Je parcourais les mers en recherche de justice, ce jour-là je n’allais pas être déçu. Je patrouillais dans une ville d’East Blue, j’avais entendu que des activités criminelles étaient récurrentes dans ce coin de cette Blue et tout comme bon justicier qui se respecte j’avais décidé d’y faire un tour.
Je me trimballais avec mon long manteau noir en cuir pour ne pas me faire repérer. La fermeture de mon manteau je l’avais fermé aussi afin que personne ne voie mon corps robotisé. Mes mains étaient recouvertes toutes les deux d’un gant en cuir noir.
Il ne faisait pas chaud tout comme il ne faisait pas froid. Un temps idéal j’avais envie de dire.
Lors de ma patrouille je trouvais la ville calme, j’avais passé toute une matinée à vagabonder sur les pavés en pierre de cette ville ma foi plutôt jolie. Ses toits rouges foncés aux murs beiges, une colline sur laquelle des maisons à foison surplombaient la ville, à vrai dire elles faisaient même encore partie de cette ville tout simplement immense. Il fallait bien des semaines pour patrouiller chaque recoin de cette métropole mais hélas je n’avais pas ce temps-là.
Je restais ici juste pour la journée et déjà une demi-journée s’était écoulée.
Il ne fallait pas non plus que je m’aventure trop loin, au risque de me perdre dedans et aussi de mettre trop de temps pour retourner au navire de transport qui ne reviendrait pas avant plusieurs jours.
Malgré tout, ma curiosité me demanda tout de même de m’aventurer plus profondément dans cette immense bourgade.
Plus je m’enfonçais dans ce labyrinthe et plus j’avais l’impression qu’il était hostile et sinistre. Les bâtiments se faisaient de plus en plus grands et formaient pour le coup beaucoup de ruelles sombres.
Je ne me sentais tout à fait à mes aises dans cette ville, avais-je bien fait de vouloir assouvir ma curiosité ? J’en doutais.
Des bruits sinistres et dérangeants m’entourèrent, la ville déjà qui paraissait fantomatique le semblait encore plus.
Du moins, jusqu’au moment où, j’entendis un cri hyper aiguë qui vous glacerait le sang immédiatement. D’où provenait-il ? Je ne savais guère, les ruelles faisaient toutes échos, difficile de savoir la localisation de cet hurlement horrible.
J’avançais d’un pas lent, méfiant, j’étais aux aguets. D’habitude je n’aurais pas eu peur mais là, seul, dans cette immense ville que je ne connaissais pas, je ne pouvais pas m’empêcher de m’imaginer des choses horribles.
Je repris tant bien que mal mon sang-froid, mon métier était d’être un fier soldat qui représentait la justice ! Eh non un froussard ayant peur d’un cri d’une femme sans doute en détresse.
*Je suis le Sous-Lieutenant Chosokabe et mon devoir est de défendre la veuve et l’orphelin !* Pensais-je afin de me rassurer. Ce n’était qu’après avoir ramené la lumière dans ma caboche que je n’hésitais plus à foncer dans les ruelles à la recherche de cette personne en détresse.
Les cris ne cessèrent pas, plus je m’aventurais dans la ville et plus ils semblèrent se rapprocher. Je me faufilais dans des passages très étroits, pour d’autre encore plus sombre, jusqu’à arriver sur une sorte de place constituée de pavés de couleurs blancs.
De là où j’étais, j’apercevais plusieurs silhouettes. Elles formaient un cercle, je m’approchais d’un pas lourd et quelques cliquetis de métal malgré mes chaussures résonnaient.
A l’aide de la manche de mon bras gauche je me séchais les perles de sueurs sur mon front. J'haletais tel un boeuf suite à ma course effrénée.
En me rapprochant les personnes finirent par tous se retourner et me fixer. En se retournant ils avaient ouvert leur cercle ce qui me permis de voir ce qu’il contenait, je vis une personne assise qui semblait être celle qui hurlait auparavant au son de sa respiration. J’entendis qu’elle sanglotait, oui « elle » car sa voix semblait être celle d’une femme.
Une lumière faible accompagné de quelques rayons de soleil filtré éclaircissaient les ruelles, je pus voir qu’ils étaient tous des hommes en face, une dizaine. Ils formèrent une ligne et attendaient sans doute que je parte. Au lieu de cela je restais immobile sous ce long silence pesant.
Au bout de quelques longues minutes un d’entre eux fini par perdre patience et me lança d’un ton plutôt hostile.
- Qu'est ce que tu regardes enfoiré ?! Dégage avant que je frappe ton museau de chien ! Y'a rien à voir ici !
Je me trimballais avec mon long manteau noir en cuir pour ne pas me faire repérer. La fermeture de mon manteau je l’avais fermé aussi afin que personne ne voie mon corps robotisé. Mes mains étaient recouvertes toutes les deux d’un gant en cuir noir.
Il ne faisait pas chaud tout comme il ne faisait pas froid. Un temps idéal j’avais envie de dire.
Lors de ma patrouille je trouvais la ville calme, j’avais passé toute une matinée à vagabonder sur les pavés en pierre de cette ville ma foi plutôt jolie. Ses toits rouges foncés aux murs beiges, une colline sur laquelle des maisons à foison surplombaient la ville, à vrai dire elles faisaient même encore partie de cette ville tout simplement immense. Il fallait bien des semaines pour patrouiller chaque recoin de cette métropole mais hélas je n’avais pas ce temps-là.
Je restais ici juste pour la journée et déjà une demi-journée s’était écoulée.
Il ne fallait pas non plus que je m’aventure trop loin, au risque de me perdre dedans et aussi de mettre trop de temps pour retourner au navire de transport qui ne reviendrait pas avant plusieurs jours.
Malgré tout, ma curiosité me demanda tout de même de m’aventurer plus profondément dans cette immense bourgade.
Plus je m’enfonçais dans ce labyrinthe et plus j’avais l’impression qu’il était hostile et sinistre. Les bâtiments se faisaient de plus en plus grands et formaient pour le coup beaucoup de ruelles sombres.
Je ne me sentais tout à fait à mes aises dans cette ville, avais-je bien fait de vouloir assouvir ma curiosité ? J’en doutais.
Des bruits sinistres et dérangeants m’entourèrent, la ville déjà qui paraissait fantomatique le semblait encore plus.
Du moins, jusqu’au moment où, j’entendis un cri hyper aiguë qui vous glacerait le sang immédiatement. D’où provenait-il ? Je ne savais guère, les ruelles faisaient toutes échos, difficile de savoir la localisation de cet hurlement horrible.
J’avançais d’un pas lent, méfiant, j’étais aux aguets. D’habitude je n’aurais pas eu peur mais là, seul, dans cette immense ville que je ne connaissais pas, je ne pouvais pas m’empêcher de m’imaginer des choses horribles.
Je repris tant bien que mal mon sang-froid, mon métier était d’être un fier soldat qui représentait la justice ! Eh non un froussard ayant peur d’un cri d’une femme sans doute en détresse.
*Je suis le Sous-Lieutenant Chosokabe et mon devoir est de défendre la veuve et l’orphelin !* Pensais-je afin de me rassurer. Ce n’était qu’après avoir ramené la lumière dans ma caboche que je n’hésitais plus à foncer dans les ruelles à la recherche de cette personne en détresse.
Les cris ne cessèrent pas, plus je m’aventurais dans la ville et plus ils semblèrent se rapprocher. Je me faufilais dans des passages très étroits, pour d’autre encore plus sombre, jusqu’à arriver sur une sorte de place constituée de pavés de couleurs blancs.
De là où j’étais, j’apercevais plusieurs silhouettes. Elles formaient un cercle, je m’approchais d’un pas lourd et quelques cliquetis de métal malgré mes chaussures résonnaient.
A l’aide de la manche de mon bras gauche je me séchais les perles de sueurs sur mon front. J'haletais tel un boeuf suite à ma course effrénée.
En me rapprochant les personnes finirent par tous se retourner et me fixer. En se retournant ils avaient ouvert leur cercle ce qui me permis de voir ce qu’il contenait, je vis une personne assise qui semblait être celle qui hurlait auparavant au son de sa respiration. J’entendis qu’elle sanglotait, oui « elle » car sa voix semblait être celle d’une femme.
Une lumière faible accompagné de quelques rayons de soleil filtré éclaircissaient les ruelles, je pus voir qu’ils étaient tous des hommes en face, une dizaine. Ils formèrent une ligne et attendaient sans doute que je parte. Au lieu de cela je restais immobile sous ce long silence pesant.
Au bout de quelques longues minutes un d’entre eux fini par perdre patience et me lança d’un ton plutôt hostile.
- Qu'est ce que tu regardes enfoiré ?! Dégage avant que je frappe ton museau de chien ! Y'a rien à voir ici !