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Une affaire de contrebande - Part II


    Cela fait maintenant quelques jours nous sommes à la poursuite de ces bandits, j'ai volontairement demandé au navigateur de ne pas rattraper les ennemis, afin qu'ils nous mènent dans leur repère.

Lieutenant, les soldats sont fatigués, nous ne parvenons pas à atteindre nos adversaire et ce, depuis maintenant quelques jours. De plus, je pense que vous en avez clairement conscience, mais nous allons manquer de vivres.

Hum. Vous êtes fatigués ? Dites-vous que les types en face sont dans les mêmes conditions que nous, si ce n'est pire, alors tachons de motiver les troupes et garder le cap.

Mais... Mais nous allons tous mourir !

Gardez votre calme, je vous prie. Pensez-vous vraiment qu'ils vont se laisser mourir en mer ? Ils vont nous mener à leur chef. À votre avis, pourquoi des navires de la marine n'ont pu rattraper de vulgaires navires marchands ? Soyez patient, vice-lieutenant.


    Je fais signe au navigateur, le navire ralentit énormément, se mettant presque à l'arrêt complet, pis je fais maintenant signe à la vigie, qui se charge de toujours avoir un oeil sur nos ennemis. But du jeu : leur laisser croire qu'on ne peut plus les suivre, qu'ils se rendent dans leur repère, alors qu'on continue de les suivre de très loin, notamment grâce à la vigie.
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    Les bandits continuent de nous mener naïvement vers une île. Il s’agirait d’Endaur d’après le navigateur qui, après avoir glissé son doigt sur la carte, pointe sur l’île en question. Je n’ai jamais rien lu ou entendu sur ce lieu, c’est donc un lieu très calme, logique d’y camper une base. On s’arrête le temps que les malfrats posent les pieds à terre et déchargent les deux navires. Je n’ai rien contre le fait d’être accueilli par une une meute, mais soyons tout de même prudent. On pense les suivre tranquillement, mais un étrange évènement vient gentiment bousculer tous nos plans.

Lieutenant, je crois apercevoir quelque chose d’étrange…
Pouvez-vous avoir l’amabilité de me décrire ce que vous voyez, matelot ? Je ne dispose d’une vue absolue.
Euh… Il semblerait que ce soit un vilain montre marin, il me paraît de plus en plus gros…
Chargez les canons, écoutez mes instructions, à mon commandement…,
dit le vice-lieutenant.
Non ! Ne tirez p…
TIREZ !!!


    Quel crétin celui-ci, on ne me facilite pas la tâche en m'envoyant ce type d'individu. Bien que le monstre approchait rapidement vers notre direction, nous savons pas encore s’il compter nous attaquer, mais avec ses tirs, soyez certains qu’il n’aura aucune pitié. Je ne compte personnellement pas attaquer cette chose, j’y perdrais du temps, de l’énergie, et qui sait, peut-être ma vie. Je pose alors un genoux pour réfléchir. Que puis-je bien faire ? L’arsenal à disposition n’est pas suffisant pour ce gigantesque monstre, et puis, il se peu que notre position ai été entendue de tous avec les canons. Je me pense dos au mur, quand une idée vient me faire sursauter, mais je dois faire vite.

Soldats du navire dirigé par le vice-lieutenant, montez tous à bord de mon navire, sans discuter si vous souhaitez rester en vie.


    Il s’exécutent et montent tous à bord. J’aurais aimé pousser l’idée plus loin en déclenchant une explosion du navire au moment où le monstre s’en accapare, mais cela aurait sans aucun doute réellement attiré l’attention des autres vers nous. Du coup, le monstre s’acharne sur le navire abandonné, nous laissant prendre rapidement la fuite. L’idée était simplement de lui laisser ce qu’il voulait pour mieux se tirer. Ce n’est certes pas l’idée du siècle, mais ça aura au moins eu le mérite de sauver un équipage. Nous faisons un petit détour simplement pour être certain de ne pas être suspecté, mais dans le fond, c’est déjà trop s’ils nous ont aperçus.


    Une fois à une centaine de mètres de l’île, que l’un des débarcadère est de nouveau déserte, nous atteignons le rivage avec des barques - je n’aimerais pas que l’on sabote nos navires. On rame, on rame, encore et encore, à la force des bras - eh oui, pas de mécanismes à moteur pour les blaireaux - jusqu’au rivage. Enfin sur la terre ferme, ça faisait bien quelques jours qu’on naviguait, alors la satisfaction est toujours présente quand on s’arrête sur une île.
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