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Capture? [PV: Satoshi & Reyson ]

Valdis, une ville calme et tranquille. C’est dans cet endroit que je me trouvais suivi de près par une armure ambulante et plutôt agaçante. Je devais bien avouer que je n’avais qu’une envie, éliminer son occupant. Des bleus recouvraient mon corps, marque de la petite matraque qu’il utilisait lorsque je lui désobéissais. On m’avait rendu mes armes et maintenant, je devais lui obéir. Mais obéir à quelqu’un qui ne parle pas n’est pas la chose la plus facile. Je devais maintenant retrouver Reyson, l’homme qui m’avait transformé. Non pour retrouver mon apparence, mais pour le capturer et l’interroger. Cela me répugner, mais on ne me laissait pas le choix. Il faisait gris, les gens s’écartaient sur notre passage effrayé. Ce qui m’avais le plus gênée était bien entendu le faite que l’homme qui me surveillait était complètement insensible à mon pouvoir. Une chose qui n’était jamais arrivée jusqu’à présent. Moi qui avais compté sur cela pour pouvoir m’échapper. J’avais complètement raté mon coup et les coups qui avaient suivi avaient laissé des marques sur ma peau.

C’est donc dans des rues bien entretenues que j’évoluais lentement. Ont nous avez informé qu’il y avait une possibilité que ma cible se trouve dans les parages. Le colonel me poussa et j’avançais plus rapidement. Regardant derrière moi je remarquais qu’il ne me suivait plus. Je me doutais bien qu’il ne relâcherait pas sa surveillance. Ce type ne relâchait jamais sa surveillance, toujours prêt à me rappeler que je devais obéir. Je m’étirais avant de me remettre à marcher. Certaine personne me montrer du doigt, en général les gens s’éloigner sur mon passage, comme si j’allais les découper en morceau. Ce n’était pas mon but. Oui j’en avais envie, je ne pouvais pas le cacher. Mais les répercussions qui suivraient me dissuader de le faire. Impel Down me tenter bien du faite que dans cet endroit la souffrance était toujours présente. Mais je déteste être enfermé et par conséquent je n’ai pas vraiment envie de rendre visite à cet endroit.

Je pénétrais à l’intérieur d’une place. Regardant autour de moi, je remarquais que des étales de Marchand étaient présentes tout le long des murs tentant désespérément de vendre leur produit dans une bonne ambiance. Chacun se faisant de la concurrence, baissant les prix, vantant la qualité des produits. Je trouvais sa désespérante. J’avançais lentement, je n’étais pas pressé. Je devais trouver Reyson néanmoins, si il s’échapper cela ne me posait pas de problème. Je soupirais en regardant le ciel, j’étais dans une passe merdique de la vie et je devais dire que cela m’emmerder vraiment.

      Voilà maintenant plusieurs années que je voguais sur East Blue. Beaucoup d'îles portaient la marque de mon passage mais il y en avait encore où je n'étais pas allé. Qu'à cela ne tienne, ça ne saurait tarder. De toute façon j'avais commis suffisamment d'honnête piraterie ces derniers temps pour mériter un peu de repos. Ce n'est pas bon de travailler tout le temps, il faut bien savoir se détendre quelques fois ! Et cela je ne le pouvais que sur une île où j'étais encore un étranger.

      Valdis, voilà le nom de la ville où j'avais élu domicile pour une ou deux journées. Le temps que prendront les chasseurs de primes pour retrouver ma trace et où je devrais retourner à mon travail de pirate. Ah, il faut dire qu'il ne s'agit pas d'un job de tout repos, au contraire ! On ne peut même pas poser ses jours de congés tranquillement ! Je me dirigeais vers la grande place afin de trouver l'un des meilleurs endroits pour me relaxer.

      Des marchands de tout les côtés vantaient les bienfaits de leurs produits. Sauf que j'étais ici pour me reposer, pas pour vider ma bourse. A la limite la remplir... Non ! Je suis en vacance ! Toujours ces vieux réflexes de prendre les possessions des autres... Je me demandais si les autres pirates l'avaient aussi. Je pris l'une des chaises qui se trouvait à l'extérieur d'un bar, juste à côté d'une personne buvant du cola. Je commençais ensuite à gravir le plus beau bâtiment de la place, et surtout le plus haut. Personne ne me faisait de remarque, on ne vint même pas réclamer pour la chaise. On préférait m'éviter tant que possible... L'affiche de ma tête mise à prix avait dû passé par là il y a quelque temps. J'étais tout de même assez satisfait de ma réputation de pirate, quoi qu'elle pourrait être plus grande. Ce serait mieux si on m'apportait la chaise et qu'on me portait jusqu'à ce toit... Mais bon, on ne peut pas tout avoir non plus.

      Me voilà sur le toit de la plus grande des bâtisses avec une superbe vue sur la grande place. L'un des visages me sembla familier, mais je n'y fis pas plus attention. Ce devait être mon imagination qui me jouait des tours, le petit coquin celui-là... Je posais la chaise et je déboutonnai ma chemise. Torse nu en-dessous, je m'installai face au soleil. Un peu de bronzage et de repos, le pied ! Me manquait plus qu'une coupole de saké pour être au paradis. Mais j'étais trop paresseux pour descendre chercher cela. Bermuda en jean et la chemise pourpre qu'on me connaît, j'étais tranquille sur ce toit à profiter de mes vacances.
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    Valdis. Une des rares villes d'East Blue que je n'avais pas visité au bout de mon année de périple. J'avais laissé le navire au loin et rejoins la côte en chaloupe, je devais ramener un peu de rhum qu'ils m'avaient dit, mais bien sur, le rhum c'était pour eux, pour moi, c'était du bon whisky. Cela faisait bien une semaine que nous avions laisser Sirup derrière nous et nos actes se faisaient sans doute de plus en plus entendre dans l'océan. Je n'étais plus à l'abris nul part, on me traquait, chasseur de prime, marin, même les civils tentaient d'attenter à ma vie pour récupérer l'argent donné pour ma capture, qui plus est mort ou vif. Certains se battaient alors que je me présentais devant eux parce qu'ils ne voulaient pas partager.

    Dans ces moments là je les comprenais, j'aurais tué l'autre si je pouvais récupérer plus de trente millions de berrys au lieu d'une dizaine. C'est pour toutes ces raisons là que je me suis habillé différemment aujourd'hui. Pas de chapeau mais des lunettes de soleil et une veste à capuche. On pouvait à peine voir mon costume noir et ma cravate orangée en dessous de mon manteau.

    Pour tout vous dire je n'avais jamais eu à faire ça, me cacher pour rentrer dans une ville parce qu'on veut aller acheter de l'alcool était la dernière chose que j'aurais dit si on m'avait demandé ce que je prévoyais pour mon avenir... Bref, passons. J'étais maintenant à peine arrivé au port qu'on me demandait de payer pour prendre une place. Bien évidemment, ces gens ne sont pas des magouilleurs, ils ne me feront pas payer prix fort pour une chaloupe.

    « Monsieur, c'est 100 000 Berrys pour la chaloupe. »


    Un petit chuchotement sorti de mon gosier, disant avec retenue une phrase pas très polie ni élégante à savoir : « C'est quoi ce bordel...». Tout homme -même le plus civilisé des civil- aurait réagi de cette façon. Cette façon là. S'avancer, sourire, et cogner. Jetant le monsieur pas net aussi arnaqueur qu'un vendeur de poisson bon marché en Afrique de l'ouest dans l'eau, je continuais mon chemin en lui disant au revoir. Fort heureusement, mon visage n'avait pas été vu, sinon ça aurait valu la panique générale et j'aurais du fuir en quatrième vitesse sans rhum et sans whisky.

    Donc je m'engouffre dans les ruelles de cette ville paisible, en demandant poliment aux rares habitants semblant connaître les lieux où est ce que je pourrais trouver un noble garçon qui vendrait du rhum et du whisky en grande quantité. Et, par précaution, j'ai demandé mon chemin trois fois, mais à chacune d'elles on m'indiquait la bonne direction, donc au final je partis par là. ( Et oui, on m'a déjà fait le coup du, c'est par là. Mais non c'est par là bas. T'as un problème connard ? Et toi ? J'te dis qu'c'est par là. ) Enfin, vous connaissez la suite.

    Je me focalisais donc sur ma nouvelle tâche plus ardu que toutes celles que j'avais accomplis jusqu'à maintenant à savoir : Trouver la plus grande place de cette île. Le problème c'est que je me sentais quand même gêné, dans ce manteau noir et avec cette capuche, je paraissais encore plus louche qu'avec mon chapeau. Même les bébés me pointaient du doigt avec leur air apeuré, comme si j'étais un monstre. En effet, je suis franc, je ressemble à la faucheuse dans cet accoutrement ridicule qui en plus me gène pour marcher correctement. C'EST QUAND QU'ON ARRIVE ! Maintenant. Contemplant cet affolement de curieux personnages, j'étais arrivé à la place, mais ce qui m'interpela fut plutôt celui avec une armure. Non non non, ce ne fut pas Shippû Kurushimi qui me tapa dans l’œil au premier abord. En fait, c'était au second. Voici le second.

    « TOIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII ! »

    Et je fonçais dessus, tête baissée, toujours encapuchonné, mais j'allais bel et bien frapper. Vous y avez cru n'est ce pas ? Non, ça c'est ce que j'aurais fait si j'étais un homme dénué de principes, mais moi je ne frappe pas les femmes enfin. Et c'est bien dommage. Mon visage devenait rouge, je traçais ma route, marchant en tournant sur moi même en cherchant du regard l'échoppe d'alcool, mais introuvable. D'un autre côté, j'étais le capitaine, et si je prenais du bon temps ?

    Me dirigeant vers un batiment appelé "Détenland" je monte les étages comme Ussen Bolt court son cent mètres et arrive sur le toit en deux deux. Prout paf pwet, très étonné par la qualité de l'endroit, je contemple le tout en marchant. Lorsque je me retournai, je me pris les pieds dans une chaise sur laquelle était un jeune homme. Position très gênante que voila. Mais peu importe. Je me relevais, et fixa le garçon. Cheveux bleuatre, visage vide, dégaine décontractée, portrait craché d'un primé ♫. Fronçant les sourcils, je me retournais et regardais Shippû, puis relança mon regard sur l'homme devant moi. Mon cerveau fit trois tour. Celui qui était en face de moi n'étais d'autre que ... que ... Reyson D. Anstis, celui qui a transformé Shippû en fille... Inversation de procesus ? Vengeance ? Super !

    « Sous cette capuche, je suis Satoshi Noriyaki, enchanté, j'aimerais parler affaire avec vous. Mes achats attendrons .»


    Dernière édition par Satoshi Noriyaki le Dim 13 Nov 2011 - 20:11, édité 2 fois
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      Ah, ce soleil réchauffant et ce silence apaisant. Ça change de mes journées habituelles. Je devrais prendre des vacances plus souvent. Le soucie étant que la marine et les chasseurs de primes ne prenant pas de congés, mes vacances ne duraient jamais plus d'une semaine. Et encore, c'était lorsque je me cachais au maximum. Mais pour cette fois je n'avais pas envie de vivre dans l'ombre, je voulais me reposer comme le faisait n'importe quel touriste. La seule différence est qu'on n'osait pas venir à mon encontre. Ce qui rendait mes vacances encore plus silencieuses et plus reposantes. Valdis. Je me souviendrais de cette ville ainsi que ce toit à la vue superbe, bien que je ne resterai probablement pas plus d'une journée. N'ayant pris aucune précaution, plusieurs habitants m'avaient déjà reconnu. Certains d'entre eux avaient certainement appelé la marine pour leur faire part de ma présence en ces lieux. Et si ce n'était pas encore fait, cela ne saurait tarder.

      Ah, ce soleil et ... cette secousse ? Quelque chose cogna contre ma chaise. Je tournais instinctivement ma tête en direction de la chose en question qui était en faîte un homme encapuchonné. Un chasseur de prime tentant une approche ? Un civil courageux ? Ou suicidaire, à voir. Ma main la plus éloignée, et qui était cachée par ma jambe, avait déjà les doigts sous la forme de seringues prêtes à frapper au moindre coup suspect. Changement de sexe, maladie grave, on verra bien quel hormone j'utiliserai en cas d'attaque. Mis à part ma main, le reste était décontracté pour montrer que je n'avais aucunement peur de l'étranger. J'étais juste... prudent.

      Je ne le quittais pas des yeux. Il se présenta sous le nom de Satoshi. Un nom qui me rappelait quelque chose... Ne l'avais-je pas lu sur l'une des affiches de recherches que m'avait apporté un volatile il y a quelque temps ? Cela voudrait dire que sa tête était mise à prix. Et qui dit tête mise à prix dit criminel. Il y avait donc des chances que nous soyons du même côté. Mais je n'abaissais pas ma garde pour autant car il avait peut-être besoin d'argent, chose qu'il aurait en me capturant. A moins qu'il veuille tout simplement augmenter sa propre prime ? Dans tout les cas, l'étranger était plutôt poli et voulait faire affaire avec moi... Quelles affaires ? On ne pouvait donc pas passer une seule journée tranquille quand on est pirate...

      " Sache que je suis en vacance, Satoshi Noriyaki, et qu'il est difficile de croire une personne couverte de la tête aux pieds. Comment pourrais-je savoir si tu es l'homme que tu prétends être ? "

      Dans le monde des pirates la méfiance est de mise. Remarque, dans les autres mondes également. Il fallait dire aussi que des civils se présentant pour tel ou tel célébrité pour me faire peur, j'en avais déjà vu beaucoup. S'ils disaient vrai, j'avais déjà battu un amiral avec un simple couteau. Depuis lors je préfère avoir des preuves de l'identité d'autrui, surtout lorsqu'on ne voit même pas leur visage. Par contre, comme tout pirate, j'étais curieux. Il avait parlé d'affaires, donc peut-être d'argent. Comment résister à l'appel des sous ? Il fallait au moins que je sache de quoi il s'agissait.

      " Mais bon, de quelle affaire veux-tu me parler ? "

      J’espérais qu'il n'allait pas râler car je le tutoyais. Je n'avais jamais vouvoyé qui que ce soit, et ça n'arrivera peut-être jamais. Un pirate s'adressant poliment à un étranger, voilà qui peut vous foutre une réputation en l'air. Je continuais d'observer l'homme à la capuche, toujours sur mes gardes et je le resterais jusqu'à ce que j'aurais une preuve de sa sincérité. Car s'il me sortait que l'affaire était l'obtention de ma prime, je ne suis pas sûr de vouloir accéder à sa requête sans me défendre. Alors, que voulait l'étranger qui me dérangeait en plein congé ?
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    Il me fixais toujours, avec une certaine curiosité qui m'attristait fortement, au fond de moi même je savais qu'il ne me croirait pas, après tout moi même je n'aurais pas cru quelqu'un d’encapuchonné venant se présenter comme un homme étant recherché par la marine. De une il se pourrait que l'homme en question veuille me tuer, me voler, me piller ou m'arnaquer, et de deux il pourrait mentir et se faire passer pour lui pour gagner en autorité. Le coup classique fait il y a une bonne centaine d'année par un pirate primé à seulement vingt cinq millions qui s'était fait passé pour le dénommé Chapeau de Paille. Malheureusement pour ce garçon, notre Mugiwara No Luffy venait de refaire surface, vraiment dommage. Mon contact semblait afficher une certaine retenue, comme ci ça ne l'intéressait pas. Enfin, comme ci il n'en avait pas envie alors que c'est un pirate. Je lui propose quelque chose et il n'est même pas foutu d'avoir la curiosité de demander ce que c'est ? J'allais reparler avec tact cette fois, mais il s'exprima avant que je puis dire un mot.

    « Sache que je suis en vacance, Satoshi Noriyaki, et qu'il est difficile de croire une personne couverte de la tête aux pieds. Comment pourrais-je savoir si tu es l'homme que tu prétends être ? »

    Évidemment, je m'en doutais. Heureusement pour moi, j'avais toujours des liasses de billets dans une de mes poches pour prévoir de corrompre quelqu'un sur un coup de tête. Mais là ce n'était pas sur un coup de tête. C'est une occasion qui ne se représentera peut être jamais, Shippû Kurushimi est là, en bas, sous mes yeux, et je peux l'avoir grâce à lui, Reyson D. Anstis, celui qui l'a transformé en fôme ! Plongeant ma main dans une des poches intérieur de ma veste après avoir entre-ouvert mon k-way, je m'appretais à sortir une liasse quand encore une fois, il me coupa. Je dois vous avouer que c'est assez agaçant !

    « Mais bon, de quelle affaire veux-tu me parler ? »

    Quoi qu'en fait, ça ne l'était pas du tout. Il s'était enfin décider à me croire et à céder à sa curiosité. Sortant enfin les liasses de billets de ma poche, je lui fis signe de s'asseoir sur une des chaises placés au bord du toit. Posant l'argent s'élevant au montant de deux centaine de milliers de berrys sur la table, je retirai ma capuche après avoir balayer l'endroit des yeux puis j'ôtai mon manteau.

    « Je dois vous avouer que l'on est bien plus à l'aise comme ça. Bien. Voyez vous, si vous regardez en contre bas, vous aperçeverez une femme. Shippû Kurushimi. Celle que vous avez transformé il y a peu. Je veux que vous inversiez le processus, car je ne peux me résoudre à toucher une femme, or cette chose m'a fait beaucoup de tord dans le passé et je regrette encore de ne pas avoir pu la corriger quand j'en ai eu l'occasion. C'est maintenant ou jamais pour moi. Alors qu'en dîtes vous ? 80 000 avant et 120 000 après »


    Allumant une clope tout en parlant, je le fixais avec sérieux, à l'image des bonhommes de la mafia qui essayent de faire passer par le regard "Tu refuses je te tue".


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      Lorsque la main de l'étranger passa sous sa veste, mon cœur fit un bond dans ma poitrine. J'ignorais encore s'il s'agissait d'un ami ou d'un ennemi. Il pouvait tout aussi bien sortir un cigare qu'une lame. Si l'objet qu'il cherchait brillait, je l'attaquerai avant qu'il n'ait le temps de l'utiliser. J'étais prêt à défendre chèrement ma peau ! Il sortit sa main. L'objet ne brillait mais il me tapa tout de même à l’œil. Des billets ! Une belle liasse d'argent ! L'étranger savait comment parler aux pirates. Il me fit signe de prendre place sur une chaise plus proche du bord.

      C'était à contre cœur que je m'étais levé. La chaise que j'avais emporté semblait bien plus confortable que l'autre. Mais bon, l'appelle de l'argent oblige. L'étranger ôta les vêtements qui cachaient son visage. Il s'agissait bien de la même personne que celle sur son avis de recherche. Pour une fois que ce n'était pas une arnaque... Alors, que devais-je faire pour gagner ce pactole ? Mis à part tuer son possesseur bien évidemment. J'aviserai ensuite de la plus simple des solutions. Regarder une femme en contre-bas... Mais laquelle ? Il y en a plein ! Shippû Kurushimi ? Il était vraiment là ? Du moins, je devrais plutôt dire elle maintenant.

      Lui rendre sa forme d'antan ? C'était tout ? Rien de plus facile, surtout que j'étais déjà sensé le faire. En effet, je l'avais transformé en femme afin de quitter une base marine sans se faire trop remarquer, mais nous étions poursuivis et nous devions donc nous séparer pour nous enfuir. Ayant perdu contact avec lui, je ne pouvais lui rendre sa véritable apparence. Mais bon, Satoshi ne pouvait pas le savoir. Alors autant profiter du fait qu'il veuille me payer jusqu'au bout. Dans un léger soupir, je lui répondis :

      " Je veux 50% avant, et le reste dès qu'il aura retrouvé une apparence masculine. De plus, j'exige une invitation au bar où l'on trouve le meilleur saké pour la peine de mettre une fin si prématurée à mes vacances. Bien sûr, après que tu aies rempli tes comptes avec Shippû... "

      La dernière partie était plutôt pour rire, car je n'étais pas sûr qu'il sera en état après le combat qui se déroulera. Il faudra probablement attendre qu'il aille mieux pour cela. Si toute fois il s'en sortira en vie. Je savais très bien que Shippû était fort, je me rappelle de notre lutte dans la base de la marine. Sans les soldats, il aurait peut-être même pu me battre. Maintenant il devait être bien plus fort. Mais ce Satoshi aussi devait avoir une certaine puissance. La marine ne distribuait pas des primes comme ça à n'importe qui. Dans le cas contraire, cela voudrait dire que je suis n'importe qui... Donc non, Satoshi ne devait pas être si faible. Ce pourrait être un beau spectacle. Et si Satoshi mordait la poussière, peut-être pourrais-je trouver d'autres liasses dans sa veste ?

      Je me levai, faisant face au vide. Un pas en avant et je tombais sur la grande place. Il ne manquait plus qu'il accepte mes conditions pour que j'aille piquer Shippû. Je l'avais déjà repéré parmi la foule. Je me retournai vers Satoshi et lui tendis la main. Ce n'était bien sûr pas une poignée de main que j'attendais, mais les 100 000 berrys d'avant le travail.

      " Alors, veux-tu que je change l'apparence de Shippû ou non ? "
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    Au début, il faut dire que je le trouvais d'une extrême cooleté, quelqu'un de calme, posé, mais au final il me prouva lui même que c'est un rapiat qui cherche à s'enrichir. Et pour ses exigence, il pourra les mettre où je pense. Parce que ses vacances il pourra très bien les reprendre après.

    C'est juste une piqûre enfin ! Pas de quoi en faire un plât, je le payais déjà bonbon pour ce travail, si il commençait à discuter, ça n'allait pas le faire. Alors qu'il descendais du bâtiment, je jetais un regard en contre bas, il attendait apparemment que je lui jette ses cinquante pourcent.

    Sourire apparent, je le regardai et hésitai quelques secondes. Cinquante ! Tandis qu'il semblait insister sur le fait que je devais lui jeter mon argent, je lui cria que c'était quarante ou rien. La dernière fois que j'ai voulu faire du cinquante cinquante, le bonhomme s'était barré avec le flouse sans faire son boulot. Je me retournai donc, allai prendre mon manteau, le remis, puis je pris l'argent et je bondis majestueusement du haut du bâtiment pour rejoindre celui qui était nommé Anstis.

    Pirate primé à 45 000 000, pouvoir d'une grande importance, quelque chose de grand. GRAND. Mais d'incroyablement petit, c'est lui qui fait tous ces travelos, il allait être un ennemi de taille pour la suite d'après moi. Mais malgré ça, je le fixai quelques secondes et lui dis, avec des paroles pleine de confiance :

    « C'est 40 ou rien. »


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      Mon collaborateur, ou plutôt commanditaire étant donné qu'il payait et j’exécutais, sauta du toit afin de me rejoindre. Pourtant il ne semblait pas très content du contrat que je lui proposais. Il s'obstinait à garder son marché. Bien, c'était quelqu'un qui suivait ses idées jusqu'aux bout et qui ne changeait pas d'avis au moindre obstacle. J'aimais ça... Et de toute façon, cela ne changera rien à la somme que j'aurais à la fin. S'il ne me payait pas, il risquait de devoir affronter Shippû et moi-même en même temps. Et puis, je préférais les 40% que le rien du tout car je devais changer son apparence dans tout les cas. Alors autant gagner ce que l'on me proposait.

      Pour toute réponse je pris simplement l'argent qu'il me devait avant le travail. Je n'ouvris pas la bouche, de peur qu'un rire ne vienne briser l'ignorance du pirate. Il se faisait avoir en me payant pour cela. Mais ce n'était pas moi qui allait râler. L'argent en poche, je tournais le dos à Satoshi afin de me diriger vers la femme que j'avais vu tout à l'heure. Elle ne se trouvait pas très loin de là où je l'avais vue, à croire qu'elle se déplaçait à la vitesse de l'escargot comme si elle cherchait quelque chose, ou quelqu'un. J'arrivais dans son angle mort, sur le côté, et l'accostais tout de suite en souriant.

      " Salut Shippû. Désolé pour la base marine, j'avais pas eu l'occasion de te rendre ton apparence... "

      Ma main droite avait déjà les doigts pointus comme des seringues. Shippû devait connaître ça maintenant. Par contre, je ne me souvenais pas de son ancienne forme. Cela faisait trop longtemps... Je n'avais plus que de vagues souvenirs... Bon, on verra bien ce que ça donnera. Et hop, une petite injection d'une panoplie d'hormone dont la majeure partie était des testostérones pour faire disparaître cette poitrine et faire pousser une troisième jambe. D'homme il était devenu une femme. Maintenant le revoilà du côté Adam de la force. J'espérais que sa nouvelle apparence lui plairait, car j'étais pas sûr du tout s'il s'agissait de sa forme originel ou non. Bah, je le saurais rapidement à la vu de sa réaction. Oh, et n'oublions pas ce Satoshi qui devait me donner le reste de l'argent à présent.
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    Je marchais tranquillement sur la place, sans vraiment de but. Mon regard vagabondait d’étale en étale, de personne en personne, de chaise en chaise afin de trouver celui que je cherchais. Mais en faite, je ne cherchais pas vraiment. Je devais avouer que capturer quelqu’un pour la marine ne me donner guère envie d’utiliser mes muscles. Et pour capturer quelqu’un comme lui, il faudrait sans aucun doute se battre. Je soupirais en pensant que mon démon gardien aurait très bien pu le faire et sans aucun doute plus facilement que moi. Sans doute lui aussi avait-il la flemme de bouger et de se battre. Avec une si grosse armure, ce qui n’était pas étonnant. Je m’étirais félinement, avec la grâce d’un chat tout en continuant d’avancer lentement. J’avais beau m’étirer comme un félin, j’avançais à une allure d’escargot. Ma cible n’était pas en vue, je n’avais aucune raison de me presser surtout qu’il ne m’en avait pas donné l’ordre.

    Je marchais donc tranquillement lorsque soudain une voix m’interpela d’un endroit que je n’avais pas regardé. Une personne qui s’excuser. Je me retournais et vis un homme à la chevelure bleu. L’homme que je cherchais. Cet homme qui m’avait transformé en femme et qui devait me retransformer en homme. Ce qu’il n’avait pas fait. Quelque chose s’enfonça dans mon corps, je regarder sa main qu’il venait de retirer et une sensation de fourmillement me parcourut. Je me sentais entrain de changer, comme la première fois. Un sourire apparu sur mes lèvres tendit que je prenais une apparence masculine. Lorsque tout fut terminé, je tendit une main vers mes cheveux mis long et remarquais leur couleur verte. Ce n’était pas mon apparence d’origine, mais peu m’importer, j’étais redevenu un homme.

    -Merci. Tu pourrais me donner des info sur Damien Reyes ? J’ai besoin de lui.

    En vérité je devais le capturer, mais pour moi, je n’avais aucune raison de le faire s’il me donnait les info que je voulais à l’oral dans ce genre de circonstance. Au pire, je savais que j’étais bon pour me faire frapper, de toute façon, le commandant n’était jamais content. Ce qui faisait que dans tous les cas, il allait encore me frapper. J’avais beau être heureux de ce qui venait de se passer, d’avoir enfin retrouvé une apparence a priori correct, je devais avant tout parvenir à trouver ce Damien.
      Sur ce toit qui m'apportait une vue panoramique d'une beauté extrême, j'appréciais à merveille ce vent à la fois puissant et doux. Tous mes sens étaient vivifiés par la teinte iodée des senteurs du marché présent en contre bas qui envahissait mes narines. Pendant que Reyson établissait le premier contact avec celui dont je voulais le corps en figure de proue pour mon navire.

      La transformation semblait commencer, sa chevelure commençait à changer, ses formes féminines s'en allait, ses anciens muscles saillants revenaient, son visage se masculinisait, il devenait enfin un homme. Trouvant le moment parfait, je descendis de mon perchoir d'un bond majestueux, tel un fauve se jetant sur sa proie. Sans échauffement ni rien, je me ruai vers celui qui était désigné comme Shippû Kurushimi, le vrai.

      Ne me posant pas la question du pourquoi ils conversaient, je courrais vers eux. Mais. Quelque chose titilla mon esprit. L'homme en armure, que faisait il là ? Pourquoi était il là ? N'était ce donc pas quelqu'un de fort ? Ici ? Je m'arrêtais, et marchais vers les deux hommes. Et pour cette fois, je décidais de ne pas l'attaquer sans réfléchir.

      « Shippû Kurushimi...Un homme dénué de moral comme toi, pourquoi n'a-t-il pas encore semé la panique sur cette île où la population est partout et où l'argent ne se fait pas rare ? »


      Dernière édition par Satoshi Noriyaki le Dim 13 Nov 2011 - 18:12, édité 2 fois
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        Ah, un visage masculin sur ces deux épaules. Cela devait faire longtemps qu'il ne devait plus se sentir si viril qu'auparavant. Mais maintenant il avait regagné ses muscles, ses poils, sa virilité ! Ce n'était peut-être pas son apparence d'origine, mais dans tout les cas, un homme reste un homme ! Et je lisais dans son remerciement qu'il attendait ce moment depuis quelques temps déjà. Ou en tout cas, qu'il préférait être un homme qu'une femme. Shippû me demanda aussi des informations sur Damien Reyes, l'homme à plume avec qui je partageai maintenant plusieurs péripéties. Si le nouvel homme avait besoin d'un compagnon de guerre, nul doute que Damien soit un bon choix. Seulement, il faisait parti de la révolution et à ce titre, il ne se dérangera pas pour venir auprès de quelqu'un dont il ne sait rien. A la limite je pouvais les mettre en contact, mais il me faudra probablement fournir une raison. Du moins, on me demandera pourquoi Shippû avait besoin de lui. Autant le savoir tout de suite alors. De toute façon je ne pense pas qu'il viendra sans connaître l'objet de sa venu, il est bien trop prudent pour ça, surtout avec un étranger. Pour moi ça passerait encore, mais probablement pas pour Shippû.

        " Le séraphin ? Si tu as besoin de lui, je peux certainement lui passer un message. Qu'attend-tu de lui ? "

        Satoshi vint nous rejoindre à ce moment. Je l'avais totalement oublié, plongé dans les retrouvailles avec Shippû dont je n'ai plus de dettes. Il a retrouvé une forme masculine, je n'ai donc plus rien à faire. Je ne le connaissais pas encore assez bien pour le considérer comme un véritable ami, mais cela pouvait changer avec la suite des événements. En tout cas, il avait bien fait de venir. Ce commanditaire devait me fournir le reste de l'argent maintenant. Ignorant ce qu'il disait à l'autre pirate, je tendis une main dans sa direction tout en le fixant. J'avais accompli mon travail, à lui de remplir sa part du marché. Dans le cas contraire, il ne se battra pas uniquement contre Shippû. Et puis, il devait bien avoir d'autres billets dans sa veste...
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      La joie, le bonheur, la liberté du corps. Oui, je ne parle pas de la liberté en elle-même puisque j’étais toujours coincé à cause de la boite de conserve qui, j’en étais persuadé, avait parfaitement remarqué mon changement d’apparence. Cela gâcha légèrement ce magnifique sentiment de bonheur, mais dans la vie, on ne peut pas toujours tout avoir. Il répondit à ma question, oui, il savait de qui je parlais et apparemment il s’agissait de quelqu’un qui était difficile d’accès. Une personne qui se prenait pour un être important choisissant si les autres valaient la peine ou non de le voir. Intérieurement, cela me dégoutait légèrement, mais je n’en avais pas grand-chose à faire. Extérieurement, mon visage ne changea pas. Un autre homme intervint à ce moment là. Et à ma grande surprise, il me connaissait. Je le regardais attentivement et presque immédiatement je le reconnus. Satoshi Noriyaki, un homme recherché que j’avais déjà affronté. Et curieusement, il ne m’avait jamais réellement frappé. Néanmoins sa question était juste. Cependant je décidais de répondre d’abord à Reyson puisqu’il était ma cible.

      -J’ai besoin de lui pour un coup sur le gouvernement.



      Un demi-mensonge, s’il était assez fort il pourrait toujours éliminer la boite de conserve, néanmoins, je ne comptais pas trop là-dessus. Il a des choses que l’on ne peut pas vraiment changer et le faite que cette boite de conserve soit forte cela ne changerais pas. Je me tournais tranquillement vers mon deuxième interlocuteur et m’inclinais ironiquement vers lui. Oui, je m’étais bien amusé avec lui et me moquer de lui était la chose la plus normale que je pouvais faire.

      -Chaque chose en son temps mon poussin.

      Je souris en le regardant, les yeux pétillant, rien qu’à mon visage on pouvait voir que je me moquais de lui. Je me redressais tranquillement en attendant la réponse de Reyson.
        Malgré le fait avéré qu'il me dévisageait avec une classe aussi invisible qu'un nain de jardin s'étant pris quatre coup de gourdin par une Old Crow en colère, il ignorait mes dires et continuait sa conversation avec celui qui me demandait le reste de son argent. Étant un homme de parole - surtout avec l'argent - je plongeais ma main au fond d'une poche intérieur elle même placée dans une poche intérieur pour récupérer une liasse comprenant l'argent restant.

        Mais j'avais pris le train en route, celui que l'on nommait "Kakuu Kyouku" venait de demander à Reyson si il avait des informations sur Damien Reyes. Il m'avait bien demander de ne pas révéler son identité et lui dire qu'il est sur mon navire serait comme le trahir, je devais donc y aller tout en finesse, sans oublier qu'une fois les explications faîtes, je devais corriger celui dont les cheveux venaient de tourner au ton vert. J'étais donc dans la conversation, parfaitement serein, et Shippû répondait à Reyson, quand il se retournait vers moi, pour répondre à ma question de tout à l'heure. J'étais toujours parfaitement calme.

        « Chaque chose en son temps mon poussin. »


        J'étais moins calme. Je l'ai regardé, il m'a regardé, j'étais pas content. J'ai compris qu'il avait compris, il a compris que j'avais compris qu'il avait compris, j'ai compris qu'il avait compris que j'avais compris qu'il avait encore compris, et je lui ai bondi dessus, lui choppant la gorge. Dégainant rapidement mon pistolet, je lui posai brutalement sur la tempe en le regardant droit dans les yeux. La panique faisait rage dans le marché. M'étant fait remarqué, tous les regards se tournèrent vers nos trois personnes. Moi et Reyson ayant nos têtes mises à prix, tous commencèrent à s'affoler, les gens se bousculaient, certains même faisaient tomber des femmes, me faisant enfoncer le pistolet dans la tête de Shippû.

        C'était comme ci cinq bonhomme venait de tirer un coup de feu en place publique et disaient : "On bute tout l'monde". Vous voyez, ça c'est une genre scène qui fait paniquer, mais là, j'ai juste pointé mon flingue sur un criminel, alors que je suis moi même un criminel accompagné d'un autre criminel, rien de bien grave. La place ne tarda donc pas à devenir déserte, les villageois s'étaient bouclé dans les auberges, dans une ville marchande telle que celle ci, personne n'y habite vraiment et tout le monde se paye des auberges hors de prix pour une qualité amoindris.

        Le genre d'île sur laquelle vous faites fortune. Donc, plus personne n'était là, sauf : Moi même ( le seul en costume ) ; Reyson D. Anstis ( le seul avec des liasses de billets dans les mains ) ; Shippû Kurushimi ( le seul par terre avec un pistolet sur la tempe ) ; Le gars en armure ( celui avec le plus ridicule des accoutrement ) ; Et un groupe de marin ( les seuls terrorisés ). Finissant de cheker les lieux, je me retourne enfin vers Shippû en le regardant bien en face, avec un regard assez froid.

        « Garçon, j'ai quelques questions. La première : Que veux tu à celui que tu nommes "Damien Reyes". La seconde : Pourquoi tu n'as tué personne depuis ton arrivée. Et la troisième : Si ces curieux personnages qui servent de marins, et que ce pauvre chevalier surement chasseur de prime nous attaque, serais tu prêt à être de notre côté ? »


        Dernière édition par Satoshi Noriyaki le Dim 13 Nov 2011 - 18:13, édité 1 fois
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          Oh le bel argent, cette magnifique couleur sur ces billets qui faisait envier tout le monde... Dans ma main, la liasse de billet semblait avoir le masse d'une plume. Pourtant, tout le monde savait que ces quelques billets avaient leur pesant d'or. Une si grande valeur pour quelque chose de si petit. Je commençais à compter la somme que venait de me donner Satoshi tout en les observant du coin de l’œil. Ils sont tout deux pirates, on ne peut donc pas savoir comment ils réagiront face à l'appel de l'argent.

          Shippû provoqua Satoshi ? En tout cas, il se moqua ouvertement de lui. Je me demandais ce qui s'était passé entre eux deux... Mon ancien commanditaire ne garda pas son calme plus longtemps. Il bondit sur l'autre pirate sans crier gare et le plaqua au sol en le menaçant de lui trouer le crâne. Je n'avais pas eu le temps de réagir, il était allé trop vite. Bon, il fallait aussi avouer que je n'étais pas totalement concentré sur ça. Étant donné de l'allure que prenait les choses, je me dépêchai de ranger cet argent dans ma poche qui était maintenant bien remplie. Cette somme formait une bosse au niveau du haut de ma jambe.

          L'agitation régna sur la place. Tous se bousculaient et courraient dans tout les sens. Soit ils entraient dans les bâtiments les plus proches pour se protéger, soit ils fuyaient vers l'autre bout de la ville. Dans tout les cas, je crois que mes vacances sont finies... Très peu de gens restèrent sur la place mais tout le monde avait la sensation de se faire observer. Les civils qui s'étaient réfugiés dans les bâtiments regardaient discrètement à la fenêtre pour savoir ce qui allait advenir de leur ville.

          Pour ma part, ma main droite était déjà dans ma poche, serrant fermement mon couteau. Bah quoi ? Si Satoshi voulait récupérer son argent après s'être occupé de Shippû, je n'allais tout de même pas le laisser faire. L'assaillant n'appuya pas sur la détente, pas encore. Il interrogea tout d'abord sa cible, demandant lui aussi ce qu'il voulait de Damien. Dis donc, tout le monde le connaissait ou quoi ? Il lui demanda ensuite la raison de son comportement pacifiste et de quel côté il se rangerait en cas d'un combat. Suivant sa réponse, il aura la vie sauve ou non. En tout cas, le "notre côté" signifiait qu'il me considérait comme un allié. Mon étreinte autour de mon arme se desserra un peu, mais je la tenais toujours car il y aura de toute façon un combat. A moins que nos réputations combinées à nos primes effrayera nos adversaires...

          Mais j'en doutais. Tout ce que je savais maintenant, c'est qu'il n'était pas bon de rester sur cette île trop longtemps. Une population paniquée peut agir n'importe comment, et le bruit de deux primés rassemblaient à un même endroit attirera et la marine et des chasseurs de primes. Ah, pourquoi brise-t-on toujours mes vacances ?
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        Il ne sembla pas aimer ma réponse. Cela ne m’importait pas. Mon regard avait aperçu l’échange de billet. Ainsi, les deux pirates avaient eu un accord, sans aucun doute terminé. Je me demandais s’il s’agissait de mon changement d’apparence, mais pour moi, cela n’avait pas d’importance. Cela en eut plus lorsque je me retrouvais sur le sol, une main me tenant à la gorge, l’autre pointant un pistolet sur ma tempe. Je souris. Oui, la mort était sans doute plus douce que ce que je vivais avec la marine. Mais pour le moment je m’amusais. Oui, l’approche de la mort était toujours amusante, même si cette fois, c’était moi qui risquer d’y passer. Il parla, longtemps. Apparemment, lui aussi connaissait l’homme que je recherchais et cela attira mon attention. Je souris encore plus lorsqu’il m’appela garçon. Cela faisait si longtemps que l’on ne m’avait pas appelé ainsi, cela faisait plaisir. Un plaisir que personne en dehors de ceux qui ont était transformé ne peut comprendre. Je l’écoutais donc parler alors que la place avait était complètements déserté et lorsqu’il eut fini, je me décidais à répondre. Oui, c’était mon jour de bonté.

        -Ce que je veux a Damien, mais cela ne te concerne absolument pas mon petit chou. Et si je ne veux pas tuer quelqu’un dans cette ville, c’est mon droit que je sache, mais je dois dire que tu me tentes vraiment. Je pourrais te tuer toi.

        Je m’amusais, je dois dire que discuter avec lui valait largement un mort. Cet homme qui se croyait tout permis au point d’interroger les autres et de penser qu’il les connaît par cœur. Mon sourire s’agrandit encore un peu plus. Peut-être qu’il allait tirer, ou pas. Au point où j’en étais, cela n’avait plus aucune importance pour moi et ainsi, je pouvais m’amuser comme je le voulais. Ma main gauche trembla, non de peur, mais plutôt d’excitation, une sensation intense due à l’approche de la mort. J’ignorais délibérément la dernière partie de sa question, peut-être penserait-il que je l’eusse simplement oublié, toutefois ce n’était pas le cas. Non, juste qu’elle me gênait et donc je n’avais pas envie d’y répondre. J’attendais sa réaction, oui, je me doutais bien qu’il n’avait pas fini son interrogatoire. Un homme qui aime l’argent interroge toujours beaucoup, enfin de mon point de vue, je verrais bien.
          Sur cette place, une excitation indescriptible était palpable. Les marins semblaient émus des nouvelles énergies qui s'entrechoquait au centre de l'attention. Il s’agissait d’un mélange d’inquiétude et de joie, joie ? Oui joie. La joie d'avoir la chance de pouvoir capturer deux hommes, d'une prime totale de 81 000 000 de berrys. Certes, j'ai la quasi-certitude que dans le prochain journal qui sortira, j'aurais ma tête avec quelques tas de berrys en plus. Alors que ma rage n'avait jamais atteint un tel niveau, je fixais yeux dans les yeux l'homme aux cheveux verts, avec une certaine envie de meurtre, mais pourtant, le tuer ne ferait que détruire certaines informations qui fusent dans tout East Blue. Je l'observe donc. Il était souriant. Encore, toujours, il aime la mort, il semblerait que cette idée de mourir lui plait, quel homme. Aussi fou qu'il est, il me répond, tournant encore et toujours autour du pot. Un homme détestable.

          « Ce que je veux a Damien, mais cela ne te concerne absolument pas mon petit chou. Et si je ne veux pas tuer quelqu’un dans cette ville, c’est mon droit que je sache, mais je dois dire que tu me tentes vraiment. Je pourrais te tuer toi. »

          Mon chou ? Enfant de p... Il souriait encore, toujours, en permanence. Chieur que je pensais. Mais non, mes veines gonflantes, mes mains se serrant de plus en plus fort, mon doigt prêt à presser la gâchette, j'en avais envie, mon regard avait pris un teint froid, le meurtre semblait inévitable, j'en avais envie, mais je ne l'ai pas fait. Mon cerveau fis quatre tour à pleine vitesse, et je me remémorais certaines choses. Lorsque je lui dis garçon, il souris de joie. Lorsqu'on lui redonne son apparence, une illumination se fait dans son regard, ses yeux pétillent. La solution est donc là, sous mes yeux. Me retournant vers Reyson, je lui adressais une phrase. Une. Celle qui allait sans doute tout changer.

          « Il ne souhaite pas parler. 250 000 Billets de plus et tu le transforme en femme ? »

          Reposant mon regard sur celui qui semblait maintenant un peu moins heureux, je lui posais encore ces trois points. Allait-il enfin répondre ?

          « Primo : Que veux tu à celui que tu nommes "Damien Reyes". Deuzio : Pourquoi tu n'as tué personne depuis ton arrivée. Tercio : Si ces curieux personnages qui servent de marins, et que ce pauvre chevalier surement chasseur de prime nous attaque, serais tu prêt à être de notre côté ? »


          Dernière édition par Satoshi Noriyaki le Dim 13 Nov 2011 - 18:06, édité 1 fois
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            Shippû adorait encore et toujours jouer avec la mort. A croire qu'il était suicidaire et qu'il en rêvait. Il provoquait intentionnellement son agresseur qui tenait sa vie au bout du doigt. Celui qui dit qu'il n'a pas de grain en a un aussi ! Je n'aimais pas trop la tournure que prenait les choses. Kurushimi étant une connaissance, et sachant qu'il est l'ennemi de la marine, je ne pouvais le laisser se faire tuer sous mes yeux. Si je voyais le doigt de Satoshi bouger, je me jetterai sur lui. Ma main gauche, à l'abri de leurs regards, avait déjà les doigts sous la forme de seringues prêtes à injecter des hormones mortelles. Ma main droite serait là en soutien, avec le couteau qui tranchera toute opposition.

            Mais il fallait avouer qu'on éveilla ma curiosité. Satoshi avait beau reposé les mêmes questions et être un peu répétitif, je devais avoué que les réponses m'intéressaient tout de même. Ne serait-ce qu'un peu plus d'informations au sujet de son projet sur le gouvernement. Je décidai donc de jouer le jeu. Et comme le parfait comédien que j'étais, la duperie était totalement dissimulée.

            " Du moment que tu as l'argent, j'ai les hormones. "

            Pour rendre mes paroles plus frappantes, je dévoilai ma main gauche impatiente de gagner de l'argent en transformant Shippû en femme. Alors, allait-il enfin prononcer les mots que l'on souhaitait entendre ? Du coin de l’œil, je voyais quelques marines observer la scène le sourire aux lèvres. Des pirates qui en éliminaient d'autres, ils devaient adorer ça. Par contre, les citoyens de cette ville semblaient plus effrayés qu'autre chose et préféraient sans doute qu'ils interviennent rapidement.

            [HRP : Désolé pour le post court, mais comme ça se répète un peu...]
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          Je tenais bien Shippû, prêt à lui tirer les vers du nez face à toute cette bande de bleus sans paire de ce que vous savez, mais... D'un coup, en quelques secondes je me fis recouvrir de toute d'une ombre imposante. Je me retournai vivement, emportant sans le vouloir le pirate, puis tombai nez à nez avec une forme massive vêtu d'un manteau sombre aux médailles innombrables. Ses épaules étaient d'une taille hallucinantes, et ce qu'il avait d'encore plus flippant, c'est qu'il tenait une hallebarde qui faisait le double de ma taille comme ci une fourmi tenait une caravelle. Une moustache noir ténébreux accompagnait à merveille sa chevelure un peu plus claire qui partait dans tous les sens. Cet homme faisait peur rien que par sa présence et son charisme flippant de guerrier qui resterait de marbre en se prenant un navire charger à bloc. D'un coup, malgré ma prime de cinquante millions et mon équipage de pirate bien rodés, je tremblais.

          Je lâchai Shippû, et, automatiquement, avec des mouvements robotiques, je me rallumai alors une cigarette avec une flamme jaillie de mon zippo, j'ajustai ma cravate, enfonçai mon chapeau sur ma tête et fixai le bonhomme imposant. Mais en un instant, le sol sous ses pieds s'effondra, il bondit dans les airs et fis écrouler le bâtiment. Une sorte de fusée humaine fonçait sur nous, et visiblement prêt à tous nous écraser comme de vulgaires insectes. Cigarette pendante, j'observais le mastoc foncer sur nous, j'allais esquiver. Je l’espérais. Alors qu'il arrivait à pleine vitesse, je bondis sur la droite et esquiva le coup, mais la force avec laquelle il frappa explosa le sol et le tremblement ajouté au souffle me projeta dans les airs.

          Tous ceux qui étaient présent prirent d'un coup une piqure de courage. La situation venait de tourner au véritable bazar en très peu de temps. Il fallait dire qu'avec la tripoté de personnage allant de l'adolescent pré-pubère au vieux croulant qui a vécu assez longtemps pour voir l'amiral en chef à ses vingt ans. Il était difficile de tout comprendre, moi, j'étais dans les choux, j'avais traversé une fenêtre et observai la scène de loin, il fallait s’éclipser, mais avec la tarée de blonde qui me fonçait dessus, ça allait pas être gagné.


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            Nous allions enfin avoir les informations que l'on attendait. Shippû allait probablement répondre s'il risquait de perdre sa virilité une nouvelle fois, à moins qu'il s'y soit habitué. Mais le destin sembla en avoir décidé autrement. De la lumière du soleil nous nous trouvions dans l'ombre. Un nuage qui passait devant l'astre ? Pourtant le ciel était dégagé auparavant… En me retournant, je pus observer l'effondrement d'un bâtiment simplement à cause du saut d'un homme. Mon cœur ne fit qu'un tour et ma bouche pendante témoignait parfaitement de ma stupeur. Pour détruire une bâtisse nous devons la frapper et lui, il lui suffit de sauter ? Il ne pouvait être humain !

            Au milieu du brouhaha qu'il provoqua, on vit son ombre approcher brutalement. Heureusement, sa cible n'était autre que Satoshi, mais je me trouvais juste à côté. Le pirate parvint à esquiver l'attaque et le mastodonte frappa le sol. Il devait avoir mal à la main… Le sol trembla, c'était lui qui souffrait. Le souffle provoqué par son coup me fit voler jusqu'à un mur qui me stoppa. Je me retrouvais par terre avec un énorme mal de tête tandis que le sol continuait à se fissurer. Mais quel était la force de ce type ?

            Cet assaut n'était que le préambule de l'affrontement. La marine qui avait jusqu'à alors assisté à la scène choisit enfin de participer. Lorsque je me relevais en me tenant la tête dont quelques gouttes de sang tombaient, j'étais déjà encerclé par plusieurs soldats. Dos au mur, je n'avais d'autres choix que de leur faire face. Mes mains qui avaient pris un peu de couleur pourpre à cause de ma tête se positionnèrent pour le combat, près de mon corps.

            Ce fut lorsque le sang glissait le long de mon cou qu'ils bondirent en avant, toutes lames dehors. Ils prévoyaient tous de m'asséner un coup vertical pour que je ne puisse pas esquiver par les airs et pour être sûr de ne pas blesser leurs camarades. Je ne pourrais jamais parer tout ça… J'approchais donc mes mains de mes hanches avant de me piquer. Petite injection d'hormones et elles prirent un volume tel qu'elles percutèrent les soldats en les propulsant en arrière. Bien sûr, cela ne les tua pas, mais j'avais une marge de manœuvre plus grande. Par contre, j'avais oublié ce mur derrière moi… Deuxième blessure de guerre : l'arrière du bassin en miette. Enfin, il n'était pas détruit, mais très douloureux tout de même.

            Sortant mon couteau tandis que les soldats se levèrent de nouveau en reprenant leurs armes, je leur tournais le dos et escaladais la paroi de cette bâtisse. Sautant une première fois, j'atteignais la moitié du mur où je plantais ma lame profondément. Il ne me resta plus qu'à me mettre debout dessus et de me hisser en haut en oubliant pas de récupérer mon couteau en refermant mes pieds de part et d'autre du pommeau. J'avais maintenant une vue surplombant la grande place qui était maintenant bien plus bondée qu'avant, mais en mauvaise état également. La faute au mastodonte ! En parlant de celui-là, il valait mieux partir avant qu'il ne choisisse de sauter encore une fois… Les soldats me suivaient dans les ruelles tandis que je bondissais de toit en toit… En parlant de toit et de maison, celle sur laquelle je me trouvai en ce moment avait une fenêtre brisée et une femme aux cheveux blonds fonçait droit dessus...
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          D'un geste de la main, le mastoc arrêta la jeune femme à la chevelure dorée, qui refusait de s'arrêter. J'avais la côte et j'en était fier, mais lorsque celui ci lança sa hallebarde en l'air et décocha un coup de poing d'une force inouïe dans le ventre de la douce, alors que sa main faisait la taille de son corps, j'étais beaucoup moins fier. Cet homme allait être un adversaire redoutable et si je ne me débarrassais pas de lui maintenant, ça allait pour moi être ardu si il se dirige lui aussi vers Grand Line. Un homme fort, rapide, intelligent, possessif, qui ne respecte que sa loi, ça se dirige toujours vers Grand Line à la recherche d'hommes forts. Il fallait que je m'unisse à Reyson et Shippû pour le vaincre ! Ou alors... Pour une fois dans ma vie, j'allais choisir d'être déloyal. Je plongeais promptement ma main dans une des poches intérieures à ma veste et sorti mon pistolet six coups tout pourris trouvé sur le corps d'un marine tué lors de l'attaque de Sirup par les pirates de Barbarossa. Visant la tête avec précision, je m'assurais que le coup que j'allais tirer arriverait à la destination souhaité. J'attendais le bon moment et...

          PAN !


          Une nappe de fumée vint caché ma vue. Il faut dire que mon champ de vision n'était pas très large, j'étais à une fenêtre. Je ne voyais plus rien, mais la nuée commençait à se dissiper. Je pouvais commencer à apercevoir le corps du marine, mais il se dirigeait à pleine vitesse sur moi !

          « ...Trop Lent... Moustique ! »


          SBOOOOOOOOONG


          D'un coup, je fus projeter à travers les bâtiments et celui ci s'écroula de toute sa hauteur. J'étais encore dedans et les débris recouvraient mon costume poussiéreux. La totalité de mon visage était recouvert de sang. Enfin... Abaissant les yeux, je vis que c'était en fait la totalité de mon corps qui était blessé. On était pas sorti de l'auberge. Essayant de me dégager, je n'y arrivais pas et je voyais le grand, énorme et tout ce que l'on peut dire comme synonyme pour baraqué qui s'approchait de moi, la hallebarde à la main.

          « ...Heureusement que je n'ai dit à personne où était caché mon trésor sur le navire... »


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