Je parcoure rapidement la brochure colorée qui tient lieu d'introduction à la marine pour les mineurs. Un joyeux personnage coloré qui a probablement engloutit un mois de financement tant son esthétisme est profond avertit les bleus qu'ils doivent passer un test médical. Le paternel m'aurait probablement filé un mot du genre « pas besoin de faire de test, les abrutis ne tombent jamais malade » s'il m'avait salué de manière convenable. Malheureusement, son âge a eu raison de sa descente légendaire, si ce ne sont peut être les deux bouteilles qu'il s'est enfilé. J'assure ma prise sur les sangles de mon bagage, plus un baluchon qu'un sac de randonnée, mais je n'avais pas des masses à transporter. Je me met en marche vers les tour ivoires striées de bleues que tient lieu de Qg de North blue. Le vent est frais, le ciel est clair et les rues animées, un bon jour en somme.
Je m'élance donc à longue foulées dans les rues gardant un œil sur le plan bariolé qu'offre la brochure. La ville est purement fonctionnelle un bordel de rues étriquées dont la moitiés finissent en cul de sac avec pas une trouzaine de choix d’itinéraires pour profiter du paysage. Bien sûr, si l'on puisse avoir un quelconque intérêt pour une ville banales et absurdement torturée pour perdre tout les non initiés. Un lieu divertissant si l'on est fan de cache-cache et que l'on est pas dérangé par les regards soupçonneux d'une bande de mec en short. Le plus gros problème de la marine réside probablement dans son uniforme... je vais tenter de me débarrasser du mien le plus prestement possible.
Après une marche d'une grosse demi-heure qui me parut une éternité j'arrive devant les portes de la base. J'aurai pu être excité, mais passer devant une vieille dont les replis de sa blouse d’infirmière se confond avec ses bourrelets, me laisse plutôt indifférent. Il s'agit juste d'une perte de temps avant de rentrer dans le vif du sujet. Je présente mon passe à un garde scrupuleux qui ne m'accorde qu'un regard distrait. C'est moi qui parait inoffensif ou c'est eux qui sont hyper laxiste sur le contrôle des visites ? Bah soit, on m'oriente rapidement vers le bureau du toubib local. J'arrive après une série interminable de marche probablement conçue pour mettre l'endurance des participants à l'épreuve dans une salle d'attente qu'on aurait put trouver coquette si l'on est un fan hardcore du style spartiate. Il y a deux trois personnes, mais j'y fait pas tellement gaffe. Je me tape juste dans un coin et prend mon mal en patience... j'aurai du prendre un truc à lire putain. En plus, j'ai la dalle... journée de merde.
Je m'élance donc à longue foulées dans les rues gardant un œil sur le plan bariolé qu'offre la brochure. La ville est purement fonctionnelle un bordel de rues étriquées dont la moitiés finissent en cul de sac avec pas une trouzaine de choix d’itinéraires pour profiter du paysage. Bien sûr, si l'on puisse avoir un quelconque intérêt pour une ville banales et absurdement torturée pour perdre tout les non initiés. Un lieu divertissant si l'on est fan de cache-cache et que l'on est pas dérangé par les regards soupçonneux d'une bande de mec en short. Le plus gros problème de la marine réside probablement dans son uniforme... je vais tenter de me débarrasser du mien le plus prestement possible.
Après une marche d'une grosse demi-heure qui me parut une éternité j'arrive devant les portes de la base. J'aurai pu être excité, mais passer devant une vieille dont les replis de sa blouse d’infirmière se confond avec ses bourrelets, me laisse plutôt indifférent. Il s'agit juste d'une perte de temps avant de rentrer dans le vif du sujet. Je présente mon passe à un garde scrupuleux qui ne m'accorde qu'un regard distrait. C'est moi qui parait inoffensif ou c'est eux qui sont hyper laxiste sur le contrôle des visites ? Bah soit, on m'oriente rapidement vers le bureau du toubib local. J'arrive après une série interminable de marche probablement conçue pour mettre l'endurance des participants à l'épreuve dans une salle d'attente qu'on aurait put trouver coquette si l'on est un fan hardcore du style spartiate. Il y a deux trois personnes, mais j'y fait pas tellement gaffe. Je me tape juste dans un coin et prend mon mal en patience... j'aurai du prendre un truc à lire putain. En plus, j'ai la dalle... journée de merde.