« Petits pois... Check ! Navets… Check ! Laitue… Check ! Carotte… Check ! Persil… Pas check ! Bon sang va falloir que j’en rachète… »
J’hésitai à arrêter la cuisine pour ce soir et recommencer demain midi après le marché, mais il y avait ce vide qui s’installait en moi qui ne souhaitait qu’une chose : être rempli. Je fis donc ma recette sans la totalité des ingrédients et lançai l’ensemble des ingrédients dans ma marmite, sauf les pommes de terre évidemment. Fraîchement cultivées à la périphérie de Luvneelgraad, ces pommes de terre sont particulièrement appréciées par les gourmets en bâtonnet. Etant le genre d’homme voguant à contre-courant, j’allais utiliser ces pommes de terre avec une cuisson à l’eau. Je pouvais déjà entendre les grands noms de la cuisine comme Cyrille Liniak ou Joel Roblochon crier à l’hérésie, mais que nenni je faisais comme bon me semble… Je lançai donc les pommes de terre en même temps que le reste des légumes, attendis ce qui semblait être une éternité mais qui était en réalité qu’une demi-heure. Je sortis ensuite le tout pour le mettre au frigo afin de m’attaquer au morceau et c’était le cas de le dire. Au menu de ce soir : un filet mignon de porc laqué. J’avais profité de cette heure pour préparer la julienne de légumes afin de faire macérer le morceau de porc dans un mélange constitué de sauce soja, de miel, de vinaigre de cidre, de gingembre en poudre et divers autres accompagnements. Je jetai le morceau de porc d’une manière nonchalante dans le saladier et le ressorti une heure plus tard pour le faire cuire à feu vif. Je mis le filet et la préparation dans un récipient, le posa dans le dit four et attendis une demi-heure tout en retournant le filet tous les quarts d’heure. Une fois le tout prêt, je le dressai dans une belle assiette en porcelaine marie-joanne, posa des traits de sauce pour l’esthétique et m’assis devant le chef d’œuvre que je venais de produire.
« Fichtre dieu ça m’a l’air mangeable ! »
Je découpai le morceau de filet, le mangea en même temps que la julienne, mâcha à de nombreuses reprises avant de me rendre compte qu’il y avait un problème, mais je ne le trouvais pas. Je tentai donc à plusieurs reprises de découvrir le problème, mais la solution me vint au visage lorsque j’avais fini l’assiette
« -Le sel bien sûr ! Pas envie d’attraper une hypertension maintenant, je suis encore jeune… »
Je mis le reste du plat à la poubelle, lava le tout et parti me coucher en n’oubliant pas que je devais aller au marché pour refaire le plein d’épices.
J’hésitai à arrêter la cuisine pour ce soir et recommencer demain midi après le marché, mais il y avait ce vide qui s’installait en moi qui ne souhaitait qu’une chose : être rempli. Je fis donc ma recette sans la totalité des ingrédients et lançai l’ensemble des ingrédients dans ma marmite, sauf les pommes de terre évidemment. Fraîchement cultivées à la périphérie de Luvneelgraad, ces pommes de terre sont particulièrement appréciées par les gourmets en bâtonnet. Etant le genre d’homme voguant à contre-courant, j’allais utiliser ces pommes de terre avec une cuisson à l’eau. Je pouvais déjà entendre les grands noms de la cuisine comme Cyrille Liniak ou Joel Roblochon crier à l’hérésie, mais que nenni je faisais comme bon me semble… Je lançai donc les pommes de terre en même temps que le reste des légumes, attendis ce qui semblait être une éternité mais qui était en réalité qu’une demi-heure. Je sortis ensuite le tout pour le mettre au frigo afin de m’attaquer au morceau et c’était le cas de le dire. Au menu de ce soir : un filet mignon de porc laqué. J’avais profité de cette heure pour préparer la julienne de légumes afin de faire macérer le morceau de porc dans un mélange constitué de sauce soja, de miel, de vinaigre de cidre, de gingembre en poudre et divers autres accompagnements. Je jetai le morceau de porc d’une manière nonchalante dans le saladier et le ressorti une heure plus tard pour le faire cuire à feu vif. Je mis le filet et la préparation dans un récipient, le posa dans le dit four et attendis une demi-heure tout en retournant le filet tous les quarts d’heure. Une fois le tout prêt, je le dressai dans une belle assiette en porcelaine marie-joanne, posa des traits de sauce pour l’esthétique et m’assis devant le chef d’œuvre que je venais de produire.
« Fichtre dieu ça m’a l’air mangeable ! »
Je découpai le morceau de filet, le mangea en même temps que la julienne, mâcha à de nombreuses reprises avant de me rendre compte qu’il y avait un problème, mais je ne le trouvais pas. Je tentai donc à plusieurs reprises de découvrir le problème, mais la solution me vint au visage lorsque j’avais fini l’assiette
« -Le sel bien sûr ! Pas envie d’attraper une hypertension maintenant, je suis encore jeune… »
Je mis le reste du plat à la poubelle, lava le tout et parti me coucher en n’oubliant pas que je devais aller au marché pour refaire le plein d’épices.