La neige tombe, le froid est mordant et le vent s’engouffre dans ma voile. C’est vêtue d’un long manteau en fourrure et assise sur le petit pont de ma petite embarcation que je vogue depuis plusieurs jours maintenant en direction de la Nouvelle Ohara. Voilà maintenant bien une semaine que les évènements d’Hinu Town se sont terminés et que nous nous sommes quittées avec Izya et Aquila. J’espère que ces deux là vont bien. Assise en tailleur, je tiens entre mes jambes, le livre que j’ai pu analyser et lire pour nous aider à trouver et déchiffrer le ponéglyphe d’Hinu Town. Je sens encore la froideur et la densité du métal sur lequel étaient inscrits les lettres de ce langage interdit.
« Je lui ai promit … je retournerais déposer le livre. »
Il y a plusieurs mois, j’ai rencontré une femme, une révolutionnaire, au sein de l’arbre de la Nouvelle Ohara alors qu’une guerre éclatait sur l’île. Et durant cette rencontre, je suis tombée sur le livre que je tiens présentement dans mes mains. Ce livre était rangé au dernier étage de l’arbre, apparemment … certains livres liés aux ponéglyphes sont encore intacts. Peut-être que des grands archéologues l’ont tenu entre leurs mains. Fière de moi je le lève d’un coup dans le ciel, manquant de le lâcher, je le serre fort contre moi en prenant de longues inspirations.
« Non mais je suis folle ! Je dois me calmer … »
Puis je repense à ce qu’il s’est passé à Hinu Town.
« Aaaaah j’y arrive pas ! J’ai rencontré Izya ! Et déchiffré mon premier ponéglyphe ! Maman … d’où tu es … tu as vu ça ? Je suis sûre que tu aurais été très fière de moi. »
C’est alors en reposant le livre sur mes genoux que je m’endors, emmitouflée dans mon long manteau, assise là … au froid et sous la neige fine qui tombe.
« Hmmm … froid … ATCHAAA ! »
C’est généralement ce qui arrive quand on dort dehors en plein hiver. En ouvrant les yeux, j’aperçois à seulement quelques kilomètres de moi, le gigantesque arbre de la Nouvelle Ohara, avec le soleil qui se lève sur ma gauche, il a enfin arrêté de neiger. Je suis recouverte d’une petite couche de neige qui se dissipe vite une fois que je parviens à lever mes fesses froides, tout comme le reste de mon corps d’ailleurs.
« Parfait ! Juste le temps de me préparer. »
Avant d’arriver au port de la Nouvelle Ohara, je prends quelques minutes pour prendre une douche chaude, boostée grâce aux Heat Balls de mon Climat-tact. Hmm, ça a du bon de pouvoir manier le climat. À la suite de ça, j’enfile un jean simple noir, des bottines noires à talon et un sweat blanc à capuche, le tout surmonté de mon indémodable cape rouge. Je range dans mon sac à dos le livre de la bibliothèque ainsi que de quoi boire et manger si la situation fait que je ne puisse pas retourner à mon embarcation avant un moment. Mieux vaut prévenir que guérir comme on dit. Après que j’eut organisé tout mon petit périple, il ne me restait plus qu’à m’arrimer aux quais. Et ces quais ne sont plus qu’à quelques mètres lorsque je pointe le bout de mon nez en extérieur.
« Timing parfait. »
En quelques minutes, mon bateau est amarré au petit port de l’île. Cet endroit est relativement calme et honnêtement, ça a quelque chose de rassurant de revenir sur un endroit connu. De plus, les journaux n’ont pas communiqués d’avis de recherche me concernant, je n’ai donc, logiquement, aucun soucis à me faire quant aux évènements d’Hinu Town, tant que je n’en parle pas.
« Brrr, il ne fait pas plus chaud sur l’île. Allez, direction l’arbre ! »
C’est avec un grand sourire aux lèvres que j’avance finalement en direction du gigantesque arbre du savoir.
« Je lui ai promit … je retournerais déposer le livre. »
Il y a plusieurs mois, j’ai rencontré une femme, une révolutionnaire, au sein de l’arbre de la Nouvelle Ohara alors qu’une guerre éclatait sur l’île. Et durant cette rencontre, je suis tombée sur le livre que je tiens présentement dans mes mains. Ce livre était rangé au dernier étage de l’arbre, apparemment … certains livres liés aux ponéglyphes sont encore intacts. Peut-être que des grands archéologues l’ont tenu entre leurs mains. Fière de moi je le lève d’un coup dans le ciel, manquant de le lâcher, je le serre fort contre moi en prenant de longues inspirations.
« Non mais je suis folle ! Je dois me calmer … »
Puis je repense à ce qu’il s’est passé à Hinu Town.
« Aaaaah j’y arrive pas ! J’ai rencontré Izya ! Et déchiffré mon premier ponéglyphe ! Maman … d’où tu es … tu as vu ça ? Je suis sûre que tu aurais été très fière de moi. »
C’est alors en reposant le livre sur mes genoux que je m’endors, emmitouflée dans mon long manteau, assise là … au froid et sous la neige fine qui tombe.
~ Quelques heures plus tard ~
« Hmmm … froid … ATCHAAA ! »
C’est généralement ce qui arrive quand on dort dehors en plein hiver. En ouvrant les yeux, j’aperçois à seulement quelques kilomètres de moi, le gigantesque arbre de la Nouvelle Ohara, avec le soleil qui se lève sur ma gauche, il a enfin arrêté de neiger. Je suis recouverte d’une petite couche de neige qui se dissipe vite une fois que je parviens à lever mes fesses froides, tout comme le reste de mon corps d’ailleurs.
« Parfait ! Juste le temps de me préparer. »
Avant d’arriver au port de la Nouvelle Ohara, je prends quelques minutes pour prendre une douche chaude, boostée grâce aux Heat Balls de mon Climat-tact. Hmm, ça a du bon de pouvoir manier le climat. À la suite de ça, j’enfile un jean simple noir, des bottines noires à talon et un sweat blanc à capuche, le tout surmonté de mon indémodable cape rouge. Je range dans mon sac à dos le livre de la bibliothèque ainsi que de quoi boire et manger si la situation fait que je ne puisse pas retourner à mon embarcation avant un moment. Mieux vaut prévenir que guérir comme on dit. Après que j’eut organisé tout mon petit périple, il ne me restait plus qu’à m’arrimer aux quais. Et ces quais ne sont plus qu’à quelques mètres lorsque je pointe le bout de mon nez en extérieur.
« Timing parfait. »
En quelques minutes, mon bateau est amarré au petit port de l’île. Cet endroit est relativement calme et honnêtement, ça a quelque chose de rassurant de revenir sur un endroit connu. De plus, les journaux n’ont pas communiqués d’avis de recherche me concernant, je n’ai donc, logiquement, aucun soucis à me faire quant aux évènements d’Hinu Town, tant que je n’en parle pas.
« Brrr, il ne fait pas plus chaud sur l’île. Allez, direction l’arbre ! »
C’est avec un grand sourire aux lèvres que j’avance finalement en direction du gigantesque arbre du savoir.