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Est ce un rêve de voler ? A la conquête d'un trésor perdue.

Cela faisait un bon moment que j'errais sur cet océan. East Blue ! Une eau céruléenne qui cachait quelques poissons, principalement des sardines, trop rapide pour les voir valser sur les courants. Si seulement je n'avais pas peur de l'eau, je me baignerais sans effroi du danger qu'il pourrait y avoir, quitte à mourir juste pour observer ce spectacle qui devait être fabuleux. Je sais ma curiosité sur l'univers qui nous entourait me fera défaut un jour. Au moins je pensais à autres choses, je n'osais plus fouiller dans le passé par crainte de ce que je pouvais y retrouver, mais c'était trop fort pour moi, je n'y arrivais pas...

*Oh ! Une île en vue ! C'est sur cette terre et en ce jour que tout changera !*

Le sourire revient peu à peu, je me laissais emporter par le son des mouettes et les notes joué par l'océan qui rejetait ces déchets sur la plage.

Cette plage que je voyais n'était qu'à quelques mètres, je pris ma rame et j'essayais de rejoindre le rivage. Mon pied toucha l'eau qui avait un sol gorgé de cailloux. Enfin la terre ! Regardant avec le même sourire mes traces de pas...Cette sensation m'était familière. Cela me rappelait mes entraînements passé, ma douce enfance, les belles promenades avec ma tendre aimée...Je posai un genoux sur ce sable, des larmes salées coulaient sur mon visage, touchant mes lèvres, puis qui tombaient sur les grains dorés. Le soleil tapait fort sur mon dos, je ressentait de la chaleur, celle que j'avais perdu.

A cet instant je repris le contrôle de mes émotions et je marchais en regardant le ciel bleu azur...Aucun nuages à l'horizon. '' Sbam !''Aouche ma tête ! Cela m'apprendra à ne pas regarder où j'allais. Je m'étais cogné gentiment sur un arbre, quel comble.*...Je vois...Je vois..*Une lumière éclatante ! Heiiin ? Ce n'était que le fruit de mon imagination, ça restait tout de même triste tout ça. Non ? C'était larmoyant de ne pas savoir où on était...Un moment....

*Ah mais ! Je me souviens de cette île*

Plus précisément ce village, ce bar ! Non d'une sardine entamée et entièrement crue ! QUI DANSE SUR SA QUEUE ! Ce que j'apercevais là bas, c'était le marché noir ! Je décidai donc de me la jouer discret au début. Je regardais le sol et quelque chose m'interpella...hein ? Il y a encore la tache de sang ! Là où j'ai étripée un mec primé...J'avais fait quoi de cette prime déjà ? Ah oui...Je l'avais laissé à un chasseur, un certain Pharaun Mizzrym. Un homme sympa a qui je lui devais trois vœux, d'ailleurs, cela faisait un bon bout de temps que je n'avais pas reçu de nouvelles...Il était surement occupé à chasser des têtes pour conclure ce pacte.

Je marchais tranquillement sur cette ruelle très fréquenté, m'approchant des divers marchandises...De rare lames y étaient exposées qui valait vraiment très cher, dépassant les millions. Je marquai le pas vers une voix qui stipulait avoir un bien très précieux. J’apercevais de là où je m'étais arrêté un vulgaire torchon, tout ce qu'il y avait de plus prosaïque. J'écoutais donc attentivement les dires de ce marchand. Ces feuilles seraient les plans du léviathan ? Un bateau volant inauguré par le Dr Vegapunk ? Aaaah encore cet enfoiré de Vegapunk, sa renommée dépassait l'entendement. Hahaha C'était une blague, il osait vendre cela à 10 Millions de berrys ? J'en avais que deux cents milles...Proposons lui cela. Mais d'abord jetons y un coup d'œil, normal de voir la marchandise avant de l'acheter. Et habillé comme j'étais, cet homme croira avoir affaire à un major d'homme d'un riche Picsou de ce peuple. Je lui demandai avec une formule de politesse si je pouvais analyser cela...De multitudes d'informations circulaient dans ma tête, s'attachaient à elles même et s'assemblaient. Par les cornes de Wakam le rouge !

Vegapunk avait conçu un navire volant ! J'essayais de rester calme et laissait ma jugeote absorber les différents schémas et mécanismes, en gardant précieusement le comment ! C'était la clé pour atteindre les cieux ! J'avais terminé, je lui rendis ses esquisses et lui proposa en riant sur sa figure 200.000 Berry's lui disant que ceci n'était que les plans des toilettes d'un navire héhé. Ah mince, il m'avait démasqué...Bras droit d'un parrain de North ? Quoi ! Il la remania à 20 Millions ! L'argent était tout ce qu'il comptait pour lui ! Et il en faisait quoi de la science ?...Je respirais bien calmement et j'essayais de négocier, toujours rien. Tant pis pour lui, avant de le quitter, je lui glissai quelques mots qui le mit dans une certaine rage. Et oui ! Fallait pas jouer au plus malin avec Mizukawa Sutero ! Quoi ? Moi imbu ? Je m'en foutiste, dirais-je. Rien à faire de l'argent pas comme cet être humain. Tout ce qui comptait à mes yeux, c'était de pouvoir voler ! J'avouerais que c'était aussi pour piquer la vedette à cet inventeur.

Oh mais que faisait il ? Il cherchait à me tabasser ! L'homme frappa la table qui était posé devant lui et la fracassa, par instinct je courut par la droite. Cette chamaille créa un mouvement de panique, les cris fusaient et les ruées de coups commençaient à se mettre en place, les marchands protégeaient toutes leurs marchandises. Il y avait même quelques gardes du corps pour défendre les précieux bien...Je voulais m'emparer de ces plans, ceux du léviathan, mais je connaissais les risques et je n'allais pas m'y confronter. Voulant sortir de cette pagaille, j'attrapai un gars par le col et je posai mes pieds sur son corps puis je tendis ma main gauche pour le frapper à la tête...Le laissant un peu déboussoler, je lui marchais dessus pour continuer sur les différentes tables esquivant les coups en sautillant...C'est là que j'arrivais sur le stock de légumes qui vendait discrètement des cartes aux trésors, je le savais très bien, j'en avais vu là fois passé quand j'étais venu ici ! Je me préparais à sortir mes lames tranchantes pour lui en piller quelques unes mais voilà que je tombais nez à nez sur des colosses !

Death Kick Of Water Dragon !

Non d'une sardine entamée, heureusement que j'étais en pleine forme ! Je me serais foulé la cheville. Bam ! Mon pied toucha l'épaule du poids lourd, une mini onde de choc se créa et c'était comme si Balboa avait mis à terre son ennemi ! Il s'affala sur le sol tel un vulgaire poireau ! J'envoyais une lame tranchante sur le deuxième et hop en plein dans la jugulaire. Tiens ? Des coups de feu ? Maydé ! Heu je voulais dire Merde ! *Je suis touché à l'épaule.* Pt'in c'était l'autre marchand à qui je lui avait dit que j'avais appris par cœur ses plans grâce à ma mémoire visuelle...Je sais, c'est faux, j'avaisi juste relevé les quelques mécanismes qui pourraient m'aider à faire de moi un homme qui W'ole !

Je regardais le vendeur de légumes sans défense et je lui piqua une carte. Mon regard l'avait tellement effrayé qu'il n'avait même pas osé dire un mot...Où était ce le fait que j'avais mis K.O. ses vulgaires colosses ? Sérieusement East Blue était réputé pour sa faiblesse, mais là j'avouerais que j'étais bluffer ! Je regrettais North Blue et tout ses défis quotidiens. Ma foi, il ne fallait pas conclure rapidement sur les préjugés et la réputation, peut être bien qu'il aura des gens très forts.

Je réussis à m'échapper avec mon gain, cependant voilà, quelques uns essayaient de me courser ! Je me faufilait entre les ruelles, mais rien ! Ils ne voulaient pas lâcher l'affaire.

Little Mienai Of Wind Dragon !

Je concentrai mon énergie et je courais en synchronisant mes bras et mes jambes pour une vitesse plus accrue. J'arrivais à peine à m'échapper de leur champs de vision et là je me disais que le meilleur moyen de leur filer entre les pattes, c'était de rentrer dans l'une de ses baraques qui ressemblait à je ne sais plus quelle forme car j'étais perturbé par ce qui se passait. J'ouvris puis refermai la porte brusquement en arrêtant mon geste au dernier moment pour ne pas faire de bruit. Un bonjour au monsieur derrière le comptoir...Ah ! Mais c'était une boutique ! Enfin sauvé, je me déshabillais devant le bonhomme tout âgé qui me faisait des signes de bras pour que j'arrête. Moi qui croyait que les vieux, c'était tous des pervers Huhuhu... Je demandais à l'homme de me passer ces affaires en lui tendant les miennes...Je regardais attentivement et je remarqua un rouge foncé, une teinture ? Je baissai les yeux sur mon torse...ensuite je visais mon épaule et c'est là que je m'étais souvenu d'avoir été touché ! Zut ! Comment ça se faisait ? Oublié la douleur si facilement, celle même qui me faisait atrocement mal en ce moment. Sans doute la poussé d'hormones, la Nor Adrénaline permettant d'augmenter les capacités physiques, d'ignorer la souffrance et bien d'autres. D'ailleurs ça me rappelle une conversation...Ah mais pas le temps de blablater ! Ils sont surement en train de me chercher là dehors.

Je posai sur son comptoir mes deux lames tranchantes, mes chaussures en cuir qui comportaient eux aussi des lames et je lui demandais gentiment de quoi me faire soigner. Il accepta sans broncher, il se dit sans doute comment est ce qu'un homme comme moi, blesser en était arrivé là ou il la fermait juste parce qu'il voyait des armes et qu'il ne voulait pas mourir. Ah au moins il n'était pas prétentieux, enfin quelqu'un qui ne méritait pas de crever ! Et je vous dirait pas le nombre de gugusse comme lui qu'il y a dans ce pâté pourri ! Dois je en profiter ? Ce serait mesquin et pas du tout gentleman...Attendez depuis quand je suis gentleman ? Faut que je respire ! Ma blessure accélèrait mes pensées surement pour faire passer ce moment douloureux.

Aiie ! Monsieur si vous voulez vivre, va falloir continuer à la fermer et faire ce que je dis.

L'homme au cheveux gris acquiesça en hochant de la tête. Il me fila un pansement que je mis sur mon épaule, je ne pensais pas m'en sortir comme ça, si seulement y avait un toubib à coté. J'entendis encore les coups de feu et les cris de guerres '' Comment ça mon POISSON il est pas Frais ?!'' Sbamm !
J'aurais trop aimé me joindre à cette folie meurtrière et faire souffrir ces personnes mais j'étais blessé et j'avais de nombreux trésors...*Arf arf ! Du sang...Résiste mizu...Résiste !* Je ne devais pas céder à la tentation et sans [i)hésitation[/i] je le ferait ! La fascination était avec moi ! Voilà qu'une femme courut à mes pieds pour voir ma blessure...Ce qu'elle était jolie, de belles courbes, des nibards comme jamais vu auparavant ! Je vous mens pas ! Du 90B ! Le rêve ! Avant de ne tomber raide de fatigue, je donnais à l'homme toute ma bourse lui demandant de m'abriter quelques jours jusqu'à que ma blessure se referme.

Le lendemain...Hein ! Ouf ! Ma carte était toujours là, j'avais fait un mauvais rêve...A peine lever que la jeune femme s'approchait de moi pour constater les blessures, je lui dis mon nom pour lui demander le sien poliment, mais elle m'avait juste souris sans répondre...Puis le vieillard assis sur son fauteuil ronflait tranquillement, il faisait très calme dans cette boutique, et les bruits de la veille avaient disparu. Je n'avais plus mal au bras et je pouvais continuer ma route. Comme promis j'offrit à ce généreux homme et à cette gentille femme la somme d'un million de berry's, je laissais aussi mes couteaux et je comptais sortir pied nues...Je ne portais plus que mon pantalon...Je me retournais pour traverser la porte quand SOUDAIN !


Dernière édition par Mizukawa Sutero le Ven 20 Mai 2011 - 14:47, édité 1 fois
    J’étais sur l’île d'Acamédia, ça faisais un bail que j’étais arrivé la bas. Il faisait beau, le soleil était en son plus haut point, les rayons nous chauffaient le crâne, mais j’avais de la chance d’avoir une bonne tignasse de cheveux blanc, ça n’attirais pas trop la chaleur. Je marchais tranquillement dans les ruelles, joyeux, puisque c’était plutôt rare d’avoir un temps si magnifique. Le soleil à toujours été mon remède miracle, rien ne peut me faire plus plaisir que ça, même malade il me rend heureux. Comme quoi peut de chose peut être si important dans notre vie, même si on sait tous qu’il est une de nos principale source d’énergie.

    Je squattais dans les rues à faire quelques poches pour pouvoir manger à midi, puisque dans mes poches, il y avait le vide. Simplement quelques petites araignées qui se battaient de temps en temps, pour prendre ce territoire inexploré. L’argent me manquait cruellement et je commençais en avoir marre de manger les restes de ramen de mon très chère amis qui tenait le restaurant Ichiraku. Aujourd’hui ça sera de la viande, car mon corps fragile m’en demandait. Je trainais toujours dans les venelles quand, une brise fraiche passa fougueusement, en laissant derrière elle, une petite musique. Ce moment arrivait pile poil, car les habitants et les touristes s’arrêtèrent pour apprécier ce rafraîchissement inopiné. Un sourire commençait à apparaitre sur mon visage, ce qui faisait un peu de sport pour mes zygomatiques. Je venais de trouver ma victime, pas de chance, ça sera cette faible vielle femme, porter un sac qui coutait si chère était sa seul punition. Je m’approchais d’elle, la bousculais d’un coup vif, rapidement je mis ma main dans son sac, je fouillais pour trouver quelque chose d’intéressant, pis je volai son porte monnaie. Pis pour soulager ma conscience je m’excusai de l’avoir bousculé, mais une partie de moi, le disait aussi pour l’avoir volé.

    Quelques minutes plus tard, après avoir finir mon assiette, ma bouteille d’eau, car le saké très peu pour moi, surtout en plein soleil car ça peut faire des ravages. Je prenais mon temps pour digérer, assis tranquillement sur la terrasse de ce mini restaurant, qui était spécialisé sur les plats de South Blue. Je me jurai de passer la fin de ma vie sur une île la bas, car leur gastronomie était un vrai délice. Pendant mon petit moment de somnolence sur mes rêves les plus fous, une chose m’interpella à ma gauche, des marines arrivèrent en ma direction. Etait ce pour moi ou pour quelqu’un d’autre, je ne pouvais prendre aucun risque. Je payai mon addition puis partais dans le même sens qu’eux. Mais manque de bol, des autres marines arrivèrent dans la même direction que moi, sauf que ceux devant moi étaient accompagné de la petite vieille de tout à l’heure. Et là, la septuagénaire cria aux marines.

    C’est le jeune voyou devant vous, celui aux cheveux blancs.

    Maintenant j’étais fixé, ils étaient pour moi, une seule solution pour moi, courir. Je courrais, bousculais tous le monde devant moi, heureusement que ma principale qualité est ma vitesse. Je les semais légèrement, quand une idée me parcourut, une boutique était juste devant moi. Je décidai de me planquer dedans, puis on verra. Je traversai la porte quand je vis un vieux monsieur avec les cheveux gris entrain de dormir sur un canapé et une femme mignonne, mais dans ma situation ce n’était pas le moment de penser à tous ce que je pourrai faire avec de si belle courbe, entre mes mains. Mais ce qui m’interpella le plus, était ce jeune homme, torse nu et en plus de ça sans chaussure, ARFFFF je voyais ces pieds, quelle horreur, rien de plus répugnant. On se regardait, des dizaines de questions se posaient dans ma tête, qu’allait il se passer, seul le temps pourrait nous le dire.
      Le temps était parfois très capricieux et il nous jouait souvent des tours, peut être bien parce qu'il n'avait rien à foutre ou qu'il n'avait aucune vie sociale. Mais si y avait quelque chose à retenir c'était que même si le temps faisait le clown avec notre vie, parfois il en était nécessaire pour que le destin puisse réunir deux âmes. Mon regard se portait sur cette porte qui s'ouvrit brusquement lorsque j'avais voulu toucher la poignée. Et par ma grande surprise, je vis un humain. Non pas que cela m'impressionnait, mais sur le coup j'avais eut comme un léger sursaut. Oui, j'avouai que la peur avait possédé tout mon corps. Fallait dire que je ne connaissais pas très bien cette océan. Même si j'y suis allé par hasard et que j'avais rencontré certaines personnes avec qui j'avais vite sympathisé, je restais prudent sur les évènements à venir.

      Le vent souffla et la porte se referma avec un claquement, les rayons de soleil qui aveuglait ma vue disparurent et je vis en cette silhouette, un jeune homme à l'air effrayé, légèrement essoufflé avec quelques gouttes de sueurs sur son front. Après avoir scruter ses yeux noirs pour essayer de percer ses intentions, j'en concluais que ce n'était qu'un enfant puis j'avais changé directement d'avis lorsque j'abaissais mes yeux pour le regarder de haut en bas. Pourquoi ? A cause de son fourreau qu'il portait à la taille. Serait ce un bretteur à la chevelure blanche. Zelles Hitsugaya ? Impossible ! Il était complètement différent du pirate que j'avais rencontré à Ohara. Et même si ses micro expressions traduisait la surprise, il n'y avait rien sur ses yeux qui pouvait décrire qu'il m'avait déjà rencontré auparavant.

      Méfiant comme jamais, je me préparais pour un duel, on ne savait jamais ce qui se passait dans la tête des gens. Empoignant mon fourreau, je le fixa directement le pointant d'un doigt en lui disant clairement...

      Qu'est ce qui se passe dehors pour que tu sois dans un tel état ?

      J'avais toujours ce bandage qui me grattait et j'en avais plus que marre de cette île qui malgré ce qu'elle m'avait apporté ne m'attirait que des ennuies. Et en parlant de ça...J'entendis la porte s'ouvrir, je revis le soleil qui m'aveugla et je sentis comme un parfum dégoutant de lessives. Le même que tout ces pt'in de marines portaient. *Oh non ! Pas eux.* Ce que je détestait ces hommes. Ils se disaient guerrier, protecteur de la justice. Mais ils sont bête comme leurs pieds. Aveuglé par le gouvernement, ce n'était que des chiens affamés de pouvoir, voulant monter les échelons petit à petit. Ce système était l'essence même de la corruption et donc de l'injustice. Que du blabla pour que dalle. Dans ce monde, ils ne servaient qu'à barrer la route à notre liberté ! Et cela, c'était un réel crime contre l'humanité !

      Une rage m'envahissait avec toutes ses pensées qui me traversait l'esprit, d'un pas vif, je m'avançais vers la silhouette qui venait d'ouvrir la porte pour la pousser dehors et lui apprendre les bonnes manières. *On toque avant d'entrer* Je sortis donc et de suite ma vue se porta sur les marines présents dans cette ruelle espacé. Dix marines d'un coté et dix de l'autre. Derrière eux, deux qui avaient l'air plus gradés, leur uniformes n'étaient pas du tout les mêmes et ils donnaient des ordres du genre, mettez les aux arrêts...Que des foutaises. Je remarquai aussi une vielle dame à coté de l'un des chefs sur le flanc gauche. Je vis par ailleurs une réaction d'étonnement lorsqu'ils m'avaient aperçu le torse nu avec mes tatouages. Pour l'une des rares fois de ma vie, je me mettais à découvert troublant mes ennemies avec la fabuleuse marque de dragon qui était gravé sur tout mon dos.

      Sans rien comprendre, les marines se ruaient tous sur moi avec le même cri à l'unissons...Pour la justice !...Qu'est ce que c'était pathétique. Le combat s'engagea, si l'on pouvait appeler ça comme cela. Je sorti mon katana, lorsque ce dernier fût en main, je reçu mon premier coup, puis un deuxième. Moi qui avait cru que j'allais mourir à cet instant à cause de leurs lames, j'avais rien eus ? Aucune égratignures. Hein ?! Mais non d'un thon entamée, pourquoi ils se battaient avec la partie non coupante !? Bordel ce n'étaient que des matelots qui avaient peur de faire saigner leur adversaire. Bon sur ce, je n'allais pas me gêner.

      Death Kick of Water Dragon !

      Je m'étais baissé et j'abattais sur eux l'une des techniques de l'art du dragon et la seule que j'avais complètement maitrisé. Celle de l'eau. Posant la paume de ma main droite sur le sol, je faisait tourné mon corps comme une mini toupie ou tornade. Mes deux pieds prenaient de la vitesse et étaient presque invisibles à leurs yeux. Cela se remarquait dans leurs...Oh !...Et du fait qu'ils s'étaient écartés légèrement. Puis d'un coup, ils avaient l'âme suicidaire poussé par leurs supérieurs. Tenant un courage féroce entre leur mains, ils s'essayèrent de me toucher. Mais ma technique enclenché, ils n'étaient que de vulgaires mouches face à une grosse grenouille. Ou mieux, de vulgaires herbivores face à un tyrannosaures ou de simples humains face à un dragon. La puissance du coup était à quelque peu dévastateur. Ils tombèrent comme des dominos incapable de se relever sauf quelque uns qui avaient plus de courage que les autres. Leurs chefs voyant que la situation leur échappait, ils rejoignirent cet affront.
      J'étais sur d'une chose, que je n'allais pas y arriver seul...

      Eh ! L'albinos, ça te dis pas de me filer un coup de main ?







      Dernière édition par Mizukawa Sutero le Mer 25 Mai 2011 - 13:43, édité 1 fois
        Cela faisait exactement deux mois que j'avais quitté mon île, en plein milieu de South blue. J'avais embarqué sur un navire marchand, bien entendu clandestinement vu mon niveau de vie. Je ne savais même pas ou j'étais, l'île semblait propice, un marché noir était même instauré dans cet endroit. J'avançais lentement, sourcils froncés, mon long manteau cachant tout mon corps excepté mon visage. Les regards fusèrent. C'est fou comme les gens peuvent avoir l'air si mauvais dans ce genre d'endroit, et pourtant, si faibles... L'excitation montait. Je me sentais léger, la dose d'adrénaline parcourant mon corps ne cessait d'augmenter à chaque pas que j'effectuais au sein de cette foule meurtrière. Foule dont la seule vue me donner envie de sang, de meurtre, de torture.... Cette île me rendait toute chose.

        Au loin, j'aperçois un homme, plus petit que moi. Cette personne était ornée d'une crinière argentée, et je ne pu m'empêcher de sourire lorsque je le vis voler à peu près toutes les personnes passant à côté de lui. D'ailleurs il aurait semblé que cet homme ait trouvé son bonheur dans le sac à main d'une vieille dame toute ridée. Je grimaça à la vue de cette horreur dégoulinante, à ses yeux, il n'y a rien de plus écoeurant qu'une vieille personne s'accrochant à la vie. Quand elle se fit voler, je me mis a rire, c'est vrai, au final, c'était bien fait pour elle. Puis, à peine quelques minutes plus tard fût l'heure de l'arrivée des Marines, ils étaient nombreux, mais qu'est-ce qu'ils avait l'air faiblards.

        L'homme aux cheveux argentés partit en courant, drôle de façon de faire face à la marine. Il était réfugié dans un magasin, en bout de rue, mais les marines ne tardèrent pas à trouver son subterfuge et ils entrèrent dans le magasin. Je ne peux plus me contenir, sinon j'explose. J'avançais à grand pas, vers ce magasin, la vieille dame était devant l'entrée, regardant le vaccarne qui était probablement en train de se dérouler à l'intérieur. D'ailleurs les bruits sourds de coups retentissait déjà à mes oreilles et je voulais absolument prendre part. J'étais maintenant au niveau de la vieille peau, et a ce moment précis, je lui écrasa la tete contre le mur, à l'aide de ma main gauche, utilisant ma main droite pour retiré mon manteau brusquement, laissant découvrir à tous les spectateur de cette scène, le visage de la vieille dame écrasé entre le mur et un long bras métallique.

        ~ Dégueulasse....

        J'entrais maintenant dans le magasin, le visage déformé par cette satisfaction aux meurtres et à l'horreur. Le sadisme lui même pouvait se lire dans mes yeux, j'étais jouissif, rien n'était plus beau en ce moment que le sang de cette vieille dame, gisant sur son visage éteint. Le mur était souillé de son sang dépassé. A l'intérieur, le spectacle était encore plus beau, des Marins gisaient sur le sol tandis que d'autre se relevaient avec difficultés. Mais.. par surprise, l'homme aux cheveux argentés ne se battait pas, c'était un autre, torse-nu, un dragon tatoué sur le dos, qui avait créer a lui seul tout ce grabuge. Je ne pu m'empêcher de sourire sadiquement, me tournant vers un Marins qui ne m'avais pas vu, prenant son visage dans ma main d'acier, et le pressant telle une orange. Le sang sortit de tous les orifices possible et je laissa le corps tombé inerte sur le sol. Mes yeux s'imbibèrent de sang à la vue de ce massacre, je riais, et me tournais vers les autres marins, prenant de la main droite ma hache qui était jusqu'ici laissée sur mon dos.
          Qu'est ce qui se passe dehors pour que tu sois dans un tel état ?

          Tel était la question de l’homme au tatouage de dragon. Devais je lui répondre ou non ?? Sans avoir le temps de lui demander ce qu’il voulait, la porte de la boutique s’ouvrit et des marines apparurent. Pendant une brève instante, lorsque je regardais derrière moi, les chiens du gouvernement. L’homme en face de moi, me mit dehors. Maintenant dehors, je pouvais voir dix marines à ma gauche et à ma droite, la chance m’avait quitté puisque en plus, il y avait deux gradés avec eux. Sous ma crinière, mon cerveau marchait à dix mille à l’heure, que devais-je faire ?? Ils étaient une vingtaine, plus celui qui était orné de dessin sur le corps, mais je ne savais toujours pas si cet individu était un ennemi ou un allié.
          Juste au moment où il sortit un katana, face aux marins. La toute mes suppositions était claire, il était un pirate ou au pire un vagabond. Les marins le touchèrent à deux reprises, mais ces chiens étaient si mauvais, qu’ils le touchèrent avec le plat de la lame. Cependant lui, ne les avait pas loupé, il les attaqua en faisant tourner ses jambes à toute vitesse. Ils tombèrent tous comme des mouches fonçant face à un mur, seulement quelques courageux justiciers se relevèrent. Puis l’homme tatoué me dit.

          Eh ! L'albinos, ça te dis pas de me filer un coup de main ?

          A peine le temps de répondre à sa question, qu’un homme aux cheveux roux se lia à la bataille, sans avoir demandé à qui que ce soit. Il choppa la vieille dame et lui brisa la tête grâce avec une puissance phénoménal dans son bras, puis il continua sa folie et tua un officier avec son bras diabolique. Maintenant que son sanguinaire paysage était à son apogée, il sortit une hache qui était accrochée sur son dos. Je répondis à mon premier interlocuteur.

          Oui je suis avec toi!! Et tu connais l’autre fou avec son hache ??

          Il ne restait qu’une quinzaine de marins, tous armés, je devais montrer mes compétences aux combats à l’homme qui me demandait de l’aide, vu que lui avait été époustouflant, je ne devais pas le décevoir. Je me tournai vers la droite, il y avait huit ennemis, cinq avec des armes à feu et trois avec de simple katana, en plus de ça, dans cette direction il y avait aussi le psychopathe inconnu.

          BUTOU OKURU !!!

          Je tendis mes bras dans leurs directions et grâce à mon fruit du démon, je balançais toutes les armes des officiers à mes pieds. Puis je découvris par chance que le puissant bras du tueur était un bionique, puisqu’il avait réagit à mon attaque. Soulagé d’avoir trouvé une faille devant ce gaillard, je le mis de coter, tout en le guettant du coin de l’œil, pis je continuais mes attaques face aux marines.

          BUTOU KYOJIN !!!

          Je courais dans la direction des membres du gouvernement, les bras tendu en arrière, pis les armes que je venais de confisquer préalablement s’accrochais à mon bras. Arrivé à un mètre d’eux, je leur lançai un puissant crochet du droit, qui les propulsa plusieurs mètres plus loin. Après avoir fait de la place devant la boutique, je me plaçai à coter de l’homme dragon.
            Voilà une personne bien aimable, se battre à coté de gens comme lui était un plaisir. Cette force dans les bras, ce regard. Ce sourire. Je connaissais parfaitement cette expression, je l'avais souvent...Le plaisir de tuer...Je vis un homme aux cheveux rouge enfoncé le crane d'une mégère dans un mur...Si j'avais une conscience, j'aurais eus de la peine pour elle, mais fallait dire que c'était pas son jour et puis un de plus ou un de moins...

            Regardant autour de moi, je sentis la peur qu'avait les marines. Ils voulaient cesser le combat, mais leurs supérieurs les poussaient à bout. J'avais appris une chose essentiel au cours de mon voyage. Lorsque j'avais rencontré un certain Minos, un roi seul mesurant vers les six mètres de haut, taillé comme un grand guerrier. ça ne servait à rien de se battre contre des troufions du dimanche, car ils sont plus proches des civils que des militaires. Et il avait bien raison ce grand roi, ils ne savaient même pas se battre ! A quoi bon s'acharner sur ces hommes comme le faisait bien le roux avec le marine qu'il avait prit comme fruit pour presser son jus de sang.

            Ce fou à la hache comme disait l'albinos, n'était pas fou. La folie était bien plus grande et plus dévastatrice, il avait surement une haine envers ce groupe. Moi aussi j'étais borné par des idées que j'avais moi même monté dans ma tête, de part ce que j'avais vu dans le monde et autres. Derrières ces soldats, ces pantins de chairs se cachaient des êtres qui tiraient les ficelles. Qui maniait le monde à leur façon...Ne laissant pas un soupçon de liberté. Ils ont vendu une image négative des pirates, un peu trop d'ailleurs...Sans doute pour cacher leurs atrocités...

            Non, Je ne le connais pas, mais je suis sur d'une chose, c'est qu'il aime pas la marine. Lui dis je avec un sourire qui exprimait la confiance en soi.


            M'apprêtant à aller attaquer les chefs respectifs, je vis le pouvoir de ce jeune homme aux cheveux blanc. C'était impressionnant la manière dont il avait fait tombé à ses pieds toutes les armes. A ce moment là, j'avais senti comme une force me possédant, une énergie. Le monde autour de moi tournait, c'était comme si j'étais pris de vertige. Puis ça c'était estompé jusqu'à que le jeune homme réutilisa son pouvoir. Impressionnant, cette sensation indescriptible. Était ce de l'euphorie ? Je sentais en moi, un pouvoir instable changeant constamment...Serait ce le haki dont parlait le livre noire ? Ce même livre que j'avais acheter ici même sur cette terre.

            Peu importe, ce qui comptait en ce moment, c'était de se barrer de cette île, et ma barque n'était pas très loin, seulement voilà ces pt'in d'officiers nous gène et vont surement appeler des renforts. Ah ?

            Comment t'as fait pour les désarmer ? Arf voilà que ses marines retentent leurs coups. Je pense qu'il faut s'attaquer à leurs supérieurs, ils seront ainsi désorienter et on pourra se tirer de cette île. Qu'en pense tu ?

            Après avoir entendu les paroles du jeune homme, je courais en direction de ce qui semblait être un officier, sabre à la main. Le champ était libre, aucun subordonné à l'horizon. Je m'apprêtais à donner un coup diagonal sur le torse de mon adversaire quand soudain, il avait disparu pour réapparaitre deux pas à sa droite. Sa vitesse était phénoménal...Du coup, j'avais tombé parce que j'avais perdu tout équilibre, je me reprenais grâce à ma main gauche pour rebondir ensuite sur mes pas. Je n'avais même pas eus le temps de regarder mon adversaire qu'il m'avait envoyé valser sur le mur de la boutique par le biais de son coup de pied !

            Petit effronté, tu fais face au Colonel Masahashi ! Je vais tous vous montrer qu'il ne faut pas touché aux hommes de Masahashi.

            Ahuf Ahuuuf ! Fallait que je montre plus prudent. Cette énergumène était fort ainsi qu'extrêmement narcissique. Il avait d'étranges cheveux bleu et il portait un béret comme couvre chef. Son visage exprimait un ton de confiance, comme s'il était sur qu'il allait m'écraser comme une vulgaire crêpe. Il se trompait, j'étais simplement pris de surprise la première fois.
            *Viens voir papa et montre moi ce que tu sais faire pantin !*

            Il réutilisa sa technique pour disparaître et apparaitre ensuite devant moi, en un instant ! Je l'attendais ce coup, un peu trop prévisible le Masahashi. Il arma son poing sur mon torse, puis je mis la paume de la main pour l'intercepter. Nos deux puissances s'affrontaient, il gagnait de la marge, j'écartai alors ma main pour lui mettre un bon punch dans sa poire, mais il esquiva avec facilité. Et il me contra en me donnant un coup dans le ventre. Il a voulu me mettre en symbiose avec le ciment qui tapissait l'extérieur de la boutique. Mais il échoua...Mon corps était juste poussé un peu en arrière. Voilà son point faible, sa force ! Il ne savait pas l'ajuster et se servait principalement de sa vitesse.

            Il chargea ensuite avec la même vitesse serrant le poing et l'armant en direction de mon torse. Alors, je me désaxai. Enfin à l'extérieur de son champ d'attaque, apercevant son bras droit parallèle à mon corps. Je dégainai un Kick dans le ventre qu'il l'avait surpris. Résultat il était projeté vers le mur. C'est toi qui va gouter de la matière fraiche maintenant !

            Oh mais voilà qui se reprend, enragé comme jamais avec plus de vitesse, il s'avance vers moi en me donnant deux, trois coups de poing que j'esquive aisément. Trop sur ma défensive et pensif sur ses punch, il me prend de stupeur et m'envoyait très loin avec un coup de pied retourné. Il me dit clairement de rester flirter avec la terre. Et que j'allais mordre la poussière. J'avais affaire avec un gars balèze. Putin ! QUE VOIS JE ! Ma carte au trésor dans sa main, il la brandissait avec un sourire malicieux.

            Masahashi a gagné !

            Aux grands maux ! Les grands moyens !

            Aveuglé par la poussière, je ne savais pas ce qu'avaient fait les deux autres hommes, ni s'ils étaient encore là, mais je leur avait dit de me laisser ce Colonel. J'en faisais mon affaire personnel.


              La bataille faisant rage, je me permet de constater le nombre d'ennemis restant. Quinze marins à première vue, et les deux officiers immobiles, regardant la bataille avec un large sourire se décelant sur leur visages calme. L'homme à la crinières argenté se lança dans l'assaut, menant à bien ses attaques, tuant d'un coup net les quelques marins se mettant sur son chemin. Il avait l'air fort, ainsi que l'autre homme, au large tatouage dorsale. D'un coup, je me sens attiré, une force invisible et indécelable me tirant vers l'homme aux cheveux blanc. Quel était donc cette sensation? Je comprends maintenant, c'était sûrement cela qu'on appel les "fruits du démon", et, le sien, à cause de mon bras gauche, semble particulièrement efficace face à moi. Autant garder cette homme dans mes alliés.
              Je me lance à mon tour dans cette masse de combattant, balançant un marin contre une armoire en bois de mon bras gauche, tandis que de mon bras droit, tenant ma grande hache, je me réserve le droit d'assainer un coup violent au visage d'un autre serviteur de la justice. Mon excitation étant à son comble, je me retiens pas de pousser des cris sauvage à chacun de mes coups, donnant un effet de barbarie extrème a mes actes.

              -Oui je suis avec toi!! Et tu connais l’autre fou avec son hache ??

              L'autre fou? Si le fait d'aimer tuer est d'être fou? Alors oui, je ne suis qu'un malade mental satisfaisant ses envies de meurtre à la simple vue du sang. Mais pourquoi me faire insulter de la sorte alors que nous sommes dans la même situation? Nous sommes tous les trois, armés, en plein combat, face à la marine. Nous sommes tous trois les mêmes personnes à leur yeux, des hors-la-loi... ou mieux, des pirates!

              -Non, Je ne le connais pas, mais je suis sur d'une chose, c'est qu'il aime pas la marine.

              Je n'aime pas la marine? A vrai dire, je n'ai absolument rien contre eux. J'ai simplement vu une bataille, ou plutôt entendu des bruits m'y faisant penser, et je n'ai simplement pas pu me retenir. Prenant part au combat, je n'aurai jamais pensé me retrouver avec deux autres types de mon espèces face à ses faiblards de la marine.
              Je continue mon assaut, faisant voltiger un marin d'un coup de hache dans les jambes. Ce dernier, toujours vivant, semble mal en point puisqu'il rampe dans le sens inverse, laissant une large marque de sang, le suivant dans son effort, vers ses chefs qui l'achevèrent, un air de mépris sur leur visage.

              L'homme au tatouage se mit a courir en direction d'un des deux officier, tentant de lui donner un coup net, mais ce dernier l'esquiva, en l'espace d'un éclair. Il est super rapide. Les deux, se battant avec acharnement, ne laissent pas imaginer le vainqueur de ce combat. Totalement concentré sur leur combat, un marin m'attaque par surprise, me laissant une large trace de sabre dans le dos. Je me retourne, énervé comme jamais, attrapant ce marin par la gorge:

              -HELL'S BLAST!

              Mon poing droit, partant à une vitesse ahurissante, et à de nombreuse reprise dans mon ennemi, le frappe au corps et au visage. Le craquement de ses côtes, rendant mon poing encore plus puissant, n'à fait que signer son arrêt de mort. Le coup fatale, étant un coup de toutes mes forces sur la tête du marins, le propulse vers le deuxième officier. Toujours immobile, qui, d'un mouvement brusque, s'abaisse et esquive le corps mort du marin ayant voulu m'attaquer de dos.

              -Laissez le moi!

              Apparement, le premier gradé est reservé. Je me contente donc de lancer une charge sur le second, qui d'un coup de poing au visage, m'envoi de l'autre côté de la pièce. Je me relève, essuyant d'un mouvement de langue le sang qui coule de ma bouche. Changeant de main à ma hache, je souris à mon adversaire avant de lancer une attaque qu'il n'est pas près d'oublier.

              -TWISTING BLADE!

              La lame de ma hache, maintenant quasi invisible, laisse deviner à l'officier la puissance destructrice de mon attaque. Mon poignet gauche, tournoyant a une vitesse ahurissant est près à l'attaque. Je charge mon adversaire, lançant un coup en sa direction. Il l'esquive d'un simple pas sur le côté. Mon attaque explose le mur, et mon adversaire, d'un simple croche-pied, m'envoi directement au sol, tendant de m'achever d'un coup de pied verticale. Je bloque le pied avec le manche de ma hache, le repoussant de toute mes force. L'officier est propulsé vers le mur contre lequel il s'écrase. Je me relève doucement.

              -Un officier de la marine ne pourra jamais tuer un pirate de cette manière!
                Comment t'as fait pour les désarmer ? Arf voilà que ses marines retentent leurs coups. Je pense qu'il faut s'attaquer à leurs supérieurs, ils seront ainsi désorienter et on pourra se tirer de cette île. Qu'en penses-tu ?

                Suite à la question de l’homme au tatouage de dragon, qu’il attaqua précipitamment un officier, katana à la main. Il était partit si vite, que je n’avais eu le temps de lui répondre. Comme je le pensais, les attaques de mon nouvel allié étaient inefficaces. Puisque que le marin, était puissant, mais surtout très vif. Il esquivait aisément ces coups, et là, il se fit balançer contre le mur de la boutique, avec un coup de pied destructeur.

                Petit effronté, tu fais face au Colonel Masahashi ! Je vais tous vous montrer qu'il ne faut pas toucher aux hommes de Masahashi.

                Alors il s’appelait Masahashi et c’était un colonel, j’étais heureux de voir la puissance d’une personne d’un tel titre. L’homme au cheveu bleu, recommença la même attaque, qu’il avait fait pour contrer le pirate, plus tôt. Sauf que ce coup ci, mon collège intercepta son coup de poing avec sa paume. Puis, l’homme du gouvernement esquiva encore une fois, un puissant coup. Cette bataille faisait rage, les coups fusaient, et le colonel remporta le premier round.

                Concentré sur le combat de mon premier nakama, que j’avais oublié celui à la chevelure rouge. Un marin, l’attaqua derrière son dos et lui laissa une longue marque avec son sabre. Une grimace venait de se placer sur le visage du blesser, la colère devait l’envahir, être attaquer par derrière, quelle lâcheté. Pour se venger, il lui balança des coups terrifiants, tout en lui tenant la gorge. Le lâche était complètement K-O, même mort, vu que ses vertèbres venaient de se casser et qu’il sortit de sa gorge. Il était propulsé vers le second officier qui l’évita sans aucun effort.

                Il chargea le deuxième officier bêtement, puisqu’avec un coup de poing il vola à plusieurs mètres, comme si il n’avait pas vu la force de son confrère. Quelle résistance, car il se remit sur pied et le chargea de nouveau, en changeant de hache de main. Et lui lâcha un coup, qui sans avoir une vitesse hors du commun, laisserai juste des lambeaux d’un corps humain, juste en le touchant. Le marin fit tomber le pirate et essaya de le piétiner, qui pour s’aider utilisa le manche de sa hache. Plutôt astucieux, il réfléchissait vite pour utiliser des petites combines de ce genre, qui toute fois lui sauva surement la vie. Mais l’officier était comme son coéquipier rapide, mais avec une force laissant à désirer. Il se fit balancer contre le mur.

                Un officier de la marine ne pourra jamais tuer un pirate de cette manière!

                J’étais en première place du spectacle, je venais de voir ce que valais ces chiens du gouvernement. Je me demandais, si je devais partir ou aider ces pirates. J’étais jeune et je ne voulais pas me faire tuer, ni être enfermé dans une prison. Mais j’étais confiant de notre victoire, l’homme aux cheveux rouge avait une force physique exceptionnelle et une bonne résistance et celui au tatouage était rapide et avait tout d’un parfait combattant. Je me retournai vers mon complice à terre et dis.

                J’ai mangé un fruit du démon, et je peux controler le magnétisme à ma guise. Et si tu veux qu’on se barre en tabassant les colonels, pas de soucis, mais je ne te garantis rien.

                Je réfléchissais à comment bloquer les colonels pour qu’on puisse s’enfuir. J’attaquai les derniers marins avec acharnement, pour être sur de ne pas être dérangé plus tard.

                BUTOU HI !!!

                Je tenais mon wakizashi au dos et tranchais net mes cibles au niveau de l’abdomen. Les rachitiques voyaient leurs viscères tomber, tandis que les plus costaud avaient juste une plaie profonde mais sans risque pour leur santé. Sauf que je ne les laissai sans répits et les attaquèrent avec mes poings américains, en leur balançant des rapides coups de poing. Mandibule, rotule, cotes était les endroits ou mes poings fracassaient mes ennemis.

                Ayant finis de démolir ces faiblards, que j’avais partiellement oublié l’officier qui me donna un coup de coude en pleine tête qui m’ouvrit l’arcade. Le sang dégoulinait à flot, je tombais sur mes genoux, c’était à ce moment que le marin, me fracassa le crane avec un coup de genou en pleine face. Je volais à une dizaine de mètres et me relevai faiblement, je savais très bien que je n’avais pas la force de battre les officiers, ils étaient aussi rapide que moi et n’utilisais pas forcément d’arme métallique, je devenais inefficace. Seul mon fruit du démon pouvait m’aider à en battre un, mais je ne trouvais aucun moment ou il lachait leurs garde, je devais attendre et faire confiance à mes alliés.
                  *Je tremble, mon nez se hausse et je sens mes sourcils se froncer...*

                  Oui ! Mon visage exprimait la rage et je le montrais clairement à mon adversaire. A ce colonel plus que prétentieux. Un enfoiré de première qui n'arrêtait pas de gesticuler et de partir à gauche et à droite comme une boule de billard. Je ressentait peu à peu la chaleur qui montait au niveau de mon torse. J'allais lui ravaler sa fierté, lui qui restait insensible au massacre que subissait ses hommes, il les traitait comme du gibier et en plus de ça, il affirmait qu'on ne devait pas les toucher. Il fallait se décider par dis !

                  Je serrai mon poing, mes bras tremblaient...Mon adversaire me regardait en ricanant comme une hyène en chaleur. Je le voyais venir de loin, il se foutait de ma petite gueule de blond en se disant surement qu'est ce que j'étais en train de faire...Provoquer un séisme en faisant bouger mes bras supérieurs comme un attardé ? !

                  Pendant ces courts moments de répits, il fallait vite réfléchir à une stratégie d'attaque pour en finir avec cet homme et récupérer mon bien. Procédions comme si c'était une partie de poker...Le Masahashi avait la rapidité et il ne savait pas ajuster sa frappe. Un jeu équilibré, voyons voir le flop...Une carte blanche qui pouvait contrôler le magnétisme, la deuxième carte était rouge et elle était en forte compétition avec la dernière carte du flop qui n'était qu'un valet. Je voyais bien le sourire et la confiance absolue qu'avait cet officier...Comme s'il allait gagner avec un valet. Il n'y a qu'à regarder mes cartes...Un quatre de trèfle...Mauvais et un joker ? Que signifiait donc ceci ?

                  Alors, on plane dans les nuages...*Soru!...


                  Merde ! Encore cette technique...Soru ? ''Bam !'' Il avait l'intention de m'achever ? Voilà qu'il me donna un coup de poing par surprise et toujours avec une vitesse de déplacement phénoménal. Hein ? Encore cette énergie qui traverse mon corps entier, cette force poignante, je sentais comme si je pouvais attirer les choses. Je regardais attentivement le jeune albinos et je remarquai comme une légère différence. Son attaque était un peu plus puissante que les dernières. Ceci me troublait quelque peu et je soupçonnais ce jeune homme de quelque chose, il était surement la cause de tout ceci !

                  Je ne peux que me soumettre à votre force cher Colonel Masahashi.

                  C'est ce que je pensais ! Il avait un égo sur-dimensionné et lorsqu'on le flattait, il baissait sa garde et faisait des gestes de sa main et touchait son béret noir pour ensuite frotter ses cheveux bleus. Maintenant que je l'avais distrait, j'allais passé à l'action, ma technique était enfin prête.

                  Little Breath of Fire Dragon !

                  Je l'utilisais dans de rares occasions, mais je me sentais tellement énergique que j'avais céder à la tentation. Pour compenser la rapidité de mon adversaire, il fallait que je mette en danger, je ne savais pas si mon corps allait supporter cela. Tant pis ! J'utiliserais de manière synchroniser toute la chaleur de mon corps. J'étais comme un volcan qui entrait en éruption et ce n'était pas qu'une métaphore. J'avais comme l'impression que mes membres supérieurs devenaient rouges. Je boue intérieurement, inutile de vous dire que la réaction de mon adversaire était immédiate, il recommença avec sa technique Soru, tout en frottant son nez, il arma son poing...Petit bluffer !...Je sautais en l'air, la jambe de l'homme faisait un tour complet là où j'étais, je retombe et je dégaine ma technique.

                  Little Punch of Earth Dragon !

                  Le colonel était puissant et il avait vu le coup venir, il s'était écarté bien plutôt. Mon corps continue sa route et mes poings s'écrasent sur le sol, le fendant en laissant un léger cratère.

                  Vous êtes très rapide monsieur Masahashi, si je n'étais pas un pirate, je serais votre plus grand admirateur.


                  Il recommence avec cette même manie...t'aurais pas du baisser ta garde. Cette fois ci, je courais en zigzaguant vers mon adversaire et en me penchant près du sol pour ramasser de la poussière. Je prend de la rapidité ''Little Mienai of Wind Dragon !'' VS ''Soru''. L'impact était proche, l'homme au béret faisait des gestes avec ses bras, enfoiré ! Il allait se servir de sa vitesse pour permettre à son coup d'avoir une force proportionnel. C'est alors que je me permet de lui balancé ce que j'avais pris en mon chemin en pleine poire.

                  Il s'arrêta net, et se mit à genoux en criant...''Masahashi à mal aux yeux, masahashi à des larmes qui coulent le long de son beau visage''

                  Je vous dirais une seule chose, c'est qu'à un pas de ce masahashi, complètement anéanti. Je n'allais pas me gêner à jouer la mort pour nettoyer ce monde de gens prétentieux comme lui. Ainsi je sortis ma lame de mon fourreau, appréciant le bruit du katana faisant son entrée vers la lumière, je portais un mouvement de droite à gauche pour trancher la jugulaire de ce marine !

                  Mizukawa Sutero !

                  Maintenant que le roi est en échec et mat, les autres n'allait pas tarder à rendre les armes et à cesser de se battre...Reprenons notre carte et Observons maintenant comment se débrouillaient le roux et le blanc.

                    Le mur à côté de moi étant maintenant littéralement explosé, je me retrouve pris au piège de la poussière créée par cette destruction. En un éclair, un pied mal chaussé atterrit dans mon visage, m'envoyant valser quelques bons mètres plus loin, à l'abris de cette poussière aveuglante. La douleur sur mon visage, reflétant la puissance de son coup, me laisse deviner que mon adversaire préfère faire preuve de force que de vitesse, ou de stratégie. Alors ce sera un combat de force. Ayant transporter des troncs d'arbre depuis mon adolescence, je ne peux pas perdre.

                    Je fonce sur mon ennemi, le feintant de mon bras droit, et lui tendant un piège des plus simples, et des plus mesquins. En effet, ce n'est pas mon poing droit qui doit atteindre sa cible, comme l'a si bien pensé mon adversaire, mais bien mon poing gauche. La masse métallique, s'enfonçant lentement dans le corps de ma cible, le fit gémir de douleur. Son foie est touché, il n'est donc plus apte à utiliser toute sa puissance. D'un sourire moqueur, je le vois se relever, doucement, titubant, essoufflé.

                    -Ton foie est touché, tu n'auras plus ton souffle normal avec un bon moment, mais tu sera déjà mort.

                    Mon adversaire, d'un regard noir, entame une charge vers moi. Un pas... deux pas.... pas de troisième. L'officier, une main sur les côtes, pose un genoux au sol. Alors comme ça une côte est touchée? Ou peut-être même plusieurs car, à vrai dire, j'ai mis toute ma force dans ce coup. En tant que bon pirate, je profite de son moment de faiblesse pour lui envoyer un coup de pied dans les dents. L'ennemi, roulant sur le sol, atterrit contre une table, cédant sous le choc.

                    A ce moment, un fond sonore écoeurant raisonne dans toute la pièce. En me tournant, je découvre l'homme au dragon, une lame à la main, devant un corps mort, la gorge tranchée, se vidant de son sang sur le sol déjà entamé de tout ces combats. Je me retourne vers ma cible, n'arrivant pas à se revendre, passant à côté d'elle, je me dirige vers ma hache, tombée pendant le combat, je me penche pour la ramasser, et au moment de me relever je sens une énorme douleur dans mon épaule droite, me retournant brusquement, je découvre un marin, son pistolet pointer vers moi, de la fumée sortant du canon. Quand a-t-il? Je n'ai rien entendu. Je me dirige lentement vers ce matin, lui envoyant une revers de ma main gauche, l'envoyant donc valser un peu plus loin, puis reprend ma marche vers l'officier, tentant difficilement de se lever.

                    -Maintenant, vous connaissez la vraie face d'un pirate, très cher officier. Je suis Yosuke Tôda, rookie des mers, mais plus important, je suis votre assassin!

                    Je lance à ce moment, un coup verticale à l'aide de ma hache. Un bruit d'os tranché se fit ressentir, puis la tête de l'officier roula sur le sol.

                    -A qui le tour?
                      J’étais toujours dans mon coin, l’arcade sourcilière ouverte, le sang coulait toujours. Sous ma crinière, mon crâne tournait à mille à l’heure, je commençais à perdre beaucoup trop de sang. Je découpai un petit morceau du rideau de la boutique et le mis autours de ma tête pour essayer d’arrêter l’hémorragie. Je me mis assis sur le bord de la fenêtre, regardant autour de moi, quelques choses à grignoter. Je découvris que le magasin dans face, vendait des fruits, j’allais prendre des mangues. Le vendeur était effrayé, il mourrait de peur, pour lui donner confiance, je lui disais.

                      Je passerai te les payer une prochaine fois. *Avec un sourire*

                      Tout en lui faisant un geste amical de la tête, comme ci tous les pirates étaient sanguinaires, violent et je passais d’innombrables défauts. Je retrouvai peu à peu ma vue, puisque mon œil n’était plus caché de mon sang, mon ouïe revenait aussi. J’avais perdu de vue, un bon bout du combat, je regardais de nouveau dans leurs directions et voyais le colonel Masahashi mort, la carotide tranchée. Soulagé l’homme dragon avait gagné son combat, je me tournai vers mon deuxième allié, sa hache à la main, il lança un puissant coup qui coupa la tête de l’officier. Quel façon odieuse de tuer un homme, mais nous avions gagné, nous pouvions pouvoir partir sans être menacé par ces marines, mais nous devions faire vite. Je les regardais, ils étaient essoufflés.

                      Vous savez où aller ?? Moi j’ai une planque au sud de la ville, près des quais. Si vous voulez venir, il n’y a pas de soucis. Mais on doit se magner, avant que des secours arrivent.

                      J’attendais leurs réponses, …
                        Je ne pouvais qu'appréciez ces moments...Décapitez un Vice Lieutenant de la marine, ça avait du style et de la classe. Ce roux qui disait s'appeler Yosuke Toda avait de la poigne, de l'endurance et surtout, il ne se laissait pas faire. Et oui un officier ne pourra jamais battre un pirate de cette manière, comme il l'avait dit. Car nous sommes doté d'un truc en plus qu'ils n'avaient pas. La capacité de survivre et de surmonter tous les défis !

                        Puis je m'intéressais à l'albinos qui avaient été blessé à la tête par ce vice lieutenant de pacotille. Y avait pas à dire, sa mort était mérité. Pourquoi il s'enfuyait ? Ah non...Le revoilà.
                        Ce jeune homme avait un extraordinaire potentiel et un pouvoir bien marrant. Et en plus de ça, il avait de la jugeote, c'était vrai qu'il fallait se magner pour éviter une autre troupe de marine, surtout dans mon état...Un autre combat me conduirait à ma perte. Il était impératif que je me repose.

                        Je n'avais plus la volonté de marcher ni même de bouger le petit doigt. La little breath of fire m'avait complètement vidé de toute énergie. J'avais le crane lourd qui n'arrêtait pas de faire sploch sploch ! Et une drôle de vibration...Je sortis alors mon paquet de clope mentholé et j'allumais une cigarette par le biais d'un briquet que j'ai confectionner de mes propres mains. Une bouffée devant ce qu'était mes deux camarades de bataille et je me sentais soulagé.

                        Je ne sais pas si je me suis présenté...Je suis Mizukawa Sutero. Est ce que l'envie vous dirait de faire un bout de chemin ensemble vers l'aventure ?! Que diriez vous de s'unir et de former notre équipage pirate !

                        C'était avec un regard de philosophe, de rêveur que je m'adressais à Yosuke et l'albinos. Avec un ton calme, j'exprimais de l'enthousiasme. A vrai dire, j'avais toujours vécu seul. J'errais sur les mers en suivant les courants sans me soucier du réel danger du monde jusqu'à que je m'y confronte. J'avais saluer de nombreuses fois l'ange de la mort et j'avouerais que ce combat à cotés d'eux m'avait fait comprendre bien des choses. Comme le fait que je saluerais la mort, certes. Mais en bon ami...Lorsqu'elle viendra chercher les âmes qui se seront mis sur notre chemin. Il était temps de mettre fin à un chapitre de ma vie et d'en commencer un autre !

                        En cette île du savoir les dragons de la mort sont apparus et répandront la terreur dans le monde entier...Espérons seulement qu'ils accepteront ma proposition héhé.


                          Le combat maintenant terminé, je prends la peine de remettre doucement mon manteau, grimaçant au contact du tissue sur ma plaie. En effet, les évènements m'ont presque fait oublier la balle logée dans mon épaule. Je me dirige lentement vers une salle voisine à l'entrée ou le combat a eu lieu. Les propriétaires de la maison, cachés sous la table, semblent apeurés et tremblent de tous leurs membres. Je m'approche doucement, me courbe difficilement, et d'un sourire forcé leur demande si quelqu'un peut m'ôter la balle que j'ai dans le dos.

                          La peur se lisant sur leur visage, une jeune femme se résigne à sortir de son "abris", afin de mieux m'examiner. Je retire mon manteau, lui montrant mon épaule droite, ou un trou aussi gros qu'une cerise laisse couler le sang le long de mon dos. La jeune femme tente de me rassurer, mais abandonne vite en voyant mon impassibilité. Malgrès la douleur, je reste de marbre, et celle-ci, à l'aide d'outils en tout genre je ne sais sorties d'ou, me déloge la balle de l'épaule, commençant a me recoudre à l'aide d'un fil et d'une aiguille.

                          En y repensant, je n'ai pas répondu à Mizukawa lorsqu'il m'a proposer de rejoindre son équipage, je me suis juste contenter d'aller trouver cette jeune femme pour me soigner. Une fois que celle-ci a terminé son travail, je me relève, mon manteau, à la main, me dirigeant vers mes deux compagnons, ou plutôt les deux personnes m'ayant accompagné au combat. Tendant un sourire à Mizukawa, je commence alors à parler.

                          -Je n'ai rien contre le fait de rejoindre un équipage pirate. Au contraire! Après avoir vu vos talents de combat, je me dis qu'il vaut mieux pour ma personne vous avoir à mes côtés que dans le camp adverse. Et puis... je ne pense vraiment pas être fait pour la Marine.

                          souriant bêtement à ma bêtise, je contemple l'était de la scène une dernière fois. L'horreur est à son comble, mais j'aime ça. Puis, je me tourne une dernière fois vers Mizukawa avant d'ajouter de nouveau:

                          -Mais à une seule condition. Je reste un homme libre.
                            Je ne sais pas si je me suis présenté...Je suis Mizukawa Sutero. Est ce que l'envie vous dirait de faire un bout de chemin ensemble vers l'aventure ?! Que diriez-vous de s'unir et de former notre équipage pirate !

                            Tel était la question de l’homme au tatouage de dragon, il nous avait fait sa demande, d’une façon si sincère, que je ne pouvais dire non. Mais l’autre homme nommé Toda, lui n’avait eu le temps de répondre à se question, qu’il partit se faire enlever la balle qu’il avait reçu. Etonné je n’ai pu donner ma réponse à ce fameux Mizukawa Sutero, j’étais bouche bé devant sa résistance à la douleur et surtout qu’il se désintéresse à la proposition. Ce n’est qu’après être soigné par cette femme qu’il lui répondit.

                            Je n'ai rien contre le fait de rejoindre un équipage pirate. Au contraire! Après avoir vu vos talents de combat, je me dis qu'il vaut mieux pour ma personne vous avoir à mes côtés que dans le camp adverse. Et puis... je ne pense vraiment pas être fait pour la Marine.

                            Puis.

                            Mais à une seule condition. Je reste un homme libre.

                            J’avais vraiment eu de la chance de rencontrer ces personnes la, une qui était puissante, généreuse et sincère et l’autre que je traitais de fou au début, qui est malgré son apparence de bourreau, était réfléchi et sympathique. Je m’approchais de Mizu. C’était la première fois de ma misérable et courte vie, qu’une personne voulait être mon nakama. Un sourire pouvait se lire sur mon visage.

                            Pas de soucis, partout ou il y aura de l’aventure, je serai présent !! En lui faisant un grand sourire et en lui faisant un geste amical en tendant mon pouce en avant.

                            Et enfaite, moi c’est Bakalo Ginji.