contrairement à Prince, beaucoup plus résistants. Utilisant des masses pour se battre, il encaissait beaucoup de coups et son corps avait, par conséquent, évolué avec le temps pour devenir très résistant. Prince, lui, combattait avec beaucoup plus de délicatesse et classe : utilisant un style très athlétique, il est souvent amené à combattre en tournoyant dans les airs, esquivant et parant ses adversaires, avant d'enchainer ces derniers avec grande puissance...

                Alors que Juusei ramassait un pistolet à silex par terre afin de tirer en direction des adversaires, Howard, lui, allait bondir en direction de Jesal : il voulait attaquer par surprise. Mais au moment ou ce dernier avait sorti son sabre de son fourreau, quelqu'un l'attaqua par le côté : le pirate du se coucher par terre, parant, par la même occasion le coup que lui avait porté ce nouvel inconnu : il était encapuchonné et disposait, pour arme, de deux sabres. « Un civil ?!! Pourquoi m'attaque-t-il ?! »
                La charge fut telle que le Prince n'arrivait pas à se relever et du, encore une fois, utilisé sa dextérité pour se sortir de cette passe : il roula sur le côté pour laisser les deux sabres frapper le sol et tout en se remettant debout, pouvait à présent lancer une attaque envers cet inconnu. D'ailleurs, quelque chose l'avait marqué... Il avait ressentit comme une force, une puissance mystérieuse ressortir des deux armes de l'inconnu... Était-ce son imagination qui lui avait joué un tour ou... ?

                Cependant, au même moment ou le pirate s'était mis debout pour faire face à l'individu, les détonations avaient recommencée. « Non !!! » . Prince n'avait absolument pas réfléchis et sauta en direction du civil afin de le plaquer à terre. Les balles mitraillaient murs et sols à côté d'eux avant de s'arrêter une nouvelle fois.
                Le pirate roula une nouvelle fois en direction des barils, à côté de Juusei, avant de s'adresser à l'inconnu :

                « Êtes-vous fou monsieur pour rester ici ? Vous devriez aller vous cacher loin d'ici si vous ne voulez pas y laisser votre vie ! »

                Finissant sa phrase, Prince se releva rapidement et prenant appui sur un tonneau, bondit vers « la justice ». Il était tant d'agir et ce n'est pas en restant planté derrière des barils que la situation allait évoluer.
                Toujours dans les airs, le gentleman sorti son pistolet à silex, armant ainsi son bras gauche et ne laissant pas rechargé les marins, fit feu : quatre marins furent touchés aux bras et aux jambes avant de tomber à terre, en criant de douleurs. Il en restait à peu près une dizaine, mais ces derniers n'avaient également pas fini de recharger.
                Atterrissant à quelques centimètres de Jezal, Prince afficha un sourire sur son visage et braqua son pistolet vers la tête de ce dernier.

                « Alors Jezal... On commence ? »




                S'il ne mettait pas les deux hommes aux arrêts sous peu, la situation allait devenir chaotique. Partout déjà des balles fusaient, des copeaux de bois volaient en l'air et des tonneaux se vidaient sur le sol. Quelques marins gisaient au milieu de l'allée et coloraient le sable de leur sang. La poussière devint rouge. Au-dessus du tumulte de la bataille et de la pétarade des armes à feu, une voix s'éleva.

                "Que l'on me sécurise la zone ! Arrêtez de tirer immédiatement, remettez-vous en formation et éloignez-vous des tonneaux, cria Jezal.

                *Briser leur rythme, baisser la cadence pour ne pas les pousser dans leurs derniers retranchements puis porter le coup de grâce. Vélocement.*

                Malgré leur formation, les marins accusaient des pertes sévères: ils n'étaient pas à la hauteur et de sinistres abrutis voulant jouer au héros rompaient régulièrement les formations. Les deux criminels en profitaient aussitôt. Pourtant sans cette patrouille, le Maréchal se serait trouvé dans un bien triste état.
                Les tonneaux, presque tous éventrés ne constituaient plus un abri fiable pour les pirates: ils s'étaient déjà pris plusieurs balles et commenceraient bientôt à en ressentir les effets.

                *D'où la nécessité d'une très légère temporisation*.

                Soudain, contre toute attente le civil s'en prit à Juusei et sembla même le mettre en difficulté. Un marin tira malencontreusement sur eux deux.

                *Mais quel idiot !*

                Jézal pesta intérieurement, une brèche s'était ouverte dans le camp ennemi mais non content d'en profiter, un marin l'avait refermée et transformée en dard. Le pirate dont le maréchal ne connaissait pas le nom fit quelques secondes plus tard une tentative de sortie: il déboula hors des tonneaux et sauta dans les airs dans la direction de l'agent des affaires internes. Il tua quatre marins au passage, ne leur laissant pas le temps de recharger.


                Je le suis du regard sans ciller en préparant un plan de contre-attaque. Il atterrit comme prévu à quelques centimètres de moi. Pistolet à la main, il me met en joue et jette « Alors Jezal... On commence ? » .

                **Il tire. Esquiver vers sa gauche puis frapper au niveau de la main. Il lâche son arme et ne peut pas correctement répliquer: angle incorrect. Parer toute tentative avec les membres gauches et tirer avec la main droite.* BANG !
                Jezal esquive le premier coup de feu et tape brusquement la main de son agresseur. Mais celui-ci ne lâche pas le pistolet et tire de nouveau : esquive impossible à cause d'un léger désequilibre. Mort.
                *

                BANG !

                Comme prévu je me dirige vers sa gauche mais au lieu de me contenter d'une simple frappe, j'attrape son poignet pour le bloquer très temporairement. Je prends mon pistolet de la main droite et le colle à sa tempe. Il se libère sans soucis et se repositionne à quelques pas de moi.

                "Formez un arc de cercle devant moi, immédiatement. Je vous couvrirai de derrière. Ne tirez que sur ordre !"

                *Inutile de se prendre une balle perdue. De toute façon sans moi ils sont morts.*


                  -Formez un arc de cercle devant moi, immédiatement. Je vous couvrirai de derrière. Ne tirez que sur ordre!

                  Mais? C'était complètement vraisemblablement! J'avais vraiment l'impression de rêver. Oui, ça devait être cela. J'étais en train de combattre l'un des malfaiteurs. Et celui-ci, que m'avait-il fait? Il me protégeait des tires... Il n'avait rien compris ou quoi?? Je ne suis pas leur ami, moi! Il devait certainement confondre avec un autre ou je ne savais quoi! En tout cas, si je restais ici, je pouvais à tout moment y laisser ma pauvre peau, déjà que ma moitié était dans un sale état dû à ma lèpre. Ou si j'ai peu plus de chance, la Marine pourrait croire que je suis l'un des leurs... Toutefois, je devais éviter ces deux cas de figure...

                  Merde, j'entendis un mini boulet d'un canon portatif siffler depuis les rangs des forces. Il n'avait entendu l'ordre de leur supérieur?? Mais je suis de votre côté moi!! Le fameux Jussei m’attrapa et me dégagea de la mauvaise passe. Il nous colla contre derrière une jardinière dont les plantes n'étaient plus vraiment jolie. Il fallait être sans coeur! Quelques seconde de sortit et le tonneau vola en éclat. Des copeaux de divers tailles vinrent parsemer le sol. Ouf, un peu plus c'était nous qui serait dans le même était. Jamais j'aurais cru voir un Marine aussi stupide! Moi, qui avait plus d'admiration pour ce genre d'hommes. Quel situation comique, c'était le pirate qui le tira d'affaire et par deux fois.

                  Depuis notre petite défense je pouvais clairement entendre un officier crier sur le soldat qui venait de tirer. Je ne savais plus trop quoi faire, maintenant. Peut-être écouter ce qu'il se passer aux alentours. Il n'y avait plus de foule, désormais. J'aurais bien voulu faire comme eux.

                  - T'es malade ou quoi? Tu n'as pas entendu l'ordre incontesté du Maréchal?

                  - C'est queuuh.. Vous savez, mon doigt à glissé... chef

                  *- Maréchal? Il y avait un Maréchal, ici?? J'ai du rater un épisode, moi...*

                  Je n'avais pas fais gaffe, mais le dénommé Jussei était en train de me parler. Il voulais que me batte au près d'eux. Il était fou ou quoi? Moi devenir un pirate?? Jamais!!! D’ailleurs, je ne savais pas ce que je foutais là. Ce n'était pas ma petite performance de sabreur qu'ils parviendront à mettre ces Marines hors d'état. Même un super bretteur méga entraîné ne pouvait mettre à bout face au soldat du Gouvernement. Et moi je ne voulais pas me salir les mains. Il était hors de question. Non non, il était temps que je trouve un stratagème pour qu'il arrête lui et son pote cette folie meurtrière. Heureusement qu'aucun civil fut touché. Enfin, il y avait moi, mais ça ne changerait absolument rien.


                  Dernière édition par Wohrwèlch le Jeu 28 Juin 2012 - 16:16, édité 1 fois
                  • https://www.youtube.com/user/Xotokss
                    Garnison d'Inari, section communication

                    Devant la batterie d'escargophone qui l'informait en temps réel de tout ce qui se passait sur l'ile, le Lieutenant Colonel Marco transpirait à grosse gouttes sous son béret de marin. Faut dire que le colonel était en patrouille quelque part en mer, et qu'il se retrouvait beaucoup trop seul pour gérer la horde de probléme qui venait de lui tomber dessus comme les poux sur une tête de pauvre.

                    -Mais enfin, pourquoi personne nous a prévenu qu'un ponte du CP0 passait faire une enquête en ville ?
                    -Ben Colonel, c'est des agents secrets, s'ils préviennent, c'est plus un secret non ?
                    -Peut être, mais en attendant, s'il se fait dessouder en ville par des truands, qui c'est qui va payer les pots cassés hein ?

                    Le sergent ne répond pas, sa longue expérience de la marine lui a appris que toute vérité n'est pas toujours bonne à dire. Et de toute façon il sait très bien qui sera puni si un agent du gouvernement en mission se fait descendre dans le coin. Et une chose est sure, ce ne sera pas le sergent Alonzo...

                    L'escargophone sonne, et le sergent échange quelques mots avec un soldat de veille quelque part en ville avant de se retourner vers l'officier.

                    -Il y a du grabuge en ville monsieur. A l'endroit ou on a signalé la présence de l'agent.
                    -Oh non... Non... Mais on n'a pas des troupes dans ce coin ?
                    -Le colonel Santos a emmené toutes les réserves monsieur. Il n'y a que l'effectif minimal de patrouille monsieur.
                    -Putain de maréchal il aurait pas pu attendre deux jours de plus pour se pointer dans le coin. Mais on a personne d'autre ? Vérifiez les fiches de présence. On avait un navire de passage avec des hommes à bord non ? J'ai vu des têtes que je ne connaissais pas au mess hier
                    -Le conquérant est reparti ce matin monsieur.
                    -Les forces de police locale?
                    -En gréve monsieur, une histoire de congés je crois.
                    -Alors c'est la fin...Hé mais, ça c'est quoi ?

                    Sur le tableau qui indique les agents et les marines de passage dans le coin, Marco vient de découvrir une fiche avec un nom, Red.

                    -Euh attendez voir. Ah oui, un agent CP monsieur, il n'est pas en mission et n'a fait que signaler sa présence, comme le veut la procédure.
                    -Formidable, appelez le tout de suite !
                    -A vos ordres monsieur.


                    Et cinq minutes plus tard, plus loin dans les rues, dans le bar avec vue sur le port ou un agent Red en mode vacance, bob rouge, sandales, chemise à fleurs rouge et mojito en main...

                    -Pulu pulu pulu !
                    -Oui ?
                    -Agent Red ?
                    -Oui ?
                    -Ici le lieutenant colonel Marco, commandant par interim de la base d'Inari. J'ai une mission prioritaire à vous confier !
                    -C'est que... Je suis en vacances en fait...
                    -Et bien laissez tomber, c'est un cas de force majeure, et nous n’avons personne d'autre... Agent Red vous êtes mon seul espoir.
                    -Ah oui carrément...
                    -Un agent de première importance vient de tomber dans une embuscade en ville, et toutes mes troupes sont occupés ailleurs, il n'y a que vous qui pouvez le sortir de la.
                    -Un agent du gouvernement ?
                    -Le maréchal Jezal ! S'il se fait descendre ici on sera tous bons pour un poste aux archives... Je vous en supplie, faites quelque chose !


                    S'il y a bien une chose que Red n'aime pas, c'est qu'on lui nique ses congés. Mais il sait aussi trés bien comment fonctionne le mécanisme bien huilée de la bureaucratie gouvernementale. Et Marco a raison, si Jezal se fait descendre dans le coin, tout les agents sur l'ile ne pouvant pas prouver qu'ils ont tout fait pour le sauver vont salement chuter dans la liste des promotions... Ou dans celle des demandes de mutations.

                    Et l'agent Red qui vient de demander l'autorisation de quitter le Cp pour la marine n'a pas du tout envie de provoquer le faux pas qui ruinerait ses chances...

                    -Ok je m'en occupe. Dites moi ou il est.


                  Dernière édition par Red le Sam 7 Juil 2012 - 13:27, édité 2 fois
                    La baston c'est c'que j'préfère !
                    ....................................................................................................................................................................................................................................................................................
                    Attention, ça va saigner !

                    Foutu Marine ... En plus de nous mettre la misère, elle embauche des civils, pour l'aider. Pfff, c'est pathétique. Mais l'heure n'est pas à la discussion, Prince se fait agresser par le dit civil et est en joue du flingue du maréchal. Il est vraiment dans la merde ... D'un bon, suivi d'une roulade, je pousse Prince derrière des buissons et attrape son agresseur par le col. Derrière un tas de caisses je lui dis quelques mots.
                      ▬ Bon écoute, t'es civils et tu veux aider la marine, certes, c'est une chose. Mais aidé le mal en est une autre. Tu ne sais pas ce qu'ils réalisent derrière le dos de millions de civils dans ton genre. Je me suis dirigé vers la piraterie pour une seule chose, renversé le gouvernement et ses mes-faits. Alors, si tu me crois rejoins moi et combattons ensemble, bordel ! ▬

                    Malheureusement, il était obstiné par son idée de justice, mettant les gens dans des cases. La marine comme gentil et les pirates comme méchants. C'pitoyable quand t'y pense ... Mais les gens sont comme ça ... On discute, mais il me dit nan, d'un air de dégoût et m'attaque. Je l'empêche de me toucher, l'esquive et le bloque.
                      ▬ Arrête bordel, je ne te veux pas de mal alors arrête ! ▬

                    Je lui donne un coup de poing, il se retrouve à terre mais se relève avec un peu de mal.
                    Bon, ils ne sont plus que dix soldats. La maréchal et le civil en plus, ça va être galère. J'espère que Prince est prêt , car ça n'va pas être de la tarte. Une autre arme lanceuse de plomb est près de moi. Je l'empoigne et avance vers le membre 0, avant que le civil soit debout, derrière tous ses chiens. Six balles. Elles auront tous une cible chacune. ─ PAN,PAN,PAN,PAN,PAN,PAN !!!!!! ─ Ça passe ou ça casse !!! Un homme de touché, deux hommes de touchés, trois hommes de touchés, quatre hommes de touchés !!! Les deux autres ont le temps d'esquivés, mais trop tard, alors que les coups de feux viennent d'être tirés, je fonce vers eux, les armes en mains. Au milieu des deux types, je toupille sur moi-même et les frappes avec mes masses. Le maréchal juste là, c'est ma seule chance de l'avoir. Il venait juste avant de s'en prendre à Prince, il allait m'le payé. Ils sont plus que quatre soldats. Les deux plus proches viennent vers moi. J'esquive le premier coup, puis enchaîne avec un coup de boule. L'autre vient par derrière et me met un coup avec son manche de fusil, dans la joue. Du sang s'échappe de ma bouche et je pose un genoux à terre, essoufflé. Il arrive vers moi pour me donner un nouveau coup, mais je lui décroche une droite dans le ventre puis un coup de massue vient lui éclater le crâne. Tout ça en quelques secondes ...
                      ▬ Allez, jézal, j'suis là, viens ! ▬

                    Mais il m'avait dans le collimateur depuis que je tapais ses gardes. Arme à la main, il m'envoie deux balles au niveau du bras gauche et du bas du ventre. Heureusement pour moi, j'ai pu les éviter. Mais beaucoup plus proche de lui, alors que j'avançais pendant qu'il me tirait dessus, je lui envoie mon poing droit sur le visage. Il tombe un peu plus loin mais quelqu'un d'autre est là. Un officier de la marine canon à la main.
                      ▬ Et merde ... !!! ▬

                    La douleur des anciens coups revient, c'est plus trop mon affaire enfaite. Les deux derniers hommes me mettent en joues et un nouvel homme arrive. Tenue d'plage, gros touriste ... Prince, démerde toi, mais vient m'aider !!

                    Spoiler:


                    • https://www.onepiece-requiem.net/t3798-fiche-de-phoenix-d-juusei
                    • https://www.onepiece-requiem.net/t3581-juusei-d-phoenix-la-renaissance-du-volatile-a-valider


                      Avec une grande adresse et une dextérité incroyable, le Marechal Jezal venait d'esquiver le tir d'Howard Prince qui était pourtant à seulement un mètre de lui. Ce dernier frappa rapidement et fermement la main du pirate qui portait l'arme à feu : cela ne suffit pas à déstabiliser le Prince qui, tournoyant sur lui-même et faisant danser son long manteau noir, se repositionna rapidement afin de retrouver un angle de tir. Il s'était mis à genoux afin de trouver un angle ouvert vers les jambes du Marechal... La détonation retentit et la balle finie sa course loin... trop loin de sa cible. « Comment... Qu'est-ce que ?! »

                      Des centaines de questions se bousculaient dans la tête du pirate gentleman : comment le Jezal pouvait avoir esquivé non pas un, mais deux coups de feu à bout portant ? Non pas qu'Howard Prince voulait tuer son adversaire, car cela était au-delà de sa façon d'être, mais ne pas réussir à blesser ce dernier.. à cette distance.

                      C'était comme-ci son ennemi arrivait à deviner ce qu'il allait faire lors de ses prochaines attaques : « Impossible ! »

                      Décontenancé, Prince avait perdu sa concentration pendant quelques secondes, ce qui suffit au Maréchal pour prendre un ascendant psychologique et surtout physique sur le pirate : il bloqua le poignet de son adversaire avant de placer son pistolet sur sa tempe. Mais le Prince réussit à se libérer à temps et à se replacer, en position de combat... L'inquiétude était parfaitement visible sur sa tête et la sueur parcourait son visage.

                      Il reprenait son souffle difficilement pendant que Jezal lançait à ses troupes :

                      « Formez un arc de cercle devant moi, immédiatement. Je vous couvrirai de derrière. Ne tirez que sur ordre ! »

                      Les hommes s'exécutèrent en un instant, mais des détonations derrière Prince : il se retourna rapidement pour voir Juusei, à genoux, armé d'une arme à feu. Regardant à nouveau devant lui, Howard vit tomber quatre hommes successivement qui criaient de douleurs... Il fallait agir !
                      Prenant également son pistolet à silex, le pirate couvrit Juusei, tirant en direction des divers marins retranchés et ne laissant pas ces derniers avoir la possibilité d'arrêter la progression de son ami qui élimina deux nouveaux adversaires avant d'arriver à asséner un coup droit à Jezal.

                      Cependant et contre toute attente, Juu' se contracta de douleur et posa un genou à terre. Il semblait blessé... Cette erreur suffit à ce que ce dernier soit mis en joue par deux marins et surtout, à ce que Jezal soit de nouveau opérationnel :

                      « Jussei ?! »

                      Howard Prince fonça vers son ami et tenta quelque chose en espérant que cela fonctionne : il sprinta au dernier moment et prit appuis, avec son pied, sur l'épaule de Juusei. Les deux marins furent étonné et ne purent réagir assez rapidement : le pirate, dans les airs, tira à deux reprises. Touchés respectivement à l'épaule et à la jambe, ils tombèrent alors que Prince fendait toujours l'atmosphère. Son manteau dansait avec lui au rythme du vent et du temps qu'il passait à quelques mètres du sol.

                      La force qu'il avait mis pour bondir loin devant lui, avait permis d'être désormais à plusieurs centimètres du sol, devant Jezal :

                      Royal Gurifin Paradein !

                      Il utilisait enfin sa technique de combat : une onde s'échappa de ses jambes, déstabilisant le Marechal qui permit à Prince de trouver une ouverture... Il tira, exprès, à quelques centimètres de la joue de son adversaire avant d'envoyer un puissant coup de poing qui vint s'écraser dans la joue de ce dernier.

                      Jezal tomba à terre et Prince toucha enfin le sol en posant une main afin de se rattraper.
                      Il se releva afin de regarder l'homme de la justice toujours sur le sol et remit son chapeau ainsi que son long manteau en place avant d'afficher un sourire satisfait sur son visage angélique...
                      Le pirate voulu dire quelque chose, mais derrière le fin nuage de poussière qui s'était levé, une ombre attendait, derrière le Maréchal...






                        Coups de feu, bruits de fer qui s'entrechoquent, cris, fumée. Pas très dur de localiser le lieu de l'embuscade et de le rejoindre. Et de marquer un arrêt le temps de faire le point avant de débarquer comme un chien fou dans un jeu de quilles.

                        Un croisement de rue élargi sans qu'on puisse aller jusqu’à appeler ça une place, une taverne ou se terrent peureusement les quelques civils qui veulent mater le chaos jusqu'au bout sans aller jusqu'à se manger un mauvais coup. Et entre les deux, l'action proprement dite.

                        Une poignée de soldats aussi frais que des poissons encore sur l'étal en fin de marché, ça gémit, ça se traine par terre, et ça finit visiblement de subir un assaut sévère d'une force nettement supérieure. En tout cas ça ne sert plus à rien ou presque.
                        Au milieu de ce semblant de cercle de protection inefficace, Jezal himself. Pas besoin d’être physionomiste pour le reconnaitre immédiatement, même en fâcheuse posture et loin de la morgue qu'on lui attribue habituellement.
                        Partant de la, une fois retiré Jezal et son pack d'uniformes de l'équation, tout les autres ne seraient êtres autre chose que des ennemis. Le costaud couverts de plaies à l'air coriace et aux deux marteaux, le beau gosse aux allures royales, et le type louche qui se terre un peu plus loin pour assurer les arrières de ses deux compagnons d'infortune.

                        Il n'a fallu à l'agent Red que le temps d'un clignement de paupières pour embrasser le tableau aussi clairement que s'il n'avait rien loupé de la scéne. Et aussi vite qu'il est arrivé, il passe à l'action. Comme le disait le maitre d'arme à l'époque ou il n'était qu'une jeune recrue, "Frappez en premier, frappez fort, frappez en dernier !"

                        D'un bond Red saute pour s'interposer entre Jezal et ses deux agresseurs les plus proches, et il se déchaine. Profitant de son élan il allonge un direct brutal à Phoenix, par, en dessous, droit dans le bide, le genre de coup capable de débarrasser directement de son foie un homme normal. Et pendant que Phoenix se plie en deux Red lui colle derechef un coup de coude pivotant sur le coté du crane qui envoie le pirate s'effondrer parmi le matelas de marines. Et d'un...

                        De la main gauche Red assène un coup rapide sur le fut du canon à main du soldat debout à coté de lui. Déviant l’arme juste assez pour que le coup parte vers le type planqué du coté de la jardinière plutôt que vers celui qu'il vient de frapper. Pas de raison que la distance l’empêche de participer à la fête. Et puis Red n'aime pas les plantes en pots. Et de deux...

                        Ramenant son regard vers le Prince Red lui allonge une manchette foudroyante, visant le coté du cou du pirate du tranchant de la main. De quoi lui broyer méchamment les cervicales si le coup passe...

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