On navigue depuis des jours sur cette mer de nuages blancs. Rien en vue, dans aucune direction.On doit être dans le trou du cul du monde. Mon haki me sert à nous guider, à voir s'il y a des choses imperceptible à l’œil nu. Hélas, aucun résultat positif. Alors on a pris un courant de nuage pour gagner en vitesse. On se dit que, peut-être le long du fleuve ou à la fin, il y aura des constructions. Je regarde rapidement les nouvelles dans le journal. Blablabla, blablabla, Treize. Ah, ça devient intéressant. Jin Blackbone serait venu sur l'île pour tenter d'en prendre le contrôle en l'absence de Teach. Amber Frost est venu se joindre à la fête. Puis Teach lui même est arrivé. Il s'est chargé d'Amber Frost qui a réussit à s'échapper, contrairement à Jin Blackbone qui a pris la colère du Malvoulant sur lui. Un prétendant au trône de moins, c'est toujours ça de pris. Ravrak n'a toujours pas donné de nouvelles, et Kiyori n'est pas une menace directement pour moi. Je continue d'épousseter les pages quand un truc s'approche de nous. C'est aussi gros que le bateau, aussi rapide, voire plus. Impossible que ne nous ai pas senti, vu ou entendu. Il vient clairement pour nous. Plus elle s rapproche, et plus je distingue ses contours.
« A vos postes ! Chacun à sa place, et que ça saute. On va avoir de l'action. »
Personne ne comprend, mais tout le monde obéit. En quelques secondes, c'est l'effervescence sur le navire, plus personne ne glande.D'un coup, une pince géante jaillit des nuages et s'écrase sur le pont supérieur. J'estime sa taille à 1 mètre de largeur. Je suppose donc que son corps est bien plus gros. Il doit faire 5 mètres d'envergure. Deux yeux globuleux sortent de l'eau et nous scrutent. Chacun d'eux fait la taille d'une vache. Une seconde pince jaillit de l'autre côté du bateau et l'enserre. Mon navire commence à se faire écraser. Il doit y avoir une sacrée force dans ces armes pour pouvoir abîmer mon bateau ainsi. Mon sang ne fait qu'un tour. D'un geppou je saute dans les airs et m'approche de la pince qui tient mon embarcation. Je frappe avec mon sabre aussi fort que possible juste après la pince, de manière à toucher une partie non carapacée. Résultat, l'animal lâche prise en sentant son arme être détachée de son bras. Il émet une sorte de cri. Je crée plusieurs lames d'air dans la direction de son crâne, voir si je peux passer ses défenses. Hélas, non. Les parties protégées ont l'air d'avoir une bonne résistance. L'animal ne semble pas être content que je lui ai tranché un membre aussi facilement. Pour preuve, il en sort six autres. Nous avons donc sept pinces de crabes, toute aussi grosses que des vaches, qui descendent à toute vitesse sur mon bateau. Il les abats une par une, ce qui me laisse juste assez de temps pour en bloquer, la repousser, passer à la suivante et recommencer. C'est fatiguant, je ne vais pas faire ça longtemps.
Je ressors mon sabre, et tranche une nouvelle patte. On entend un couinement venant de sous le bateau. La bestiole doit s'y être accroché. Sentant ce qui risque d'arriver, j'ordonne à mes hommes de rentrer e, sécurité dans le bateau. Il a beau être petit, avec le bois de très bonne qualité et le renforcement de Rokade, il peut supporter sans trop de soucis presque tout. Le crustacé tourne autour du bateau pour grimper sur le pont supérieur. Nos yeux se croisent. Il a sûrement l'habitude d'être le prédateur, pas la proie. Une danse s'en suit où il m'attaque avec ses six pinces restantes. Je n'ai aucun mal à voir ses attaques venir, et donc à les esquiver grâce à mon empathie. En près de cent attaques, il ne m'a même pas frôlé une fois. Mais ça commence à devenir long, alors je passe à la contre-attaque. Je laisse une pince s'approcher de moi à ma droite. Je lève mon avant bras droit et attrape la patte, puis bascule en arrière aussi fort que possible. La créature se retrouve déséquilibré, les pattes en l'air. Je la lâche pour qu'elle me tombe dessus. Avant que nos corps ne se touchent, je lance plusieurs dizaines de poings d'air pour la faire monter en l'air. Une fois qu'elle est assez haute, je grimpe avec des geppous. Puis je la mitraille de droite et de gauche, de crochet … Elle couine la bestiole, elle a mal. Elle n'aurait pas du nous prendre pour un casse-croûte. Confondre une proie avec une prédateur, c'est jamais bon signe. J'attrape sa patte et la fait tourner, puis je la jette aussi fort que possible vers la mer, ce qui entraîne le crustacé qui disparaît dans la mer blanche. Je redescend tranquillement sur l'Indomptable.
« A vos postes ! Chacun à sa place, et que ça saute. On va avoir de l'action. »
Personne ne comprend, mais tout le monde obéit. En quelques secondes, c'est l'effervescence sur le navire, plus personne ne glande.D'un coup, une pince géante jaillit des nuages et s'écrase sur le pont supérieur. J'estime sa taille à 1 mètre de largeur. Je suppose donc que son corps est bien plus gros. Il doit faire 5 mètres d'envergure. Deux yeux globuleux sortent de l'eau et nous scrutent. Chacun d'eux fait la taille d'une vache. Une seconde pince jaillit de l'autre côté du bateau et l'enserre. Mon navire commence à se faire écraser. Il doit y avoir une sacrée force dans ces armes pour pouvoir abîmer mon bateau ainsi. Mon sang ne fait qu'un tour. D'un geppou je saute dans les airs et m'approche de la pince qui tient mon embarcation. Je frappe avec mon sabre aussi fort que possible juste après la pince, de manière à toucher une partie non carapacée. Résultat, l'animal lâche prise en sentant son arme être détachée de son bras. Il émet une sorte de cri. Je crée plusieurs lames d'air dans la direction de son crâne, voir si je peux passer ses défenses. Hélas, non. Les parties protégées ont l'air d'avoir une bonne résistance. L'animal ne semble pas être content que je lui ai tranché un membre aussi facilement. Pour preuve, il en sort six autres. Nous avons donc sept pinces de crabes, toute aussi grosses que des vaches, qui descendent à toute vitesse sur mon bateau. Il les abats une par une, ce qui me laisse juste assez de temps pour en bloquer, la repousser, passer à la suivante et recommencer. C'est fatiguant, je ne vais pas faire ça longtemps.
Je ressors mon sabre, et tranche une nouvelle patte. On entend un couinement venant de sous le bateau. La bestiole doit s'y être accroché. Sentant ce qui risque d'arriver, j'ordonne à mes hommes de rentrer e, sécurité dans le bateau. Il a beau être petit, avec le bois de très bonne qualité et le renforcement de Rokade, il peut supporter sans trop de soucis presque tout. Le crustacé tourne autour du bateau pour grimper sur le pont supérieur. Nos yeux se croisent. Il a sûrement l'habitude d'être le prédateur, pas la proie. Une danse s'en suit où il m'attaque avec ses six pinces restantes. Je n'ai aucun mal à voir ses attaques venir, et donc à les esquiver grâce à mon empathie. En près de cent attaques, il ne m'a même pas frôlé une fois. Mais ça commence à devenir long, alors je passe à la contre-attaque. Je laisse une pince s'approcher de moi à ma droite. Je lève mon avant bras droit et attrape la patte, puis bascule en arrière aussi fort que possible. La créature se retrouve déséquilibré, les pattes en l'air. Je la lâche pour qu'elle me tombe dessus. Avant que nos corps ne se touchent, je lance plusieurs dizaines de poings d'air pour la faire monter en l'air. Une fois qu'elle est assez haute, je grimpe avec des geppous. Puis je la mitraille de droite et de gauche, de crochet … Elle couine la bestiole, elle a mal. Elle n'aurait pas du nous prendre pour un casse-croûte. Confondre une proie avec une prédateur, c'est jamais bon signe. J'attrape sa patte et la fait tourner, puis je la jette aussi fort que possible vers la mer, ce qui entraîne le crustacé qui disparaît dans la mer blanche. Je redescend tranquillement sur l'Indomptable.