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OPRkham City

Rappel du premier message :

Les couloirs sont silencieux. Trop silencieux, peut-être. Pour Eisenmenger, l’éminent docteur en chef supervisant l’asile d’Oprkham, le changement sinistre dans l’air est notable. Il traverse l’établissement sur toute la longueur qui sépare son bureau, majestueux et faste, aux cellules, bien plus honnêtes. Il réajuste sa blouse blanche, qui était jadis immaculée. Elle est aujourd’hui tâchée de vomi et de sang séché. Il passe devant l’un des bureaux, et salue l’un de ses collègues, qui ne daigne même pas lui accorder un signe de la main. Il finit par atteindre les premières cellules d’isolement. C’est habituellement à ce moment que l’on commence à entendre les cris démentiels et les échos des complaintes.

Rien. Le silence complet.

Le Docteur s’avance vers le bureau de sécurité, et pose sa main sur l’épaule du garde en charge de la surveillance des entrées et des sorties.

– Vous ne trouvez pas l’ambiance… étrange ?

Face au silence qu’il juge comme étant parfaitement irrespectueux, Eisenmenger tourne lentement la chaise de l’homme, jusqu’à ce qu’il puisse voir son visage dans la semi-pénombre. Les yeux révulsés et injectés de sang, le garde est totalement inconscient, et un large sourire macabre dessiné s’étend des coins de ses lèvres jusqu’au haut de ses joues. Sur son front, il est écrit à l’encre rouge :

Ha ! Ha !

Il n’a pas le temps d’y réfléchir qu’il se retrouve complètement soufflé par l’explosion qui retentit soudainement.


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Au Fort de Goprkham, c’est la panique totale. Les gardes courent dans tout les sens, et les civils les moins éloignés de l’endroit s’amassent en nombre pour s’y réfugier. L’explosion fut visible depuis l’entièreté de l’île.

Sur les écrans de sécurité, il est d’habitude possible de visionner les images des Escargophones de sécurité de l’asile. Celles-ci ont cependant cessé de retransmettre, et les différentes projections n’affichent maintenant plus qu’une simple image :


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Le Maire de Goprkham s’est affalé sur son large fauteuil, dans son bureau privé. Cette nuit était censé être une nuit de célébration : le grand Festival annuel de l’île, le Comique Con, qui ramène des touristes des quatre coins du monde, se déroule en ce moment-même.

– C’est une catastrophe, soupire-t-il. Je crois qu’il n’y a plus le choix.
– Oui, Monsieur ? Répond l’un de ses hommes.
– Appelez-le…
– Monsieur… Il ne répond pas.
– Alors allez me le chercher !
– C’est que… Il est introuvable, monsieur.
– Bon sang…

Le maire se lève, et s’approche de sa grande fenêtre qui donne sur toute la ville. Tapant férocement du poing sur le rebord, il s’exclame :

– Mais où est donc passé Batman ?!


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C'est la panique à Goprtham City !

Alors que les célébrations battaient leur plein dans les différents quartiers de l'île, que les touristes et citoyens de la ville s'amusaient, jouaient et buvaient, les prisonniers de l'Asile d'Oprkham se sont évadés ! Pire encore, le fameux super-héros Batman, qui protège en temps normal la ville au péril de sa vie, a complètement disparu ! Qui donc peut se lever contre la menace qui pèse à présent sur l’île ? Qui va, au contraire, en profiter pour semer le chaos et la terreur ?


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Descriptions de la carte :

L’asile d’Oprkham : Un asile servant de prison à l’île depuis maintenant quelques années. C’est un établissement macabre, et les habitants de l’île se doutent bien qu’y être admit est un aller sans retour. Il est maintenant à moitié en ruine suite à l’explosion qui a libéré la plupart de ses prisonniers.

Le Fort : Un large édifice servant de lieu de résidence au Maire de la ville ainsi qu’à ses plus proches et riches sujets. C’est l’un des derniers endroits encore sécurisé de l’île.

Le Beffroi : Un monument haut et solide, symbole de la culture de l’île. Certains témoins affirment avoir vu une chauve-souris y traîner un peu avant l’explosion…

Le Bois aux Malices : Il s’agit d’une forêt ancienne de plusieurs centaines d’années. L’endroit est réputé soit hanté, soit sacré ; l’exploitation du bois s’y fait donc rare, mais les expéditions, pèlerinages et célébrations sont monnaie courante.

Le Château Hanté : Il s’agit de la plus ancienne construction de toute l’histoire de Goprtham City. C’est également l’endroit le plus évité par ses habitants : le château est considéré comme hanté, et dangereux. Il aurait appartenu aux lointains ancêtres du Docteur Eisenmenger, qui auraient fini par abandonner l’édifice il y a maintenant plus d’un siècle. L’endroit ferait un très bon quartier-général secret pour un super-vilain digne de ce nom.

Le Quartier du Moulin : C’est l’un des quartiers les plus vivants de la ville, puisqu’il s’agit du principal port de l’île. C’est par ici que les touristes venus participer au Comique Con débarquent, et nombre d’entre eux y séjournent encore.

L’enclave marchande : Le quartier le plus riche de Goprtham. C’est ici qu’une grande partie des festivités se déroule, sur la grande place du marché. Protégé de murs épais et surveillés par des gardes d’élite, l’enclave est encore un endroit relativement sûr… pour le moment.

Les Faubourgs : Quartiers résidentiels basiques qui recouvrent une bonne partie de l’île, il n’y a rien de spécial à leurs propos, si ce n’est qu’il y règne maintenant une anarchie totale.

Les Bas-Fonds : Les quartiers les plus pauvres de la ville, complètement délaissés par les autorités. Il y a fort à parier que la plupart de ses habitants se réjouissent des derniers événements.

Petit topo règles sur le RP ! :

Rappel des alias !:
    Malgré ses menottes, Deathscript avait empli l'espace du QG de fortune. Entre fanfaronnades inutiles et petits jeux de domination, on mentionnait des sbires qui ne pensaient pas, mais avaient tous leur façon de réfléchir. Des méthodes soi-disant plus efficaces que celles de la police alors que la venue du tueur à gages était précisément due aux balises posées par le QG depuis que Gharrdon avait finalement choisi d'appeler des renforts pour gérer Batman, retrouvé une fois de plus par les forces de l'ordre. James goûtait bien peu aux propos de Deathscript; même l'idée de l'avoir dans son camp n'avait, à ses yeux, que l'avantage de rayer une menace directe de la longue liste qui déambulait dans la ville. Enchaîné comme un Houdini n'attendant que le moment opportun pour montrer qu'il pouvait se libérer de toutes les dispositions prises par les gens de loi, le criminel se mettait alors à menacer le Commissaire. Gharrdon le laissa finir, les sourcils froncès derrière ses verres, puis se tapa sur les cuisses en prenant la parole, assis face à lui.

    Bon sang, Slade ! C'est à croire que vous n'avez toujours pas saisi l'importance des lois. Vous pensez qu'il est judicieux de se rendre pour dicter ses conditions ? Que je mérite votre châtiment si d'autres flics échouent à être des nounous de vos criminels de collègues ? Ca ne marche pas comme ça, la loi n'est pas le blanc ou le noir d'un jeu d'échecs, elle en dicte les règles. Vous ne pouvez pas demander à ce qu'on les change si vous sacrifiez votre cavalier intentionnellement ou si vous perdez votre fou.

    Gharrdon ne vociférait pas, mais son ton était celui d'un instructeur d'académie qui expliquait aux cadets leurs premières bourdes. Une vieille habitude.

    Moi aussi, j'ai vu nombre de flics mourir. Moi aussi, j'ai vu la Cour de Justice impuissante et des jugements déplorables. On devient flic pour améliorer les choses et on se rend compte que la seule façon de les trouver améliorées, c'était d'ignorer ce qu'elles sont vraiment. Tous les flics ont traversé ça. Certains virent dans la dépression ou les psychotropes, d'autres font de leur mieux, d'autres abandonnent.

    Il se leva, reprit un cachet d'antidouleur qu'il avala d'un coup d'eau. Suite à quoi il proposa une cigarette à Slade et s'en prit une qu'il alluma, désormais plus calme.

    Je ne juge pas votre retrait du système légal, ce n'est pas mon rôle et en tant qu'homme, je le comprends; même si je ne soutiens pas. Mais à aucun moment, Slade, je ne vous autoriserai à tenter de m'intimider et à supposer que je puisse céder par peur de mourir. Si vous cherchez des forces de l'ordre manipulables, mauvaise pioche. Vos chapitres risquent leur vie, comme tous les flics sur le terrain en ce moment même. S'ils meurent, ils auront le quotidien de ces défenseurs de l'ordre que vous vous amusez à mépriser.

    Gharrdon s'affala sur le fauteuil et tente d'oublier sa blessure qui s'était rouverte durant la partie de foot. Batman a été fairplay, mais l'autocollant avait ses limites. L'arrêt sur blessure décrété, il fallait quelqu'un pour jouer avec la chauve-souris enragée. Il fallait aussi quelqu'un pour assurer le relève si James tombait définitivement dans les vapes. Slade a bien remarqué le mal du Commissaire, alors celui-ci ôta un pan de sa chemise pour montrer le bandage imbibé de sang qu'un auxiliaire avait soigneusement placé du mieux qu'il pouvait.

    On en est au même point, ironique non ? L'incendie ressemble davantage à un leurre, c'est une tactique vieille comme le monde. La seule certitude est que celui qui l'a allumé s'est mis Klarivy à dos. Reste à espérer que les fripouilles s'occupent entre elles le temps qu'on reprenne la main.

    La priorité, c'est protéger cet homme. Sa vie ne vaut pas plus que celle des autres citoyens, mais il est le meilleur atout dont nous disposons et lui seul exerce une fascination morbide sur le Myoker. Je n'ai pas sacrifié les habitants pour sauver un ami, j'ai protégé l'être le plus à même de sauver les habitants. Je vous sais doué, Deathscript, mais seul cet homme a prouvé sa valeur. Dès que Batman sera à nouveau opérationnel, la peur changera de camp.


    Entrée d'Anatalia, nouveau bulletin d'intox du Myoker, vaccin de Batman et préparatifs du plan de bataille. On aurait dit une succursale officieuse de flics infiltrés, ce qui n'était pas si loin de la vérité. James se sentit ragaillardi parle retour du Justicier, ce qui ne fut pas du luxe au vu de son retour fracassant qui fit presque regretter aux unités en place l'hilare. Tous étaient d'accord pour ne pas ignorer le danger des ballons. Mais contrairement aux masqués, James avait un autre point de vue à soumettre.

    Et si Myoker bluffe ! Si des snipers allument des employés sans être certains de la menace, des flics auront fait feu sur des lanceurs de ballons; peut-être même des petites mains qui agissent sans savoir pour qui ou qui ne le font que pour épargner leur famille. Pardon de répéter mon sermon, mais ce n'est pas la façon de procéder. Pas avec un malade mental qui joue avec nous. Myoker n'est pas la loi, il n'est que la Reine adverse convaincue de pouvoir aller où bon lui semble. Qui ici pourrait jurer qu'il ne ment pas ? Personne de sain d'esprit.

    Il a probablement déjà préparé son attaque suivante et s'amuse à diviser nos forces et à les épuiser. Notre avantage, c'est qu'il nous sous-estime tous. Si nous voulons gagner du temps, nous devons le laisser penser qu'il a remporté la manche. Je suis même convaincu qu'assister à sa soirée mousse le rendra si hilare qu'il ne mettra pas son prochain jeu en place de sitôt. Myoker doit penser qu'il gagne.


    Gharrdon échangea sa fréquence avec l'équipe présente.

    Je m'occupe de cette mousse, mais à ma manière. Si vous avez le choix entre arrêter Myoker ou rétablir les communications, arrêtez Myoker. L'incendie vient d'être maîtrisé et si le gaz hilarant n'est pas du bluff, je doute que les gens pliés de rire se ruent en masse à la forêt. La communication n'est qu'un leurre, nous pouvons nous en passer dans un premier temps. Là encore, agissez comme si c'était une priorité, que Myoker pense qu'on joue selon ses règles. On contrôle mieux une rivière en la détournant plutôt qu'en faisant barrage.

    Gharrdon laissa l'équipe se mettre en position et regagna sa voiture. Après avoir vérifié qu'i possédait toujours son carnet, il fit cap sur le port, au quartier des moulins. C'était le seul endroit où trouver du granit marin en quantité.
    • https://www.onepiece-requiem.net/t1985-le-set-samourai
    • https://www.onepiece-requiem.net/t1888-le-capitaine-hadoc-a-emherge

    Bois aux malices.

    _____Anatalia mit la main sur ses hanches en contemplant le désastre. Des arbres calcinés, des cadavres d’animaux morts, des insectes qui courraient dans tous les sens paniqués à l’idée de fuir une franche odeur de brûlé et, quelques mètres plus loin, une végétation aussi luxuriante que surnaturelle renaissait littéralement de ses cendres.

    — Ragglebin, qu’est-ce que tu as foutu ?, grinça-t-elle entre ses dents.

    _____Quelques secondes plus tard, les murmures étouffés de son escargophone lui répondirent d’abord par une joie penaude, un topo de la situation puis quelques excuses maladroitement formulées. Alors comme ça Freezurd était de la partie ? Voilà qui ne leur facilitait pas la tâche… S’ils n’avaient eu que Klarivy à gérer, l’avantage numérique aurait été de leur côté mais là, avec toutes ces plantes… il leur faudrait presque un pyrro-dial ! Malheureusement, elle n’était pas sûre que la ville disposât de tels dispositifs et elle ne voyait pas ce qu’elle ferait avec. En général, les officiels voulaient éteindre les incendies, pas les allumer. De toute façon, elle n’avait pas le temps de faire le trajet pour vérifier. Si pyrro-dials il y avait, les larbins de la police iraient gentiment les apporter, sinon tant pis.

    — Où es-tu ? Tu vas bien ?
    — Rien de cassé… Mais les plantes ne cessent de me harceler. Je me déplace régulièrement mais Klarivy ne tardera pas à connaître ma position, si ce n’est pas déjà fait.
    — Bien. C'est comment, à l’intérieur ?

    _____L’intérieur, ça faisait référence à ce camp fortifié fait d’excroissances végétales toutes plus hostiles à l’homme les unes que les autres. Des plantes carnivores, des roses, des mûres, mais surtout les épines qui allaient avec, sans parler de ces sortes de lianes qui poussaient dans toutes les directions et sans aucune logique. D’après Ragglebin, ça devenait de plus en plus difficile de passer inaperçu au milieu de cette jungle toujours plus foisonnante. Chaque plante était un gardien de plus pour le repère de la folle écologiste, et bientôt leur campement serait complètement impénétrable.

    — Je vois. Nous ne devons pas perdre de temps. Je te rejoins.

    _____Le plus vite et le plus discrètement qu’elle put, Anatalia suivit les indications de son fils pour le retrouver derrière un des derniers buissons qui n’obéissait pas encore à leur incroyable adversaire. Décidément, ils n’avaient pas le temps de tergiverser car la moindre seconde était précieuse.

    — Ragglebin !

    _____Anatalia laissa étouffer son cri dans sa gorge, se rappelant au dernier moment qu’ils devaient être discrets. Après quelques secondes de tendresse, Anatalia confia deux seringues à son fils.

    — Ecoute, ne pose pas de question. Cette seringue tuera Klarivy, celle-là ne contient que la moitié des réactifs. Je ne sais pas si ça suffira pour la tuer mais ça ne devrait pas lui faire que du bien, compris ?
    — Mais…
    — Pas de question.
    — J’avais trois seringues mais j’en ai séparé une en deux pour qu’on en ait chacun deux.

    _____Il valait mieux avoir chacun deux cartouches, même si l’une d’entre elles ne tuait l’ennemi qu’à moitié. Ils avaient tous les deux des moyens annexes de neutraliser un adversaire à moitié mort. Anatalia soutint le regard de son fils avec toute l’autorité maternelle qu’elle avait. Elle le prit par les bras et le secoua puis lui désigna les monstruosités qui se reproduisaient à vue d’œil.

    — Écoute, nous n’avons pas le choix, d’accord ?

    _____Ragglebin hocha gravement la tête, que ce soit pour faire plaisir à sa mère ou parce qu’elle l’avait convaincu de la nécessité de la chose.

    — Bon, voilà le plan. Tu vas faire le tour par là et escalader cet arbre. D’ici, tu pourras facilement repérer où sont nos deux zigotos. Repère leur angle mort et passe par là.

    _____Anatalia marqua une petite pause le temps de s’assurer qu’il avait tout assimilé, puis reprit :

    — Tu vois ce grand arbre aux fleurs rouges, là-bas ?

    _____Question stupide : on ne voyait que ça.

    — C’est sans doute la plante mère de Klarivy. Si c’est le cas, une injection de la première seringue neutralisera complètement les pouvoirs de cette folle, compris ?
    — Et si ce n’est pas le cas ?

    _____Anatalia secoua la tête. Même si elle avait promis au père de son enfant de ne pas en arriver là, il y avait un « je ne le ferais qu’en dernier recours » implicite dans son engagement. Et là, c’était déjà le dernier recours. Entre perdre son fils et empoisonner une femme-plante folle à lier, elle n’hésiterait pas une seconde, promesse ou pas.

    — Pendant ce temps je passerai par devant. Je te couvre au cas où Mr Freezurd te repère. Je te laisse partir avec un peu d’avance, mais sache que j’ai la ferme intention de vider le contenu de cette seringue dans notre amie la plante carnivore. Je ne veux pas prendre le risque. Si tu échoues, je la tuerai. Si tu tardes trop, je la tuerai.

    _____Anatalia regarda longuement son fils, pas très sûre de la validité de son plan. Mais si elle doutait, comment pourrait-il s’exécuter sans erreur ? Parfois, un seul moment d'inattention et c’était la fin. Anatalia était la première à le savoir car les supers-villains perdaient systématiquement à cause de ce genre de vérité : ils prenaient la victoire pour acquise et laissaient aux gentils une occasion microscopique que ces derniers s’empressaient de saisir. Un excès ou un manque de confiance, voilà qui pouvait renverser la situation du tout au tout. Alors pour donner le plus de chances à son protégé, elle avait fait son possible pour paraître le plus sûre d’elle possible.
    Ils n’avaient pas de meilleur plan, et pas le temps d’en échafauder un. Elle sera son garçon dans ses bras puis le repoussa gentiment :

    — Aller, va !

    _____Aussitôt, elle se concentra sur la mission qui était la sienne. La diversion. Ce n’était pas son genre de s’attribuer ce genre de rôle, car ils étaient les plus dangereux. Et en général, Anatalia était si discrète que ses adversaires ne la repéraient pas. Mais là, avec toutes ces plantes munies d’organes sensoriels suspects, entrer sans se faire remarquer était un rêve éveillé. Si elle n’entrait pas la première, elle envoyait son fils au casse-pipe. Alors elle le ferait, même si elle n’était absolument pas sûre de ce qui allait advenir… Avec un peu de chance, elle ne se ferait pas avoir !
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