Que faire dans des moments pareil, la solitude est toujours très dure à accepter mais il y 'a parfois pire que la solitude … j'appellerais ça « Le Rabaissement »
...Quelques heures avant...
'' Mush Mush..... Mush Mush … '' Hun quoi l'escargophone gigote c'est petites antennes ça veut dire que j'ai un appel ? Bah je vais décrocher on verra bien qui c'est qui m'appelle à 9 heures du matin.
- Oui allo !?
- Commandant Mashida ? Oui ici le Vice-Amiral à l'escargophone !
- Ho Vice Amiral que me vaut votre appel ?
- He bien je vais vous expliquer Mashida ! Comme vous le savez vous êtes en quête d'un équipage … jusque là tout va bien ! J'ai lue dernièrement vos rapport de mission, je vous félicite d'ailleurs, mais je fus très étonné de voir que votre côte de réputation n'est pas superbe.
On malaxe tendrement le bonhomme...
- Pour un futur Chef d'équipage c'est tout simplement impossible d'avoir une telle réputation !
… On frappe bien là où ça fait mal …
- Vous irez donc faire une cure de réputation dans le petit village de Cocoyashi qui en ce moment peine un peu. C'est compris ? Allez bonne chance à vous … je dois y aller ma femme gueule depuis tout à l'heure ! … Mush !
... Et on le termine en beauté !
… Retour au présent …
Voilà donc comment un minable inconnue sans aucune réputation c'est retrouvé à voguer en direction de Cocoyashi dans un bateau qui à un équipage bidon. Le capitaine ne me laisse même pas les aider il ne veut pas. Pour la peine je leur diraient pas de faire gaffe à la tempête qui se prépare, on voit au loin des nuages louches qui vont rencontrer ceux qui sont actuellement au-dessus de nous et je sens le vent qui se lève !
Cocoyashi c'est encore moi ! C'est pas la première fois que je viens ici … mais les autres fois c'était pas pour me rendre '' moins nul '' , chui qu'une grosse * tuuuut * ! Encore heureux qu'il fasse beau sur l'île sinon j'aurais pas pus rester plus longtemps. Bon allez faut bien que j'y aille un jour …
- Mon petit Irako c'est toi ! Tient vite apportes ça à l'épicier, je peux vraiment pas là tu veux bien ?!
Une vielle dame ,apparemment myope comme la taupe de Yuji, m'avait confondue avec une de ses connaissances et me proposait de lui rendre ce service. Je peux pas faire ça …
- Désoler madame …
- … D'être en r'tard !? Pooh t'inquiète pas mon petit gars tant que tu la ramène cette lettre ! Pis m'appelle pas madame steuplait !
- Mais …
- J'tais dit tout va bien c'est po grave q'tu soit en r'tard !
Coincées par une vielle myope qui voulait absolument que je livre cette lettre à l'épicier du village. Bon bah je n'ai plus cas le faire j'ai beau parlé déjà elle entend rien mais en plus elle comprend rien alors. J'étais étonné de voir que Cocoyashi avait perdu de son ambiance, j'ai connue la ville beaucoup plus joyeuse quand même. Me voilà arriver à l'épicerie, il semblerait que le gérant m'attendait.
Le vieux monsieur moustachu pris l'enveloppe qu'il ouvra. Son visage vient littéralement de se décomposer, j'ai l'impression que ça va pas fort pour lui.
- Comment je vais faire sans les 500 000 Berrys qu'il me manquent pour mon projet, je suis encore ruiné !
500 000 Berrys ? Bah c'est pas grand chose, je peux quand même le dépanner d'au moins ça. Le pauvre à l'aire abattu de se qu'il y'a écrit sur la lettre.
- Vous savez, aujourd'hui c'est peut être votre jour de chance. 500 000 Berrys et une somme c'est vrai, mais c'est une somme que je me ferais l'honneur de vous offrir. Vous n'aurez cas aller à la banque et donner se papier qui donne mon autorisation pour la transaction.
Une belle signature pour conclure mon autorisation et le visage de l'homme redevint soudainement illuminé. Il prit mon papier et courut au plus vite en direction d'une banque, je suppose. La journée se passait finalement plutôt bien grâce à une lettre j'ai pus faire deux heureux en très peux de temps.
Cocoyashi c'est plaisant enfaîte parce que ici tu est tranquille, tu pourrais y siroter un jus de citron dans un hamac qui te donnerait vraiment pas envie de travailler.
Ouha des tirs ? Qu'est-ce qu'il se passe ça vient de la rue principale là-bas. Je dois courir vite avant qu'il se passe quelque chose de grave. Ho merde ce sont un équipage de cinq pirates. Mais merde il tient un marine en otage faut que j'aille l'aider !
- Donnez-nous tout vos argents dans ce sac ou je le tue lui et après … vous tous !
Mais oui c'est parfait pour les prendre par surprises, je n'ai pas mon uniforme ils ne peuvent donc pas me reconnaître comme étant un Marin. Tout les gens qui se trouvaient sur la place donnaient leur pièce en file indienne, ils étaient effrayés de voir des pirates, ça ne doit pas être courant dans le coin, pourtant incapables. Je prend une pièce dans ma poche et m'approche pour la mettre dans leur ballot. Ils sont tous armées, le chef à un fusil, et les quatre autres ont des simples sabres. Allez c'est partit ! Je vais mener la danse, je releva mon pied brutalement dans le coup du malheureux chef qui relâcha le marin tout ébranlé et tomba sur le dos.
Le premier réflexe de ces hommes, m'attaquer moi avec leur sabre mais je me baissa vite accroupie et faucha les jambes des hommes qui se retrouvèrent littéralement sur le cul. J'en profita donc pour m'écarter d'eux et m'apprête au combat. Les cinq hommes se remirent sur leur deux pieds, l'un d'eu était particulièrement nerveux et me fonça dessus, tête baissé, sabre en avant. Une ouverture parfaite pour sauter au dessus de lui et lui attraper la tête en l'air, son crane vient de gouter à la fraicheur du sol et d'après le '' crack '' il à pas aimé !
Un de moins celui-ci il est out pour aujourd'hui. Les trois pirates s'avancèrent pendant que le capitaine prenait son temps pour me viser. Merde il m'a eu dans l'épaule cette enflure, j'ai baisser ma garde ils arrivent tout les trois sur moi, je frappe de toutes mes forces l'un deux avec ma jambes droites pour qu'il trébuche, mission réussi comme ça il bloque le passage et les deux autres doivent s'arrêter.
Voilà, je peux en profiter pour attaquer avec Corail. En contrôlant ma force dans la jambe je vient écraser à trois reprises mon pied violent dans leurs figures. Un nuage de poussière se souleva suite à leur écroulement sur les pavés de la place. Merde je commence à être essoufflé avec ces conneries.
- Ha ha ha ha ha ! C'est finit j'ai gagné, regarde cette famille si tu me laisse tranquille je ne leur ferais rien mais si tu viens te battre …
Ho non pas les enfants et les parents, qu'elle genre de personne oserait tuer des gens comme ça, mais suis-je bête j'ai en fasse de moi un pirate je dois pas l'oublier ça. Je peux pas prendre le risque qu'il les tuent, cette enfoiré à le doigt sur la gâchette... Ho tient, Timcampy qu'est-ce qu'il y a ? Pourquoi tu t'agite comme ça ? Tu, tu voudrais m'aider !? Mais bien sur Timcampy j'ai jamais desceller le potentiel que tu couvre depuis qu'on c'est rencontrés, je t'avouerais que depuis quelques temps je pensais faire qu'elle que chose de toi.
Très bien alors voilà …........ Compris ! Timcampy s'envola en direction de la famille, puis celui-ci accéléra d'un coup sur le capitaine pirate qui fus extrêmement surpris et il tenta de viser la petite boule de poils dorée qui esquiva magnifiquement bien son tir. C'est là que notre plan entre en marche, le capitaine et focaliser sur Timcampy quelque instants, c'est à moi de jouer bravo Timcampy !
- Devant toi ! Règle n°1 : Ne jamais quitter son adversaire des yeux. Direction les [g]Abysses[/g] .
Coup de pied remonté, le voilà en lévitation et il ne me reste plus cas en conclure enfin je me mets au-dessus de lui et lui envoie le plus fort coup de talon dans le crane qui vient exterminer cette vermine de pirate. Au passage je loupa mon atterrissage et m'écrase méchamment sur le sol dure. Jamais j'eus le droit à temps d'honneur, les familles et habitant de la ville m'applaudissaient pour me remercier d'avoir empêcher ses pirates de s'emparer de l'île, mais vues leur forces je voyais même pas comment ils auraient pus.
Les gens applaudissaient et j'entendais dans l'immense foule :
- Houaww il est fort ! Qui est t'il ? - C'est un marine ? Un chasseur de primes ? Ou un simple villageois … - Dites nous qui vous êtes, s'il vous plaît ?!
Je n'avais rien fait de tout cela tout ce que j'avais fait c'est sauver ce marine et la famille qui était en danger. Je me releva, pris mon chapeau et leur fit un grand sourire.
- Ho juste un ami qui vous veux du bien !Ha oui au faite ….. Joyeux Noël à tous !
Fière d'avoir pour une fois dans ma vie été reconnus comme quelqu'un de bon je pris doucement la route vers la liberté ...
