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Une opportunité

Un groupe de deux individus arrive au village de Sirup, dans l’archipel Gecko, pour visiter l’île. Depuis les récents événements survenus ces derniers mois (le meurtre d’une jeune femme et de son patron, une bande de pirates se faisant assassiner par deux chasseurs de primes, et la construction d’un poste de surveillance de la révolution), les habitants ont besoin de se reposer. Alors la venue d’étrangers fait polémique, certains sont opposés à ce qu’ils viennent en ville, puis, il y a ceux qui ne voient pas d’inconvénient. Les deux hommes sirotent un petit café au bar du coin, les habitants ne les approchent pas, sauf les employés du bar pour leur apporter leur commande, même le barman se fait discret. Les anciens du village débâtent entre eux, et le débat est houleux. Certains veulent carrément virer les étrangers de l’île à coup de pied au cul, car ils ne veulent pas revivre la tragédie (de la dernière traque d’Hunter et de Mono Cerotis) qui a frappé l’île, il y a peu.


Mais les plus ouverts pestent contre les plus restreints, ils disent que s’ils interdisent la venue de nouvelles personnes, ce serait donné du crédit à ses événements, et la peur ne doit pas les isoler du reste d’East Blue. Les conseillers du maire continuent de discuter, pendant que les deux hommes, qui ne se doutent de rien, discutent au bar. Mais avant de continuer ce récit, je vais vous présenter les deux bonhommes qui font polémique.


Duke McCoy

Une opportunité  B5zn
Diverses informations:


Passons à son compagnon.


Ricardo Espadas

Une opportunité  Ac8b70a216235d918f2ee85917969e34
Diverses informations:

Les deux hommes sont surveillés de loin par les quelques clients du bar : trois habitués, et un autre étranger qui est arrivé au village quelques heures avant les deux mafieux (lui aussi, est surveillé). Duke termine sa tasse de café cul-sec, puis il la pose violemment sur le comptoir. Ricardo sort une cigarette, ensuite, il l’allume en faisant craquer une allumette sur le comptoir en bois.

Patron, j’ai les phalanges qui me démangent !

Dit-il en se levant, et en s’entrechoquant les phalanges.

Nous n’avons pas encore collecté les informations que le parrain désire, faire du grabuge serait contre-productif. Mais je ne pense pas que ces bouseux seront aptes à coopérer. Je crois savoir que leur maire est en déplacement hors du village, mais prudence, il est sur l’île. Si nous devons récolter nos informations, ce sera maintenant, c’est le bon moment. Duke, tu as la permission de briser le bras de ce barman pour le faire parler, et s’il refuse, j’abattrai l’un des quatre clients à chaque refus, et les trois serveuses. As-tu saisi la situation, employé de bar ?

Les clients et les serveuses, tout comme le barman, ont tout entendu. Mais que cherche ces hommes ?


Dernière édition par Arès le Dim 13 Nov 2022 - 7:18, édité 3 fois
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Le barman balise, comme les serveuses. L’un des clients prend la fuite, puis il court vers la sortie. Un coup de feu est tiré, le type s’écrase au sol, une balle dans la nuque l’a calmé. Ricardo souffle sur le canon de son revolver.

Je n’aime pas répéter la même chose, donc, coopérer ou mourrez.

Les clients baissent les yeux lorsqu’ils croisent le regarde du tueur, le barman tremble à la simple vue de Duke, et les serveuses sont tétanisés, elles ne parlent plus, mais elles pleurent, tout en se bouchant la bouche avec leurs mains pour ne pas laisser sortir un son. Seul le premier étranger continu de boire sa bière, comme si de rien n’était à l’autre bout du comptoir. Ricardo le surveille, mais comme il n’a pas l’air affecté par la situation, il ne s’en occupe pas, il salue même son indifférence face à un meurtre.

Je vais vous poser une question simple, mais avant, nous allons vous expliquer les règles : si vous mentez, vous mourrez. Si vous détournez la vérité, vous serez assassinés. Si vous dites la moitié de la vérité, une balle dans la tête. Si vous tentez de nous attaquer, de vous enfuir ou même de crier, une balle dans le ventre. Soyez bon joueur, et tout se passera bien. Mon premier coup de feu a sans doute attirer l’attention des civils dehors, ce qui nous offre cinq minutes avant de voir débarquer une foule armée. Si en moins de cinq minutes, nous n’obtenions pas gain de cause, vous serez abattu sans pitié devant la foule en colère, qui sera la suivante. Si vous répondez avec honnêteté à ma question, personne ne sera blessé, ai-je été clair ?

Personne ne conteste, Duke regarde l’étranger.

Hé, t’as compris, ou je dois t’enfoncer nos conditions dans ton crâne, sale bâtard ?

L’homme continu de boire sans s’occuper des insultes, faisant preuve d’une froideur et d’une patience à toute épreuve. Duke grimace, puis il se rapproche de l’homme pour le secouer, mais Ricardo lui demande de se calmer.

Je pense que cet homme a parfaitement saisi les enjeux de cette prise d’otage, alors, du calme. Duke, la photo.

Le molosse sort deux photographies, après il les montre à tout le monde en tendant ses mains devant lui, en restant sur place.

Avez-vous vu ces deux hommes ? Le premier s’appelle : Hunter. C’est un chasseur de primes ayant fait plusieurs escales sur votre île l’année dernière. Le deuxième se nomme : Mono Cerotis. Il est le compagnon de chasse de Hunter. Dites-nous ce que vous savez sur eux : leurs capacités, leurs points forts, leurs faiblesses, leurs objectifs, etc.

Les serveuses ont si peur qu’elles ne disent rien, si elles parlent, elles vont se mettre à chialer. Les deux clients connaissent Hunter et Cerotis, mais ils ne disent rien, préférant regarder le liquide dans leur verre. Le barman s’approche de Ricardo, et du comptoir.

— Je connais ces hommes, voici ce que j’ai appris sur eux. Ils étaient dans mon bar après leur dernier exploit à Sirup, ils discutaient de beaucoup de choses. Cerotis aurait la possibilité de se changer en mouton, un pouvoir extraordinaire. Hunter pourrait voler, ce pouvoir nous a tous impressionnés. La sociabilité des chasseurs est chaleureuse, ce sont des hommes aimants, ils sont accessibles à tous.

Pendant que les deux mafieux écoutent le récit imaginaire du patron du bar. Ce type agrippe son fusil de chasse qui est sous le comptoir avec sa main droite, sachant qu’il est accoudé au comptoir avec sa main gauche soutenant son visage, cachant le champ de vision de sa main droite. Mais est-ce que ça marchera ? La raison pour laquelle les habitants ne balancent pas Hunter et Mono Cerotis, c'est parce qu'ils ont une dette envers eux, ils leur ont rendu justice à deux reprises.


Dernière édition par Arès le Dim 13 Nov 2022 - 7:23, édité 2 fois
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Ricardo est satisfait.

Ce sont de bonnes descriptions qui seront utiles à l’avenir, je tenais à vous remercier pour votre coopération. Mais avant de partir, je dois vérifier si ce que vous dites est la vérité ou un mensonge. Et pour cela, je dois vérifier vos dires d’après nos informations que notre famille a collectées sur nos deux lascars. S’il s’avère que votre témoignage colle avec nos informations, et les nombreux témoignages récoltés à ce jour sur différentes îles où sont passés nos chasseurs, vous aurez la vie sauve. Mais en revanche, si vous nous avez menti, et ce n’est pas une bonne chose de mentir, surtout à votre âge, nous serons dans l’obligation de supprimer une serveuse. Vous n’avez pas déformé la vérité, êtes-vous sûrs de ce que vous avancez ? Comme on dit, faute avouée, à moitié pardonnée.

Le barman sourit, mais ce n’est pas un sourire empli de confiance, d’arrogance, de suffisance, mais de résignation. Il est prêt à mourir. Ricardo prend sa mallette qui traîne à ses pieds à côté d’un tabouret de bar, et il la dépose sur le comptoir, après avoir fait son code, voilà que le contenu de la mallette s’ouvre. Il y a des dossiers, et des stylos, et même des gommes, ainsi que des scotchs. Il sort le dossier « Hunter & Cerotis », ce dossier rouge est posé sur le comptoir. Une fois ouvert, on peut apercevoir une fiche sur laquelle sont inscrites toutes les informations de Hunter : une photo, son lieu de naissance, son physique, ses traits de caractère, son nom de famille, et même sa généalogie (ses enfants, ses parents, ses frères et ses sœurs). Ricardo lit scrupuleusement le dossier, avant de s’occuper de celui de Cerotis. Il relève une erreur dans les dires du serveur et ce qui est écrit dans son papier.

Monsieur ?

— LaPadite.

Hum. Monsieur LaPadite, connaissez-vous la vie du rat ?

Le barman tourne délicatement deux fois la tête de droite à gauche.

Alors, laissez-moi vous parler du rat, laissez-moi éclairer votre lanterne, si vous le permettez. Quel monde terriblement hostile un rat doit-il endurer ? Cependant, non seulement, il survit, mais il prospère. Parce que ce petit idiot a un instinct de survie et de préservation inégalé. J’espère que vous avez le même instinct que le rat. Monsieur LaPadite, puis-je vous poser une deuxième question ?

Le barman ne dit rien, ses yeux sont fixés sur le front du mafieux.

Êtes-vous plus intelligents qu’un rat ou plus idiots ?

Le barman grimace soudainement, il dégaine son fusil sous le comptoir, celui-ci est chargé au cas où. Il tire une sommation, elle est si puissante que Pierre LaPadite recule jusqu’à tomber contre le miroir derrière le comptoir, ce dernier sert à surveiller les clients pendant que le service s’occupe des commandes. La vitre est brisée, et les deux balles tirées par le fusil à double canon sont encastrées dans le mur en face du patron. Pierre pense avoir tué le mafieux, voilà pourquoi il saute sur le second en lui envoyant un coup de fusil, il s’en sert comme barre de fer. Mais l’arme est attrapée par le mafieux, avec sa paume droite.

Faible.

Soudainement, Ricardo apparaît à côté de Pierre, et il le poignarde lentement avec un index gun, puis un deuxième, et un troisième, et le dernier. Il retire son doigt de la dernière blessure, quatre plaies formant un carré (deux sur les deux pectoraux, deux sur les côtes), quatre fontaines de sang s’échappent du corps de Pierre. Celui-ci est condamné, les organes vitaux sont touchés, mais il va progressivement périr, car les blessures, étant mortelles, n’en restent pas moins légères, assez pour créer une hémorragie externe. Ricardo se dirige vers les deux clients, les deux gars se révoltent, puis dégaine une lame. Ils foncent sur Ricardo, celui-ci utilise le Soru. Il esquive les coups directs de poignard, une fois devant les serveuses, en un regard le mafieux leur fait comprendre que c’est à elles de répondre. Elles sont terrifiées, l’une perd connaissance, l’autre se fait dessus. Mais la dernière avoue.

Je vais tout vous dire, mais promettez-moi de m’épargner, je vous en supplie. Je n’ai que vingt-et-un an, je veux vivre, avoir des enfants, me marier, mourir dans mon lit entouré par mes petits enfants, ne me priver pas de mon destin ! Je vous donnerai tout ce que vous voudriez, je me fous de ce bar, je ne vais pas mourir pour un emploi minable !

Ricardo sourit.

Très bien, je ne vous tuerai pas. Détendez-vous, racontez-moi votre histoire, Chère Demoiselle au sourire angélique.

Le mafieux invite la jeune femme aux cheveux d’or à s’asseoir à en face de lui autour d’une table en bois au milieu du bar. Les deux clients remettent ça.

Petite conne, tu ne vas pas trahir le village !

Angélica ne fait pas ça, il ne respectera pas sa parole, ce sont des monstres !

La rousse se tourne vers son oncle et son cousin les larmes aux yeux.

Je suis désolée. Je veux vivre, vous comprenez ?!

Le moustachu s’adresse à Angelica sur un ton rassurant et doux.

Ne vous en fait pas, je tiendrai ma parole, je ne suis pas votre ennemi, mais juste un homme à la recherche d’informations.

Il tourne sa tête vers les deux gars qui se rapprochent du gringalet pour le planter une bonne fois pour toutes.

Duke, je vous prie de vous occuper de ces gêneurs.

Le mastodonte les rattrape en courant brièvement, prouvant sa vitesse de pointe. Puis, il pose ses deux énormes mains sur la tête de ses cibles. Il soulève ces derniers, tout en continuant sa course, et il dépasse la table de Ricardo et d’Angelica. Il tend les mains devant lui, les deux hommes s’encastrent dans un mur, leur tête est réduite en bouillie. Duke agite ses mains dans tous les sens pour retirer la chair qui est collée dessus, les corps restent figés dans le mur. Angelica révèle ce qu’elle sait, et après avoir tout révélé, Ricardo la remercie en la saluant. Il se lève de sa chaise, la blonde se sent en sécurité. Mais que va-t-il se passer ?


Dernière édition par Arès le Dim 13 Nov 2022 - 7:40, édité 2 fois
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Angie est soucieuse.

Vous allez tenir votre parole ?

Évidemment, j’ai promis que je ne vous tuerai pas. Duke, veuillez, vous occuper de mademoiselle Angelica.

La blonde panique, elle a peur, elle est trahie.

Mais vous aviez promis !

Ricardo trempe son index droit dans un verre d’eau, celui-ci passe d’une eau claire à une eau écarlate.

J’ai tenu ma promesse, je ne vous tuerai pas, mais il n’a jamais été question que mon ami soit concernée.

Duke arrive donc devant la femme, elle est apeurée, ses yeux sont comme vides, ils ont perdu tout espoir. Le barman assiste à la scène, le monstre claque ses paumes l’une contre l’autre, au milieu de la tête d'Angélica. Il ne reste plus qu’un amas de chair qui gît dans les mains de la montagne de muscles. Pierre pousse un cri de guerre, un cri de guerrier, et le voilà qui donne un coup de coude dans le miroir dans lequel il était tombé. Derrière ce miroir, se cachent deux revolvers. Il prend les armes, et canarde sans sommation les deux mafieux. Duke se place devant son patron, par pur instinct. Il se fait trouer par les balles, et après avoir vidé deux chargeurs sur le corps du roux, celui-ci crache du sang et s’écroule lourdement sur le plancher. Il baigne dans son propre sang, Ricardo regarde son compagnon inerte, mais aucune émotion n’affecte sa mission, il reste impassible. Une fois les deux revolvers rechargés, Pierre vise le dernier mafieux.

— Tu vas payer, sale fils de chien !

Monsieur LaPadite tire douze balles avec ses deux six coups. Ricardo fume sa clope sans broncher, il reste immobile. Les balles s’écrasent contre sa peau, ce qui impressionne le patron (grâce au Tekkai). Espadas termine sa cigarette, puis il balance le mégot sur les deux serveuses. LaPadite baisse les armes.

— Tu es un monstre… ?

Le criminel dégaine aussitôt son revolver, ensuite, il tire deux balles : l’une dans le thorax de la serveuse effrayé qui mouille son pantalon, et une balle dans la gorge de la serveuse ayant perdu connaissance. Pierre titube, il se dirige vers le client qui boit son petit coup. Il halète devant lui, son visage est pâle, avec des cernes violets, son souffle est court. Il est accoudé au comptoir, à côté de l’homme.

— Aidez-nous, aidez-nous. Nous… Arg ! (il crache du sang)… N’avons aucune… Aucune… *Keuf (il halète)… Chance.

L’homme finit sa bière puis il se tourne vers monsieur LaPadite, et lui crève les deux yeux en imitant un ciseau avec son index et son majeur. La victime hurle, et elle s’agite dans tous les sens. Le mafieux sourcille, voilà pourquoi il s’approche de lui. Mais qui est ce type ?


Dernière édition par Arès le Dim 13 Nov 2022 - 7:43, édité 2 fois
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Les deux s'échangent un regard admiratif.

Excusez-moi, mais pourquoi avez-vous fait ça ? Pour gagner ma sympathie, pensez-vous que vous serez épargné parce que vous avez participé à la fin de cet homme ? Mes ordres sont spécifiques, éliminez tous les témoins gênants. Bien que vous ayez l’air sympathique, au demeurant amical, vous êtes un témoin. Je peux vous proposer une option, rejoignez notre organisation, elle s’appelle la « Passionné », ce qui veut dire « Passion », notre parrain est un homme juste et bon, il cherche les meilleurs éléments. Mais avant de t’en dire plus, dis-moi qu’elle est ton nom.

Le type s’accoude au comptoir, puis il affiche un sourire hautain.

Je me nomme Arès. Je croyais que la « Passionné » n’opérez que sur West Blue, qu’est-ce qu’elle vient foutre sur East Blue ?

Dit-il sur un ton décontracter. Ricardo sourit.

Si tu réponds favorablement à ma proposition, tu auras l’information. Mais sache qu’une fois dans la famille, il est impossible de sortir de notre organisation. Qu’en dis-tu ?

Arès ricane brièvement.

Je n’ai pas le choix, si je refuse, je vais me faire buter. Je veux bien faire partie de la « Passionne ».

L’Espadas se réjouit.

C’est super, tu es le bienvenu chez nous. Je te recommanderai à mon lieutenant, c’est mon supérieur. Je vais t’expliquer, dans notre groupe, il existe différentes branches, ces branches sont dirigées par un lieutenant, qui reçoit ses ordres du bras droit du boss, qui lui-même reçoit les ordres du grand manitou. Tu es intégré à notre division, celle des collecteurs d’informations. Pour répondre à ta question, nous opérons sur West Blue, mais aussi sur les trois Blues restants. Il est difficile de se faire une place sur North Blue, avec toutes les familles rivales qui prospèrent sur cette mer, ça ne vaut pas le coup de s’y attarder. Pourquoi se contenter d’une Blue, alors qu’on peut en avoir trois ? Donc, tu vas me suivre. Tu remplaces Duke, nous avons pour mission de débusquer un chasseur de primes du nom de Hunter et de son bras droit du nom de Mono Cerotis, ces hommes se sont attaqués à un groupe de mercenaire avec qui nous sommes en relation. En attaquant nos partenaires, ils nous ont attaqués, et aucune défiance ne sera tolérée.

Arès se lève de son tabouret, puis il marche vers la sortie avec Ricardo. Dehors, la foule en colère est là, elle est aux complètes, elle attendait la venue de ses derniers membres (soit, cinquante hommes armés de fourches et autres instruments de travail), pour intervenir (en plus, foncez tête baissée dans le bar, c’est du suicide). De ce fait, Ricardo pose une question à son associé.

Quelle est ta spécialité ? Par exemple, celle de Duke était la force brute. La mienne est la polyvalence, j’utilise le Rokushiki, un art martial permettant d’exploiter toutes les capacités de son corps et de le transformer en une arme. J’excelle en tire, et en éloquence.

Arès entend la foule en colère plus nettement. Il profite que Ricardo observe de loin le nombre de civils pour lui faire le coup du lapin dans la plus grande indifférence, le type s’effondre au sol.

J’excelle dans la trahison, rien de plus naturel pour un pirate. Je dois te laisser, mes compagnons doivent être arrivés, ciao.

Arès ramasse le fusil à double canon et les armes du LaPadite qu’elles avaient déjà servi ou qu’elles soient encore en réserve derrière le miroir, en plus de celles des victimes. Il sort, la cinquantaine de paysans voient rouge. Ils n’ont même pas le temps de dire une phrase qu’Arès les dégomme avec les revolvers, suivis du fusil à double canon, et pour finir, avec ses deux pistolets à silex. À ses pieds, se trouve une bonne centaine de munitions usées, en plus des corps qui jonchent le sol. Le pirate repart tranquillement loin du village.
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