C'est la ronde des péchés,
Bon gré, mal gré,
Ils t'entraînent dans leur refrain,
C'est trop tard, t'es leur chien !
Phare de ton âme, s'allume l'Avarice
La pulsion du chasseur, qui t'amène à bon port,
Là-haut elle trône, ta reine des vices,
L'Homme qui se perd dans les collines d'or !
Amasser, engranger, embraser la corruption
Toi le moraliste, pourquoi y aurait-il besoin d'un sens ?
Tandis que les millions s'accaparent tous les dons ?
Le parfum de l'argent. Si tentateur encens !
L'Orgueil a la fierté blessée, le pauvre !
De seigneur des péchés, il a chuté valet,
Le Balthazar mire le bas peuple d'un oeil torve.
Tandis que lui fut pondu par une catin noble, et son fessier graissé par une bonne,
Eux, Viles naissances, crânes creux,
Insouciants mais malades, cocus mais heureux,
Enlisé dans leur crasse, la vie ne leur a pas offert les mêmes droits qu'à ton auguste personne !
Comment pourrais-tu te sentir égal à eux ?
Cracher sur nos frères humains, c'est tellement délicieux !
C'est la ronde des péchés,
Bon gré, mal gré,
Ils t'entraînent dans leur refrain,
Nous sommes TOUS fils de catins !
Elles sont innocentes, là-haut sur leurs nuages,
Tandis que tu pestes, seul en ton Envie,
Ne jalouserais-tu pas les tendres plumages
Des colombes volant haut, par-dessus les soucis ?
Jaloux maladif, rongé par les Autres,
De ces sentiments noirs tu fais le parfait hôte !
Ils ont tout, toi tu n'es plus rien,
Les beaux nobliaux ornés de beaux écrins,
Se pavanant sur la scène, ils t'ont rendu fou,
Fou, fou, enragé, t'ont transformé en loup !
Fou, fou, enragé, cette bête en Colère !
Pulse la haine à travers ses veines !
Rage, Rage ! Bien mauvaise conseillère !
Chute libre dans le gouffre de la haine !
Tant de démence en un corps si frêle !
Les retombées en sont plus acérés qu'une grêle !
Drogué à l'homicide, fiston ?
Tu fais de ta haine un filon,
Mais n'oublies jamais que c'est par Colère,
Que ce soir-là, tu tuas ta Mère !
C'est la ronde des péchés,
Bon gré, mal gré,
Ils t'entraînent dans leur refrain,
Plus de haine, mon lapin !
Là-dedans, bloqué dans ton corps,
Miné par les vices, excité par le gain,
La Paresse ruse pour s'accaparer tes biens.
Si le corps vit, l'esprit est déjà mort,
Néant mental !
Blanc moral !
Penses-tu à ce point ton destin (mal) acquis ?
Pour te permettre d'arrêter de penser, Balty ?
Ta quête ne fait que commencer,
Mais, travailler ? Voilà une corvée d'esclave !
Dans ta flemme intellectuelle, ton esprit se délave,
Quand donc apprendras-tu à penser ?!
Maigre rat, rachitique, tu es une tique, parasite,
Gourmandise, bien rarement te rend visite !
En ton ventre, seul ton nombril t'intéresse,
Rien ne viendrait épaissir tes rachitiques fesses !
Pourtant, boulimique, oh ! Tu l'es !
L'appétit du pouvoir, insatiable et pervers !
Comment rassasier cette ambition démesurée ?
Faute de noblesse, tu t'empiffres de mes vers,
Comme pour combler un brin, cette fierté affamée...
C'est la ronde des péchés,
Bon gré, mal gré,
Ils t'entraînent dans leur refrain,
Leur harcèlement sera sans fin !
Car les fruits des péchés se font bien mûrs !
Concluons la danse avec la Luxure !
Tu es bien peu à l'écoute des caprices hardis,
De ce corps putréfié désert d'émotions,
Loin des obsessions des petits péons,
Qui donc irait s'accoupler avec la lie ?
Sourd aux appels de la chair, futilité de pechenaud !
Cul de crémaillère, plaisirs bestiaux !
Balty, félon, rapace, manqueras-tu à tes devoirs ?
La descendance de ta famille ne se chiera pas toute seule, tocard !
Ce petit monde qui n'existe que pour combler tes désirs,
Il secoue en toi une profonde ire !
Pourquoi ne reconnaissent-ils pas ta supériorité ?
Balty le vicié, seigneur des péchés ?
Entre tes mains une tête,
Victime de la tempête,
Vil boucanier qui se crut plus malin
Que ton putride esprit malsain !
C'est la ronde des péchés,
Bon gré, mal gré,
Ils t'entraînent dans leur refrain,
Dernière note ? Au surin !
Pitié ! Pitié !
*scrotch*
Bon gré, mal gré,
Ils t'entraînent dans leur refrain,
C'est trop tard, t'es leur chien !
Phare de ton âme, s'allume l'Avarice
La pulsion du chasseur, qui t'amène à bon port,
Là-haut elle trône, ta reine des vices,
L'Homme qui se perd dans les collines d'or !
Amasser, engranger, embraser la corruption
Toi le moraliste, pourquoi y aurait-il besoin d'un sens ?
Tandis que les millions s'accaparent tous les dons ?
Le parfum de l'argent. Si tentateur encens !
L'Orgueil a la fierté blessée, le pauvre !
De seigneur des péchés, il a chuté valet,
Le Balthazar mire le bas peuple d'un oeil torve.
Tandis que lui fut pondu par une catin noble, et son fessier graissé par une bonne,
Eux, Viles naissances, crânes creux,
Insouciants mais malades, cocus mais heureux,
Enlisé dans leur crasse, la vie ne leur a pas offert les mêmes droits qu'à ton auguste personne !
Comment pourrais-tu te sentir égal à eux ?
Cracher sur nos frères humains, c'est tellement délicieux !
C'est la ronde des péchés,
Bon gré, mal gré,
Ils t'entraînent dans leur refrain,
Nous sommes TOUS fils de catins !
Elles sont innocentes, là-haut sur leurs nuages,
Tandis que tu pestes, seul en ton Envie,
Ne jalouserais-tu pas les tendres plumages
Des colombes volant haut, par-dessus les soucis ?
Jaloux maladif, rongé par les Autres,
De ces sentiments noirs tu fais le parfait hôte !
Ils ont tout, toi tu n'es plus rien,
Les beaux nobliaux ornés de beaux écrins,
Se pavanant sur la scène, ils t'ont rendu fou,
Fou, fou, enragé, t'ont transformé en loup !
Fou, fou, enragé, cette bête en Colère !
Pulse la haine à travers ses veines !
Rage, Rage ! Bien mauvaise conseillère !
Chute libre dans le gouffre de la haine !
Tant de démence en un corps si frêle !
Les retombées en sont plus acérés qu'une grêle !
Drogué à l'homicide, fiston ?
Tu fais de ta haine un filon,
Mais n'oublies jamais que c'est par Colère,
Que ce soir-là, tu tuas ta Mère !
C'est la ronde des péchés,
Bon gré, mal gré,
Ils t'entraînent dans leur refrain,
Plus de haine, mon lapin !
Là-dedans, bloqué dans ton corps,
Miné par les vices, excité par le gain,
La Paresse ruse pour s'accaparer tes biens.
Si le corps vit, l'esprit est déjà mort,
Néant mental !
Blanc moral !
Penses-tu à ce point ton destin (mal) acquis ?
Pour te permettre d'arrêter de penser, Balty ?
Ta quête ne fait que commencer,
Mais, travailler ? Voilà une corvée d'esclave !
Dans ta flemme intellectuelle, ton esprit se délave,
Quand donc apprendras-tu à penser ?!
Maigre rat, rachitique, tu es une tique, parasite,
Gourmandise, bien rarement te rend visite !
En ton ventre, seul ton nombril t'intéresse,
Rien ne viendrait épaissir tes rachitiques fesses !
Pourtant, boulimique, oh ! Tu l'es !
L'appétit du pouvoir, insatiable et pervers !
Comment rassasier cette ambition démesurée ?
Faute de noblesse, tu t'empiffres de mes vers,
Comme pour combler un brin, cette fierté affamée...
C'est la ronde des péchés,
Bon gré, mal gré,
Ils t'entraînent dans leur refrain,
Leur harcèlement sera sans fin !
Car les fruits des péchés se font bien mûrs !
Concluons la danse avec la Luxure !
Tu es bien peu à l'écoute des caprices hardis,
De ce corps putréfié désert d'émotions,
Loin des obsessions des petits péons,
Qui donc irait s'accoupler avec la lie ?
Sourd aux appels de la chair, futilité de pechenaud !
Cul de crémaillère, plaisirs bestiaux !
Balty, félon, rapace, manqueras-tu à tes devoirs ?
La descendance de ta famille ne se chiera pas toute seule, tocard !
Ce petit monde qui n'existe que pour combler tes désirs,
Il secoue en toi une profonde ire !
Pourquoi ne reconnaissent-ils pas ta supériorité ?
Balty le vicié, seigneur des péchés ?
Entre tes mains une tête,
Victime de la tempête,
Vil boucanier qui se crut plus malin
Que ton putride esprit malsain !
C'est la ronde des péchés,
Bon gré, mal gré,
Ils t'entraînent dans leur refrain,
Dernière note ? Au surin !
Pitié ! Pitié !
*scrotch*
