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Action de haut vol! [Pv Mallory]

Après une rapide escale dans un cette petite île de chevalier, j'avais bien entendu repris la mer. Sur une île non loin, j'avais fini par m’arrêter pour une raison plutôt simple, j'avais besoin de berries comme assez souvent. On a beau être autant économe qu'on le veuille, on a pas vraiment le choix lorsqu'on a pas de véritable salaire par mois, on passe son temps a courir après les berries et a les chercher ou on peut. Dans une petite taverne, j'avais trouver un petit boulot. Quelqu'un qui désirer simplement s'accaparer un très anciens sabre de grande valeur possédé par un vieux fou qui ne s'en était pas servi. Celui-ci ne voulait pas le vendre, un héritage de famille. Mon employeur avait donc décider de mettre la main dessus, et celui-ci était prêt a me payer cher, très cher. La somme coquète de cinq millions de berrys. Pour une somme pareil, autant dire que je ne me posa pas vraiment de question, grâce a cette argent, je pourrais être a l’abri pour un très long moment.

Je n'étais pas dupe, pour que quelqu'un soit prêt a payer une somme pareille, je me doutais également que le sabre devait au moins en valoir le double, mais je ne cherchais pas vraiment a comprendre. Une maison de haute sécurité, j'allais devoir redoubler de prudence, car au moindre faux pas c'était certainement des dizaines de marines qui se mettrais a ma poursuite autant dire que je préférais largement travailler seul pour le coup. Je devais être discret, rapide et ne laisser aucune trace de mon passage. Je pris plusieurs jours pour observer la maison, n'hésitant pas plusieurs fois a jouer les acrobates afin de vérifier les entrées possible et les sorties discrète. Me faire passer pour un employer était une bien mauvaise idée, ils connaitraient mon visage et je n'avais pas besoin de ça.

En plus journée, peut de gens allume leurs systèmes de sécurité alors je prenais la décision de faire ça en grande pompe. En pleine journée, a la vue de tous, j'allais leurs faire un grand numéro de magie. Mon frère avait un talent pour faire des duplicatas assez ressemblant, c'était le plus souvent sa part du travail. Moi je ne servirais pas de ce genre d'artifice, malgré quelques employer, l'arme ne serait certainement pas vérifier toute les deux minutes, et était garder sous un coffre. Je suis curieux de savoir si celui-ci serait capable de me résisté! Un peu de défi ne fais pas de mal.

Le grand jour enfin arriver, je me préparer de la même façon que tout les jours, arriver assez tôt, je profitais de la venu journalière du facteur pour me faufilé en escaladant le grillage a l'arrière de la maison. Un peu d'escalade afin d'arriver a la fenêtre du premier étage. Soudain, je voyais un chat se mettre a aboyer en me voyant! Mais va t-il se taire celui la? Je crochetais l'ouverture a l'aide d'un couteau, j'avais déjà remarquer que celle-ci avait un défaut au niveau de la fermeture . Celle-ci entrouverte, je réussissais a l'ouvrir puis a entrée. Des pas! Le chat avait fini par attiré l'attention sur la pièce de ma venu.

Quelques seconde pour prendre la décision.... Je réussissais a me suspendre entre deux poutre. Le concierge encore dans pièce, je sentais quelques goutes de sueurs sur mon front.... Ca allait être du sport.
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En cette belle journée ensoleillée, rien ne pouvait préparer les habitants de cette bourgade à l’arrivée incongrue de Mallory Murphy. Navigant aléatoirement sur les blues sur un radeau de fortune, le détritus flottant qu’elle appelait son embarcation et que la mer s’amusait à retourner une vague sur trois ne servait que de plateforme sur laquelle se reposer avant de continuer sa lente et pénible progression vers une île sans grande importance et choisie aléatoirement.

Elle arrive finalement à bon bord et en un seul morceau! Aucun monstre marin en vue, tout allait bien dans le meilleur des mondes. Dépliée en étoile sur sa plateforme elle ne remarqua qu’à peine un honnête bateau de pécheur se positionner tout doucement à ces côtés, et visiblement les employés du voilier ne la remarquèrent pas non plus, à peine arrivé un mousse demanda au capitaine.

« Eh cap’taine, qu’est-ce qu’on fait des abats? »


«Boarf… Jetez-moi ça par-dessus bord, ça fera plaisir aux mouettes tient! »

Aux mouettes, très certainement, mais Mallory, qui était située du mauvais coté de leur embarcation, un peu moins. Le mousse n’eut même pas l’obligeance de la remarquer alors qu’il lui vide un tonneau rempli à ras-bord de dégueulasseries maritimes directement sur le corps. La femme-poisson est tétanisée, son cerveau avait encore du mal à comprendre la nature des évènements qui viennent de se produire, ses nerfs olfactifs lui offrirent l’aide dont elle avait besoins cependant. Elle aurait bien pu s’indigner, mais en ce moment précis son corps exténué lui dit que ça n’en vaut pas la chandelle. Sans un bruit elle continue d’observer le ciel, et la formation de mouettes qui attirées par l’odeur pestilentielle tournoient maintenant au-dessus de sa tête comme les vautours de pacotille qu’ils sont.

« Bon jetez moi l’ancre les gars! »

Je vous laisse deviner de quel côté de l’embarcation ce trouve cette ancre. L’œil de la poiscaille pivote instantanément vers le rebord du voilier. Le capitaine devait être terrifié à l’idée que l’on vole sa coque de noix vu la taille démesurée de l’engin qui fit subitement apparition dans le champ de vision de Mallory. Pétrifiée elle ne put émettre un son ni bouger d’un cil alors qu’une douzaine de brave gaillards soulevaient l’ancre titanesque à grande peine avant de la jetée par-dessus bord. Mallory n’eut droit qu’à un bref moment de lucidité pour dégager ses jambes du chemin avant que l'ancre ne vienne s’écraser sur son radeau. Plus solide qu’elle en a l’air, la planche n'offrit même pas le plaisir de se rompre, l’ancre emportant l’extrémité opposée à Mallory vers le fond à une vitesse vertigineuse. La bascule qui en résulte est suffisante pour envoyer valser le requin dégoulinant vers les maisons pittoresques du village, sous le regard ahuris de l’équipage et de quelques passants.

Pendant ce temps au village

L’ermite, encouragé par les aboiements de son chat génétiquement modifié entra tout doucement dans la pièce, analysant d’un œil mauvais chaque recoin, l’appuyant très lourdement dans la direction de la fenêtre.

« Ben alors Pantoufle? Qu’est-ce que t’as à gueuler comme ça hein? »

Il pris son chat dans ses bras et s'apprêtait à quitter la pièce quand un fracas ahurissant le stopa net. Mallory traversa la fenêtre comme une flèche, si Alaaric cherchait à l’ouvrir, c’était fait! Le vieil homme et le chat frôlant tous les deux l’arrêt cardiaque alors que la géante s’étale d’un coup sur le sol, sonnée. Voir une femme-poisson de deux mètres débarquer à l’improviste dans sa chaumière étant le cauchemar de tout vieillards belliqueux qui se respecte, il s’empresse de prendre ses jambes à son cou, au diable ses vieilles articulations, prenant bien évidemment le soin de renfermer ses mains décharnées sur ses deux seuls possessions de valeur, sa chimère de chat et son sabre, avant de quitter sa maison en s’époumonant.

« À moi! »

« Au voleur! »

« Au secour! »

« Maman! »

Ce qui attira bien l'atention d'une patrouille marine qui patrouillait, comme toute bonne patrouille, dans le coin. L'avantage de vivre dans un si petit village c'est que tout le monde se connait et qu'ils ne perdirent pas une seconde à ce diriger vers la barraque du vioc.

Pendant ce temps Mallory qui empestait toujours le poisson se relevait avec difficulté.
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J'étais la, suspendu entre deux poutre, et la a ce moment précis je savais que je n'avais qu'a prier le bon dieu qu'il sorte de la pièce sans que quoi que ce soit ne vienne attiré leurs attentions. Moi qui est le chic pour attiré et détourner l'attention, au moins pour le moment devait d'attendre. La patience et nécessaire lorsqu'on cambriole un endroit, surtout en présence du propriétaire de l'endroit.... Cela dis, quelque chose pour détourner l'attention pourrais être parfait, un coup de téléphone par exemple. Tout cela aurait été tellement plus simple si cette saleté de chat n'était pas dans le coin! Il n'y a pas a dire, je déteste ces bestioles!    

Soudainement, un bruit de verre brisé, alors qu'une géante venait littéralement s'écraser contre le sol! Mais comment cela était possible? Je restais muet, alors que pour le coup j'étais véritablement surpris par un tel retournement de situation, et cela été assez rare pour être souligner. Cela aurait pu être une aubaine, si le propriétaire ne partait pas en courant avec le sabre! Chose qui arrivait bien sur! Non mais qu'est-ce que cette tornade? Elle ne venait tout de même pas de compromettre mon cambriolage tout de même?

J'entendais des gens entrés, la marine, alors que je descendais des poutres un instant, je regardais la femme.... Dans quel galère venait-elle de nous mettre? Je prenais alors la parole:


- Oi! Quand on cambriole une maison, il y a quand même une courtoisie! C'est chacun son tours!


Pour le moment, nous n'avions pas vraiment le temps de discuté, nous devions partir d'ici a la quatrième vitesse! Je prenais vase, alors que je repris la parole:

" -Pour le moment, je te conseille de sortir d'ici, sinon ca pourrait mal se passer "

Je m'arrangeais pour filé discrètement jusqu’à la pièce en face alors que les marines étaient encore dans le salon. J'ouvrais la fenêtre avant de jeter le vase par dessus, du bruit en extérieur qui attiré les marines a l'extérieur. Cette feinte ne marcherais pas longtemps, alors la fuite était de mise, la seule chose que j'avais toucher été un vase maintenant brisé, autant dire que je n'avais rien a remettre en place. Je revenais dans la pièce de la géante:

" - Descend en première par la ou tu est arrivé! vite! Sinon la marine va t'embarquer!

Je voyais celle-ci s'exécuter, cela était plus une chute qu'une descente pour le coup. J'entendais la marine rentré a nouveau, courant dans la maison, je n'avais pas vraiment le choix. Je grimper a nouveau entre les poutres, ceux-ci passant regardant par la fenêtre:

" - C'est elle! EN AVANT ARRÊTEZ LA! "

Je leurs laissaient le temps de partir, avant de descendre et de sortir a nouveau par l'autre fenêtre, pour le moment j'étais tiré d'affaire. Et la, je le vis.... Il été la.... Cette saleté de chat! Je ne fis pas un bruit, alors celui-ci me regardais d'un air sournois... Avant d'hurlé de toute ses forces! MAIS NON! J'entendais la marine!

" - Il dois y en avoir un autre de l'autre côté! CHOPER LE! "

Prise de décision rapide, je rentrais a nouveau dans la maison, me sentais pris au pied comme un rat! Ce chat voulait ma mort! Je voyais difficilement la solution pour le coup, rester suspendu entre les poutres n'était pas une solution d'avenir, celle-ci avait commencer a courir, alors que je passais a nouveau par la première fenêtre  et que je me mis a escaladé le grillage, puis couru une ruelle plus loin. Les marines ne laisseront pas tomber comme ça, pour le coup j'étais mal, surtout qu'il serait encore plus dur voir impossible de volé le sabre maintenant! Sur ma droite, caché comme une proie je voyais cette fille!

" - Encore toi? Non mais tu veux nous faire capturé tout les deux?! "

La marine m'avait entendu et courait encore dans notre direction, nous n'étions pas sorti de l'auberge.
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Les cris du véritable cambrioleur incitant Mallory à décoller sa carcasse du parquet de l’ermite, l’acrobate calamiteuse eut la décence d’esprit de ne pas resté sur place, d’après les hurlements du seul autre témoin de la scène, il avait réellement l’intention de dépouiller le propriétaire de cette jolie maison, du coup, si elle jouait bien ses cartes, elle pourrait tout simplement ajouter la fenêtre briser sur son compte et s’en aller sans faire de bruit. Mais pour ça il fallait d’abord quitter les lieux du crime, elle sort de la chambre du vioc par le même chemin, et la même finesse, que lors de son arrivée, faisant un plat sur le sol, ses vêtements encore trempés de crasse lui offrirent un effet sonore proportionnel à la honte de la chute. L’écrasement laissa une magnifique empreinte fétide sur le lieu de l’impact que même un aveugle ne pourrait associer à Alaaric.

Son plan herméneutique souffrait déjà de quelques fuites mais il était trop tard pour s’arrêter maintenant! La marine avait déjà un bon visuel, et à se fier aux traces répugnantes tâchant la scène de crime et qui dégoulinait encore de la géante, elle n’état pas sortie d’affaire. Quelqu’un de sensé aurait sûrement eu la décence d’esprit de ne pas écouter les conseils d’un voleur et aurait probablement discute calmement avec les forces de l’ordre, cette situation était certes singulière mais des témoins ont bien aperçu son départ canon depuis le port. Mais le temps n’était pas à la raison! N’écoutant que son manque de courage, elle s’enfuit laissant derrière elle une belle trainée de gadoue que n’importe quel détective en herbe se ferait un plaisir de suivre à la trace.

Elle trouva refuge dans une ruelle voisine, recroquevillée entre quelques poubelles, au monde son odeur passait inaperçu dans un endroit pareil. Le criminel malchanceux apparait soudainement devant ses yeux.

« Encore toi? Non mais tu veux nous faire capturer tous les deux ?! »

Non mais pour qui il se prend? Il croit qu’elle voulait se retrouver dans une situation pareille? Et puis s’il ne voulait pas se faire capturer et bien il n’avait qu’à ne pas essayer de chaparder des trucs à un vieux qui n’avait rien demandé! Ce qui lui donna une idée… Elle n’avait rien à se reprocher, pour sa part ce n’était qu’un concours de circonstances, alors que lui était réellement coupable!

« Ne t’en fait pas j’ai un plan. »

Elle faisait de son mieux pour ravaler son angoisse alors qu’elle se remet sur ses deux pieds devant la horde de marine, leur charge ralentit considérablement par la simple taille de la créature qui se dépliait devant leurs yeux, elle était vachement plus menaçante de près…

« Oula… Je vous laisse les devants les gars… »

« Les devants toi-même! »

« A-arrêtez de pousser en arrière! »

Mais son plan ne consistait pas à intimider la bleusaille comme aurait pu le croire Alaaric, deux puissantes mains se posa inopinément sur ses épaules…

« C’est lui que vous cherchez! »

Et hop, voilà le jeune homme propulsé vers un regroupement de mouette pour le moins confus, Malory profitant du sacrifice héroïque du tatoué pour filer aussi vite que ses jambes pouvaient le permettre. Elle ne fit pas trois pas que le grondement provoqué par une femme de sa taille réveilla un chat errant, une vraie peste ses trucs, un poil farouche dont l’apparition soudaine, sifflement agacé, fourrure hérissée et tout le bataclan suffirent à surprendre la femme poisson suffisamment pour la faire trébucher sur ses propres jambes, son élan la fit terminer sa course dans les détritus dans un vacarme ahurissant. La marine, abasourdie par la suite d’événements ne fit aucun mouvement vers le prestigiateur, mais ça n’allait pas durer, surtout que l'image de la combatante monstrueuse avait terminée aux poubelles.
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La voici face a moi, alors que vue de près, je devais bien avouer qu'elle était tout de même sacrement grande. Pas autant que le lieutenant de la marine que j'avais croisé, mais elle devait bien faire trente centimètre de plus que moi. Elle ne ressemblait pas vraiment a un renard comme lui, mais plus a une sorte de parcours entre le poisson et l'humain, c'était un cocktail plutôt déroutant pour le coup, mais qui suis-je pour juger? Je prenais mes précautions, un poignard a la main au cas ou.

Elle me regardais, me disais qu'elle avait un plan alors que j'arquais un sourcil. Je ne sais pas pourquoi, mais j'avais un très sérieux doute pour le coup. Elle me semblait être le genre de personne plutôt mal adroite, alors que je préférais encore me casser une jambe que de remettre ma vie entre les mains de cette! Celle-ci se présentais droite face a tout les marines, ne me dis pas qu'elle comptais les affronté? Cela dis, au vu de sa taille, elle avait peut-être une chance, mais pourquoi aurait-elle fuit avant? La femme me choper les épaules alors que la marine semblait pour le moins intimidé.... Qu'est-ce qu'elle f!

Me voici maintenant face a la masse de marine, alors qu'elle m'accuser carrément! Non mais c'est une blague? Je tirais un regard pour le moins surpris, alors que je tirais un éclair de génie. Elle ne savais pas a qui elle avait a faire! L'arnaque est une des grandes spécialités familiale et pour le coup l'apparence était encore de mon côté:


" - A L'AIDE! CETTE FEMME A TENTER DE M'AGRESSER! "

Le temps de tourner la tête, que la voici maintenant maintenant a en délit de fuite! Alors la, elle venait de rendre sa culpabilité encore plus flagrante! Alors que je prenais la parole:

" ELLE S'ENFUIT! IL FAUT LA CAPTURER! "  

Ceux-ci hésitant dans un premier temps se fier a leur premier instinct, et pour le coup celle qui semblait être la plus grande menace a l'instant présent et pour le coup je me disais que pour le moment, c'était temps pour le sabre je ferais mieux de prendre la poudre d'escampette dans que j'en avais encore l'occasion! Désolé ma vielle, mais c'était a la guerre comme a la guerre! C'est toi qui avait commencer a vouloir me dénoncé!

Je commençais a sifflé, puis a prendre discrètement la direction de la rue opposé, alors que soudainement face a moi, voici le vieux type avec son sabre dans les mains. Celui-ci me demandais si la femme monstrueuse était encore dans le coin! Une occasion de débarrasser le bon monsieur de son arme? Peut-être que tout n'était pas encore perdu. Enfin, si la catastrophe naturelle ne s'écraser pas encore des cieux pour mettre tout par terre.
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Dommage pour Mallory, Alaaric avait trouver la seule faille dans son super plan : ne pas se laisser faire. Le rebus humanoïde n’avait plus le luxe de sacrifier une autre personne pour se créer une échappatoire, elle pouvait essayer de leur jeter le chat de gouttière rabougri responsable de sa chute à la gueule mais elle ne voulait pas prendre le risque de contracter des vers… Deuxième option du coup, celle-ci ne comportant qu’un risque minime de cruauté animale et de maladie! Les maisons contigües à cette charmante allée n’était pas très haute, les gouttières, malgré leur état de dégradation avancé et la possibilité d’offrir le tétanos à tous ceux qui oserait s’y accrocher, semblait solidement fixées aux rebords du toit de la charmante maison en pierre. Mallory, en vu de sa grande taille pourrait s’y accrocher sans trop difficulté…

La horde de marine en avait assez de ce petit jeu, laissant le mec sifflotant vaguer à ses occupations ils s’entassèrent dans le passage étroit, se bousculant pour savoir qui aurait la chance de mettre la main sur ce scélérat! Plus de temps à perdre alors! Se relevant une nouvelle fois elle profita de sa grande taille et d’un saut quasiment impressionnant pour s’agripper aux chéneaux rouillés. Sous le poids de la femme-poisson (que l’on ne dévoilera pas parce-que c’est impoli), la section de canal passa à un cheveu de se déboiter du reste de l’ensemble, se déformant au point que son utilité sera forcément réduite lors des prochaines précipitations, mais elle tenue suffisamment longtemps, et non sans laisser quelque égratignures et traces de rouilles sur les mains du requin, pour que Mallory puisse grimper sur le toit de tuile en terre cuite. Elle n’était pas un expert dans le domaine mais c’était du bon travail, et fraichement effectué qui plus est!


Elle aurait apprécié se reposer un instant mais les officiers n’étant ni stupides, ni amnésiques, (du moins dans leur majorité) avait déjà entrepris de la poursuive, la courte échelle il n’y a que ça que vrai! Elle reprit donc sa course, dégoulinante de sueur, de déchets et d’entrailles de poissons, chacune de ses éjambées glissante et maladroite envoient virevolter une poignée de tuiles en direction de ses poursuivant. Les jolis morceaux de terre cuite souillée par le passage de Mallory finissent leurs courses en s’éclatant contre le visage d’un marine, en faisant voler leurs couvre-chef ou encore en s’écrasant sur le sol quelques mètres plus bas. On peut donc ajouter dégâts matériel et voie de fait sur un agent.



Malheureusement le toit de n’importe quel bâtiment n’offre qu’un espace de fuite limité, elle pourrait tenter de sauter de toits en toits et distancer les marines, les échasses qu’elle appelaient ses jambes lui serviraient enfin à quelque chose! Mais dès qu’elle eut atteint la partie descendante du toit, la gravité et la friction réduite de ses petons couverts de saloperies lui faire perdre pied avant d’atterrir ses fesses et de glisser jusqu’en bas, laissant derrière elle une trainée de toit dégarnis et de toiture en bien piteuse conditions, elle tenta bien de se ralentir avec ses mains, mais ses griffes ne fit que détacher de nouvelle tuiles…


Sa glissade pris fin, alors qu’une ombre nauséabonde passe au-dessus de Alaaric et sa victime à venir. Par elle ne sait quel miracle, Mallory réussit à atterrir sur ses deux jambes, le pavé allait garder des traces de cet impact, les genoux de la géante lui demandaient grâce, mais ce n’était pas trop mal!

L’ermite ne l’entendit pas de cette oreille, en voyant le requin passé au-dessus de sa tête se figea sur place, sa mâchoire inférieure faillit se décrocher, instinctivement il crispe ses mains autour de son katana d’amour et ses yeux exorbités décrivaient sa terreur à la perfection. Le bruit d’un requin de deux mètres s’écrasant directement derrière lui en était trop, aucun son ne s’échappa de sa bouche béante alors qu’il s’effondre dans les bras de Mallory avec une rigidité cadavérique, ses mains encore fermement resserrées contre le fourreau de son arme. Le vieux n’était que tombé dans pommes, mais ça Mallory n’en savait rien, bredouillant nerveusement quelque chose d’incompréhensible. Ses genoux se secouaient sous le poids de tout ce stress, son regard rebondissait aléatoirement  à la recherche d’un excuse, avant de s’arrêter brusquement sur le cambrioleur. Sans réfléchir elle s’écria subitement :


« M-MAIS… TU L’AS TUÉ ?! »
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Me voici encore a ce cher monsieur, alors que pour le coup j'allais devoir la jouer fine. Difficile certes, mais en rien impossible. Il me suffisait d'un seul moment, un instant ou celui-ci relâcherais sa vigilance ou me ferais confiance pour que je m'empare de l'objet qui ferais mon bonheur. La femme poisson avait faillit tout ruiné une fois, mais pour le coup la marine devait sans doute déjà s'être occuper de l’arrêté. Plus rien pour me barrer la route, c'était entre moi et le viel homme et je ne comptais pas m'avouer vaincu.    

Nous voila a partir dans une discutions, celui-ci m'avait demander si la femme était encore dans le coin alors que je lui répondais que non. La marine c'était occuper de l’arrêté, alors qu'il souffler de soulagement. Je lui expliquais être un collectionner d'arme ancienne, de trouver son arme plutôt belle  a priori. Voici que l'ainé commencer a me souligné a tel point celle-ci était une lame exceptionnelle, a me raconté toute l'histoire de sa famille, de cette lame qu'il tenait de son père, qui la tenait de son père avant lui. Tout un récit bien intéressant, mais qui a force de parole commencer a tisser un lien de confiance du moins, c'est ce que je pouvais sentir.

Au bout d'un moment, viens l'instant tant attendu, alors que je lui demander de voir sa lame. Séduit par ma fascination attirante pour son épée, il commençais doucement a la tendre. Alors que soudainement! Une ombre au dessus de ma tête vient sèchement lui raviser le mouvement... Non! Impossible! Ma victime tomber comme tétanisé une nouvelle fois! Elle était de retour! Alors que je m'écriais!

" - ENCORE TOI! "

Directement après, la voila a directement m'accuser de l'avoir tuer! Non mais elle était pas gonflé celle-la! Alors que c'était a mon tour de prendre un ton accusateur:


" - Mais je n'ai rien fais moi! C'est toi qui lui a fais faire une crise cardiaque! "

Attend une minute.... Le voila raide morte, sans le moindre mouvement, inconscient?  N'était-ce pas plutôt ça l'opportunité parfaite en fin de compte? Peut-être que cette tornade de destruction massive se voulait être pas si mauvaise que ça au final? Je m'approcher du cadavre ambulance, alors que j'essaye de lui enlever le sabre des mains! Mais c'est qu'il est bien accrocher le bougre! Je regardais si il n'y avais pas quelque chose qui pouvait servir de levier, un pied de biche ou un autre truc du genre? Alors que je prenais encore une fois la parole:

- Tu veux pas te rendre utile au lieu de rester planté ici? Aide moi a trouver une planche en bois: Il faut lui enlever ce truc des mains pour le réanimé!

Un petit mensonge certes! Mais au final! Cela n'était pas tout a fais faux non plus!Il n'y avais qu'a espérer que le bougre ne se relève pas d'entre les morts tout de suite!
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Mallory était beaucoup trop paniqué par analyser la situation; les quelques neurones responsables de la logique avaient depuis longtemps quittés le navire. Le cambrioleur aurait pu lui dire n’importe quoi et elle aurait obéit sans broncher, mais elle prit tout de même la peine de ronchonner un peu avant de s’exécuter. Les leviers en revanche c’est un truc d’intello, et puis s’il fallait vraiment lui libérer les mains avant de lui porter secours il n’avait pas de temps à perdre. Elle tenta d’abord de tirer très très fort sur le sabre. La tentative ne fut pas concluante, c’est qu’il était bien accroché le vieux… En essayant de lui prendre son katana elle ne réussit qu’à soulever l’ermite racorni de terre.
Plan B, réessayer mais cette fois en maintenant le macchabé à devenir au sol. Pour se faire, rien de plus simple, la femme poisson de plus de deux mètres posa un pied sur la panse du vieil homme et tira un bon coup.


Une douleur vive, possiblement liée à la femme poisson présentement en train de lui compresser violemment l’estomac suffit à extirper le comateux de son évanouissement. Son réveil est ponctué d’un cri rauque et guttural et la douleur était telle qu’il en oublia son épée et lâcha prise. Mallory est tout aussi surprise, le voir reprendre vie sous ses yeux était pareil à un miracle! Contrairement à ce qui suivrait. Mallory avait mise toute ses forces afin de lui retirer son arme, et maintenant que les doigts du vieux s’étaient dénoués, plus rien ne la retenait en place. Mallory, victime de son propre élan, fit une culbute par l’arrière sur le pavé en pierre et se retrouve cul par-dessus tête, ses grandes mains écailleuses encore renfermés sur le fourreau tant convoité.


« Pas la peine de me remercier… »



grogna-t-elle sans même prendre la peine de se relever avant de jeter le fourreau orné aux pied d’Alaaric, accompagné d’un son effroyablement creux…



Voyez-vous, l’énième chute du requin permis à l’arme de se libérer de son étui. Une fois libre, la lame fendit l’air dans un arc parfait et atterri sans cérémonie sur le toit d’une nouvelle maison afin d’endommager un peu plus les toitures du quartier. Cependant, cette histoire d’épée ne concernait aucunement Mallory, si le vieux voulait son couteau de fantaisie il n’avait qu’à le chercher lui-même, bon! Avant de reprendre son jogging, elle prit tout de même la peine de remettre le vieillard sur pied, l’épousseter un peu et le voilà comme neuf! Le ridé la remercia en pointant un doigt squelettique et tremblant dans sa direction.


« Elle est là! Voleuse! Au secours! À moi! … »


Mallory repris de nouveau sa course effrénée avant que le vieillard ne finisse d’énumérer tous les synonymes de à l’aide tandis que la horde de marine, un peu moins motivée que précédemment suivait le pas et doubla Alaaric et l’ermite. Même si le jeune homme voulait rejoindre la fête il se sentit soudainement comme alourdis. Le vieux croulant ayant pris support sur l’épaule d’Alaaric son autre main lui massant le creux du dos.


« Ouille… Mes pauvres lombaires… Elle a profité de ce moment de faiblesse pour me voler mon sabre… Tous pareils ces hommes poissons, c’est moi qui vous le dis… Ouais… »


Il appui plus lourdement sur l’épaule du prestidigitateur.

« Ouillouillouille… Vous avez l’air d’un brave gaillard, vous n’allez quand même pas me laisser poirauter ici? »


Il couronna le tout de son plus beau sourire édenté et jaunis, ahlala comment refuser?
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Le spectacle qui se passait sous mes yeux avait à la fois tout de la comédie et de la tragédie. Voici que la femme tentais de lui arracher le sabre de tout son poids, alors qu'elle réanima le vieux type au passage. Mais c'était une calamité cette femme ! Une catastrophe naturelle ! Qu'est-ce qui m'étais passé par la tête de croire que je pourrais compter sur elle ? Elle ne pouvait pas le laisser dans le coma et juste se servir d'un levier comme je l'avais suggéré ? Voici le rabougrit maintenant bien réveiller.

Je restais silencieux, les bras croisés à regardé le reste de la scène d'un air pour le moins contrarié. En tout cas, pour tous c'était bien la femme la responsable, et cela arrangeais bien mes affaires, c'était ça de pris au moins. Bien que celle-ci l'aidait, celui-là n'eut aucune forme de remords a immédiatement appeler la marine afin d’arrêter sa sauveuse. Quand on dit qu'on se bonifie avec l'âge , cela m'a l'air d'être une bonne grosse arnaque. Celui-ci me semblait aussi vicieux que certainement dans ses grandes années.

Je voyais le sabre maintenant planté dans le toit, alors qu'il serait maintenant facile de m'en emparer, mais très dur de réussir à le faire sans que le vieillard ne s'en rendent compte et hormis que la femme nous tombe encore une fois littéralement du ciel, cela risquait d'être compliquer. Comment faire... Comment m'en emparé sans éveiller les soupçons ? Tuer le vieux ? Non, je ne suis pas ce genre de type prêt a tout pour de l'argent. J'ai mon honneur, et puis il me semblait pour le moins increvable.

Soudainement, un poids sur mes épaules, il ne venait pas de s'accrocher à mon dos tout de même ? Et bien si! Et en plus, il me demandait clairement d'aller chercher un sabre sur le toit. Alors là, il ne manquait pas d'air le vieux. Je prenais alors la parole :


" Heu.... Je peux bien essayer, mais avec vous sur le dos, monté sur un toit risque de ne pas être de la tarte, vous ne voulez pas attendre ici que je monte le chercher ? "


Après une courte réflexion, celui-ci ne fut pas borné non plus à ce point. Même si, je pouvais clairement entendre ses rochonnades. Bon.... Et bien, je suppose qu'il était temps pour moi de monter sur toit, et surtout de trouver un moyen pour subtiliser l'arme. Je montais pour le moins tranquillement et d'un pas assuré. Pas d'acrobatie, ou de chose qui pouvait laisser penser que j'étais un magicien, sinon il pourrait avoir des doutes. J'allais devoir jouer un de mes plus beaux tours. Punaise, Ed' m'aurait facilement fais une réplique facilement, pourquoi n'etait-il jamais là quand j'avais besoin de lui? Une vraie galère. Si je faisais disparaître l'arme, celui m'accuserais forcément.... Je doute que mon détournement d'attention soit suffisant pour le coup... Et bien, pas trop le choix. Je regardais en bas, le vieux était juste en bas de moi, me regardant en se frottant les mains. Je montais sur le toit, prenais la lame en main.... Commençais ma descente.

Et bien quand il faut y aller.... Je faisais mine de glisser, alors que d'un coup, me voici a taper ma plus belle chute, droit sur le vieux. Mon dos rentrait en contact avec sa tête, alors que nous voici tous les deux écraser au sol. Je m'étais vraiment fait mal pour le coup. Il me fallait plusieurs minutes pour me remettre les idées claires et surtout l'épaule en place. Je jetais un rapide coup d’œil au vieux, celui-ci était ko, il ne se relèverait pas sûrement, pas tout de suite. Des gens appeler bien sur les secours, alors que je me relevais difficilement et prenais le fourreau que la femme avait jeté au sol. Je l'avais enfin.

La suite n'était qu'un jeu d'enfant. J'attendais qu'une foule de curieux se ramène, alors que me voici soudainement à disparaître dans la foule. J'allais maintenant devoir partir le plus vite possible. Je ne savais pas vraiment comment s'en sortirais la femme poisson, et à vrai dire, je n'en avais pas grand chose à faire, après tout, c'est elle qui avait chercher à me dénoncer! Me voici maintenant sur la route du port. Celui-ci ne me retrouverait pas aussi vite dans une si petite île, mais j'avais préféré monter immédiatement dans un bateau au cas où.

Le lendemain, nous précéderions l'échange sur une île voisine afin d'être sûr de ne pas être interrompu. La culpabilité porterait sur la femme poisson, tout était parfait. Une véritable action de haut vol !  
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Pauvre Mallory, elle qui n’avait rien d’une criminelle, la voilà traquée de nouveau par un essaim de marines très peu enthousiaste. Alors oui c’est vrai qu’elle a provoquée quelques dommages matériels de rien du tout et peut-être que quelques mouettes allaient avoir du plomb dans l’aile pour un moment vu le nombre de tuiles qu’elles se sont mangé en pleine poire. Le requin, qui n’en a absolument rien à faire de l’arme qui a provoquée cette joyeuse affaire, provoque bien malgré elle la couverture nécessaire pour qu’Alaaric puisse commettre son larcin loin des yeux de la loi. La grande majorité des officiers de cette simple bourgade présentement occupée à poursuivre la seule non-humaine à des kilomètres à la ronde.

Cette noble croisade commence cependant à piétiner. Malgré tous leurs efforts le requin avait toujours une longueur d’avance, pas plus. Dès qu’elle débute à les distancer elle trébuche dans une fissure du pavé, rentre en collision avec un réverbère ou bien s’enfonce d’elle-même dans un cul-de-sac, offrant continuellement à ses poursuivants la chance de la rattraper. Ce sympathique jeu de chat s’étire maintenant depuis un quart d’heure, les officiers locaux ont eu la chance d’explorer leur île en long en large et en travers, le requin, en partie dû à son mauvais sens de l’orientation, ne savait pas où mettre de la tête et par pur réflexe se mit à jeter tout ce qui lui passait sous la main sacrifiant quelques pots de fleurs, poubelles, les courses d’une ménagère qui passait par là, la table d’un bar en terrasse et la demi-douzaine de choppes remplie à raz-bord qui reposaient sur cette dernière.

La troupe en uniforme d’un blanc détrempé et couvert de crasse, accompagnée aussi de onze d’ivrognes en colère et du retardataire de la bande qui n’a même pas eu la chance de boire sa première bière, était à bout de souffle. C’est que ça court vite ces bestioles, ça droit être les pattes palmées, c’est plus adhérent tout ça… Alors que Mallory s’engouffrait dans une nouvelle ruelle la troupe de marine laissa tomber l’affaire. Alors que leur cible disparaissait dans les méandres de ce village paumé, ils se posèrent contre un mur ou se laissèrent tomber au sol dans une flaque de sueur, certains, victimes de l’acide lactique, en profitèrent pour recracher leur petit-déj.

« Ouais, tu- huf, tu fais bien de- huf, de cou- de courir… Huf, mes pauvres jambes… »

« Tu l’as dit. »

Les autres marines anonymes étaient trop épuisés pour se permettre de faire un commentaire et reprirent leur souffle en considérant le nombre d’entrainements qu’ils avaient pris à la légère avant de rentrer à la base pour une bonne douche et d'apprendre aux petits nouveaux comment on fait une bonne lessive.

Pendant ce temps, Mallory encore paniquée, n’a pas tout de suite profitée de l’absence de menace et du fait qu’elle ne soit pas poursuivie et continua un bon moment à courir frénétiquement avant de piquer un sprint vers le port, de plonger sur son radeau en esquivant les mots d’excuses de pêcheurs paniqués et de battre des jambes et de filer vers l’horizon, laissant cette île de malheur derrière soi, ne laissant derrière elle qu’un trait d’écume blanchâtre que les eaux effaçait déjà tout doucement.

Loin de toute hostilité, pour tout dire elle était loin d’absolument tout, Mallory reposait en étoile sur son bout de bois miteux, laissant le soleil réchauffé ses membres endolories, en particulier ses jambes qui semblaient à deux doigts de lui écrire une mise en demeure. Percluse et haletante, la poisseuse profita tout de même de ce léger moment de repos.

« Pfff… Qu’est-ce que c’est nul les Blues… » crachouilla-t-elle, « Et puis il y a tout ce dont j’ai besoin ici, au milieu du rien! Qu'est-ce qu'il y a de si génial sur ces îles d'abord? »

Dès que l'adrénaline retomba son estomac lui souffla violemment la réponse.


« … Ah oui… C’est vrai que je n’ai jamais appris à pêcher… »

Avant qu’elle ne puisse décider dans qu’elle direction elle allait tenter sa chance, une vague blagueuse renverse son embarcation et la force par la même occasion à prendre un bain. Au moins elle sera à peu près présentable lorsqu’elle demandera l’aumône sur une île voisine.
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