Vol organisé flash back[PV: Reyson.D. Anstis]

Je marchais tranquillement dans la ville, plutôt grande, possédant des magasins et des restaurants intéressant, animé et bondé. Une ville parfaite pour le vol, avec de nombreux magasin pouvant servir de cible. Je marchais tranquillement, un petit sourire innocent aux lèvres mon boomerang dans le dos. Bien entendue, je ne laissais pas voir ma dague ainsi que mon Troga ceux-ci étant caché respectivement contre ma jambe et dans la poche de mon pantalon. De toute façon, personne ne considérerais le Troga comme une arme. C’était un jour de marcher apparemment, bousculade, animation, crie des vendeurs. Tout était propice pour que je puisse exercer mes talents tranquillement. Marchand lentement au milieu de la cohue, je m’appliquais de façon à ne rentrer dans personne, du moins, pas dans ceux que je ne voulais pas voler. Ma première cible fût un homme imposant, bien habillé, il discuté tranquillement avec plusieurs personne. Je rentré dans une première personne, m’excuser et reculer vers eux, rapidement avant de leur rentrer dedans.

Je tombais sur le sol, lamentablement, chose bien entendue que je prévoyais, ainsi, j’étais bien placé pour pouvoir cibler ce que je voulais. L’homme possédais une petite bourse accroché à la ceinture, attaché par un crocher, facile à enlever. Même le plus novice des voleurs aurait pu les lui piquer, les autres personnes ne m’intéressaient pas. Je me relevais en m’excusant, heureusement pour moi, ces personnes la n’étaient pas du genre à frapper ceux qui les dérangeais. Je m’excuser platement, bien que ce qui sortais de ma bouche n’étais que des mensonges. Je n’aimais pas les adultes, par expérience, je savais que ceux-ci ne respectais pas leur paroles, ne pensant qu’à trahir les autres. Je me relevais et sortis du groupe en me cognant à nouveau au monsieur qui ne se poussa bien entendu pas. Ma main droite bougea rapidement. Comme si je voulais me rattraper à l’homme pour ne pas tomber à nouveau, je soulevais la bourse la sortant de la ceinture. Je m’excusais à nouveau tendit que cette dernière disparaissais dans ma manche, elle était petite, pas bien lourde mais suffirait sans aucun doute à me payer un excellent repas. Je m’éloignais rapidement me mêlant à la foule avant que l’homme ne se rendre compte qu’il venait de perdre son argent.

Souriant, je rangeais la bourse dans ma poche, ravi d’avoir réussis mon coup. J’avais beau avoir l’habitude, le fait de réussir un vol était toujours aussi satisfaisant. Maintenant, je voulais aller manger, oui, mon estomac grondait furieusement, j’avais faim. Je me dirigeais donc vers le plus grand restaurant de la ville, 5 étoiles, renommées et sans aucun doute riche. En chemin, je remarquais quelqu’un d’amusant, des cheveux bleu, une chemise, une proie facile. Je m’approchais de lui, repérant immédiatement un porte monnaie sortant légèrement de sa poche. Je l’effleurer, cognant doucement contre lui en faisant croire que la cause en était tout simplement la cohue. Ma main droite fût rapide, saisissant le porte monnaie, je le sortis de la poche avant de disparaître dans la foule. Je rangeais celui-ci dans une poche de mon pantalon, avant d’entrer, a peine une minute plus tard dans le restaurant.

Endroit spacieux, luxueux, un endroit fait pour les nobles sans aucun doute. Je souris légèrement, cette fois, j’allais consommer sans voler. Bon, il ne s’agissait pas de mon argent je pouvais bien m’offrir un petit repas avec. Je commandais donc rapidement un repas gargantuesque, composé d’une entrée, d’un plat de résistance, d’un désert, d’un sou désert, d’un café sans compter les boissons allant avec, sans aucun doute que je n’allais pas manger tout cela mais je m’en fichais puisqu’il ne s’agissait pas de mon argent. Je commençais donc à manger tranquillement une entrée composé d’œuf et de thon, absolument excellente.


Dernière édition par Shiro T. Shikkoku le Dim 8 Mai 2011 - 16:10, édité 1 fois

      Cocoyashi, une île réputée pour ses mandarines et le plus important : l'absence de marine. Certes, mon but était de les anéantir. Mais j'avais bien droit à un peu de vacances de temps en temps. Surtout que depuis la prime sur ma tête, je n'avais pas eu beaucoup de temps à me consacrer. Siroter du saké toute la nuit dans un bar était terminé... Triste vie que d'être un pirate. Mais ici, pas l'ombre d'un marine pour m'attaquer. Et à moins qu'un chasseur de primes n'ait suivi mon bateau de pêche jusqu'ici, j'étais tranquille. Enfin, c'est ce que je pensais...

      Les habitants faisaient foule dans les rues, à se demander s'il y avait encore quelqu'un dans une maison. Je n'avais aucune idée s'il y avait une fête, en tout cas cette île était très animée. Je faisais de mon mieux pour marcher en évitant de cogner les gens. Belmer Corp se trouvait à l'autre bout de la rue et j'avais vraiment envie de gouter à l'une de leur mandarine. Bien que le nombre de populace à passer pour y arriver me décourageait un peu.

      Une personne me cogna sur le côté, enfin un peu plus que les autres. Mais bon, peut-être avait-il été poussé par quelqu'un d'autre. Pourtant, il attira mon regard. Des yeux et des cheveux de couleur différentes... Je me demandais s'il était sur ma liste des personnes dont j'avais modifié le corps avec quelques hormones. Mais il ne me disait rien. Je le vis alors disparaître dans la foule. Quant à moi, je continuais d’essayer de trouver un passage à travers cette foule pour atteindre l'autre bout de la rue. Mes bras me gênaient pour passer correctement entre les gens, je décidai donc de les glisser dans mes poches pour être plus à l'aise. Et c'était là que je remarquai que mon porte-feuille avait disparu ! Tout mon argent était là dedans ! Certes, cet argent ne devait pas m'appartenir car il provenait d'une épée de qualité supérieure que j'avais volé. Mais il me fallait reprendre mon bien ! Voler c'est voler, reprendre c'est récupérer !

      Tournant la tête de chaque côté, je vis une gouttière qui longeait verticalement le mur d'une maison. Rapidement, je grimpais dessus à un-deux mètre du sol afin d'avoir une meilleure vue sur la foule. Bien sûr, plusieurs regards se tournèrent vers moi. J'entendis quelques filles rire en me traitant de singe et des garçons demandant à leur mère s'ils pouvaient faire de même. Au loin, je vis l'enfant aux cheveux bicolore entrer dans un restaurant. Étant ma seule piste, il était immédiatement supposé être mon voleur. On ne vole pas quelque chose qu'une autre personne a préalablement déjà volé ! Non mais franchement, il faudrait instaurer une fraternité entre les voleurs ou quelque chose du genre pour que les voleurs ne se volent pas entre eux !

      Redescendant de mon perchoir, je disparu des regards en m'insérant dans la foule. Il me fallut deux bonnes minutes pour passer à travers tout ces gens avant d'arriver devant l'entrée du restaurant qui semblait très bien tenu. Dès le seuil de la porte passé, un serveur vint m'accueillir en me demandant le nombre de personne pour choisir une table qui convenait. Je lui répondis que j'étais à la recherche d'un voleur et il rétorqua que le restaurant n'en hébergeait pas. Logique, cela porterait mauvaise réputation au bâtiment. Remarquant que je ne tirerais rien du serveur, je regardais autour de moi jusqu'à voir les cheveux à la fois blancs et noirs.

      Abandonnant le serveur sans rien dire, je m'approchais de l'enfant qui était tranquillement installé à une table entrain de savourer son entrée. Heureusement, il était assis dos à l'entrée et je pouvais donc m'approcher en toute discrétion. Je pris rapidement une chaise à une table voisine avant de la poser juste à côté de l'enfant et de m'assoir dessus. Totalement tourné vers lui, je le fixais. Seuls quelques centimètres séparaient nos visages. J'ignorais si c'était bel et bien mon voleur. Mais si c'était le cas, il s'excusera ou prendre ses jambes à son cou immédiatement. Et si cela arrivait, j'étais prêt à agripper son bras le plus proche pour l'empêcher de s'échapper. Et s'il n'était pas le voleur, je passerai simplement pour un fou et me ferais éjecté du restaurant pour avoir embêter un client. Dans tout les cas, je n'avais rien à perdre !
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    Je mangeais tranquillement, je pensais alors à détacher mon boomerang toujours dans mon dos et le posais sur la table, tranquillement. Le repas était délicieux. Dos à la porte, je ne me préoccupais de rien en dehors de mon repas. Une erreur de débutant, je devais l’avouer. Soupirant de contentement, je m’attaquer au plat principal. Presque entièrement constitué de viande, avec, bien entendue quelque frite, il s’agissait d’un plat parfaitement préparé. Ce restaurant valait bien les 5 étoiles dont il se vantait. Après tout, il s’agit bien la d’une chose importante. J’entendis un bruit derrière moi mais je n’y prêtais pas attention. Continuant de savourer mon repas, mon petit ventre se remplissant rapidement. Oui, une journée de rêve, un repas de rêve, un calme de rêve.

    Ce calme qui fût rapidement troublé, à côté de moi, une chaise fût tirée et quelqu’un s’assit. Je me retournais lentement et sursauter, tombant de ma chaise, en reconnaissant l’homme que j’avais volé un peu plus tôt. Il m’avait retrouvé rapidement, a priori sans vraiment de difficulté. Grimaçant, alors que toute les têtes se tournait vers moi, je me relevais en faisant signe à ceux qui gérait le restaurant que tout allait bien. Oui, il m’avait retrouvé. Alors que je me redressais, j’aperçus le porte monnaie sur le sol, il était tombé de ma poche, d’un geste vif, rapide et précis, je le récupérais et le rangeais à nouveau dans ma poche. Espérant que l’homme n’avait rien vue je le regardais en souriant légèrement. Un adulte, je n’aimais pas sa, bizarrement, il ne m’inspirait pas confiance, en même temps, avoir confiance en quelqu’un que l’on vient de voler peut être difficile.

    -C’est pour quoi ?

    Je continuais de manger, comme si de rien était, oui, je ne devais pas laisser paraître le faite que c’était moi qui avait volé. Un peu difficile vue comment j’avais sursauté lorsque je l’avais vue. Prêt à saisir mon boomerang pour me défendre, je me préparais à fuir sans rien laisser paraître. De toute façon, je voulais profiter de mon repas le plus longtemps possible. Fuir serait difficile, il était juste à coté de moi et pouvait m’attraper lorsqu’il le voulait. Cette fois, je m’étais bien fait avoir, heureusement que ce n’était pas un agent de la justice. Du moins, il n’en avait pas l’air.

        D'après la réaction de l'enfant, il s'agissait bien de mon voleur. Mais il préféra dire aux serveurs que tout allait bien au lieu d'inventer une histoire afin qu'ils me jettent dehors. Remarque, ce voleur ne devait pas être bien âgé et pouvait donc ignorer ce genre de stratagème. D'ici quelques années, il aura les bons réflexes peut-être. Au moins, il ne tenta pas de fuir. Je n'avais donc plus à lui courir après, enfin une bonne chose. Moi qui voulait des vacances, je me faisais volé...

        L'enfant continua son repas comme si de rien était. Remarque, autant en profiter un maximum. Il tenta tout de même de jouer le jeu en me demandant ce que je voulais. Je regardais rapidement à travers l'une des fenêtres et vis qu'il y avait toujours une foule dans la rue. Je décidais donc de rester ici jusqu'à ce que ce soit plus paisible pour rejoindre Belmer Corp. En attendant, autant m'amuser un peu.

        " Partager un simple repas... "

        Levant le doigt, l'un des serveurs vint à notre table et je lui demandais de me servir leur spécialité accompagnée d'un verre de saké. Le serveur s'en alla passer ma commande pendant que je tournais le visage vers l'enfant qui continuait de se nourrir. Je ne dis rien, attendant que le serveur revienne avec un plat et une coupole de saké. Je bus tout de suite une gorgée avant d'inspecter le repas du regard. Une mandarine magnifiquement bien tranchée à moitié couverte de chocolat fondue. Un cure-dent était utilisé pour manger cela. J'en pris un en bouche et je ne pouvais dénier qu'il s'agissait d'un bon restaurant. Ils avaient mis la bonne dose de chocolat pour que le jus de mandarine soit suffisant afin qu'on ait pas soif. Franchement, je dis bravo.

        Prenant le temps de savourer le repas afin de ne pas finir trop vite, je regardais où en était l'enfant. Je ne disais toujours rien, mais j'avais hâte qu'il termine afin de voir de quelle façon il allait payer. Ou plutôt, avec quel argent !
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      [HRP: désolé pour le temps de réponse '_']

      Ainsi, il voulait simplement manger, je me doutais qu’il voulait autre chose mais je ne pouvais pas y faire grand-chose. Je soupirais discrètement tout en continuant à manger, il c’était installer a ma table sans me demander mon avis ce qui m’agaçais légèrement. Je continuais donc de manger, lentement, savourant mon repas, en espérant que cet homme partirait. Le repas était délicieux, quelque chose d’extraordinaire, je savais que je ne mangerais sans doute pas un autre repas comme celui la avant longtemps. Je passais donc rapidement au dessert, malgré le faite que je voulais profiter du repas, je ne parvenais pas à me retenir de manger rapidement, c’était ma façon de vivre. Le désert arriva, des mandarines avec une touche de miel et de la chantilly. Un désert succulent que j’apprécie encore plus longtemps que mon repas. Je mangeais lentement, silencieusement, sans adresser la parole à l’homme assit à ma table. Je n’aimais pas les adultes et encore moins ceux que je venais de voler et qui venais m’embêter après.

      Je finis mon premier désert, puis mon deuxième qui était simplement une île flottante, chose que j‘affectionnais particulièrement. Le serveur me demanda de payer, chose problématique puisque l’homme que j’avais volé se trouvais juste à coté de moi. Je ne pouvais donc pas utiliser son argent pour payer le repas. Fouillant dans une poche, je sortis la bourse que j’avais piquée à un autre homme et, tranquillement je sortis l’argent nécessaire. Cela la vida entièrement. Je soupirais, récupérais mon boomerang en regardant le restaurant. Luxueux, il devait posséder de grande richesse. Des choses sympathiques à voler. Automatiquement, j’examinais le moindre endroit de la pièce, de fond en comble afin de retenir tout ce qui pouvait être utile. Un restaurant resté ouvert longtemps, il me faudrait agir tard, enfin tôt dans la journée, vers 3 ou 4 heures du matin. Je me levais donc en regardant l’homme avec un sourire forcé.

      -Bon, et bien bonne journée le squatteur.


      Je me levais, rangeais tranquillement la chaise et passais lentement à coté de lui.

          L'enfant mangeait plutôt rapidement. Pressé ou habitude ? Je finissais mes mandarines au chocolat lorsqu'il finissait déjà son repas. Mais bon, je n'étais pas là pour partager un plat avec lui. Le moment que j'attendais allait venir : le paiement. Un serveur était venu prendre la note. L'enfant sortit une bourse, mais il ne s'agissait pas de mon bien. Avait-il volé d'autres personnes ? Mon porte-feuille se trouvait dans l'autre poche... Il se leva et me souhaita bonne journée, mais je savais que c'était lui le voleur. Et de toute façon, il s'agissait de ma seule piste...

          Au moment où l'enfant passait à côté de moi, je me tournais vers lui pour agripper son poignet afin qu'il n'aille pas plus loin. Je finis de mâcher le dernier bout de mandarine qui se trouvait dans ma bouche en me levant. Avec une tête ou deux de plus que l'enfant, je le fixais droit dans les yeux.

          " N'as-tu pas oublié de me rendre quelque chose ? "

          La majorité des clients tournèrent la tête dans notre direction. Faisait-on trop de bruit pour ces nobles qui se régalaient dans un restaurant bien trop cher pour la majorité des gens ? Un regard noir de ma part suffire à leur ôter l'envie de râler. Mais les serveurs avaient remarqué leurs gênes et l'un d'entre eux se dirigea vers nous.

          " S'il vous plait, veuillez laisser cet enfant tranquille. Ou sortez régler ça dehors, je vous prie. "

          Un autre homme vint à côté du premier, comme pour insister sur le fait qu'on devait écouter.

          " Regardez dans la poche de ce gamin, et vous verrez que je n'avais pas tort en parlant d'un voleur : il a mon argent ! Il me l'a pris lors du repas, comment voulez vous que je paie sans mon porte-feuille ? "

          Immédiatement, les serveurs semblèrent un peu plus intéressés. En effet, sans argent je ne pourrais payer la note pour le plat que je venais de déguster. Mais d'un autre côté, cela devait se passer calmement car la clientèle n'aimait guère ce genre de situation. Et le fait qu'il puisse y avoir du vol lors d'un repas pouvait nuire au restaurant, bien qu'il s'agissait d'un léger mensonge car on m'avait volé en-dehors du restaurant. Ils allaient donc m'aider, mais surtout pas faire du bruit. En tout cas, je tenais encore l'enfant par le bras. L'un des serveurs demanda à l'enfant qu'il me rende calmement mon bien. Et en tant que bon homme au milieu de travail, sa demande se fit en toute politesse. Pourtant, je me questionnais tout de même au sujet de l'enfant, allait-il vraiment écouter ce qu'on lui disait de faire ?
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        Il me retînt par le bras, je mie attendais mais cela m’agaça plus que tout. Oui, cette homme avait décidé de contrarié ma journée au plus haut point, une journée qui pourtant avait bien commencé. Le regardant de toute ma petite hauteur je tentais, sans succès de me dégager, sa poigne était ferme et je n’allais pas réussir à le faire lâcher prise. Lentement, mon autre main descendit jusqu’à mon pantalon, il fallait que je parte avant que le personnel ne s’en mêle et un coup de dague dans le poignet le ferait lâcher prise. Malheureusement il était déjà trop tard. Oui, cette homme qui était debout et qui m’avais grossièrement demandé de lui rendre son bien avait attiré l’attention du personnel. L’homme aux cheveux bleu, que j’avais volé, m’accusa d’avoir volé son portefeuille pendant le repas ce qui l’empêcher de filer et, immédiatement on me demanda de lui rendre son bien. Je fronçais légèrement les sourcils, en effet, je l’avais bien volé mais avant le repas.

        Grognant a mi voix, je tendit lentement mon bras vers le portefeuille et le lancer sur la table sous les regard satisfait du personnel que je ne cause pas de grabuge. J’allais voler le restaurant, oui, le dépouiller, entièrement. Je soupirais et, secouant brusquement mon bras, je me dégageais de la prise de l’homme et sortis en bousculant les autres. Passant dans une petite ruelle juste à coté du restaurant, j’attendis patiemment, je devais trouver de quoi changer d’apparence. Continuant à faire le tour, je découvris un tas de cendre, c’était parfait. En prenant à pleine main, je changeais rapidement la couleur de mes cheveux, passant entièrement à la couleur noire. Puis, continuant, je foncé mes vêtements, ceux-ci aller être difficile à laver mais ce que j’allais piquer en vaudrais la peine. Enfin, je fît quelque trace sur ma figure afin de me rendre méconnaissable. J’étais fin près et, lentement, je retournais prêt de l’entrer afin d’attendre le bon moment pour accomplir mon forfait.

            L'enfant avait tout de même un peu de bon sens : il déposa le porte-feuille sur la table. Remarque, c'était ça ou avoir tout le monde sur le dos. Ce qui risquerait d'être difficile pour le petit. Dans tout les cas, il se dépêcha de quitter le restaurant, peut-être qu'il ira voler d'autres personnes ? Dans tout les cas, j'avais récupéré mon argent, c'était le plus important ! Par contre, j'avais à peine pris le porte-feuille en main que l'un des serveurs s'approcha pour que je règle la note, il avait vu que mon assiette était vide. J'étais venu ici pour reprendre mes biens, et pas pour vider mon porte-feuille ! Je n'étais pas comme l'enfant, je n'allais pas me rendre sous prétexte que quelques adultes me barraient la route.

            " Je viens de retrouver mon argent, je ne vais tout de même pas m'en séparer maintenant. "

            Le sourire du serveur se changea en légère grimace. Visiblement, il ne s'attendait pas à ce type de réponse. Les autres clients qui avaient repris leur repas arrêtèrent de nouveau en entendant mes paroles et m'observèrent au cas où cela déborderait. Avec tout ça, ils ne finiront jamais de manger ! Deux autres hommes aux mêmes habits que le serveur approchaient derrière lui. Pendant ce temps, je sortis un petit trophée d'une poche tout en rangeant le porte-feuille dans l'autre. Une affiche dans la main, je la tendais au serveur surpris en face de moi.

            " Si vous voulez de l'argent, essayez donc de prendre ma tête. Vous aurez beaucoup d'argent de poche. "


            L'affiche que je lui tendais était en faite un avis de recherche pour ma tête. 15 000 000 de berrys, un pirate recherché. Le serveur, ne croyant pas à mes paroles, m'arracha la feuille des mains pour vérifier mes dires. Mais je n'allais pas attendre sagement qu'il finisse de lire ! Il n'eut pas le temps de lever les yeux de l'affiche que j'envoyais mon poing dans son torse qui fit un drôle de bruit tandis qu'il tombait sur la table derrière lui, renversant une soupe qui avait l'air délicieuse. Certains clients se levèrent et quittèrent le restaurant en marchant rapidement, eux devaient connaître ce qui se passait dans les bars après ce genre d'acte. D'autres restaient assis, espérant que les serveurs règleraient rapidement la situation. Deux hommes devant moi, et l'un d'eux prit le couteau d'une table voisine. Le chahut allait probablement alerter le reste du personnel, et peut-être même le patron ?

            Avec la foule qui se trouvait dans la rue, les clients risqueraient de prendre du temps pour chercher de l'aide. Si toute fois, c'était ce qu'ils faisaient. La plupart des habitants voulaient faire la fête, et pas s'occuper des problèmes d'un restaurant. Mais une fois qu'un certain nombre de clients sortiront, peut-être que la populace s'inquiètera tout de même de ce qui se passait ici ? On me vole mon porte-feuille. Je le récupère. Et on me demande ensuite de débourser ? Devant pareille injustice, je décidai plutôt de remplir d'avantage mon porte-feuille. Un restaurant si luxueux devait bien avoir un coffre-fort quelque part ? Qu'au moins je ne sois pas venu pour rien... Je n'avais pas vu de base appartenant à la marine sur cette île, je pouvais donc agir à ma guise sans trop me faire du soucie. A moins qu'il n'y avait quelqu'un à ma hauteur ici ? Dans tout les cas, il me faudrait tout de même rester un minimum sur mes gardes. Si je me mettais toute la populace à dos, je risquais de passer plusieurs jours ici avant de réussir à m'échapper.
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          Des crie, beaucoup de personne sortait du restaurant, à croire que quelqu’un faisait du chahut. Je souris, voilà quelque chose qui m’arrangeais pour finir correctement ma journée. Le personnel allait se précipiter pour faire sortir celui qui mettait le bordel dans le restaurant et j’allais avoir la voix libre. Je grimpais rapidement sur le toit, comme une ombre furtive, passant inaperçus. Je ne faisais pas un seul bruit, possédant suffisamment d’expérience dans se domaine. Le restaurant allé sur plusieurs étages. Décrochant mon écharpe, je marchais lentement sur le toit du premier étage, plus large que les autres. Etrange construction mais qui m’arrangeais beaucoup. Je me posais du coter opposer à la rue puis, avisant plusieurs poutre dépassant légèrement du mur pour une raison inconnue, je lancer mon écharpe de façon à ce qu’elle passe au dessus. Celle-ci retomba de l’autre coté et, tenant les deux bouts, je me hissais. Attrapant une poutre, je grimper rapidement. Je m’assis sur une poutre et remit mon écharpe, solide, je l’avais sans aucun doute encore allongé et si je prenais du poids elle n’allait pas tarder à lâcher.

          Soupirant, je regardais les deux étages qui me restaient à monter, me relevant, surveillant les allants tours pour vérifier que personne ne me regarder, je grimper rapidement, de fenêtre en fenêtre. Heureusement, pour moi, celui qui faisait du grabuge en bas attirait l’attention de tout le monde ce qui me permit de ne pas me faire remarquer. Enfin, j’arrivais aux derniers étages. A celui-ci, un bureau avec un homme, assis sur sa chaise, les pieds posé sur le bureau et qui dormais. Sans aucun doute le patron. La fenêtre était ouverte, chose normal par ce beau temps et je pénétrais silencieusement dans la pièce. Sortant ma dague, je la pointais tranquillement sur la gorge de l’homme et le réveillais doucement afin qu’il ne s’agite pas.

          -Ne bougez pas, ou la dague qui est pointé sur vous vous transperce la gorge.

          Il s’immobilisa sans même tenter de regarder derrière lui, ma voix ferme et sec montrait que je ne plaisanté pas et il me demanda ce que je voulais.

          -Ou est le coffre ?

          -Dans la pièce à droite.
          -Code ?

          -Vous n’arriverez pas à l’ouvrir.
          - Donne-moi le code.


          La dague titilla la gorge de l’homme mais il ne répondit pas, alors que je remarquais qu’il faisait un mouvement pour s’échapper, je la lui plantais dans la gorge. Il parvînt à se retourner et me regarda avec stupeur avant que la flamme de la vis ne s’éteigne en lui. Je soupirais clignant des yeux plusieurs fois afin de reprendre mes esprit et essuyait la dague sur le corps. Enfin, je récupérais la clef accroché à la ceinture et me dirigé vers la porte. C’est alors que je remarquais un fruit sur le bureau. Chose inattendue, je le regardais quelque secondes, par simple gourmandise, je décidais de le manger. Celui-ci avait des formes étranges mais cela ne me préoccupa pas. Croquant dedans, j’avalais la première bouché ce que je regrettais immédiatement. Ce fruit était absolument infâme. Le jetant dans la poubelle à coté, je me dirigeais vers la porte. Peut-être que cette clef servait à l’ouvrir, cela j’allais le découvrir. Enfonçant la clef dans la serrure, je la tournais et entendit un clic. Appuyant sur la poignet, j’ouvris la porte.

          Je découvris ainsi une pièce assez grande avec un coffre imposant au milieu. Celui-ci devait contenir tout l’argent du restaurant ce qui m’arrangeais beaucoup. Je refermais la porte a clef derrière moi et m’approchais du coffre, un système de 9 serrure à chiffre, avec 14 possibilité par serrure, un enfer pour ceux qui ne savait pas si prendre. Pour ce genre de coffre, il suffisait d’une bonne ouïe. En effet, ce que la plupart des gens ignorait, c’est que lorsque l’on passait sur le bon chiffre, un petit clic se produisait. Remerciant intérieurement Talen pour cette information, je collais mon oreille contre la première serrure et la fît tourner. Un petit clic se fît entendre et je stoppais. Procédant ainsi avec chacune des serrure, je finis par composer le code qui se trouvait être.

          14 – 12 - 3 - 6 – 4 – 11 – 5 – 1 – 9.

          Enfin, j’ouvris lentement le coffre pour dévoiler le trésor.

              Deux hommes en face de moi. Un armé, l'autre non. C'était celui qui possédait une arme qui semblait avoir assez de courage pour avancer d'un pas dans ma direction. Mais avant qu'il ne s'approchait d'avantage, je pris le couteau qui se trouvait sur ma table et le lançai sur le serveur. N'était pas à mon premier meurtre de la sorte, j'eus assez d'adresse pour que le couteau aille se planter dans la gorge de l'homme. Celui-ci allait s'écrouler en arrière, mais son ami serveur le rattrapa. Erreur, il aurait dû s'occuper de moi ! Je fis rapidement deux pas en avant pour lui décocher un coup de pied qui envoya les deux serveurs à terre. Celui avec le couteau ne risquait plus de me gêner, mais l'autre pouvait encore se lever. Je me retournais donc vers ma table et pris l'assiette légèrement tachetée de chocolat. C'était du gâchis... Mais j'envoyais l'objet se fracasser sur la tête du serveur encore conscient. Celui-ci se recoucha à côté de son défunt camarade.

              Il ne manquait plus que le premier serveur, celui que j'avais éjecté sur une table. Je regardais à nouveau l'endroit où j'avais mangé, il ne restait plus qu'un seul projectile : la fourchette ! Me disant que ça ne devait pas trop changer d'un couteau, je le pris et me tournai en direction du serveur qui descendait de la table en se tenant le ventre. A sa manière de se déplacer, il allait avoir du mal à esquiver si je lui lançai la fourchette. Mais il allait aussi avoir du mal à se battre, tout simplement. Je préférais alors venir au corps à corps. De plus, c'était lui qui avait osé me demander de l'argent ! Me rapprochant, il tenta une frappa horizontale mais la douleur le ralentissait et je pus esquiver facilement en me baissant. Immédiatement après le coup, je me relevais, fourchette en avant, et je la plantai dans l’œil du serveur qui poussa un hurlement à peine humain.

              Là, même les clients les plus curieux se levèrent de table et se dépêchèrent de quitter le restaurant. Avec autant de personnes qui fuyaient, je paris que des renforts allaient bientôt arrivaient. Ma tête allait probablement être placardée sur les murs de cette île. Peut-être même à l'intérieur des restaurants maintenant. Si je voulais en profiter, c'était maintenant ! Après la lutte contre la marine, l'un des devoirs d'un pirate consiste à amasser de l'or et des trésors. Il me fallait donc trouver le coffre-fort ! Et où pouvait-il se trouver si ce n'était tout en haut ? Regardant autour de moi, je découvris les escaliers.

              M'approchant des escaliers, deux cuisiniers se bloquèrent la route. Le restaurant contenait probablement plus de cuisiniers que ça, pourtant il n'y avait que deux devant moi. Les autres seraient-ils trop terrorisés pour quitter la cuisine ? En tout cas, ils étaient tout deux armés d'un couteau à viande. Des bouchers ? Une boucherie ? Non merci ! Je mis mes mains sous la table la plus proche avant de l'envoyer valser en direction des deux cuisiniers. Mais ceux-ci eurent le réflexe de sauter sur le côté et la table se fracassa contre l'escalier. Ils étaient maintenant étendus sur le sol suite à leur saut, je pouvais donc les avoir facilement. Mais j'entendis des bruits de pas venir derrière moi. Je n'avais eu le temps que de me retourner pour voir une lame avant de sentir la douleur gagner mon bras.

              Un autre cuisinier était venu, et lui aussi était armé d'un couteau à viande. Seulement, il était plus jeune que les deux autres et ne semblait pas avoir combattu une seule fois dans sa vie. Ses jambes tremblèrent à la vue de mon sang qui coulait le long de mon bras. Ses mains étaient crispées sur son arme. On aurait dit qu'il avait peur de ce qu'il venait de faire. Remarque, à son âge on ne devrait pas avoir l'habitude de charcuter un être vivant. Ma main indemne profita de ce moment pour se planter dans le bras du cuisinier pour lui injecter une forte dose d'hormones au hasard. Du moins, un hasard parmi les hormones dont je savais qu'elles avaient un effet néfaste. Et immédiatement après, le visage du garçon commença à pâlir avant de tomber sur ses genoux. Peut-être un problème de glycémie ou de n'importe quelle maladie ? Il fallait attendre les prochains symptômes pour en être sûr. Mais je n'avais pas le temps pour ça, je voyais des civils pénétraient dans le restaurant, probablement pour moi vu leur allure et l'expression sur leur visage.

              Les deux autres cuisiniers s'étaient maintenant levés, mais leurs regards étaient tournés vers le camarade de plus en plus malade. Je profitais donc du moment d'inattention pour courir entre les deux et accéder aux escaliers. J'avais à peine monter une dizaine de marche que j'entendais des gens me suivre derrière. Je dopais donc rapidement mes jambes, afin de gravir les marches non pas quatre à quatre, mais six à six. Prenant ainsi plus d'avance par rapport à mes poursuiveurs. Je ne m'arrêtais pas aux étages intermédiaires, je courrais jusqu'en haut où je fermai la porte derrière moi en me plaquant contre pour éviter que les civiles ne l'ouvraient. Il me fallait du temps pour réfléchir à la situation...

              Devant moi se trouvait un homme assis à son bureau. Probablement le patron. Et mince, encore un problème. Quoi que, lui devait savoir où se trouvait l'argent ! Je voulus lui parler lorsque je remarquais que sa tête n'était pas posée sur le bureau pour faire un somme, mais parce que du sang s'écoulait de sa gorge. Quelqu'un... l'avait tué ? Et les civils me mettront certainement ça sur le dos... Je regardais de tout les côtés pour vérifier si cet assassin ne se trouvait pas dans les parages. Le bureau menait à une autre pièce dont la porte était grande ouverte. Je pus voir le coffre-fort, ainsi qu'un petit enfant qui me semblait familier. Dans tout les cas, il semblait que la porte du trésor s'ouvrait...
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            [HRP: pas tapé je suis en retard est c'est cours désolé, pas mal de problème en ce moment '_']

            J’ouvris lentement la porte du coffre, elle était lourde mais cela restais faisable. Lentement, le coffre découvrit ce qu’il protégeait : une réserve impressionnant d’argent, bien plus que ce que je pouvais emporter facilement. Tout était déjà emballé, sans doute le propriétaire que je venais sans doute de tuer aimait que tout soit correctement rangé. Plusieurs valises étaient alignées ainsi que quelque sac sans doute remplis de pièce. Chaque valise était elles aussi protégées par un autre verrou a chiffre, à croire que le propriétaire était maniaque. Il était facile de faire sauter ce genre de serrure. Plongeants mes bras dans le coffre, je sortis deux valises, je ne pouvais malheureusement pas emmener plus pour repartir de la d’où je venais.

            J’entendis un bruit qui m’intrigua, des coups répétés à une porte. Je me retournais et vit alors que j’avais laissé la porte ouverte. Une erreur qui n’était pas digne de moi. Dans l’autre pièce, un homme, cette homme. Celui que j’avais envie de tuer à cause de son insolence. Me regardais comme si de rien était. Il avait sans aucun doute découvert le corps et représentait maintenant une menace. En plus, cela devait être lui qui avait attiré tout ce monde par ici. Tout en surveillant l’inconnu qui m’embêtait particulièrement, je déroulais à nouveau mon écharpe et fît un nœud autours des poignets des valises à chaque extrémité de celle-ci avant de soulever le tout, il y avait du poids, c’était parfait. Je laissais le coffre grand ouvert et retournais lentement dans la pièce précédente, prêt à me défendre avec la dague.

            -Fou moi la paix jte laisse le reste.

                L'enfant était en faite le voleur de tout à l'heure. Après le porte-feuille, le voilà qui se servait dans un coffre-fort. Il prit deux valises pleines d'argents, mais il en restait encore beaucoup dans le coffre. Et au moins, je n'aurais pas besoin de me casser la tête pour trouver un moyen d'ouvrir cette cache aux trésors. J'avais bien envie de m'y rendre pour me servir à mon tour. Seulement, j'étais occupé à bloquer la porte afin que les civils n'entrent pas. Je ne pouvais donc me déplacer, à moins d'avoir envie de se mesurer à une foule en colère. Je cherchais la meilleure façon de procéder pour me sortir de là. Que faire ?

                Tandis que j'échafaudais un plan, le voleur regagnât cette salle. Il me dit qu'il me laissait prendre le reste. Sans doute car il ne pouvait en transporter d'avantage. Pourtant, il ne me faisait pas confiance pour autant. En effet, il était prêt à se défendre. Dague à la main, il pouvait tenter de m'attaquer s'il le voulait. Mais s'il me tuait, ou si j'esquivais, il aurait lui aussi les civils sur le dos. Donc autant m'aider plutôt qu'autre chose, non ? C'était avec cette vision des choses que je demandais une faveur à l'enfant.

                " Petit, tu peux approcher le bureau jusqu'ici ? Ou quoi que ce soit pouvant bloquer la porte quelques temps. Là, ils en veulent après moi. Mais s'ils voient les valises que tu portes, tu auras toi aussi des problèmes... "


                Une menace ? Non. Je prenais plutôt cela comme un argument convaincant. Si les civils voyaient l'enfant, il sera certainement traité comme un criminel. Tandis que s'il m'aidait à bloquer la porte, il restera anonyme et pourra continuer son travail tranquillement. Donc autant m'écouter, il y gagnerait aussi. De plus, tout le monde pensera que le meurtre du patron était mon œuvre. Du moins, tant que la présence du voleur dans cette salle restait un secret..
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              Il me répondit, voulant profiter de ma présence pour éliminer le danger. Enfin éliminer le danger, plutôt l’éloigné pour quelques minute. En effet, même si la porte était bloquée, les civils avait sans aucun doute encerclé le bâtiment pour empêcher toute fuite. Je soupirais avant d’acquiesçais, si je ne le faisais pas, il y avait de grande chance qu’il lâche la porte et je ne voulais pas que l’on me voit. Après tout, un voleur doit rester discret. Je me dirigeais lentement vers le bureau, posais les valises sur le sol lentement tout en surveillant l’homme aux cheveux bleu. Je faisais bien attention à ne pas me tâcher de sang, je voulais pouvoir passer comme un simple voyageur en ville. En effet, il était peu probable que les gens sachent à quoi ressemblaient les valises du restaurant.

              Je rangeais ma dague puis poussais le mort par terre puis, difficilement, poussait le bureau. Celui-ci était tâché de sang et j’en gardais sur les mains. Ce bureau en bois paraissait très solide mais n’était pas si lourd que sa. Toutefois, sa valeur devait être très importante vue la finesse des détails et les formes géométriques tracé minutieusement sur les bords. Le bureau glissa jusqu’à la porte et, un mètre avant, je le renversais. De la sueur coulant sur mon front, il se retourna lentement avant de se cogner contre la porte la bloquant.

              -Vlà, sa dvrait les retnir quelque minutes.

              Je m’éloignais de lui. Avisant plusieurs armoire contre un mur, je les ouvris une par une, les fouillant toute. Je récupérais ainsi une montre a gousset en argent, d’ailleurs l’homme c’était fait arnaquer, l’argent était de mauvaise qualité. J’étalais dans la pièce des dizaines et des dizaines de feuilles et de livre. Enfin, dans la dernière armoire, je trouvais des vêtements. Chose très pratique pour passer inaperçus. Je saisis une grande veste noir en cuir de bonne qualité et l’enfiler, elle me tomber presque jusqu'à mes pieds et les manches était beaucoup trop grande. Reprenant ma dague très bien aiguisé, je les coupé de façon à ce que se soit à ma taille pour en pas être gêner. Je fermer la veste et remonter le col. Continuant de farfouiller, je trouvais une paire de lunette noire cachant mes yeux facilement reconnaissable et un chapeau noir. Je récupérais mes valises et me préparer à sortir par la fenêtre.

                  L'enfant avait compris ce que je voulais dire. Et, obéissant à ma volonté, il se dirigea derrière le bureau qu'il poussa vers la porte. Petit mais assez costaud pour déplacer le meuble, heureusement. Mais à un mètre de la porte, il renversa le bureau sans prévenir et je dus faire un bond sur le côté pour l'éviter. Je vis la porte s'ouvrir sur quelques centimètres et se refermer au moment où le bureau la percuta. Je repris mon souffle et revins de cette légère surprise en observant le voleur. Maintenant que le problème de la porte était réglé, allait-il vouloir me tuer pour que personne ne connaisse son identité ?

                  En faite, l'assassinat n'était pas premier sur la liste des priorités du gamin. Le vol passait avant tout. Après le coffre-fort, il commençait à fouiller les différentes armoires. Pendant ce temps, je rejoignais l'argent dans l'autre pièce. Comparé au voleur, mes mains étaient plus grandes et plus fortes que les siennes. Je pus donc prendre quatre valises, deux dans chaque main. Oh, et je pris aussi un petit sac rempli de pièce en tenant le bout par la bouche. J'avais l'air idiot comme ça, mais qu'est-ce qu'on ne ferait pas pour de l'argent ? Et puis, cela me permettra peut-être de voguer avec quelque chose de mieux qu'un simple bateau de pêche. Quoi que je n'ai pas à m'en plaindre.

                  Repassant dans la pièce principale, je remarquais que les civils n'abandonnaient pas et frapper de plus en plus fort contre la porte. A chaque coup, on voyait le bureau reculer et donc tomber de plus en plus. Bientôt, il parviendront à pénétrer dans la salle. Mais, serons nous encore ici ? Le voleur avait volé quelques vêtements pour tenter de passer inaperçu. Je me demandais si cela allait vraiment lui servir. Mais bon, je ne pouvais lui parler à cause du sac pendu à ma bouche. Je n'allais tout de même pas abandonner une petite bourse pour satisfaire ma curiosité...

                  Aussi bien lui que moi nous approchions de la fenêtre : unique voie de secours pour quitter le restaurant sans passer par les civils qui se déchainaient sur la porte. Je me questionnais sur la façon dont le gamin allait procéder pour descendre. Pour ma part, j'espérais que le restaurant n'était pas très haut, bien que je connaissais à peu près le nombre de marche qu'il y avait pour atteindre cet étage, Car pour moi le saut était la seule solution dans ma tête. Derrière nous, on entendit le bureau céder. La porte allait s'ouvrir, les civils allaient pénétrer dans la salle. Il fallait partir au plus vite !
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                Alors que je m’approchais de la fenêtre, je vis l’homme revenir avec quatre valises et un sac dans la bouche. Je faillis éclater de rire. Il n’allait jamais pouvoir descendre et s’enfuir vue comment il était chargé. Remettant mon écharpe autours de mon coup, faisant en sorte de ne pas m’étrangler mais de me permettre de lâcher les valises afin d’utiliser mes mains. Le bureau aller bientôt lâcher, avec un sourire, je regardais l’homme aux cheveux bleu qui c’était lui aussi approcher de la fenêtre grande ouverte.

                -La prochaine fois qtu vole quelque chose, soit plus discret, ta attiré plein dgens en bas.

                En effet, un certain nombre de civils avait encerclé le bâtiment, ceux-ci était apparemment très efficace et personne ne pouvait entrer ou sortir sans être vue. Je souris et, laissant pendre les valises, je sortis. Les toits restaient la seul option, sautée en bas était à proscrire, surtout avec du sang sur les mains, je me ferais immédiatement arrêter. Regardant le mur, je regardais plusieurs pierres dépassant de celui-ci, très légèrement, sans doute à cause du temps mais pour moi les prises seraient suffisantes. La seule chose gênant serait le poids supplémentaire que me rajoutais les valises. Tendant le pied, je le posais sur la première prise avant de commencer à me déplacer en latéral. Quelque crie retentir en bas, chose normal. Mon déguisement me gênait légèrement mais, personne ne pourrait deviner qui j’étais réellement.

                Ce bâtiment était légèrement écarté des autres mais sauté d’un toit à un autre ne devrait pas vraiment poser de problème. Continuant de grimper, je montais jusqu’au toit faisant, de temps à autres une pose afin d’écarter mon écharpe pour respirer. Quelque projectile atterrissez en dessous de moi. L’une des règles du voleur était de ne jamais regarder en bas, en effet, attraper une crise de vertige dans ce genre de moment. Soupirant, j’atteignis le toit sans vraiment de problème et me hissais dessus après avoir posé les valises. J’espérais que dans ces valises il y avait suffisamment d’argent pour pouvoirs acheté ce que je voulais. Avisant le toit le plus proche du mien, je pris mon élan en tenant les valises avec mes mains et sautais souplement dessus. Mon entraînement allait cette fois servir pour pouvoir m’échapper. Je commençais à courir pour sauter de toits en toits et partir d’ici.


                    Ce fut l'enfant qui passa le premier par la fenêtre. Mais au lieu de regagner la terre ferme, il continuait d'escalader l'immeuble vers le haut. Peut-être qu'il y avait trop de civil en bas. Pour ma part, je n'avais pas vraiment le temps de réfléchir. La porte s'ouvrait, laissant ainsi paraître plusieurs civils qui avaient tous très envie de me sauter dessus. Avant qu'ils ne soient une dizaine sur moi, je couru vers ma seule issue et sautai dans le vide sans hésitation, avec toujours le sac dans ma bouche et deux valises par main.

                    En bas, la populace faisait encore foule. Il y en avait plusieurs rassemblés devant la porte du restaurant. Ils ignoraient la véritable cause du problème, ils savaient simplement qu'il s'était passé quelque chose et qu'ils devaient intervenir pour aider et régler le soucie. Pourtant, aucun d'entre eux ne suspectait la venue d'un humain par les airs. Ce qui était plutôt normal je dois dire.

                    Le bâtiment faisant plusieurs étages de haut, l’atterrissage risquait d'être douloureuse. A moins qu'un de ces civils n'amortissent le choc. Mais voyant une ombre s'approcher, ils s'éloignèrent de l'endroit où j'allais tomber pour ne pas être blessé. Des pavés de pierre allaient m'accueillir en bas. Mais j'eus l'idée de lancer l'une des valises sur le sol pour tomber sur quelque chose de moins dur. Mon plan fonctionna, mais la valise éclata et de nombreux billets volèrent dans la rue. L'appel à l'aide du restaurant fut miraculeusement oublié tandis que les civils se penchaient par terre pour ramasser un maximum d'argent sans même se demander d'où elle venait.

                    Quant à moi, je me relevais péniblement en entendant mes jambes craquer légèrement avant de courir tout droit, bousculant les gens au passage. Mais ceux-ci étaient trop occupés à récupérer les billets pour m'obliger à m'excuser. Et les seuls civils qui avaient conscience des faits produits dans le restaurant se trouvait dans la salle tout en haut, bien trop loin pour venir m'arrêter. Et aucun d'entre eux n'avaient le courage de sauter par la fenêtre. Je m’engouffrais dans des ruelles de plus en plus étroites et donc de moins en moins peuplées pour m'éloigner le plus possible du restaurant qui allait probablement faire faillite.
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                  Personne ne me poursuivie, sans doute l’homme aux cheveux bleu avait-il suffisamment attiré l’attention sur lui pour éviter toute poursuite. Je souris légèrement avant de me mettre hors de vue. Oui, accroupis sur un toit j’enlever ma veste et mon chapeau. Ceux qui m’avait vue lorsque je sortais du bâtiment ne pouvaient désormais plus me reconnaître. Je restais tranquillement caché attendant que toute cette agitation ce calme. Etant éloigné du restaurant, je savais pertinemment, à moins d’un coup de malchance important, que l’on ne me trouverait pas.

                  Plusieurs minutes plus tard, je descendis lentement, prudemment, non à cause de la difficulté mais pour ne pas me faire voir. Oui, un voleur doit rester discret et ne jamais ce faire repéré. On ne peut pas voler si on se fait reconnaître à chaque coin de rue. Je soupirer et détacher les valises de mon écharpe afin de pouvoir les porter normalement par les poignets. Je sortis rapidement de la ville, toujours en noir à cause de la suie. Je m’éloignais encore un peu puis me poser a plusieurs dizaine de mètres de la route derrière un rocher. Posant les valises, je saisi la première en regardant le cadenas puis, collant mon oreille, je tourner les chiffre. Code à trois chiffres, cela fût rapide. Les deux valises étaient remplies de billet, et c’est donc souriant que je repartis après avoir refermé les valises. Je venais de voler un bon paquet d’argent, j’allais pouvoir m’amuser un peu plus.