Suna Land.
South Blue, Suna Land, Village de Toon, FB 1627.
Mes mains sont moites et la poignée de mon arme est chaude. Je rôde dans le coin depuis deux bonnes heures, tel un voleur de pacotille et Bastet a disparue, je suis entourée de poiscaille et j'ai franchement pas envie de rester plus longtemps ici. J'aurais du plus m'intéresser à cette foutue mission à la place de venir ici, les yeux fermés, dans cet endroit maudit.
Quelques jours au-par-avant :
Pulu, pulu pulu, pulu pulu pulu, pulu pulu pulu, pu Gatcha !
Allo... Allo... Je suis bien chez Hojimo Sakina ?
Oui, à qui ai-je l'honneur ?
Monsieur Calamar.
Je peux vous demander qui vous a donné le numéro de mon den den ? Peu de gens savent même que j'en ai un.
J'ai beaucoup de connaissances madame, on pourrait dire que j'ai les bras longs, hyuri, hyuri, hyuri !
Ok.. Je vous écoute, on sais jamais ?
Je vous appelle pour vous informer la présence d'un primé aux abords de l'île de Suna Land. À vrai dire, c’est mon voisin qui le cache et...
A combien s'élève sa prime ?
Cinq millions et je suis même prêt à vous donner deux millions de plus, si vous détruisez la maison qu'il occupe.
Bien ! Je peux être sur Suna Land dans deux jours, où peut-on se retrouver ?
Sur un des premiers rochers au nord de la petite île de Toon, vous pensez arriver vers quelle heure ?
À midi tapante ! À dans deux jours !
BASTET !! On se bouge, on doit trouver un bateau pour aller sur l'île de Toon !
Sept jolis millions de berrys ! L'idée de gonfler un peu plus ma richesse m'excite indubitablement, je suis incapable de rester sur place en sachant que sept millions de berrys sont à porter de mes mains. Quelques malheureuses minutes me suffisent à faire notre sac à moi et Bastet, les douilles sont dans le chargeur et Bastet est....
BASTET DEPECHE-TOI, TU FOUS QUOI, T'ES OÙ ?!?!?!???
ATTEND, J'ARRIVE !
Une longue minute à attendre plus tard, la porte s'ouvre. Bastet y sort vêtue seulement de son pantalon, avec en main deux hauts différents.
Tu crois que je dois mettre celui-là ou celui-là... OUUUUUUUUUUUU celui-là, pour aller avec mon jean ?
Le troisième choix de Bastet se trouvait sur le bout de sa queue, quelle absurdité ! La voir jouer à la poupée alors que j'avais déjà tout préparé me fait limite grogner de rage. Les sept millions nous attendent BON SANG ! Je jette le sac remplit de nos affaires à Bastet, qui encaisse avec son corps cette petite charge, en lui hurlant:
DEPECHE-TOI MAINTENANT ! CES BERRYS VONT PAS RESTER LA TOUTE LEUR VIE !
Bastet enfila un des hauts et après avoir payé l'hôtel nous voilà bien vite dehors, on se rend au port et nous mettons directement la main ou plutôt les pieds sur un bateau de voyage qui fait des aller-retour jusqu'à Suna Land.
Le trajet dure vingt-quatre heures, soit une journée à faire les cent pas, à trouver le temps long et à ne penser qu’à tout cet argent que ce soit éveillé ou endormis les berrys que je pourrais avoir à porter de main me semblent toujours bien réels. L'ancre est jetée et HOP on se retrouve sur les quais, un restaurant, un hôtel, quelques heures de sommeil, ZzZZzzzz, ZZzzZzz et mes yeux s'ouvrent enfin sur cette belle journée où je vais pouvoir me mettre sept millions en poche !!
Ça va Bastet t'as bien dormis ? T'es en forme aujourd’hui j'espère, hi, hi, hi, hi, hi, hi !
Super en forme et prête à lacérer n'importe quel ennemi !
Bien allons-y alors hi, hi !
Nous revoilà dans le port à demander de l'aide à d'autres marins, histoire qu'ils nous emmènent près de mon lieu de rendez-vous. Un homme, la trentaine, accepte de nous y emmener pour une modique somme et en une vingtaine de minutes nous voilà au lieu de rendez-vous, quelques minutes en avance, bien sûr !
Faudrait vraiment qu'on se trouve un bateau, ça en devient ridicule à ce point..
Je te le fais pas dire.
J'ai bien envie d'aller déjà jeter un coup d’œil dans la ville, mais on doit attendre notre contact, j’ai pas envie de le louper. Quant à toi, reste en chat au cas ou il se passe quelque chose et fait gaffe à pas glisser dans l'eau surtout.
Oui t’inquiètes, je ne peux mal !
Quelques minutes passent et très vite le silence entre moi et ma camarade s'installe. Alors que le doute s'immisce de plus en plus dans mon esprit sur la qualité de mon contact, un gros SPLUTSH venant de derrière, nous surprit toutes deux. Une silhouette d'homme se tenait devant nous dégoulinant d'eau de mer.
Bonjour, je suis monsieur Calamar, enchanté de vous rencontrer !
AHHHHHHHH !
Un des tentacules de ce véritable monstre se baladait devant moi, sûrement pour m'aspirer d'une de ces ventouses, hors de question que ça se passe comme ça. Terrifier j'attrape Bastet par la peau du cou et commence à m'enfuir le plus vite possible vers le village de Toon, l'homme poisson tente de me retenir par tous les moyens, ne se déplaçant sûrement pas assez vite sur la terre ferme, il use de parole, mais je suis plus intelligente et surtout trop effrayée pour m'arrêter sur ce qu'il dit.
MADAME Hojimo, c’est moi monsieur Calamar, revenez !!!
J’ai besoin de vous, aidez-moi, s'il vous plait !!!!
Nous voilà au centre du village, essoufflée par le sprint que je viens de faire, je suis penchée vers l'avant main droite sur la poitrine en train d'effectuer quelques grandes inspirations pour reprendre mon souffle, la peau de la nuque de Bastet toujours entre les doigts de ma main gauche.
Fiou, on a eu chaud t’as vu ce monstre... Encore bien qu'il ressemblait pas trop... À un poisson celui-là, c’est la première fois.... Que j'en vois un de si près, d'homme poisson.
Exténuée je finis tout de même par me redresser pour tomber nez à nez avec un groupe d'hommes et de femmes poissons.
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHH !!!
Je prends mon gun en main toute en reculant de quelques pas avant de me retourner et de détaler comme un lapin vers un lieu moins poissonneux, observée par tous ces yeux de poiscailles, je cours à travers la ville jusqu’à ce que je trébuche, finissant par chance ma course dans du matériel de pêche. Profitant de ce bordel pour me cacher et récupérer mon souffle.
Des poissons qui pêchent des poissons........ Ils sont sérieux ? Bastet tu..
Abasourdie, je remarque l'absence de Bastet dans ma main gauche. Ce qui laisse place à d'horribles pensées.
Quelle horreur si ça se met je l’ai lâché dans l'eau ou un de ces méchants hommes poissons la mangée, qu’est-ce que je vais faire ici toute seule complètement prise au piège... Non, non il faut que je me ressaisisse, Bastet a besoin de moi, je dois faire quelque chose !
Après une lente respiration je m'extirpe de ma planque sans être vu et commence à chercher mon amie féline à travers cette maudite île.
Mes mains sont moites et la poignée de mon arme est chaude. Je rôde dans le coin depuis deux bonnes heures, tel un voleur de pacotilles et Bastet a disparue, je suis entourée de poiscailles et j'ai franchement pas envie de rester plus longtemps ici. J'aurais dû, plus m'intéresser à cette foutue mission à la place de venir ici, les yeux fermés dans cet endroit maudis.
Collée dos au mur je passe légèrement ma tête pour voir de l'autre côté et à cet instant, une présence vient s'ajouter à la mienne. Avec terreur je tourne D-O-U-C-E-M-E-N-T la tête vers cette personne, pour m'apercevoir que c’est Bastet sous forme humaine, en train de se curer les dents avec une arête. Le geste est rapide et remplis de haine, POC ! Un coup de poing sur le crâne bien mérité.
T'étais ou bordel, ça fait deux heures que je te cherche !
Je goûtais la cuisine de l'île, regarde cette arête, on pourrait presque en faire une épée !
Donne-moi ça, il faut qu'on dégage d'ici !
Mais pourquoi ils sont cool, en plus ils sentent super bon.
Conversation clôturée après ces sages paroles, je m'empresse suivie de Bastet, de rejoindre le bord de l'île côté nord-est, on peut y voir les montagnes russes de Suna Land, un endroit remplit que de gens qui me ressemblent !
Bastet tu vas te mettre en chat et grimper sur mon dos, puis tu m'agrippes bien le cou avec tes pattes.
T'es folle ! J’ai jamais aimé l'eau, je peux pas, on voit à peine l'autre côté !
T'inquiète je vais nous emmener là-bas, il faut pas qu'on reste ici, monte sur moi maintenant et on y va !
Après lui avoir presque supplié à genoux d'avoir confiance en moi, scène que j’ai donc décidée de couper au montage, elle grimpe sur mon dos et agrippât mon cou de ses petites pattes poilues !
Prête Bastet ? Tien-moi bien et garde un maximum ton corps hors de l'eau.
Prête !
L'eau froide m'arrive à la poitrine quand je commence à nager, Bastet s'affole un peu et sort rapidement les griffes comme je me l'étais imaginé. Je plonge entièrement dans l'eau, laissant ma petite collègue utilisatrice du Hito Hito no Mi perdre ses forces et une fois libérée de ses griffes, l'agrippe par la peau du cou pour la deuxième fois aujourd’hui. La nage fût longue, mon arme, mes habits et Bastet comme poids mais l'adrénaline me permit de faire la première bonne partie du chemin et l'envie des attractions que je voyais approcher pour me réconforter la deuxième.
South Blue, Suna Land, Village de Toon, FB 1627.
Mes mains sont moites et la poignée de mon arme est chaude. Je rôde dans le coin depuis deux bonnes heures, tel un voleur de pacotille et Bastet a disparue, je suis entourée de poiscaille et j'ai franchement pas envie de rester plus longtemps ici. J'aurais du plus m'intéresser à cette foutue mission à la place de venir ici, les yeux fermés, dans cet endroit maudit.
Quelques jours au-par-avant :
Pulu, pulu pulu, pulu pulu pulu, pulu pulu pulu, pu Gatcha !
Allo... Allo... Je suis bien chez Hojimo Sakina ?
Oui, à qui ai-je l'honneur ?
Monsieur Calamar.
Je peux vous demander qui vous a donné le numéro de mon den den ? Peu de gens savent même que j'en ai un.
J'ai beaucoup de connaissances madame, on pourrait dire que j'ai les bras longs, hyuri, hyuri, hyuri !
Ok.. Je vous écoute, on sais jamais ?
Je vous appelle pour vous informer la présence d'un primé aux abords de l'île de Suna Land. À vrai dire, c’est mon voisin qui le cache et...
A combien s'élève sa prime ?
Cinq millions et je suis même prêt à vous donner deux millions de plus, si vous détruisez la maison qu'il occupe.
Bien ! Je peux être sur Suna Land dans deux jours, où peut-on se retrouver ?
Sur un des premiers rochers au nord de la petite île de Toon, vous pensez arriver vers quelle heure ?
À midi tapante ! À dans deux jours !
BASTET !! On se bouge, on doit trouver un bateau pour aller sur l'île de Toon !
Sept jolis millions de berrys ! L'idée de gonfler un peu plus ma richesse m'excite indubitablement, je suis incapable de rester sur place en sachant que sept millions de berrys sont à porter de mes mains. Quelques malheureuses minutes me suffisent à faire notre sac à moi et Bastet, les douilles sont dans le chargeur et Bastet est....
BASTET DEPECHE-TOI, TU FOUS QUOI, T'ES OÙ ?!?!?!???
ATTEND, J'ARRIVE !
Une longue minute à attendre plus tard, la porte s'ouvre. Bastet y sort vêtue seulement de son pantalon, avec en main deux hauts différents.
Tu crois que je dois mettre celui-là ou celui-là... OUUUUUUUUUUUU celui-là, pour aller avec mon jean ?
Le troisième choix de Bastet se trouvait sur le bout de sa queue, quelle absurdité ! La voir jouer à la poupée alors que j'avais déjà tout préparé me fait limite grogner de rage. Les sept millions nous attendent BON SANG ! Je jette le sac remplit de nos affaires à Bastet, qui encaisse avec son corps cette petite charge, en lui hurlant:
DEPECHE-TOI MAINTENANT ! CES BERRYS VONT PAS RESTER LA TOUTE LEUR VIE !
Bastet enfila un des hauts et après avoir payé l'hôtel nous voilà bien vite dehors, on se rend au port et nous mettons directement la main ou plutôt les pieds sur un bateau de voyage qui fait des aller-retour jusqu'à Suna Land.
Le trajet dure vingt-quatre heures, soit une journée à faire les cent pas, à trouver le temps long et à ne penser qu’à tout cet argent que ce soit éveillé ou endormis les berrys que je pourrais avoir à porter de main me semblent toujours bien réels. L'ancre est jetée et HOP on se retrouve sur les quais, un restaurant, un hôtel, quelques heures de sommeil, ZzZZzzzz, ZZzzZzz et mes yeux s'ouvrent enfin sur cette belle journée où je vais pouvoir me mettre sept millions en poche !!
Ça va Bastet t'as bien dormis ? T'es en forme aujourd’hui j'espère, hi, hi, hi, hi, hi, hi !
Super en forme et prête à lacérer n'importe quel ennemi !
Bien allons-y alors hi, hi !
Nous revoilà dans le port à demander de l'aide à d'autres marins, histoire qu'ils nous emmènent près de mon lieu de rendez-vous. Un homme, la trentaine, accepte de nous y emmener pour une modique somme et en une vingtaine de minutes nous voilà au lieu de rendez-vous, quelques minutes en avance, bien sûr !
Faudrait vraiment qu'on se trouve un bateau, ça en devient ridicule à ce point..
Je te le fais pas dire.
J'ai bien envie d'aller déjà jeter un coup d’œil dans la ville, mais on doit attendre notre contact, j’ai pas envie de le louper. Quant à toi, reste en chat au cas ou il se passe quelque chose et fait gaffe à pas glisser dans l'eau surtout.
Oui t’inquiètes, je ne peux mal !
Quelques minutes passent et très vite le silence entre moi et ma camarade s'installe. Alors que le doute s'immisce de plus en plus dans mon esprit sur la qualité de mon contact, un gros SPLUTSH venant de derrière, nous surprit toutes deux. Une silhouette d'homme se tenait devant nous dégoulinant d'eau de mer.
Bonjour, je suis monsieur Calamar, enchanté de vous rencontrer !
AHHHHHHHH !
Un des tentacules de ce véritable monstre se baladait devant moi, sûrement pour m'aspirer d'une de ces ventouses, hors de question que ça se passe comme ça. Terrifier j'attrape Bastet par la peau du cou et commence à m'enfuir le plus vite possible vers le village de Toon, l'homme poisson tente de me retenir par tous les moyens, ne se déplaçant sûrement pas assez vite sur la terre ferme, il use de parole, mais je suis plus intelligente et surtout trop effrayée pour m'arrêter sur ce qu'il dit.
MADAME Hojimo, c’est moi monsieur Calamar, revenez !!!
J’ai besoin de vous, aidez-moi, s'il vous plait !!!!
Nous voilà au centre du village, essoufflée par le sprint que je viens de faire, je suis penchée vers l'avant main droite sur la poitrine en train d'effectuer quelques grandes inspirations pour reprendre mon souffle, la peau de la nuque de Bastet toujours entre les doigts de ma main gauche.
Fiou, on a eu chaud t’as vu ce monstre... Encore bien qu'il ressemblait pas trop... À un poisson celui-là, c’est la première fois.... Que j'en vois un de si près, d'homme poisson.
Exténuée je finis tout de même par me redresser pour tomber nez à nez avec un groupe d'hommes et de femmes poissons.
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHH !!!
Je prends mon gun en main toute en reculant de quelques pas avant de me retourner et de détaler comme un lapin vers un lieu moins poissonneux, observée par tous ces yeux de poiscailles, je cours à travers la ville jusqu’à ce que je trébuche, finissant par chance ma course dans du matériel de pêche. Profitant de ce bordel pour me cacher et récupérer mon souffle.
Des poissons qui pêchent des poissons........ Ils sont sérieux ? Bastet tu..
Abasourdie, je remarque l'absence de Bastet dans ma main gauche. Ce qui laisse place à d'horribles pensées.
Quelle horreur si ça se met je l’ai lâché dans l'eau ou un de ces méchants hommes poissons la mangée, qu’est-ce que je vais faire ici toute seule complètement prise au piège... Non, non il faut que je me ressaisisse, Bastet a besoin de moi, je dois faire quelque chose !
Après une lente respiration je m'extirpe de ma planque sans être vu et commence à chercher mon amie féline à travers cette maudite île.
Mes mains sont moites et la poignée de mon arme est chaude. Je rôde dans le coin depuis deux bonnes heures, tel un voleur de pacotilles et Bastet a disparue, je suis entourée de poiscailles et j'ai franchement pas envie de rester plus longtemps ici. J'aurais dû, plus m'intéresser à cette foutue mission à la place de venir ici, les yeux fermés dans cet endroit maudis.
Collée dos au mur je passe légèrement ma tête pour voir de l'autre côté et à cet instant, une présence vient s'ajouter à la mienne. Avec terreur je tourne D-O-U-C-E-M-E-N-T la tête vers cette personne, pour m'apercevoir que c’est Bastet sous forme humaine, en train de se curer les dents avec une arête. Le geste est rapide et remplis de haine, POC ! Un coup de poing sur le crâne bien mérité.
T'étais ou bordel, ça fait deux heures que je te cherche !
Je goûtais la cuisine de l'île, regarde cette arête, on pourrait presque en faire une épée !
Donne-moi ça, il faut qu'on dégage d'ici !
Mais pourquoi ils sont cool, en plus ils sentent super bon.
Conversation clôturée après ces sages paroles, je m'empresse suivie de Bastet, de rejoindre le bord de l'île côté nord-est, on peut y voir les montagnes russes de Suna Land, un endroit remplit que de gens qui me ressemblent !
Bastet tu vas te mettre en chat et grimper sur mon dos, puis tu m'agrippes bien le cou avec tes pattes.
T'es folle ! J’ai jamais aimé l'eau, je peux pas, on voit à peine l'autre côté !
T'inquiète je vais nous emmener là-bas, il faut pas qu'on reste ici, monte sur moi maintenant et on y va !
Après lui avoir presque supplié à genoux d'avoir confiance en moi, scène que j’ai donc décidée de couper au montage, elle grimpe sur mon dos et agrippât mon cou de ses petites pattes poilues !
Prête Bastet ? Tien-moi bien et garde un maximum ton corps hors de l'eau.
Prête !
L'eau froide m'arrive à la poitrine quand je commence à nager, Bastet s'affole un peu et sort rapidement les griffes comme je me l'étais imaginé. Je plonge entièrement dans l'eau, laissant ma petite collègue utilisatrice du Hito Hito no Mi perdre ses forces et une fois libérée de ses griffes, l'agrippe par la peau du cou pour la deuxième fois aujourd’hui. La nage fût longue, mon arme, mes habits et Bastet comme poids mais l'adrénaline me permit de faire la première bonne partie du chemin et l'envie des attractions que je voyais approcher pour me réconforter la deuxième.