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Réveille moi, si tu peux! Ft. Grin

Comme d'habitude depuis qu'il était rentré de mission il y a quelques jours, Fû avait travaillé toute la journée dans le restaurant familial et ce malgré le fait que les médecins lui avait conseiller d'éviter toute activité physique pendant un moment. A ne pas s'y tromper le jeune chasseur de prime n'avait aucunement envie d'aider son père à la gestion du restaurant mais ce dernier l'avait forcer à coups de pieds au cul. "Pas de repos pour les guerriers ! Et puis t'as mère et ta soeur ne peuvent plus m'aider donc tant que tu es sous mon toit et que tu profites, tu payes le loyer en m'aidant au restaurant !" Disait Homura à son fils dés que celui-ci avait le malheur se souffler ou se plaindre de devoir se bouger.

Quoi qu'il en soit cette journée de plus l'avait mis sur les rotules alors qu'elle n'avait commencé que depuis... 2 minutes. Oui, notre flemmard professionnel n'en pouvait déjà plus d'éplucher les légumes, couper la viande, cuire le riz etcetera... Alors plutôt que de continuer il avait tout bonnement décidé de prendre une pause et ce malgré les complaintes de son paternelle qui n'avait d'autre choix que d'assurer le service seul. "Fû ! N'abuses pas on vient de commencer ! Tu vas quand même pas me di..." Complètement ignorer par son fils le cuisinier avait finit pas se faire une raison en le voyant s'éloigner peu à peu dans la salle du restaurant. "Maudits fainéant !" Pestait-il.

Avec des pieds de plombs Fû s'était mis en route pour sa destination préféré au seins de l'établissement familial un rebord de fenêtre des plus douillets avec son marbre noir bien frais l'aidant à mieux supporter la chaleur du soleil reflétant sur la vitre. Il s'y était posé dans les environs de huit heure du matin et pas un habitué n'avait daigné tenter de l'approcher connaissant bien l'énergumène, ils préféraient le laisser dormir plutôt que de subir sa mauvaise humeur s'il réussissait à l'éveillé.

Cependant plus la journée avançait, plus les clients moins habitués à fréquenter le restaurant affluait quand soudainement sur les coups de 15 heures de l'après-midi l'un d'eux venu en groupe de quatre se mis à questionner ses amis. "Dites les gars... Ca fais combien de temps qu'on est ici ? Une heure ? Deux heures ? Peut-être même trois, j'vois pas le temps passé mais passons. Le gars la bas sur l'appui de fenêtre, vous avez remarquer qu'il a pas bouger depuis notre arrivé ?" Demandait-il en le pointant du doigt. "Nan mais j'crois que c'est de la déco, tu vois bien. C'est glauque mais les gouts et les couleurs." Répondait le camarade à sa droite. "Tu es stupide ou quoi ? Personne fait de décoration aussi réaliste c'est toi qui est glauque si tu crois que ça en est !" Fît le troisième en éclatant de rire avant d'apporter son verre de rhum à sa bouche. "Chut! Un peu de respect vous allez le réveiller!" Finissait le quatrième en pouffant de rire. "Pas capable de le faire." Demandait le premier au deuxième visiblement le moins aguerrit de tous. "Faire quoi ? Le réveillé ?" Questionnait-il.

C'était à ce moment la qu'Homura arrivait pour servir la table. "Voici votre pousse-café, et le gamin la bas est mon fils. Il dors depuis huit heure ce matin. Vous pourriez chanter et crier à son oreille qu'il ne se réveillerai pas." Annonçait-il aux quatre zigoto qui lui faisait face. "Bahahahah ! Tu charries l'ancêtre ! Jamais j'peux croire qu'il puisse avoir un sommeille aussi profonds, surtout s'il dort depuis si longtemps!" Rétorquait le plus costaud de la bande. "Très bien messieurs." Disait-il en souriant avant d'hausser la voix flairant là, une affaire en or. "Mesdames et messieurs, la maison offre le repas à quoiqu'onques arrivera à réveiller le blondinet sur l'appuie de fenêtre la bas! Les conditions sont simple : Interdis de le toucher ou de le faire bouger. Tout le reste est permis ! Cependant pour toute personne qui tentant sa chance, elle paira la note de son repas en double !" Les habitués c'étaient mis à éclater de rire en entendant le père crier de la sorte, l'un d'eux rétorquait même. "J'offre même une tournée générale si ça arrive !"

Voici le tableau pendant les prochaines heures, une poignée de gens se relayait à tour de rôle pour tenter de réveiller Fû qui contre toutes leurs attentes ne bougeait pas d'un cil. Pire, il lui arrivait même de ronfler par période. Homura avait donner des casseroles que certain faisaient s'entrechoquer entre elles juste devant ses oreilles, d'autres tentait d'hurler, d'autres fâché de ne pas réussit commençait même à proférer des menaces. Rien, n'avait réussit et certains allaient même abandonner. Le jeu avait attiré plus de client qu'habituellement et de son côté le cuisinier était en train de faire sa meilleur recette de la semaine...


Dernière édition par Ginka Fû le Mer 15 Nov 2023 - 20:19, édité 1 fois
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J’observai le jeu avec un intérêt certain. Ils tentaient donc de réveiller le fils de l’aubergiste. Je n’avais pour l’instant rien commandé et je ne souhaitais pas le faire. Je n’aimais pas le risque inutile de vider ma bourse. Non, c’était hors de question. Si j’étais ici, c’était qu’il y avait une très bonne raison ! En cette douce année de 1629, j’étais donc sur cette île des forgerons et tout cela j’aimais le travail du métal, j’avais deux mains dans cette œuvre d’art après tout ! Il y avait toujours des tas de choses à faire dans le CP4 ! Mais à cet instant, j’étais en pause, si l’on pouvait dire ainsi ! Mais qu’importe. Je rajustais mes gants en observant la scène. Réveiller cet homme et j’aurais donc gagné. Intéressant ! Je rajustai encore une fois mes gants avant d’attendre que l’homme qui lui beuglait dans l’oreille s’éloigne. Intéressant ! Pourquoi ne pas tenter sa chance après tout ? Je n’avais aucune addition et je pouvais échouer sans aucun problème. Et si je gagnais, j’avais ainsi la chance d’économiser un repas. Pas non plus que je sois en besoin d’argent ! Mais sur ce lieu savait-on jamais ce que je pouvais trouver !

J’avançai d’un pas vifs, la jupe blanche de ma robe tournait légèrement autour de mes chevilles chaussées de mes bottines. Je n’avais pas le droit de le toucher ou de le faire bouger. Bien comprit. Pas besoin de trop en faire n’est-ce pas ? Il suffisait juste de quelque chose brisant son confort. Je me penchais légèrement pour que ma bouche soit à la hauteur de son oreille, avant d’inspirer profondément… et d’expirer mon souffle bien froid au creux même de son conduit auditif. Ce n’était pas bruyant, ce n’était pas incroyable, mais généralement, c’était assez désagréable pour réveiller plus ou moins quelqu’un qui dormait. Le tout sans que cela soit triché !

Je me reculai malgré tout de quelques pas pour lui laisser l’espace de se réveiller et sino j’ouvrirais en grand la fenêtre pour que l’air frais vienne le secouer. Ici, il faisait bon, mais dehors, ce n’était pas tout à fait la même histoire et l’air sentait le métal coupé, la cendre, la braise et le charbon de bois ! Il y avait bien des choses pour le réveiller ! Mais j’étais presque sûre que ce simple souffle froid directement dans son oreille le réveillerait.
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Il était bien entendu que Fû avait été éveillé à l'instant même ou son père s'était mis à crier pour lancer ce pari. Il connaissait son père l'avarice de ce dernier c'était pour cela qu'il avait décidé de ne pas bouger d'un cil pendant plusieurs heures. Ceci étant dit, il lui arrivait véritablement de dormir car paradoxalement, faire semblant de dormir, ca fatigue... De plus en plus agacé et pensant sincèrement que cette histoire devait suffire. Se disant qu'il ferait semblant de se réveiller dés entre deux candidats. 

Cependant vint le tour d'une personne qui dégageait un parfum de femme, la première de toute la journée... A peine avait-elle approcher sa bouche de l'oreille du garçons que ce dernier se levait droit comme un piquet les yeux exorbité et semblant véritablement effrayer. "Ca va maman je me lève !" Hurlait-il avant même que la femme ne puisse réussir à faire quoi que ce soit. Ensuite il déposait son regard sur la personne qui venait de gagner le jeu stupide de son père consistant uniquement à punir son fils. Un long et puissant souffle sortait de ses lèvres lorsqu'il constatait que il ne s'agissait pas de sa mère mais d'une inconnue et comme si de rien n'était il redevenait l'incarnation du stoïcisme toison le monde autour de lui observant les gens dépité d'avoir perdu un repas gratuit. "Il est nul ton jeu Papa." Avait-il déclarer avant de saisir le bras de la jeune femme pour l'attirer vers le comptoir ou son père était toujours en train de travailler.

"Elle a gagner." Déclarait-il nonchalamment en levant la main de la blonde avant de la lâcher brusquement. "Heu pardon...." Avait-il déclarer réalisant la proximité qu'il avait eut avec la femme sans lui demander son consentement. S'il n'était pas du genre poli et plutôt habituellement arrogant, Fû n'était pas non plus du genre envahir l'espace personnel des gens mais en particulier celui des femmes. Non pas qu'il avait spécialement envie de les traiter tel un gentlemen mais surtout que la proximité et le contact avec celles-ci ne le mettait pas à l'aise du tout et souvent son stoïcisme en pâtissait car on pouvait le voir rougir.
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Visiblement, je l’avais terrorisé et réveillé un sursaut rien qu’en m’approchant. Je fis de justesse un pas en arrière pour éviter qu’il ne me bouscule involontairement. Il… venait donc de me prendre pour sa mère ? Intéressant. Tout le monde éclata de rire et m’applaudit. Je venais donc de remporter un repas gratuit ! Je m’inclinai devant le pauvre jeune garçon avec un sourire amusé sur les lèvres bien que pour le jeune homme cela n’avait pas été très amusant. Et il se plaint à son père. Je voulais bien comprendre et être d’accord avec lui ! J’avais mon père n’avait eu besoin de faire ça, j’avais eu des frères et des sœurs pour lui.

Je vis son geste et le laissai m’entraîner vers le comptoir alors qu’il affirmait que j’avais gagné ! J’inclinai la tête avant de m’asseoir sur un tabouret haut en bois, je réarrangeais mes jupes autour de mes jambes alors que ce grand enfant s’excusait. Je souris doucement en rajustant également mes gants.

« Ne serait-ce pas à moi de m’excuser ? Après tout, c’est moi qui vous ai réveillé et en sursaut en plus ! Bien ! Qu’est-ce que vous me conseillez à manger ici ? Je ne connais absolument pas cette auberge. »

Le patron était toujours mort de rire visiblement. Qu’il fasse attention avec moi de ne pas être mort tout court, avec moi on pouvait sans doute se douter de ce que je pouvais faire ! Enfin, nul besoin de dire qui j’étais réellement ! Je tendis la main pour serrer celle du jeune homme.

« Je suis Grin ! Et vous ? »


Je portais toujours mon joyeux sourire sur mes lèvres. Toujours avoir mon sourire ! C’était très important !

« Cela arrive souvent que votre père se moque ainsi de vous ? Vous devez avoir le sommeil vraiment très lourd, mais visiblement je vous ai fait très peur sans même avoir besoin de vous souffler dans l’oreille ! »

Est-ce que cela aurait vraiment marché ? J’en doutais réellement ! Mais soit ! Profitons d’un repas gratuit ! C’était encore meilleur même !
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Son regard était complètement livide, ses yeux gorgés de sang dû à la durée légèrement trop longue ou ce dernier les avaient gardé fermé. S'il avait apprit au fils des années à ne plus bouger d'un pouce et a rester un maximum statique pour garder un maximum d'énergie Fû n'était pas non plus inhumain et pour preuve il semblait que l'énergie qu'il venait d'accumuler pendant des heures durant le tenait éveillé bien plus qu'il ne voudrait et désormais il savait que son père allait profiter de cette situation pour l'obliger à l'aider dans la tâche quotidienne du restaurant. 

Son regard s'illuminait légèrement lorsqu'il vît une échappatoire à tout cela, un mal pour un bien. Fû allait devoir se forcer à sociabilisé pour éviter toute dépenses d'énergie inutile. Saisissant un menu sur le comptoir avant d'inviter la jeune femme à s'asseoir le jeune blond l'ouvrait en deux avant de pointer du doigt au hasard. "Tout est bon ici, c'est le restaurant que Ginka Homura, le meilleur cuisinier de Shimotsuki"

"Je suis Fû." Répondit-il instantanément avant d'écouter les futurs questions de son interlocutrice. Elle était visiblement bavarde et si d'ordinaire il détestait ça il allait cette fois-ci en profiter un maximum. "Se moquer de moi ? Mon père a juste été mon père. Il a saisit une opportunité pour se faire de l'argent sur mon dos, il savait que je lui obéirai, sinon il serait venu me réveiller lui même." Déclarait-il sans même penser une seule seconde que des gens avaient pu croire au fait qu'il ne faisait pas semblant et dormait réellement tout du long. "Il fait pas ça souvent, d'habitude les gens ne me remarque pas." Continuait-il l'air de rien avant de s'asseoir en face de la jeune femme comme s'il était déjà établit qu'il allait rester en sa compagnie pour entreprendre un brin de causette. "Vous venez d'ou Grin ?" Son regard était fuyant et n'importe qui pouvait se rendre compte que Fû n'en avait rien à faire de la réponse. Tout ce qui lui importait à ce moment précis était d'éviter à tout prit que son père ne lui demande de se remettre au travail maintenant qu'il avait finit sa sieste.
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Bon vendeur ! J’eus un sourire amusé, de toute manière, je souriais tout le temps. N’est-ce pas ? Qu’importe ! Il n’avait pas à le savoir ! Tout était bon ! Je regardais le menu légèrement avant de choisir des Ramens végétariens et quelques gyozas toujours aux légumes, je n’avais pas envie de viande pour aujourd’hui. Cela serait très bien !

« Vous savez fort bien vendre la cuisine de votre père. »

Fû. Très bien. J’enregistrais son visage et son nom en inclinant la tête. Savions-nous jamais ! On rencontrait toujours le destin d’une manière bien comique après tout ! Et il m’avoua donc jouer un tour avec son père pour faire consommer les clients. Je restais silencieuse, notant tout ce qu’il se disait, rajustant à nouveau machinalement mes gants. Je n’avais pas encore commandé, mais je le ferais bientôt.

« Je vois, il ne perd ainsi et il est gagnant. »

Enfin, si il avait perdu quelque chose ! Mon repas, mais comparé à tout ce qu’il avait gagné… Une poussière ! Sa question me surprit et je restais muette quelques secondes avant de sourire, encore ! Et de répondre.

« De loin Fû ! Je viens de loin. »

Je préférais ne donner aucune indication. Même pas mon lieu de naissance.

« Une île si petite qu’elle n’a ni nom, ni indication sur une carte ! »

Faux, mais il ne pouvait pas le savoir, n’est-ce pas ? Je fis signe à un serveur, ou serveuse, qu’importe, pour commander ainsi donc mes ramens et Gyozas avant de revenir vers Fû.

« J’ai bien hâte de goûter à ces mets. On ne sait jamais quand on va manger un bon repas ! Alors je profite un peu ! Même si je pense que je devrais faire attention à ma ligne ! »

Bon, pas réellement, je faisais assez d’exercice pour ne pas en être inquiétée.

« Vous avez l’intention de reprendre la suite de votre père ? »

Je continuais mon interrogatoire


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De point de vue du paresseux, les gens étaient tous les mêmes. Qu'ils soient marines, pirates, révolutionnaire ou autre, aucun d'entre eux n'avaient le moindre intérêt. Le divertissement était un trésor à ses yeux qui pour des raisons qu'il lui étaient aujourd'hui encore inconnue, cela lui avait été enlevé. Il lui avait suffit de faire semblant de s'interesser un tout petit peu à elle pour que celle-ci ne cesse de parler tandis qu'avachi sur la chaise face à elle il se contentait d'écouter stoïquement sans même prendre la peine de montrer quelconque interêt à ce qu'elle pouvait bien avoir à dire. "Passer ma vie à dépenser mon temps et mon énergie à nourrir les gens pour à peine exister à la fin du mois ? Non merci." Rétorquait-il avant de bailler. "Mon père est un cuisinier hors paire, si ce n'avait pas été pour ma mère, il aurait déjà ouvert sa propre chaine de restaurant." Même s'il n'en avait pas l'air Fû était belle et bien intéressé par quelques personnes en ce bas monde et sa famille constituait un grand intérêt pour lui.

Soudainement le serveur apportait la commande de la dame laissant tout le loisir à cette dernière d'observer la fumée blanche s'échapper des plats et venir caresser ses narines d'un fumet des plus appétissant qui ne laisserait de marbre aucun être vivant sur ces mers. "Bonne appétit." Laissait-il échapper par politesse avant de s'avachir un peu plus sur sa chaise. "Et vous ? Vous faites quoi dans la vie ?" Demandait-il espérant que la discussion dur un peu plus longuement afin de ne pas devoir retourner au travail.
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Il semblait se faire bien chier dans notre discussion tout en continuant tranquillement de parler. Je l’ennuyais tout en lui servant d’excuse pour ne pas travailler. Mais je l’interrogeais malgré tout sur lui-même. Il ne voulait pas dépendre des autres, ni nourrir les autres. Je bus une petite gorgée d’eau en hochant la tête. Sa mère était donc morte, c’était triste. Ou alors elle était partie ? C’était possible aussi ! Je ne poserais pas de question après tout. Ou alors…

« Votre mère est morte ? «


Délicatesse sur vingt ma chère Grin. Qu’importe. On déposa mon plat sous mon nez et je sentis un délicieux fumet qui fit gargouiller mon ventre, je pris mes baguettes pour commencer à manger.

« Merci. »


Délicatement, je pris un gyoza pour le plonger dans la sauce Soja et le porter ensuite à mes lèvres. Il était parfaitement délicieux. Mon travail ? Je glissai les baguettes entre mes lèvres. S’il savait que j’aurais pu le tuer sans problème… Mais ce n’était pas le moment de penser cela, n’est-ce pas ?

« Je travaille pour le gouvernement. »

Fis-je tranquillement en prenant un deuxième gyoza pour le déguster tranquillement.

« Depuis des années maintenant. »

Je soutiens tranquillement son regard en avalant la nourriture. Plus que deux Gyozas. Dommage. Ils étaient très bons.

« Les Gyozas sont délicieux. »

J’en repris nu troisième avant de poser quelques questions supplémentaires :

« Et vous ? Vous souhaitez travailler dans quoi ? Si vous ne voulez pas travailler ici. »

La question était réelle, n’est-ce pas ?
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Il en fallait énormément pour divertir Fû et peu de chose pouvait le faire rire mais face à la crédulité d'une jeune inconnue ayant déclarer travailler pour le gouvernement ce dernier eut un soudain gain d'énergie des plus inattendu. Il plaçait ses deux mains sur son ventre et se mis à rire de toute ses forces comme s'il venait d'entendre la meilleurs blague de tout les temps. "Morte ?! BOUAHAHAHAHAHAHA Non elle n'est pas morte ! Vous êtes allez bien vite en besogne pour quelques qui travail pour le gouvernement ? BOUHAHAHAH" Déclarait-il mort de rire à l'instar de sa tendre mère. "Les gyozas... Sont délicieux..." Reprenait-il dans son fou rire ne sachant vraiment plus comment s'arrêter tant il n'avait plus rit autant depuis des années. A tel point que cela avait éveillé la curiosité du père mais aussi des clients habituelles du restaurant. Tous se retournait vers la table ou se trouvait le jeune blond et le voyait rire à gorge déployer. Aucun d'entre eux ne semblait en croire leurs yeux même Homura c'était arrêter de travailler en attendant le rire de son fils pour la première fois depuis des années.

"Je suis... suis chasseur de..... BOUHAHAHAHAHAHA Je suis chasseur de prime." Se reprenait-il en haletant légèrement dû au fou rire soudain qu'il venait d'avoir. "Vous êtes drôle !" Déclarait-il le sourire aux lèvres. Pour une fois Fû semblait avoir trouver quelqu'un de divertissant hélas pour cette personne il ne semblait absolument pas se rendre compte qu'il riait quelques peu au dépend de cette dernière. "Non, ma mère n'est pas morte. Elle est juste assigné à la garnison de Shimotsuki." Précisa-t-il afin de clarifier la situation et ainsi expliqué son soudain fou rire.

Ayant repris quelques peu ses esprit après toute cette agitation Fû reprenait son air placide tout en continuant de fixer la jeune femme blonde face à lui. Cependant contrairement à d'habitude il semblait bien plus éveillé, plus attentif à ce que la femme pouvait dire ou faire. "Vous savez, j'ai pas l'habitude de rencontrer des gens drôle comme vous. Vous êtes spécialisé la dedans ?" Questionnait-il sérieusement semblait ne pas du tout réalisé qu'il ne s'agissait ici que d'une mauvaise interprétation de la part de la jeune femme.
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Oh. Visiblement j’avais dit quelque chose de très drôle. Je restais silencieuse avant de sourire un peu plus largement à sa remarque. Vite en besogne ? Peut-être parce que souvent s’était moi qui faisais la sale besogne ? C’était tout à fait possible. Mais ce n’était pas très important. J’eus un simple rire pour l’accompagner avant de manger tranquillement mes Gyozas. Délicieux, cela allait sans dire. Il riait, s’arrêtait, riait alors que les regards venaient droit sur nous. Qu’importe. J’eus un haussement de sourcil en entendant qu’il était chasseur de prime.

« On ne dirait pas que vous l’êtes. »

Fis-je tranquillement en finissant mes Gyozas, je repoussai cette assiette vide avant de prendre les ramens alors qu’il affirma que j’étais drôle. J’eus un rire que je cachais derrière ma main.

« Vous êtes le premier à me le dire. »

J’étais très peu souvent hilarante, pas vraiment du tout ! Meurtrière, oui, sadique, oui… Enfin, qu’importe, ce n’était pas très important. Je me mis à manger mes ramens jusqu’à ce qu’il reprenne la parole.

« La manière dont vous l’avez dit sous-entendait qu’elle était morte. »

Elle était donc de la marine. Intéressant, j’attrapais mes nouilles du bout de mes baguettes pour les aspirer avec plaisir. Les légumes étaient délicieux également. Pas l’habitude de rencontrer des gens drôles ? Je gardais mon sourire sur mes lèvres à sa remarque.

« Oh… je suis souvent qualifié de bien des choses, mais clairement pas humoriste. Ce n’est clairement pas mon point fort normalement. Mais visiblement, avec vous… si. Même si ce n’était pas volontaire. »

Je repris une bouchée de Ramen. S’il savait la vérité, il ne serait même pas assit cette table en face de moi, mais à quinze mètres.

« Et vous êtes nouveau dans le métier ? Je n’ai jamais entendu parler de vous. »

Mâche bien, ça colle aux dents.
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Maintenant que le mal entendu avait été dissipé et que la jeune femme s'était justifié de son incompréhension vis à vis de la mère de Fû, il ne semblait plus du tout jouasse déçu d'apprendre que cette dernière n'était pas drôle d'ordinaire. Cependant il devait bien avoué qu'elle avait réussi à le faire rire et cela méritait au minimum un brin d'attention à son égare. "Nouveau ? Oui on peut dire ça." Répondait-il tout en se repositionnant confortablement sur sa chaise. "J'ai capturé quelques prime. Des révolutionnaires principalement... Bizarre quand on y penses, j'ai pas grand chose contre eux, mais ils étaient sur ma route.." Déclarait-il ensuite.

Soudainement un frisson de déjà vu parcourait l'échine du jeune chasseur de prime qui pendant un instant eut un regard de mépris voir de dégout en regardant son interlocutrice. "Vous avez dis faire partie du gouvernement, rien à voir avec l'araignée hein ? Vous lui ressemblé un peu. La veuve noire ou je sais plus trop quoi..." Questionnait-il en faisant référence à l'agente qu'il avait croiser une année plus tôt lors de la capture de sa première prime.

L'agent Tarentule avait tellement marqué négativement l'esprit de Fû que ce dernier se méfiait désormais comme de la peste des agents du gouvernement qui de près ou de loin pouvaient lui ressembler. "Elle est pas dans les environs rassurez moi ?" Soupçonnait-il en fronçant les sourcils pensant à une blague de très mauvais gout de la part de cette blonde mesquine qu'il ne tenait absolument plus a croiser.
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Il avait déjà capturé quelques révolutionnaires. Tant mieux, ils étaient une épine beaucoup trop imposante dans notre pied. Non, qui nous en ait débarrassé… Même s’ils n’étaient que de petits révolutionnaires, c’était déjà à de pris. C’était en taillant dans les petits que les grands se trouvaient très fragilisés. Et c’était très bien. On ne pouvait que l’en remercier, n’est-ce pas ? J’inclinai légèrement la tête.

« Le gouvernement mondial vous remercie de votre travail. De toute manière, je doute que dans ce métier prendre tout cela d’une manière personnelle soit une bonne idée. »

Je haussais un sourcil à sa remarque. L’araignée… J’avalais une bouchée de pâtes en silence en le regardant. Je… ressemblais à une araignée ? Enfin, une autre agente… Je devais mal le prendre ? Quoi que non, c’était positif, si on voulait ma mort, ce qui était sans aucun doute possible !, on la prendrait pour moi et je serais en vie ! Il semblait en tout cas très nerveux rien qu’à l’idée de l’évoquer. Je posais mes baguettes tranquillement.

« Je ne connais aucune personne qui s’appelle Veuve Noire. Mais nous sommes très nombreux dans le Gouvernement avec des services très différents, alors je ne connais aucune Veuve Noire, ou Araignée, mais peut-être était-elle dans un autre service que le mien. À quoi ressemble-t-elle ? À part à me ressembler d’une manière ou d’une autre et comment vous l’avez rencontré ? Que je m’en méfie si je la rencontre un jour. »

Ce qui était possible, les ramens étaient aussi particulièrement délicieux ! Je me régalais ! Mais j’attendais la réponse de Fû ! J’étais curieuse de connaître cette fameuse araignée… Qui semblait être très pénible ! Mais surtout de lui avoir fait peur.

« Que vous a-t-elle fait pour que vous sembliez… la détester ? À ce point. Je suis curieuse. »

Réellement !
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Comme un courant de soulagement lui avait parcouru le corps lorsqu'elle disait ne connaitre aucune agent évoquant vaguement le nom d'une arachnide. Fû n'était pas du genre à croire des inconnues sur paroles cependant pour une fois il avait envie de croire son interlocutrice sur parole. Et pour cause, il n'avait absolument pas l'énergie, ni l'envie de creuser plus loin. "Peu importe à quoi cette Tarentule ressemble. C'est comme une araignée vénéneuse, moins je la voit, mieux je me porte." Déclarait-il avec une sorte de dégout dans la voix tandis qu'il soupirait ensuite.

"Ce qu'elle à fait ? C'est une psychopathe qui a mis ma mère et moi-même en danger pour une lubie lors d'une enquête... Elle s'est même entiché d'un criminel la dernière fois que je l'ai croisée." Fît-il en se grattant légèrement le derrière de la tête. "Enfin bon... " Soufflait-il avant de bailler.

"Je me méfies d'elle comme de la peste... Perverse, Arrogante et folle comme jamais... Avec ses files bizarre là... Bruh..." Frissonnait-il tant il s'imaginait l'agente véritablement tel une véritable araignée. "C'est ça... C'est une mygale, une veuve-noir, une tarentule, une saloperie d'araignée ! C'est surtout pour ça que je la déteste." Ajoutait-il en pour tenter de la dépeindre du mieux qu'il le pouvait. "Le pôle 4." Se souvenait-il tant il avait fouiller dans ses souvenirs. "Vous êtes pas de ce pôle, si ?" S'interrogeait-il en fixant stoïquement la jeune femme face à lui.
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Je continuais de manger mes nouilles en écoutant Fû. Tarentule. Très bien, j’enregistrais toutes les informations qu’il me transmettait. Que j’allais ensuite donner aux autorités compétentes, une psychopathe qui met en danger plus ou moins les civiles pour une lubie… Un criminel…

« De qui s’est-elle entichée ? Et quand ? »

Informations très importantes, n’est-ce pas ? Se méfier d’elle, intéressant. Je notai toutes les informations en finissant mon bol jusqu’à en boire la soupe avec délice. Une sacrée connasse visiblement. Je restais silencieuse lorsqu’il finissait ses explications. CP4… Et en plus elle balançait tranquillement qu’elle était du Cipher Pole… Mais c’était ps vrai d’être aussi débile !

« Si elle est vraiment du Cipher Pole, voici une belle connerie de dire ainsi tranquillement, qu’elle est du Cipher Pole. Si cela est vrai bien sûr. »

Je repoussais mon bol vide en réfléchissant rapidement avant de reprendre lentement.

« Je ne travaille pas pour le Cipher Pole 4. Alors je ne la connais pas. Mais rajoutez ainsi le qualificatif de stupide à sa description. J’ignorais que potentiellement des gens devant travailler dans la discrétion devait crier sur tous les toits qu’ils étaient espions. »

J’eus un rire derrière ma main.

« Mais si je la croise, les étoiles m’en préservent, je ferais attention. Compliments en tout cas au chef. C’était délicieux. Et un bon repas fait toujours du bien au moral et à l’estomac. Zut. »

Je venais d’aller trop vite et de renverser une tasse de thé chaude sur ma main. J’ôtais mon gant pour l’essuyer tranquillement avant de le remettre une fois propre et sec. Je ne savais pas à quel point les autres avaient vu des mains en métal, mais dans mon cas c’était nécessaire pour faire mon travail. J’épongeai le thé sur la table en silence.
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Soudainement alors que les questions vis à vis de l'araignée s'enchainaient Fû penchait la tête sur le côté tout en regardant son interlocutrice. Une scène digne des mangas scolaire les plus kitch. Une mine mélangé entre dégout, interrogation et surtout ennui le rendait aux yeux de tous comme le tortionnaire gangster prépubère du personnages principale dans ce genre d'œuvre. "Je passes un interrogatoire la ou quoi ?" Demandait-il avant de laisser un blanc dans la conversation puis de redevenir tout à fait stoïque. "Merde. Je crois que c'était confidentiel ça." Déclarait-il réalisant que l'information sur le pôle de l'agente qu'il avait en horreur avait été obtenue lors d'une mission professionnelle à laquelle lui et sa mère avait participé.

La discussion s'enchainait et le jeune blond semblait de moins en moins intéressé par cette dernière à tel point que malgré lui et ce en dépit de toute bienséance, il se mit à bailler. "Je vois, je vois.." Expédiait-il de la main comme pour signifié son désintérêt total de la conversation. Soudainement le fracas de la tasse de thé le fît ouvrir l'oeil. Le chasseur de prime avait déjà croisé une cyborg et même si leur interaction avait-été de courte durée il avait tout de même eut un aperçu de la dangerosité que pouvait-être les instruments mécanique installé sur une personne vivante. "Vous les avez perdue ou vous avez simplement décidé de vous mutiler ?" Demandait-il à propos des mains sans même prendre la peine d'introduire la question avec tact.

S'il savait une chose c'est qu'en situation de combat, les prothèses pouvaient être très dangereuse. C'était à Shell Town qu'il en avait fait les frais lorsqu'il était tombé né à né avec une marine qui ne voulait pas le laisser se reposer dans la cage des paresseux. "Vous êtes dangereuse sous votre air d'innocente. Elles font quoi d'autre à part vous servir de main ?" Curiosité d'homme oblige, les cyborgs et les robots avait la fâcheuse tendance à  tendance à intrigué la gente masculine et Fû n'en était à son grand damne pas exempt.
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Un… interrogatoire… Je restais surprise une seconde avant d’éclater de rire. Un rire joyeux et amusé. Vraiment ? Oh… s’il savait comment je pouvais procéder… Il était mignon !

« Oh non… vous avez juste éveillé ma curiosité ! Rien d’autre. »

Ma chère Tarentule, si un jour je te croise, et qu’importe que l’autre baille, j’avais quelques informations sur toi. Toujours avoir quelques petites cartes dans sa manche. Mais qu’importe. Je l’ennuyais et dans ma précipitation je renversai ma tasse de thé tâchant légèrement un de mes gants que je nettoyais aussitôt, dévoilant une de mes mains métallique. Est-ce que l’autre l’été ? Oui, mais il ne pouvait pas savoir ! Je sentis son regard sur les structures métalliques qui me servaient de membres. Je relevais les yeux vers lui à sa question.

« Je l'ai perdues. En mission, je ne reste pas dans les bureaux. »

Je restai muette à nouveau une seconde avant de rire à nouveau, repoussant en arrière quelques mèches blondes qui coulaient autour de mon visage. Dangereuse… Ah… s’il savait ! Mais il ne savait pas et c’était très bien comme ça. Je souris un peu plus avant de répondre.

« Vous êtes dangereux, sous votre air de paresseux. C’est la même chose ici. Elles me servent à bien des choses. Elles sont assez complexes pour être autre chose que des mains selon mes besoins. »

Mais à nouveau, je ne dirais pas beaucoup plus.

« Les mains sont déjà un organe assez difficile à remplacer ! Alors je suis heureuse de pouvoir continuer à me servir de mes mains, même si j’ai dû en remplacer une. Ce sont les risques du métier. Quand je l’ai rendu, elle ressemblait à une bouillie d’os, de chair, de muscle et de tendons. C’était assez douloureux ! Mais cela n’a été qu’une cicatrice de plus à ma collection. »

Je lui offris un clin d’œil amusé.
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"Dangereux ? Pas tellement." Répondait-il à l'affirmation. Bien qu'il connaisse parfaitement bien ses capacités et qu'il n'était pas le dernier des confiants quand il s'agissait de se battre, Fû n'avait jamais eut la prétention de se considéré dangereux et pour cause. "Je détestes tuer." Déclarait-il de but en blanc ayant en tête ses derniers combat ou il avait été forcé de commettre l'actes à plusieurs reprises."Ca dois pas faire du bien ouais." Rétorquait-il quand la jeune femme lui annonçait le ressentit qu'elle avait eut lorsqu'elle avait perdue sa main. D'un air décidé, Fû se redressait pour se lever maintenant que la femme semblait avoir fini son repas.

"Je ne vais pas pouvoir tirer plus longtemps sur la corde." Soufflait-il ennuyé à l'idée de devoir se remettre au travail. "On se recroisera peut-être." Finissait-il avant de commencer à se diriger vers les cuisines pour effectuer son travail quand soudainement une jeune femme blonde entrait dans le restaurant en criant. "Fûuuuuuuuuuuuuuuu !!!!" Courant vers le jeune homme qui venait à peine d'entreprendre de reprendre le boulot. "Kaku..." Grognait-il en se retournant avant d'appercevoir sa grande soeur à quelques centimètres à peine de lui rentrer dedans.

Bousculant la table sans vergogne la jeune femme venait d'accourir sur son frère le chevauchant comme s'il s'agissait d'un vulgaire poney qu'elle avait décidé d'envoyé au gallo. Faisant bien entendu un remue-ménage de tout les diables qui eut très rapidement fait d'être remarquer par le cuisinier derrière ses fourneaux. "Bordel les enfants ! Vous avez plus 10 ans là !" Hurlait le père tandis que Fû et Kakû semblait mener une bataille féroce, l'un pour se dégager, l'autre pour étreindre son petit frère adoré. "Lâche moi !" Cirait le flemmard en se débattant avec énergie. "Maman dis que tu pars bientôt alors j'en profites !" Rétorquait-il un sourire au coin des lèvres.

Dans la bagarre la table ou se trouvait Grin bien que partiellement secouer au passage de Kakû se voyait désormais complètement renversé une fois les deux en train de se chamailler au sol, de quoi amusez les clients du restaurant qui à nouveau assistait à un spectacle des plus atypique.
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