L'espace disponible sur la barque du sabreur commençait à se remplir peu à peu. En effet, voilà qu'il quittait le Baratie, accompagné d'un nouveau membre d'équipage jusqu'à son arrivée au Nouveau Monde, Mizu Haku.
L'homme-poisson n'était guère trop impressionnant physiquement, bien qu'il s'entraînait pourtant, et que ça pouvait se voir à certains endroits.
A priori, le semi-homme était croisé avec une carpe, au vu des caractéristiques spécifiques de cet espèce. En effet, sa tête s'avérait relativement plate, et un brin allongée, alors que sa gueule laissait pendre des sortes de moustaches de peau au niveau des lèvres inférieures et un peu plus bas dans le cou. Ses yeux, bien dans leurs orbites, étaient d'une couleur brune, rare point commun qu'il entretenait avec son nouveau capitaine. Ses joues tombaient mollement au niveau de son cou, comme il était souvent le cas pour les personnes ayant un âge assez avancé. Une raie d'écailles se trouvait sur son crâne, descendant jusqu'au début de son échine.
L'homme-poisson était relativement musclé, s'entretenant un minimum physiquement, à priori, comme on pouvait le constater grâce à des avants-bras légèrement gonflés, tout comme ses bras, et également au niveau de son torse, ses pectoraux s’avérant, à défaut d'être un peu plats, bien sculptés. Au niveau de ses avant-bras, d'ailleurs, on trouvait une première raie d'écailles relativement courtes, alors qu'un peut plus haut, juste sous le coude, s'en trouvait une d'environ une trentaine de centimètres. On aurait presque pu croire qu'il était capable de couper quelque chose avec. Ses jambes était dans les mêmes idées de proportion, Mizu faisant environ un mètre quatre-vingt pour une soixantaine de kilos. Finalement, pour compléter le tableau, le cuisinier voyait son corps recouvert d'écailles, logique, étant donné qu'il était un homme-poisson, mais également de petites tâches orangées, au niveau des bras, entre autre, et aussi sur les coudes, et les avant-bras.
En guise de tenue, le poisson portait encore sa tenue de cuisinier, toute blanche, avec quelques tâches diverses, ici et là. Il avait toutefois abandonné sa toque, l'ayant sûrement laissé sur le Baratie, comme un souvenir de toutes ses années de bon et loyaux service.
Les deux pirates avaient pu échanger alors que Genkishi était occupé à ramer, l'homme-poisson lui expliquant qu'il avait quitté sa contrée natal voilà de ça il y a une vingtaine d'années, écumant les mers bleues depuis, afin d'en apprendre toujours plus sur les techniques de cuisines, et les spécialités servies à la surface. Si le sabreur était relativement posé, alors Mizu Haku était certainement une force tranquille. Sa voix, presque monotone parfois, ne haussait pas de ton, malgré les vagues qui s'écrasaient contre la petite embarcation. L'épéiste avait également pu définir qu'il était un peu âgé, sans toutefois lui avoir demandé directement son âge. Effectivement, on aurait dit un sage d'un autre temps, lorsqu'il s'exprimait. Et ce n'était pas qu'une impression, mis à part la cuisine, le cuisinier, oui, avait l'air d'en connaître pas mal sur les différentes mer du globe. On sentait l'expérience qui parlait, en tout cas.
Pendant le voyage, les deux hommes avaient notamment discutés du fait de se trouver un navire digne de ce nom assez rapidement. Il était absolument évident qu'il leur était impossible de continuer en barque plus longtemps, au vu des dangers dont ils avaient au moins entendu parler, sur la Route de tous les Périls.
Et aussi, pour que le poisson ait la possibilité de cuisiner sur le navire, ce qui était primordial, afin de maintenir la bonne forme de l'équipage. Sait-on jamais si ils avaient à naviguer une petite semaine, et qu'ils n'avaient pas la possibilité de préparer quelque chose de consistant, ça pourrait vite devenir compliqué.
Alors qu'ils échangeaient quelques broutilles de plus, la barque pénétrait bientôt dans la zone de ce qui avait l'air d'être un archipel. Des îles se trouvaient ici et là, dont beaucoup d'entre elles semblaient recouvertes par des déserts de cendre, d'autres, par des reliefs montagneux qui empêchaient tout espoir de pouvoir s'amarrer à quoi que ce soit, et de les explorer. Genkishi n'avait jamais rien vu d'aussi exotique, et semblait fasciné, alors que ses bras commençaient à fatiguer de cette nouvelle traversée, qui avait encore bien duré une petite journée, et une nuit, durant laquelle ils s'étaient échangés les rôles avec son nouveau camarade.
Bientôt, ils finirent par apercevoir une sorte de grande muraille, à même la mer, et en se rapprochant, ils ne purent que constater que celle-ci, en plus d'être bardée de canons, servait de protection pour une ville assez importante, nichée contre une façade d'un volcan, de ce qu'il pouvait comprendre des fumerolles qui s'échappaient de la montagne, point le plus haut de l'île.
Le sabreur rama encore quelques minutes, jusqu'à arriver à quai, se contentant d'un tout petit pont de bois où s'arrêter, entre les nombreux navires qui se trouvaient alors au port. La plupart étaient construit dans un style assez orientale, ayant une taille dans les normes, ni trop grands, mais toutefois bien plus que ce qui servait pour le transport de l'équipage de deux pirates. Les deux hommes posèrent alors pieds à terre, prêt à découvrir cette nouvelle île où ils venaient d’atterrir.
L'homme-poisson n'était guère trop impressionnant physiquement, bien qu'il s'entraînait pourtant, et que ça pouvait se voir à certains endroits.
A priori, le semi-homme était croisé avec une carpe, au vu des caractéristiques spécifiques de cet espèce. En effet, sa tête s'avérait relativement plate, et un brin allongée, alors que sa gueule laissait pendre des sortes de moustaches de peau au niveau des lèvres inférieures et un peu plus bas dans le cou. Ses yeux, bien dans leurs orbites, étaient d'une couleur brune, rare point commun qu'il entretenait avec son nouveau capitaine. Ses joues tombaient mollement au niveau de son cou, comme il était souvent le cas pour les personnes ayant un âge assez avancé. Une raie d'écailles se trouvait sur son crâne, descendant jusqu'au début de son échine.
L'homme-poisson était relativement musclé, s'entretenant un minimum physiquement, à priori, comme on pouvait le constater grâce à des avants-bras légèrement gonflés, tout comme ses bras, et également au niveau de son torse, ses pectoraux s’avérant, à défaut d'être un peu plats, bien sculptés. Au niveau de ses avant-bras, d'ailleurs, on trouvait une première raie d'écailles relativement courtes, alors qu'un peut plus haut, juste sous le coude, s'en trouvait une d'environ une trentaine de centimètres. On aurait presque pu croire qu'il était capable de couper quelque chose avec. Ses jambes était dans les mêmes idées de proportion, Mizu faisant environ un mètre quatre-vingt pour une soixantaine de kilos. Finalement, pour compléter le tableau, le cuisinier voyait son corps recouvert d'écailles, logique, étant donné qu'il était un homme-poisson, mais également de petites tâches orangées, au niveau des bras, entre autre, et aussi sur les coudes, et les avant-bras.
En guise de tenue, le poisson portait encore sa tenue de cuisinier, toute blanche, avec quelques tâches diverses, ici et là. Il avait toutefois abandonné sa toque, l'ayant sûrement laissé sur le Baratie, comme un souvenir de toutes ses années de bon et loyaux service.
Les deux pirates avaient pu échanger alors que Genkishi était occupé à ramer, l'homme-poisson lui expliquant qu'il avait quitté sa contrée natal voilà de ça il y a une vingtaine d'années, écumant les mers bleues depuis, afin d'en apprendre toujours plus sur les techniques de cuisines, et les spécialités servies à la surface. Si le sabreur était relativement posé, alors Mizu Haku était certainement une force tranquille. Sa voix, presque monotone parfois, ne haussait pas de ton, malgré les vagues qui s'écrasaient contre la petite embarcation. L'épéiste avait également pu définir qu'il était un peu âgé, sans toutefois lui avoir demandé directement son âge. Effectivement, on aurait dit un sage d'un autre temps, lorsqu'il s'exprimait. Et ce n'était pas qu'une impression, mis à part la cuisine, le cuisinier, oui, avait l'air d'en connaître pas mal sur les différentes mer du globe. On sentait l'expérience qui parlait, en tout cas.
Pendant le voyage, les deux hommes avaient notamment discutés du fait de se trouver un navire digne de ce nom assez rapidement. Il était absolument évident qu'il leur était impossible de continuer en barque plus longtemps, au vu des dangers dont ils avaient au moins entendu parler, sur la Route de tous les Périls.
Et aussi, pour que le poisson ait la possibilité de cuisiner sur le navire, ce qui était primordial, afin de maintenir la bonne forme de l'équipage. Sait-on jamais si ils avaient à naviguer une petite semaine, et qu'ils n'avaient pas la possibilité de préparer quelque chose de consistant, ça pourrait vite devenir compliqué.
Alors qu'ils échangeaient quelques broutilles de plus, la barque pénétrait bientôt dans la zone de ce qui avait l'air d'être un archipel. Des îles se trouvaient ici et là, dont beaucoup d'entre elles semblaient recouvertes par des déserts de cendre, d'autres, par des reliefs montagneux qui empêchaient tout espoir de pouvoir s'amarrer à quoi que ce soit, et de les explorer. Genkishi n'avait jamais rien vu d'aussi exotique, et semblait fasciné, alors que ses bras commençaient à fatiguer de cette nouvelle traversée, qui avait encore bien duré une petite journée, et une nuit, durant laquelle ils s'étaient échangés les rôles avec son nouveau camarade.
Bientôt, ils finirent par apercevoir une sorte de grande muraille, à même la mer, et en se rapprochant, ils ne purent que constater que celle-ci, en plus d'être bardée de canons, servait de protection pour une ville assez importante, nichée contre une façade d'un volcan, de ce qu'il pouvait comprendre des fumerolles qui s'échappaient de la montagne, point le plus haut de l'île.
Le sabreur rama encore quelques minutes, jusqu'à arriver à quai, se contentant d'un tout petit pont de bois où s'arrêter, entre les nombreux navires qui se trouvaient alors au port. La plupart étaient construit dans un style assez orientale, ayant une taille dans les normes, ni trop grands, mais toutefois bien plus que ce qui servait pour le transport de l'équipage de deux pirates. Les deux hommes posèrent alors pieds à terre, prêt à découvrir cette nouvelle île où ils venaient d’atterrir.