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Une rencontre hasardeuse

Comment faire pour passer d'une île à une autre quand le seul moyen de locomotion que possédait le jeune équipage était : rien. Un équipage pirate sans navire était bien un comble, comment allait-il faire pour continuer leur aventure s'ils n'avaient pas de quoi les transporter d'une île à l'autre. Vraiment, les débuts de l'équipage du jeune Shoma n'était pas vraiment brillant. Au port principal du royaume de Bliss Shoma avait eu la bonne idée de voler un navire afin de quitter au plus vite ce royaume et se rendre sur la prochaine île, mais très vite il changea d'idée quand il découvrit que le grabuge qui avait secoué le centre-ville avait eu des répercutions directe sur l'activité du port principal, en effet à cause de sa nakama et des turbulences qu'elle avait provoqués, les soldats de la marine c'étaient également postés au niveau du port afin de ne laisser aucune chance au fuyard de passer en travers des mails du filet. Heureusement pour le jeune équipage, les soldats du port n'avaient pas eu de description des personnes à arrêter, ce qui leur à permis de passer quand même sans aucun problème et malgré la méfiance des soldats vis-à-vis du capitaine qui ne voulait pas retirer son masque, ils laissèrent les deux pirates sous couverture passer et embarquer dans le premier navire venu. Shoma n'avait pas réalisé que le bateau qu'il avait désigné comme étant le navire de son "patron" était un navire de pêche et quand il réalisa son erreur il était trop tard, s'il revenait sur ses paroles, les soldats auraient eu des doutes et auraient sans doute demandé au capitaine du navire de pêche si le jeune homme était bel et bien un pêcheur sur son navire. N'ayant pas d'autre choix, le petit groupe monta à bord du navire et força quelques peu la main au capitaine afin de le faire lever l'ancre et de les conduire directement sur la prochaine île. Shoma n'arrivait pas à supporter la présence du poisson abord du navire à cause de l'odeur, mais il n'avait pas le choix, le capitaine ne voulait pas les conduire à bon port si jamais il lui arrivait quelques choses à lui ainsi que sa cargaison et comme pour le moment il n'y avait aucun navigateur dans son équipage, le jeune capitaine ne pouvait pas se permettre de jeter à l'eau le seul homme qui avait des connaissances en navigation.

le voyage se passa sans aucun problème, le pêcheur connaissait bien la mer, il n'en était pas à son premier voyage entre les deux îles et très vite il oublia sa condition d'otage pour se constituer le temps d'un voyage compagnon de voyage du petit groupe. Il leur expliqua même quelques rouages de la navigation et quelques petits détails très utiles en mer afin d'éviter au mieux les prédateurs capable de gober un navire d'une seule bouché. L'homme était vraiment expérimentée, une vrai encyclopédie de la mer, il semblait connaître South Blue comme sa poche, lui aussi étant jeune avait tenté de prendre la mer afin d'aller à la rencontre de son destin, mais durant son voyage il tomba sur une femme et décida d'arrêter son voyage afin de fonder une famille. C'était vraiment une belle histoire, Shoma qui n'avait pas encore de but dans la vie et qui avait pris la mer dans l'optique de se trouver un but avait apprécié l'histoire du pêcheur, mais au fond de lui il savait que son destin n'était pas comme celui de cet homme, aucune femme ne pouvait avoir un tel effet sur lui, d'ailleurs s'il voulait se marier avec une femme il serait resté sur son île et passerait son temps à courir derrière les femmes. La prochaine île était selon le capitaine pêcheur une île où tous les habitants passent leur temps à combattre, combattre pour la gloire, pour la renommer et pour un certain prestige qu'un homme soit disant légendaire avait en quelques sortes obtenu la renommé. Le nom de cette île: l'île du Karaté. L'homme avait mis sa main à couper que cette île était remplis d'homme plus fort les uns que les autres, vraiment, s'il n'avait pas menti, alors cette île était le lieu idéal pour trouver une personne capable de rejoindre le jeune équipage. Shoma n'attendait que ça, si les hommes sont puissants et ambitieux, alors ils avaient une place toute gradée dans son équipage, mais s'il n'y avait que de petites frappes, alors il se chargerait lui-même de prendre le titre tant désiré même si cela voudrait dire le gagner au prix d'une montagne de cadavre.

La traversée entre les deux îles ne dura que deux jours grâce aux connaissances du capitaine, il leur expliqua qu'en temps normal une personne ne connaissant pas la mer arrivait à destination après une semaine à naviguer sur la mer, mais une personne avec de bonne base peut trouver n'importe quelle voie maritime grâce au positionnement du soleil la journée et celle des étoiles le soir, vraiment il était idéal pour devenir le navigateur de l'équipage, mais avec sa famille au royaume de Bliss, le capitaine n'allait jamais accepter de suivre un équipage aussi déganter qui ne possède d'ailleurs même pas son propre navire. Le second jour, le navire arriva enfin à destination, le port où le navire accosta n'avait rien à voir avec l'imposant port de pêche du royaume de Bliss, celui-ci était vraiment plus petit avec une quantité importante de navire endommagé, le pêcheur leur expliquèrent qu'une fois l'ancre jeter, les combattants avaient en quelques sortes le "droit" de se battre, tant qu'il ne dégradait pas les biens publics, ce qui voulait dire que combattre sur un navire privé, n'était pas interdit pour le plus grand malheur des navires qui transportaient des personnes avec l'ambition de revêtir le titre de meilleur combattant de l'île. Le petit groupe quittèrent le pêcheur aussitôt l'ancre jeter. Shoma était impatient de rencontrer les plus puissants combattants que cette île abritai et remercia l'homme de les avoir conduis sur cette île sans avoir tenté une quelconque folie et que s'il restait assez longtemps sur cette île, alors il trouverait un moyen de le rembourser. Le jeune homme fidèle à ses habitudes commençait à sauter sur le toit d'une maison et évoluait à travers la ville portuaire ainsi marchand de toit en toit observant tout ce qu'il y avait autour de lui, l'île était vraiment comme le pêcheur lui avait décrit, il y avait vraiment des dojos un peu partout, dans une seul et même rue six dojos se fessaient concurrence. Tous les styles de combat pouvaient être trouvés ici, du style de combat à main nu jusqu'au combat à l'aide d'arme ninja vraiment cette île était le paradis pour les combattants et il y avait sans doute de grandes chances que des personnes extraordinaires tel que des utilisateurs de fruit du démon où bien d'autres avec des capacités spéciales s'y trouve.

Shoma n'avait qu'une idée en tête, trouver sa seconde perle rare, la première étant son sniper fraichement recruté. Alors qu'il marchait à travers la ville sur les toits, Shoma voulu proposé un nom d'équipage à son second, alors il sauta sur le sol s'approcha de la jeune femme et lui proposa trois noms d'équipage, les deux premiers nom semblait assez étrange et ne plaisait pas trop au jeune homme, mais c'était des noms qui lui étaient venus à l'esprit assez rapidement, puis il lui proposa un troisième nom d'équipage, celui-ci était plus de son cru à lui, il le préférait et espérerait que la jeune femme allait elle-aussi l'aimer.


"Que dis-tu des Red Spectres ? Tu aimes ?"

Shoma avait choisi les Red Spectres comme nom d'équipage, pour deux raisons, d'une part par rapport à son pouvoir qui lui permettait d'agir dans l'ombre sans être vue cette partie représentait son aspect à lui, le capitaine, tel un fantôme il pouvait apparaitre et disparaitre comme bon lui semblait, la nuit était son royaume et le "Red" représentait la jeune femme, elle avec des cheveux rouges feu, assez lumineux et n'étant pas vraiment inspiré par un nom d'équipage il avait trouvé un mariage parfait de deux caractéristiques du petit groupe. Shoma espérait vraiment que la jeune femme allait lui donner son accord pour ce nom, elle était après tout la vice-capitaine ce qui lui donnait quand même un certain pouvoir sur les décisions de l'équipage et puis c'était un bon moyen de faire vivre un certain esprit d'équipe et de vie de groupe que de laisser la jeune femme avoir un poids dans la décision d'un choix qui allait les suivre tout au long de leur aventure. Quand le jeune capitaine termina sa phrase, un homme assez grand, haut de plus de deux mètres le bouscula et le poussa prétextant qu'il n'avait pas à se trouver sur le chemin, alors qu'il passait. L'homme n'avait aucune retenu et se permettait même de dévisager le pirate comme s'il n'était rien de plus qu'un microbe. Shoma fesse sur le sol, avait vraiment beaucoup de mal à digéré ce qui venait de se passer, ses mains sur le sol tremblait de rage et si l'on pouvait voir l'expression de son visage, alors il en résulterait une expression de pure haine. Le séjour du jeune équipage venait à peine de commencer que la tension allait déjà monter d'un cran.
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Un bon coup de crosse sur le crâne du cap'taine a rapidement désamorcé cette situation explosive. Principalement en empêchant ledit capitaine de nous mettre déjà dans le pétrin en attaquant quelqu'un de manifestement plus fort que lui et sans doute (la Loi de l'Emmerdement Maximum aidant) juste sous le nez d'une bande de copains à lui. Pendant qu'une énorme bosse gonflait à vue d’œil sur la tête de mon chef (et qu'une petite larme coulait le long de son masque) j'ai vite fait mon sourire-de-potiche-qui-veut-pas-d'ennuis au géant qui nous toisait avec un air dégouté. J'ai tendu le bras, choppé mon "énergumène masqué" par le col et je l'ai tiré hors du chemin du monsieur pas commode, accentuant encore mon sourire jusqu'à me faire mal aux zygomatiques. Visiblement le colosse prit toute cette gestuelle pour un acte de soumission et se contenta de grogner en continuant son chemin. Je ne m'était pas rendue compte que j'avais arrêté de respirer, oxygène !!! J'ai vite repris une grande goulée d'air frais, en profitant pour soupirer de soulagement. C'est vraiment pas une île pour une faible femme ici. Le bateau qu'on a prit pour venir jusqu'au "ici" non-plus d'ailleurs. Je crois que cette odeur de hareng pas frais me poursuivra toute ma vie, beuh...

Ce capitaine est vraiment désespérant. J'ai été un brin trop enthousiaste sur ce coup là...

"Baka va ! C'est pas le moment de déclencher une banagarre ! T'as vu les calibres de ces types ? Avec eux y a même pas besoin de kaboom pour balancer des boulettes. Et tu ES une boulette. Franche jument, pourquoi on est ici ? Si un de ces gars était recrutatable il serait dans un équipage depuis longtemps. En ce qui me concerne c'est juste des marteaux qui cherchent continuellement des enclumes à martyrisassionner. Si tu cherches des géants y a des meilleures adresses...si tu cherches des pépéistes aussi d'ailleurs. En parlant de recrutement...POURQUOI T'AS VOULU PRENDRE LE VIEUX PÊCHOUILLEUR AVEC NOUS ? Tu croyais quand même pas que j'allais accepter un vieux barpoilu qui sent le hareng pas frais hein ? Tu comptes demander à toutes les personnes bizarres que tu croisière ou quoi ? Réfléchis un peu avant de dire n'importe nawak !

Han, je sens que je vais toujours être derrière lui pour le surveiller. Pourquoi les capitaines sont soit des immatures soit des sadiques ? C'est un prérequis à une montée en grade ou quoi ? Pffff...Bon, voyons le bon côté des choses: si on a des problèmes je pourrai dire en toute lâcheté que c'est uniquement de sa faute. Voyons le mauvais côté: si je commence déjà à préparer un plan B, on commence mal. Allez ma ptite Yasmeen, on reste motivée, à quoi bon râler si on a encore rien fait de significatif hein ? Mais...il faut vraiment qu'on trouve d'autres nakamas...pour compenser le chef ! Quelqu'un de pas trop étrange de préférence. Un noble chevalier blond, un ténébreux tireur d'élite, un ensorcelant musicien...un...UN ÉCUREUIL ! Si, là ! Cette boule de poil assise sur une chaise et entrain de lire un journal ! Avec sa fourrure noire et...heu...attendez, c'est pas des poils ça. Un smoking ? Que fait un écureuil avec un smoking ?

C'est trop mignoooon !

Je me suis approchée de la drôle de bestiole en tenue ultra-chic, me cachant derrière un tonneau pour ne pas l'effaroucher. C'est qu'elle a VRAIMENT l'air de lire le journal, avec sa petite bouille penchée sur un article qui a l'air de particulièrement l'intéresser. En fait...c'est un mâle ou une femelle ? Hum, difficile à dire, je suis pas une experte en écureuil. Tout ce que je sais c'est qu'il me le faut ! Quelque chose d'aussi adorable ne peut pas rester dans un île pleine de brutes comme celle qu'on a croisée tout à l'heure. J'ai continué mon approche, rasant les murs, me déplaçant dans l'ombre des passants, arrêtant subitement de bouger lorsque mon futur nouveau meilleur ami (et animal de compagnie) tournait la page de son journal, journal qui -soit dit en passant- a l'air complètement disproportionné par rapport à lui. C'est sûr, il ne doit pas m'avoir vu. De plus près elle a l'air encore plus douce cette grosse peluche. Finalement je n'étais plus qu'à quelques centimètres de son dos...puis j'ai bondis, attrapant l'animal sous les aisselles avant de le coller fermement contre ma poitrine pour le câliner. J'ai langoureusement frotté sa joue contre la mienne. Il est si doooux cet écureuil ! C'est sûr, maintenant, on ne se quittera plus ! Des petits cœurs (en fait de l'affection à l'état pur) valsent autour de moi telles des bulles d'air remontant à la surface de l'océan de l'Amour.

KAWAIIIIII !!!


Dernière édition par Yasmeen Al'Faris le Ven 24 Juin 2011 - 0:21, édité 5 fois
      Le journée s’annonçait clairement bienveillante. Le ciel était dégagé et l’horizon promettait une aventure nouvelle et chaleureuse. Le fier gentleman avait quitté le QG de la marine avec hâte afin de ne pas trop attirer l’attention sur lui. Quittant ainsi l’île principale de la marine du sud, lui et sa fidèle embarcation s’était engagé vers l’île des combats, celle du karaté ! Il ne savait pas trop en quoi elle était spéciale, mais son nom laissait présager des tournois d’arts martiaux exaltants. Dandamna était curieux des traditions des hommes, surtout celle qui les pousse tous à se battre pour la gloire et la renommée. Il ne ressentait que très peu ce besoin vital de prouver sa puissance aux autres et espérait donc en tirer quelque leçon morale. C’est donc très rapidement qu’il atteignit le port de cette île charmante. Les quais étaient très peu équipé et il n’y avait que très peu de navire : ceux des pêcheurs. D’ailleurs, en posant le pied sur les planches du ponton, le koala toujours bien habillé se fit interpeller par un brave homme qui pêchait au bout de la plate-forme. Notre héros se rapprocha, salua le bonhomme et s’assit à côté de lui en regardant la ligne flottait quelques mètres plus loin.

      - J’vous ais vu arriver au loin. Vous êtes un drôle de type.

      « C’est étrange, beaucoup me dise la même chose. Est-ce si rare de voir un koala qui parle ? »

      - Voir un koala c’est déjà assez rare. Alors quand celui-ci navigue sur un voilier et porte un costard….ça laisse porter à confusion mon gars ! J’ai cru avoir encore trop bu !

      « haha ! Comment est cette île sinon ? »

      - Bouarf, si je crèche ici, c’est juste pour voir les combats de rue ou ceux dans les dojos. Mais bon, depuis que la marine s’est installée ici…les combattants sont devenus nerveux. Mieux vaut ne pas trop les regarder.


      « La marine ? »

      - Curieux n’est ce pas ?! Il se trouve que le dernier champion de l’arène est un pirate recherché. Quand ils ont sût ça…bah ils ont débarqué.

      Dandaman resta silencieux. Puis se mit à siffloter jovialement. Le gouvernement s’était installé sur cette île….il ne restait plus qu’à la faire partir. A peine était-il arrivé que ses espérances révolutionnaires se fussent enflammées. Il quitta le vieil homme, le laissant pêcher tranquillement, puis se dirigea vers le centre ville. Les rues étaient animées par de nombreux passants. Certains portaient des kimonos tandis que les autres étaient de simple habitant. Les marchés, que se soit de légume ou d’arme, semblait florissant. Il régnait un épanouissement certains. Les arbres plantaient par endroit accentuaient cet aura paisible, tout comme certains grands maîtres martiaux qui méditaient avec leurs élèves devant les grande école de combat. Le koala se sentait bien, malgré les quelques regards qu’on lui portait. Bien heureusement, son accoutrement sérieux et humain effaçait les incertitudes de certains. Continuant de marcher, Dandaman croisa la route d’un restaurant fort agréable. Il y avait pas mal de client et la nourriture sentait bon. Aucune hésitation ne vint se brandir tel obstacle face à sa décision : il allait déjeuner ici ! Il s’asseye seul à une table et salua la charmante serveuse qui vint prendre sa commande. Elle fut aimable et apporta même un journal à notre protagoniste qui, pour paraître sérieux, l’ouvrit et commença à lire les derniers informations. La dernière dépêche annonçait quelques primes ainsi que les grabuges faits au royaume de Bliss. Le koala ne s’attarda pas sur cette nouvelle et chercha une autre nouvelle….aucun article ne parlait d’une attaque contre les hommes de la marine de South Blue. Ceci voulait sûrement éviter qu’un tel évènement ne soit étaler sur les pages d’un quotidien. Tandis qu’il continuait sa lecture, une personne étrange commença à s’approcher sans qu’il ne la remarque. C’était une femme, et elle se jeta à corps perdu sur l’animal qui se retrouva dans une position gênante. Sa truffe était collée contre la poitrine de la jeune femme qui cria un mot tout aussi étrange que sa manière de faire. Dandaman, fier gentleman, n’osa pas la repousser, mais tenta quand même de s’écarter. Il fut gêné et essaya de reprendre ses esprits. Il regarda la personne en question : une très belle femme, jeune et pleine d’énergie. Elle avait les yeux grands ouverts.

      « Euh…bien l’bonjour ! »

      Ne sachant pas trop comment agir, il resta sans bouger, près à s’écarter si l’individu retentait de l’enlacer. La clientèle du restaurant quand à elle appréciait cette scène, croyant voir des retrouvailles entre ami.

      « Mon nom est Dandaman !
      C'était vraiment la cerise sur le gâteau, Shoma venait de se faire bousculer par un microbe, un homme dont la masse musculaire était sans nul doute largement supérieur à son quotient intellectuel et malgré cela il était celui qui avait reçu en guise d'excuse un coup sur la tête. Comment pouvait-il être frappé, alors qu'il n'était même pas en tord, il devait y avoir de l'abus, de la corruption dans cette affaire, car vraiment ce n'était pas mérité. En plus de se faire humilier publiquement, Shoma avait une petite larme qui coulait le long de son visage et qui tomba en dehors de son masque, vraiment cette Yasmeen n'avait aucune gêne quand il s'agissait de faire payer les erreurs des autres à son capitaine, comment avait-elle pu rabaisser son capitaine pour le plaisir d'un vulgaire morpion, si elle n'aurait pas affiché sa volonté de ne pas causer du grabuge, il aurait pu très facilement se débarrasser de lui et de ses compagnons en quelques secondes. Sans doute en avait-elle vraiment raz-le-bol des ennuies, mais si elle était un pirate alors elle devrait s'habituer et vite à ce nouveau mode de vie, car du grabuge il y en aurait durant toute leurs aventures. Les hommes qui avaient cherché le jeune homme quittèrent le jeune pirate et sa vice-capitaine et une fois seulement qu'ils n'étaient plus dans leurs champs de vision, le petit groupe de pirate se remit en route, cette fois-ci pour se rendre dans un restaurant qui se trouvait pas loin de leur position initiale. Le restaurant contrairement au reste de l'île semblait quelques peux calme, les clients n'avaient pas l'air de combattant, tous étaient vêtu comme des personnes ordinaires, sans kimono, sans tenue de combat où d'appartenance à une école d'art martiaux. La jeune Yasmeen entra en première dans l'établissement et trouva une chose d'assez étrange pour s'y jeter dessus et se l'accaparer, mais dans la précipitation, elle n'avait sans doute pas compris que ce qu'elle venait de prendre dans ses bras était bien une personne et non un jouet.

      À première vue la personne que la jeune femme avait prise dans ses bras n'avait pas l'intention de lui faire du mal, sans doute cela ne se passerait pas aussi bien si la jeune femme avait enlacer dans ses bras un des hommes qui courent après le titre de champion. Shoma qui se trouvait derrière la jeune femme n'avait pas remarqué l'étrangeté de la situation, car il ne savait pas que cette même personne était un koala et quand il vit à contourner la jeune femme, Shoma tomba de haut en voyant le visage de celui qui avait gagné les grâces de sa vice-capitaine. Celui qui avait charmer la jeune femme sans même bouger était un animal, enfin un homme-animal, un raton laveur où une bestiole qui s'y rapprochait, mais comment ce fessait-il que cette bestiole sur patte était habillée de la tête au pied et se tenait sur une chaise et agissait tel un homme ordinaire. Les restaurants ne sont-ils pas fait pour les humains, alors pourquoi un raton-laveur se trouvait-il ici présent et qui plus est que fessait-il avec un journal, savait-il lire ? Non, ce n'était pas possible, il devait sans doute avoir ce journal pour faire ses besoins, c'était la meilleure solution qui lui traversa l'esprit du jeune pirate ignorant complètement que la créature était toujours dans les bras de sa nakama. Shoma tomba de nouveau sur le sol quand la créature ouvrit la bouche et se mit à parler comme si de rien n'était. Le raton-laveur se nommait "Dandaman", à ce moment Shoma n'avait plus qu'une idée en tête, l'ouvrir et voir de quoi il était fait et dans ses yeux brillaient deux étoiles. Shoma se voyait déjà en train d'ouvrir le corps de ce raton-laveur capable de parler et de se vêtir, il devait comprendre comment était faite cette créature, sans doute qu'avec son autopsie il allait trouver deux où trois truc intéressant qui augmenterait ses connaissances de l'anatomie des hommes. C'éait décider, dès que le raton-laveur aurait le dos tourné, il allait lui faire sa fête, mais pour cela il allait devoir se séparer temporairement de la jeune Yasmeen, car il avait un très mauvais pressentiment. S'il voulait s'occuper du raton, alors il devrait le faire sans que la jeune femme ne le vois, car elle serait sans doute capable de le tuer pour sauver sa peluche.

      La fougue du pirate se stoppa quand un homme déboula dans le restaurant tout essoufflé, il n'arrivait même plus à tenir debout sur ses jambes. Courbant son corps sur l'avant afin de se reposer et reprendre son souffle, il avait vraiment l'air essoufflé, des gouttes de sueurs tombèrent sur son visage jusqu'au sol et ses vêtements indiquaient clairement qu'il avait effectué un efforts pus où moins important. Avec lui une forte odeur était arrivée à l'intérieur de l'établissement, s'il voulait gâcher l'ambiance conviviale et tranquille de ce restaurant, alors il venait de gagner le gros lots. L'homme demanda un verre d'eau et fut servi en vitesse par un des serveurs qui semblait le connaitre, puis une fois son verre ingurgité, l'homme se redressa et se mit à parler d'une chose que Shoma ne comprenant pas directement, car étranger à l'île, mais les clients qui se trouvaient dans au niveau des tables proches de la position de l'étranger, se regardaient avec des yeux d'auri, comme si ce qu'il venait de dire était une chose importante à leur yeux. Ne comprenant toujours pas ce qui était terrible dans cette situation, Shoma se rapprocha du porteur de nouvelle et lui demanda de répéter, puis de lui expliquer ce qu'il y avait de ce grave à ce qu'il venait de dire à l'instant. Selon plusieurs rumeurs qui circulaient à l'instant en ville, la marine venait de procéder à l'arrestation d'un homme que tous les habitants de l'île ont déjà entendu parler, cet homme était en quelques sortes une légende de cette île. Cette histoire de légende était ici sans doute une altération de la vérité, sur aucune autre île qu'ici cet homme était connu, ce qui voulait dire que sa renommé n'était pas international. Ce conflit n'intéressait pas le jeune pirate qui ne se sentait pas concerner par cette histoire et sans aucune gêne ôta son sabre et l'utilisa afin de coudre la bouche du jeune homme. Tout de même oser venir le déranger alors qu'il était sur le point de faire une des plus grandes découvertes de la médecine moderne, non mais, il fallait en avoir du culot pour agir ainsi.

      Le jeune homme venait de se faire punir pour avoir simplement dérangé le pirate, réaction immédiate du personnel du restaurant qui retroussèrent leur manche et sortirent des couteaux de cuisine afin de faire payer le jeune pirate son impudence. Le personnel du restaurant était habitué à calmer les ardeurs des hommes pratiquant les arts martiaux, alors calmer les ardeurs d'un jeune pirate, quoi de plus banal. Shoma n'avait jamais encore combattu des cuisinier martiaux, sans doute allaient-ils le divertir assez longtemps afin de détourner l'attention de la jeune Yasmeen afin de lui permettre de fuir en douce avec son futur cobaye. Les cuisiniers demandèrent aux clients de reculer de quelques mètres le temps de calmer la situation, mais avant qu'ils puissent attaquer le jeune homme, un bruit assez fort se fit entendre dans la rue, c'était un défilé contre les agissements de la marine, des hommes et des femmes s'étaient rassemblées dans le but de faire libérer l'homme que la marine avait arrêté sans la moindre raison. Le message que le jeune homme venait de livrer, n'était donc pas une rumeur et la réaction de la population n'avait pas tardé. Etant donner que la population de l'île était en partie constituée de combattant la marine avait reçu l'autorisation de tirer à vue sur toute personne voulant s'interposer à l'arrestation du coupable. Avec un contexte pareil, civil et marine semblaient être sous pression, mais personne ne semblaient vouloir laisser de coter leur conviction, les soldats tiraient leur ordre d'un commandant intraitable qui ne tolérerait en aucune façon l'échec de cette arrestation et d'autre part des combattants prêts à se battre dans le but de prouver leur puissance aux yeux de cet homme légendaire. Shoma regarda sa jeune compagnon et afficha un air désintéressé, comme pour lui dire que ce n'était pas de sa faute, qu'il ne savait pas que ce le jeune homme venait de dire était véridique. Les serveurs se stoppèrent et se remirent au travail, l'un d'entre eux utilisa un couteux afin de couper les fils qui entravaient la bouche de son jeune ami, mais en vain, Shoma aida le jeune homme, mais lui arracha quand même un bon bout de bouche avant d'aller rejoindre la jeune femme et son étrange jouet.


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      J'ai écarté le petit être poilu de ma poitrine, le tenant à bout de bras et le contemplant avec une expression stupéfiée qui devait me donner un air particulièrement...ben... stupide quoi. Un écureuil qui parle, ne me dites pas que c'est normal ! Je suis certaine que ça ne parle pas un écureuil. Je suis même sûr d'avoir lu un livre là dessus et si c'est écrit dans un livre c'est que c'est vrai. Puis il y a eu l'arrivé de l'oiseau de mauvais augure en la personne d'un homme exténué, le cousage de bouche par un Shoma visiblement vexé et la moitié des personnes présentes dans le restaurant qui a sorti des couteaux bien aiguisés. J'ai alors fait ce que toute personne normale aurait faite: j'ai lâché l’écureuil (qui se réceptionna sur le postérieur) et j'ai levé les bras en l'air pour montrer que j'étais pas du tout concernée par le combat. A partir de 20 contre 1, je lâche l'affaire et c'est pas négociable. C'est quand même pas possible, le Cap'taine attire les ennuis comme un trou noir absorbe de la lumière, et encore la lumière elle est pas armée, ELLE ! Franchement c'est quoi son problème ? Toujours à chercher la bagarre avec la première personne qui le regarde de travers. Je me demande si c'est pas tout simplement mourir qu'il veut. Et me faire subir le même sort par la même occasion. "L 'Esprit d'équipe" c'est censé resserrer les liens pas foutre toute ladite équipe dans le premier bourbier venu nom d'un dial !

      Aussi incroyable que ça puisse paraître c'est une foule en colère passant dans la rue qui sauva notre peau cette fois-ci. J'ai pas vraiment compris contre quoi elle était en colère mais leurs vociférations calmèrent les individus qui pointaient leurs instruments pointus vers mon intégrité physique. L'ambiance de la ville vient de passer de "tension palpable" à "guerre civile probable". Pourquoi ai-je été étonnée que Shoma sorte dans la rue se renseigner sur ce qui se passait ? Je parie qu'il a vu une possibilité de castagne et qu'il s'apprête à me mener dans une nouvelle aventure potentiellement létale. Suuuper...Il me faut un remontant. Ou ptêt même plusieurs. Du genre costauds. Je me suis assise sur la chaise de écureuil (maintenant la chaise à Yasmeen) et je me suis affalée sur la table crasseuse recouverte de petits cercles jaunes, preuve irréfutable que des gens ont bu des breuvages malsains dans des verres pas très net. L'aspect bactérial de la chose me passa complètement au dessus de la tête. D'un signe de la main j'ai demandé une boisson. Laquelle, c'est une bonne question. Lorsque l'on fait signe à un serveur il amène toujours un verre de quelque chose, même si on a pas précisé quoi. La version liquide du "plat du jour" je présume, qui se résume généralement à une simple bouteille mentionnant juste le mot "bière". Un grand gaillard aussi balèze que celui que le Cap'taine a faillit attaquer en arrivant est venu servir ce que j'ai commandé (quoi que ça puisse être). J'en ai profité pour me renseigner un peu moi aussi:
      -Salut moi c'est Yasmeen
      -Ah...heu...salut...je m'appel Kapry


      Les hommes sont toujours prêts à croire deux choses au sujet des femmes: 1) qu'elles sont faibles et 2) qu'elles les désirent. Je défi quiconque d'avoir l'air plus vulnérable et désirable que moi à cet instant précis. Le serveur (à bien y réfléchir ça peut très bien être le patron, je n'en sais rien) a une vue plongeante sur mes courbes paraboliques. Ajoutez à ça les yeux de petit-animal-perdu que toute jeune fille digne de ce nom utilise au moins deux fois par jour et vous obtenez la chose la plus mignonne au monde: moi.
      -Il se passe quoi dehors ? C'est siiii effrayeux ! Je préfère restaurer à l'intérieur, prêt d'un homme fortiche comme vous
      -J'avoue que je n'ai..pas tout compris...mademoiselle.
      -Désolation, c'est encore mon problème de dictation. Je disais donc: que s'pastis ? Le gouvernement veut arrestationner le champion de karaté de l'île ou quoi ?
      -Ah, ça j'ai compris ! Et la réponse est non ! HAHAHA qu'ils essayent seulement ! Le champion actuel du tournoi c'est Shinji, mon capitaine. Et c'est pas demain la veille qu'ils sauront mettre leurs sales pattes dessus ! En fait chuis chargé de garder un peu un oeil sur s'qui s'passe ici, histoire de le garder au courant. La nostalgie comme qui dirait.
      -Hoooo. Vous devez être quelqu'un de trèèès puissant alors pour être dans son équipage. Ça se voit à vos gros muscles en fait. Je peux toucher ?
      -Vas-y jeune fille, hésite pas !

      La montagne de muscle a l'air aux anges (c'est le cas de le dire, si il savait !) et j'ai un peu tâté ses bras. J'aurais touché un sac à pommes de terre remplis à raz-bord que je n'aurais pas vu la différence. En acier les pommes de terre. Une fois cela fait je me suis remise à cuisiner le serveur, maintenant extrêmement bien disposé à mon égare.

      -C'est sûr, si vous êtes trèèès fort votre chef doit encore être pluuus fort ! Ils oseraient pas s'en prendre à vous ça non. Mais alors c'est après qui qu'ils en veulent ?
      -Au début je pensais qu'ils étaient juste venus remettre un peu d'ordre. Tu vois l'homme le plus fort de l'île, Rey Baka, a disparu et tous les combattants du coin cherche à savoir qui sera son "héritier". Alors ça se tape dessus partout et ça fout l'boxon en ville. Mauvais pour le commerce.
      -Alors...c'est pas pour ça qu'ils sont venus ?
      -Ptêt en partie. Mais ils sont apparemment plus intéressés par le Grand Sage du temple Hinata. Un lieutenant de la Marine vient de l'arrêter pour "raison d'état". Et les gens apprécient pas. Pas du tout.
      -Ah. Va y avoir du Gras de Buse alors
      -Heu...ouai...on peut dire ça...je pense. Mais vous inquiétez pas, j'vous protégerai ma jolie !

      Il me fit un sourire éclatant

      Bon, maintenant que je l'ai bien accroché...comment je le décroche ? Il va pas vouloir me lâcher, je le sens. J'ai cherché un échappatoire et mon regard croisa l’Écureuil. Il est devant la porte du restaurant et regarde la rue, les poils hérissés, comme un chat qui est prêt à vous faire passer un sale quart d'heure. On lui a marché sur la queue ?


      Dernière édition par Yasmeen Al'Faris le Ven 24 Juin 2011 - 0:27, édité 5 fois
          Il était vrai que l’atmosphère été devenu de plus en plus palpable, si ce n’est très lourde. La clientèle, au départ bruyante et joyeuse, ne faisait que chuchoter, échangeant rumeur et opinion. En face du restaurant s’étendait une longue rue plutôt large, en plus de la terrasse de l’établissement. C’est dans celle-ci qu’une foule de personne se rassembla en masse, elle était tout à fait scandalisée et poussait des cris de révolte contre le gouvernement. L’action des habitants, tous pour la plupart de fort combattant, allait sûrement se finir en castagne contre la marine de l’île…chose qui intéressait grandement le révolutionnaire Dandaman. En effet, malgré sa carrure petite et surtout son apparence de peluche, il était un homme de la rébellion et voyait en ce mouvement contestataire une opportunité de détruire l’autorité de la marine officiel sur cette île. Avant de s’attaquer à l’organisation d’un plan pour prendre avantage de cette situation civique, il écouta la chaleureuse conversation entre un certains Kapry et la jeune femme qui l’avait enlacer. Le serveur, apparemment pirate au ordre de Shinji, affirma que le maître respecté du Temple Hinata s’était fait arrêter pour des raisons encore confuses.
          Cette évènement avait apparemment déplût à la population, surtout au karatéka qui n’acceptait guère que leur maître soit enfermé si vulgairement dans une prison. Le koala avait maintenant connaissance de l’histoire et quitta sa position afin de rejoindre le second inconnu. Ce dernier était un être masqué qui s’était prit assez brutalement à un pauvre gaillard en lui censurant la bouche d’une manière plutôt spectaculaire. Il était toujours entouré par les cuisiniers qui gardaient un œil sur lui, malgré l’agitation extérieur au restaurant. Le koala passa entre les hommes de cuisine et passa à côter du mystérieux bonhomme sans un mot. Soudain, un des serveurs l’interpella.


          - Et vous ! Je ne vous ais pas vu payer !

          « …ce très cher monsieur est un ami ! Il m’a donc généreusement proposé de payer ma note. »

          En fait il ne le connaissait absolument pas. Le fait de vouloir escroquer un individu d’un tel agressivité était assez dangereux pour lui…mais à peine avait-il prononcer sa phrase qu’il s’était faufilé dans la foule en colère. Ce scénario était une ruse : il voulait que l’homme masqué le suive, le pourchasse, veuille lui faire sa peau. Et pour ça, il devrait suivre le rassemblement…le révolutionnaire était au milieu de quelques hommes qui marchaient silencieusement. Leur visage était crispé, leurs poings fermés, haineux. Ils se dirigèrent vers la grande place de la ville, où s’était retrouvé d’autre groupe de personne ; face à eux, une estrade avec dessus un représentant officiel de la marine, ainsi que d’autres soldats. Dans la main du porte-parole, un papier qu’il s’apprêtait à lire à la population.

          - Mesdames et Messieurs ! En raison d’acte contre le gouvernement mondial, le grand sage Yogo du temple Hinata sera envoyé dans la prison de Classic Town. Son transfert est sous la responsabilité du Lieutenant Haguro et toute personne qui essayera de compromettre ce transfert se verra condamné !

          Karatéka : C’est honteux ! Vous n’avez pas le droit d’enfermer notre sage !

          La population semblait d’accord avec la parole du citoyen. Seulement, un des soldats lui ordonna de la fermer s’il ne voulait pas avoir de problème. Erreur…le guerrier se lança sur l’estrade : sa dignité en avait prit un coup. Il leva son poing afin de frapper violemment le visage du marine. Sur la panique, celui-ci leva son fusil et enclencha le tire. La balle se logea dans les nuages et le guerrier arrêta son coup, plutôt surpris par le fait qu’un autre individu s’était élancé, plus rapidement que lui, afin d’atteindre sa cible. Il s’agissait de Dandaman qui détourna l’arme à feu afin de sauver le brave karatéka. Puis, de sa canne, il frappa avec violence le visage du marine qui tomba au sol. Il eut un long silence avant que la porte parole ordonne aux autres officiers d’arrêter les deux « hommes »….qui allait être assez fou pour se dresser face aux marines ?

          Shoma venait de se sortir du pétrin grâce au soulèvement de la foule en colère, mais très vite d'autres problèmes allaient le faire déchanter. L'origine de ses nouveaux problème, le mystérieux homme ou plutôt cette mystérieuse créature vêtu comme un homme. Ce dernier ne connaissait ni le jeune pirate, ni la jeune femme qui l'accompagnait et s'était quand même permis une folie. Il n'avait vraiment aucune retenu ce type, laisser derrière lui une note à payer au nom de Shoma qui devait régler ce qu'il venait de s'offrir, non, mais il n'était pas encore né l'homme qui allait le faire payé pour des choses qu'ils n'avaient même pas consommé. La bête se sauva sans que le jeune pirate puisse le retenir et lui dire dire de payer lui-même ce qu'il devait, car il n'en était pas question, il n'allait pas sortir un seul centime de sa poche pour sa dette, d'ailleurs il n'avait pas d'argent, alors si les serveurs comptaient sur lui pour régler l'addition, alors ils pourraient se mettre les doigts dans le nez et d'ailleurs, ils avaient bien vu cette chose entrer seul, alors pourquoi une autre personne entré bien après devait être considéré comme une personne de connaissance. Shoma se refusant à payer, commençait à ce faufiler entre le corps des serveurs, mais ces derniers attrapèrent le bras du pirate afin de le forcer à rester sur place jusqu'à qu'il comprenne qu'il ne pouvait pas partir sans payer. L'ettablissement n'acceptait pas ceux qui mangeaient et buvaient aux frais de la princesse, la maison ne fessait pas de crédit et encore moins à une personne qui s'en prend à leur ami. Franchement ces hommes n'étaient vraiment pas très futé, ils en avaient plus dans les bras que dans la tête, s'en prendre au mauvais client et laisser s'enfuir le véritable pique-assiette. Shoma aurait sans doute une chance de sortir de l'établissement sans payer si sa jeune nakama acceptait de leur faire un petit bonus que seul les femmes avaient le secret, mais ce cas était vraisemblablement impossible, car la jeune femme était trop sauvage pour cela et manquait cruellement de charme et qui mieux que Shoma était mieux placé pour le savoir, sa tête était encore marquée des derniers coups qu'elle lui avait mise. Pour quitter ce bar, il allait devoir ruser.

          Shoma n'avait plus d'échappatoire possible, il allait devoir leur dire la vérité, même si cela voudrait dire qu'il allait devoir se farcir tous les hommes de ce restaurant, si c'était le prix à payer pour quitter ce bar, alors il n'allait pas y aller de main morte. Les serveurs commençaient à s'impatienter quant à la lenteur que prenait le jeune homme afin de payer, alors ils décidèrent de le soulever et de le retourner afin de savoir si oui ou non il y avait de quoi payer dans ses poches. Le résultat final n'était pas du gout des serveurs qui constataient que le jeune homme n'avait vraiment pas un sou en poche, il était aussi sec qu'un désert. Très mécontent, les serveurs voulaient passer à tabac le jeune homme, mais un homme les stoppa, il s'agissait de l'individu qui était tombé sous le charme de la jeune fille, il fit un signe de la tête à ses compagnons qui jetèrent le jeune homme directement dans la cuisine avec pour ordre de faire la vaisselle afin de rembourser les consommations de son ami. Logiquement, le jeune homme aurait eu droit à une bonne et longue séance de torture afin de compenser le manque à gagner, mais comme il était l'ami de la jeune Yasmeen, il avait eu droit à un léger traitement de faveur, sans doute qu'elle avait plus de charme que ce qu'avait pensé Shoma. Afin que le jeune homme ne puisse pas quitter en douce la cuisine par la porte de derrière, les deux cuisiniers qui étaient actuellement en pause restaient aux côtés du pirate le temps qu'il nettoie entièrement la vaisselle sale, ne connaissant pas les lieux, Shoma demanda où se trouvait la vaisselle qui devait nettoyer afin de s'acquitter de sa dette et une fois devant l'ouvrage en question, il compris qu'il aurait dû accepter de se faire passer à tabac plutôt que d'accepter l'offre de faire la vaisselle, car la tâche ne s'annonçait pas aussi facile qu'il avait pensé. Devant lui une montagne de vaisselle était empilé, d'après les cuisiniers, l'homme en charge de la plonge est actuellement malade depuis deux jours déjà et donc en son absence personne ne fessait la vaisselle, le chef de l'établissement comptait recruter un homme le temps de la maladie de son employé, mais comme l'occasion se présenta il envoya le pirate exécuter cette tâche.

          Rusé qu'il disait, maintenant il n'était plus bon qu'à faire la plonge pour un escroc de restaurateur, il voulait vraiment faire de lui son garçon de plonge, mais il était fou, il allait voir, s'il voulait que Shoma travaille pour lui sans payer, alors il allait très vite déchanter. Shoma était un pirate et pas un garçon de cuisine et à chaque fois qu'il nettoyais une assiette il s'arrangeait pour en casser deux. Son stratagème était ficelé, il ne devait pas faire exprès de casser les assiettes, car il était surveillé, mais si par maladresse il venait à casser des assiettes, alors cela ne sera pas retenu contre lui et à force de perdre des assiettes, sans doute que l'on demanderait de se stopper pour éviter trop de casse et après une bonne vingtaine d'assiettes, son travail porta ses fruits et les cuisiniers lui demandèrent de se stopper, mais ce n'était pas définitif, ils lui demandèrent de récurer complètement deux marmites énormes pleine de graisse et de crasse, vraiment son idée n'était pas très fructueuse, maintenant qu'il avait des marmites en fer, comment allait-il faire pour les briser, la tâche était impossible, il n'avait plus qu'à se résigner à faire ce qu'on lui avait demandé de faire et de partir ensuite, vraiment quand il allait mettre la main sur cet écureuil en smoking, il allait lui faire payer cela. Très vite la colère du pirate se transforma en force et il effectua son travail dans la joie et la bonne humeur, il poussa même la chansonnette, il travaillait avec ardeur, frottant, récurant encore mieux que le véritable plongeur qui se plaignait tout le temps de ses conditions de travail, pas étonnant qu'il était tombé malade. Shoma pris dans un élan de bonne humeur ne se stoppa pas et se mit à nettoyer complètement la cuisine de fond en comble, ne laissant pas la moindre poussière, pas la moindre tâche de graisse n'était visible après son passage, la cuisine était comme neuve, elle resplendissait, on pouvait même voir le reflet des cuisiniers sur le sol, c'était vraiment un travail de professionnel.

          La cuisine était finie, Shoma pouvait enfin partir, mais avant de quitter la pièce, un des cuisiniers lui demanda s'il ne voulait pas rester ici afin de travailler à temps plein et remplacer ainsi son collègue malade, à ce moment, Shoma se rappela qui il était et frappa l'homme au niveau du crane ce qui le fit tomber sur le sol avec une grosse bosse qui sortait et devenait imposante. Shoma n'était pas un cuisinier, il avait d'autres chats à fouetter et d'ailleurs en parlant de chat, il avait un félin en smoking à déplumer. Sortant de la cuisine par la porte de derrière, le pirate se mit en direction de la place où le bruit des passants se fessait entendre, plus en colère que quiconque, Shoma était prêt à manger du koala rôti. Arriver au niveau de la foule, Shomase mit à chercher l'objet de sa vengeance, il y avait vraiment beaucoup de monde et il n'arrivait pas à mettre la main sur ce petit être qui n'allait pas tarder à passer un mauvais moment. L'attention du pirate se braqua sur l'avant de la scène quand un coup de feu retentit, la marine venait de faire feu, mais personne n'était tombé, en y regardant de plus près, Shoma vit la personne qu'il cherchait avec tant de rage, maintenant la fête pouvait commencer. Le pirate commençait à avancer avec rage tout en poussant les personnes qui se trouvaient près de lui, il progressait très vite jusqu'à atteindre la zone où se trouvait les soldats de la marine qui allaient faire feux sur le koala. Shoma poussa avec violence deux soldats de la marine afin d'atteindre le koala. Attrapant la bête avec ses mains pleines de savon, Shoma colla sa tête à la sienne avec violence et s'apprêtait à le faire payer pour tout ce qu'il avait du faire pour rembourser ce qu'il avait mangé et bu quand plusieurs soldats attrapèrent le pirate par la main et lui donnèrent des coups de crosse au niveau des jambes pour le faire tomber sur le sol. Shoma plia les genoux et ne tomba pas complètement sur le sol, cette offense public n'était pas du gout du pirate qui se leva et se tourna face à ses agresseurs oubliant complètement le koala. Fou de rage, le pirate attrapa les deux des soldats qui l'avaient frappé et retira de son dos son sabre avant de coudre leur tête entre eux, maintenant ils n'étaient plus que des siamois pour toujours incapable de bouger l'un sans l'autre. L'attaque du pirate entraîne une vive réaction de la part des soldats qui se mirent en formation défensive afin de réprimander ces hommes qui s'interposaient au gouvernement mondial.


          ça va être votre fête les gas.

          Shoma claqua des doigts en direction de la foule, c'était un signal pour une personne qui était avec lui, comme pour dire qu'il était temps de passer à l'action.


          • https://www.onepiece-requiem.net/t1129-mantle-shoma
          Voyant mon capitaine se faire tabasser à cause de l'Ecureuil-Qui-Parle j'ai fait ce que toute jeune fille bien éduquée aurait fait: j'ai envoyé mon petit copain à la rescousse. Oui, bon, le chef du restaurant n'était pas vraiment mon petit copain mais il était à deux doigts de le croire. Au moins Shobaka m'a donné l'occasion de le décoller de ma petite personne sans avoir à devenir désagréable. Je ne pu qu'éclater de rire lorsque Kapry fourra le Couturier aux cuisines en le désignant volontaire pour faire la vaisselle en retard de l'auberge. J'ai carrément roulé au sol, hilare jusqu'à en pleurer, lorsque j'ai vu la taille de la vaisselle en question. Une montagne, le grand capitaine Mantle Shoma des...qu'est-ce qu'il a dit déjà ?...des Red Spectres doit se taper une montagne d'assiettes tellement sales qu'on aurait dit que quelqu'un les a trempé dans la boue et les a laissé en plan trois jours. Franchement je n'en pouvait plus, j'ai cru que j'allais attraper une crampe au ventre à force de rigoler. Après avoir repris mon souffle j'ai laissé le Couturier à son nouveau travail et je suis sortit en criant un "salut tout le monde !" à la cantonade. Je n'allais quand même pas l'aider non-plus, il s'est fourré dans cette situation tout seul il doit s'en dépêtrer tout seul. Et de toute façon j'ai la flemme, tout simplement. Histoire de me rendre utile j'ai quand même tenté de suivre le petit animal en smoking.

          Je suis montée sur un lampadaire pour essayer d'avoir une meilleure perspective sur la foule. Un Écureuil civilisé ça doit quand même être facile à repérer. Hum, pas vraiment en fait. Je ne vois qu'une mer de visage de toute forme et de toute couleur se dirigeant dans une direction précise, comme un banc de poisson suivant son chef. La bestiole est tout simplement trop petite pour que puisse ne serait-ce qu'espérer l'apercevoir dans cette cohue généralisée. Cependant si la foule suit un courant logiquement l’Écureuil doit le suivre aussi, vu sa taille elle aurait du mal à tenter d'aller en contre-sens. Partir à la pêche aux créatures poilues ne sert à rien dans ces conditions, j'ai préféré attendre que mon chef ait fini de faire mumuse dans les cuisines du restaurant. Ou, le connaissant, qu'il ait assommé tout le monde dès qu'il en aura marre de ce boulot même pas rémunéré. Comme de juste le jeune homme sortit avec un air énervé indiquant qu'il a tapé quelqu'un ou quelque chose. Il se dirigea de lui-même vers l'endroit où je pensais trouver notre fourbe Écureuil et je lui ai emboité le pas sans un mot. C'est qu'il pourrait me coudre la bouche ce type alors pour une fois je la joue "toutou du chef". On est arrivé sur une grande place au centre de laquelle se trouvait une estrade en bois. Sur l'estrade, un Marine qui a l'air de faire un discours.

          Suuuper encore un super chiant discours du Gouvernement Mondial. Encore heureux qu'on entend pas grand chose à cette distance, ça m'évite le mal de crâne. Bon, il faut que je retrouve cette peluche qui s'habille en Prada maintenant. Il ne faudrait pas qu'il arrive quelque chose à cette bestiole à la fourrure siii douuuuuce. Avec tous ces gens... elle pourrait ce faire piétiner ! Il faut que je la sauve ! Et accessoirement que je la protège du capitaine-masqué qui veut sans doute la transformer en carpette à poil court. Comment chercher une aiguille dans une botte de foin ? Mettre le feu à la botte de foin. Mais lààà naaan, pas envisageable. De la hauteur. Il faut que je prenne de la hauteur. Premier Commandement de Saint Sniper et de son Apôtre Ligne-de-Vue le borgne. Et c'est reparti pour une balade sur les toits. Sauf si le cap...gné ? Oukilé passé encore ? Cool, maintenant j'ai perdu DEUX bestioles. Ho et puis zut hein, je vais en rester au plan A pour une fois.

          Dial Atlama


          J'ai claqué des talons pour me projeter en l'air, direction le rebord d'un toit. Mauvaise estimation, j'ai dû m'accrocher du bout des doigts au rebord pour ne pas retomber lamentablement au sol. Non, la gravité a unilatéralement décidé que les anges ça ne vole pas, même si je test encore de temps en temps pour voir si elle n'aurait pas changé d'avis entre temps. J'ai finalement posé le pied sur le toit en ahanant comme si j'avais couru le cent mètre haie en pantoufle. Je n'ai pas de jumelle sur moi donc j'ai posé mon fusil sur un muret et j'ai placé mon oeil face au viseur. J'ai observé la foule mais rien, à la limite ça me donnait mal au crâne. A la place j'ai regardé ce qui se passait sur la plateforme. Un type a essayé de prendre pied dessus, un Marine a braqué son arme sur lui et...avant que j'ai pu dire "dial" un truc a surgit de la foule et a saisit l'arme. Un coup de feu retentit et la balle fila vers la stratosphère.

          C'était quoi ça crénom d'un boulon ?

          Un enfant. Non un animal. Quelque chose entre les deux. Attendez une minute...il ressemble à mon écureuil. Ce pelage gris, cette canne, ces habits, mais oui c'est notre Écureuil ! J'ai hésité à crier "hourra" pour l'avoir trouvé en première et pleurer parce que pour le tirer des pattes de la Marine ça va être chaud. J'ai choisi de pleurer lorsque mon capitaine a décidé de se mêler à la petite fête avec le tact qu'on lui connait. Hum ? Il fait un signe de la main ? IL CLAQUE DES DOIGTS ? Comment il sait que...pourquoi il...il pense que je vais m'attaquer à des Marines ? Non mais ça va pas dans sa tête ? Cette fois j'en ai ma claque des embrouilles dans lesquelles il me met. Désormais il peut aller se faire voir. J'ai décollé mon œil de la lunette de visée.

          ...

          Ho et puis zut. Ça m'apprendra à avoir une moral. Je me suis remise face au viseur et j'ai mis un Marine au centre ma réticule de visée. Vent d'Ouest, environ trois cents mètres. Régler la déviation et ...

          Gum Atiç !


          Une balle en caoutchouc fila vers l'attroupement de Marine et toucha ma cible à la tempe. Elle tomba hors de l'estrade et je choisis une nouvelle proie pour mon ShokAttakGun. Bienvenu à la Foire selon Mantle Shoma. Pitié, faites que personne ne me repère...


          Dernière édition par Yasmeen Al'Faris le Ven 24 Juin 2011 - 0:32, édité 7 fois
              C’est fou à quel point les évènements peuvent s’enchaîner si vite. Il y a même pas une heure le très cher koala déjeunait sur une terrasse de restaurant, pépère avec son journal. Il ne demandait qu’un chose : un verre d’eau à la charmante serveuse. Puis vint une autre personne qui l’étrangla littéralement entre ses deux atouts, puis une sorte de docteur diabolique portant un masque… qui lui donnait une image sacrément sadique. Dandaman était venu sur cette île pour passer du bon temps, rencontrer du monde, et pourquoi pas participer au tournoi ! Après tout, il savait se battre ! Mais il se trouvait que le destin l’avait déposé sur une île en proie à la guerre civile. Un peuple qui se retourne contre la marine pour préserver sa culture, sa dignité, son honneur ! Le mentor de Dandaman ne cessait de dire que les gens, au fond d’eux, attendent la flamme qui viendra embrasser leur désir d’évasion et pourquoi pas de rébellion. Il disait aussi que le plus souvent, cette flamme était une soudaine souffrance ou bien tirait son origine d’un évènement important. Il disait sans cesse que les hommes patientent toute leur vie pour qu'on les obligent à être libre…et que seul quelques individus arrivaient à s’embrasait seul : les pirates ! L’animal s’était souvenu de l’immense admiration qu’avait son ami envers ces hors-la-loi, parfois sanguinaire, mais toujours en quête d’aventure. C’est en partit ce qui avait pousser notre protagoniste à se mettre sur le dos l’homme masqué. Sa démarche, son attitude envers ceux qui l’entourent, son visage inconnu…tout laissait penser à un pirate qui vit ce qu’il lui semble bon ! D’ailleurs ce bonhomme là ne se fit pas beaucoup attendre et se faufila parmi la foule dans le but, sûrement, d’étrangler la peluche. Il ne mit pas longtemps à la trouver, le bougre. Il avait jaillit de la population, sa canne en avant, et secourut un brave karatéka en danger. Ainsi fait, il était à la vu de tout le monde et le pirate, en le voyant sur l’estrade, sauta à son tour dessus et plaqua sa tête contre celle du gentleman qui essayait tant bien que mal de lui indiquait de la patte qu’il avait des fusils braquaient sur lui. Les marines, sous les ordres du porte-parole, brandirent leurs armes contre les intrus. Quelque uns se risquèrent même au corps à corps et obligèrent Mantle à s’agenouiller d’un coup de crosse dans les jambes…devant la population déjà stupéfaite. La honte ! Le hors-la-loi, déjà en colère, fut encore plus remonté et fit de deux soldats des siamois. Les autres, en rang, visèrent les trois personnes présentent sur l’estrade. Dandy sauta sur le civil et le fit tomber de la plate-forme…mais cela n’arrangeait rien ! Un officier s’apprêtait à tirer sur l’animal quand, brusquement, sa tête fut percutée par une balle. Pas d’effusion de sang, mais plutôt une énorme bosse sur le crâne. Un autre subit le même sort. Quelqu’un aidait les deux hommes dans leur combat, un tireur d’élite qui souhaitait par la même occasion épargner ses victimes.

              Dans l'agitation percutante, le koala remarqua que cette estrade en bois était assez rudimentaire. Ceux qui l'avaient installé ici devait être de véritable manche dans le domaine la construction. De ce fait, le poids de l'animal, ajouté à celui du pirate et des quelques soldats, firent quelques peu flanchés l'installation...notre héros donna alors un léger coup de canne contre le sol. Ce fut suffisant pour que l'estrade s'écroule et face tomber à priori tout le monde un mètre plus bas. Rien de bien grave donc, l'important était l'effet produit par cette minuscule chute.

              Les rangs des marins était désorganisés et le porte-parole, un vrai trou de balle, criait ses pauvres ordres cachait derrière deux hommes de l’autorité. –Tuer les !- qu’il disait. Dandaman, toujours classe avec ses lunettes noires, utilisa sa canne pour se projeter en l’air. Sa trajectoire ? Ce misérable porte-parole qui embêtait son monde. Le koala atterrit sur la face d’un de ses gardes du corps qui commença à courir dans tout les sens sans rien y voir : évidemment, le corps du gentleman lui cachait complètement la vu. Son collègue essayait de viser avec son pistolet à six l’hybride mais n’osait tirer…l’autre bougre planqué derrière lui arracha l’arme et tira de sang froid dans la jambe du marine qui flancha ! Dandy roula par terre et se releva. Ses vêtements étaient pleins de poussière, et l’arme de l’ennemi était braquée sur lui.

              - Mouhahaha ! Espèce d’imbécile !

              - Espèce d’enfoiré !!

              Avec surprise, le marine à ses côtés lui colla une vilaine droite dans la mâchoire. Apparemment, le fait d’avoir tiré sur son pote ne lui avait vraiment pas plu. Il récupéra son arme et chercha le koala…celui-ci s’était approcher suffisamment pour que sa petite taille le couvre quelques temps…il encocha un terrible coup de canne en plein dans le menton du soldat qui tomba au sol. Qu’en était-il de l’autre combattant ? D’ailleurs…il ne voulait pas faire la peau du koala ? Sûrement. Le fier gentleman se frotta, histoire d’enlever toute cette terres de ses habits et d’être présentable face à tout ce public, tout à fait éberlué par les combats. Une fois tout les marines au sol, il crièrent victoire et nous portèrent en gloire. Le koala cherchait alors qui était le tireur qui les avaient aidés…mais ne vit que très peu de chose…si ce n’est un pirate en colère !


            Dernière édition par Dandaman le Jeu 5 Mai 2011 - 16:50, édité 2 fois
              Shoma fit appel à sa vice-capitaine afin de lancer les hostilités, étant une pistoléro, elle était capable de voir sans être vu et de tirer sans dévoiler sa position, le capitaine ne s'était pas trompé en la recrutant, elle était d'une utilité presque divine. La jeune femme fit mouche dès son premier tir envoyant valsé un soldat, puis un second, si elle continuait ainsi elle allait sans doute faire mouche à chaque tir ne laissant plus rien pour son jeune capitaine encore énervé et prêt à se farcir du soldat bien frais. Après la jeune femme s'était au tour du véritable coupable de passer à l'action, l'écureuil vêtu se lança aussi dans la bataille frappant les soldats, puis s'en prenant directement à l'estrade où se trouvait les soldats, le civil, mais aussi le pirate qui avait déjà une dent contre lui, moi cela il devait déjà s'en doute l'avoir oublié, car en détruisant cette estrade il allait jeter également le pirate sur le sol et peut-être même le blesser. Heureusement pour lui Shoma avait plus d'un tour dans sa main et n'allait pas se blesser d'une simple chute, il se réceptionna sur le sol au niveau du début de la foule avec un atterrissage parfais et avec classe, mais dans durant la coute période où ses pieds décolla, il avait laissé son sabre tomber, celui-ci lui glissa des mains quand le débile animal pris la décision de détruire l'estrade principale. Ne pouvant rester sans son arme même le temps d'une bataille, le jeune homme s'en alla à la rencontre de son sabre alors qu'autour de lui un violent combat avait débuté, mais le jeune homme était né sous une bonne étoile et à chaque fois qu'un ennemi allait s'en prendre à lui il y avait toujours quelqu'un où quelques choses pour mettre cette personne hors d'état de nuire sans que le pirate n'ait à s'en occuper lui-même. Le sabre s'était retrouvé coincer sous un imposant bloc métalique assez lourd, l'extraire n'allait pas simple avec des hommes qui courent et se battent tout autour de lui et quand des personnes tombèrent sur le sol ajoutant ainsi encore plus de poids à cette poutre métallique, Shoma se demandait bien comment il allait s'y prendre.

              Le pirate possédait le Kage Kage no Mie son meilleur atout, mais ne voulait pas en faire usage publiquement, il ne devait combattre que de simple soldats dont la force ne devait pas dépasser celle d'un simple débutant en art martial, combattre avec un pouvoir équivaut à les condamné directement à la mort, alors ne voulant pas utilisé son pouvoir et ne pouvant pas récupérer son sabre directement, le pirate décida de patienter et de prendre son mal en patience, il allait se poser sur la poutre qui le gênait et allait attendre que la situation ce calme pour pouvoir récupérer son bien sans que personne n'interfère. Se poser et attendre tranquillement alors que plusieurs personnes combattant tout autour de lui était une chose que lui seul était capable de faire, il n'était vraiment pas concerné par ce combat et quand par erreur un civil le cogna avec ce qui semblait être un bâton en bois il se leva et lui donna une bonne correction qui empêcha que cette erreur ne puisse être refaite par inadvertance, le pauvre homme n'avait plus que ses yeux pour pleurer ce qu'il était devenu, un corps maculé de bleue avec de multiples fractures, il ne pourrait sans doute plus lever de bâton avant un bon bout de temps, une bonne leçon pour une personne qui frappait au hasard s'en regarder s'il venait de toucher un allier, un ennemi où une personne qui se trouvait en dehors du conflit en cours. En voyant que l'homme s'attaquait également au civil, le soldats décidèrent de le laisser en paix, car il ne prenait pas vraiment part à cette situation de rébellion et qu'il ne voulait pas subir pareil sort, même si pour eux la présence d'un homme assis au beau milieu d'un combat était quelques peu louche. Cette bataille était vraiment très ennuyeuses et Shoma avait complètement oublié la raison de sa présence, il n'avait vraiment rien à chercher ici, rien qui puisse réellement le motivé, il pensait d'ailleurs même à quitter la zone voyant qu'il n'y avait plus rien pour lui. Levant les yeux vers le ciel pour observer le ciel et le soleil, Shoma décida de partir et d'aller faire une petite sieste le temps que les enfants terminent de jouer.

              Décider a quitter le champ de bataille, le pirate quitta la poutre métallique pour prendre de la hauteur, mais ne voulant pas laisser derrière lui sa précieuse arme, il décida de rester quand même à porter de vue de cette dernière, il ne voulait pas qu'un resquilleur passe derrière lui et récupère son sabre comme un précieux trésor de guerre, pas question. Sautant sur ce qui restait de l'estrade, puis passant à quelques mètres en contre-bas de la position de l'écureuil déterminé à donner une raclé à la marine, Shoma se frayait un chemin sans encombre et allait rejoindre le toit d'une bâtisse non loin où il allait pouvoir se reposer tout en observant le spectacle qui lui était donné de voir. Il n'était plus très loin de sa destination finale et se stoppa afin de trouver la jeune femme qui devait sans doute être planqué sur un toit où un recoin où personne ne pouvait la voir, elle était très bien cachée, car avec tout ce qui se passait, il n'arrivait pas à mettre la main sur elle et pourtant de nombreux soldats tombèrent suite à ses attaques précises, une efficacité pareille, tu meurs. Au même moment, alors que Shoma avait le dos tournée et qu'il avait en quelques sortes baisser sa garde, au-dessus de lui l'écureuil se battait également avec des soldats, un coup, puis deux et les soldats tombèrent au sol, il avait gagné, mais en les battant, les soldats lâchèrent leur arme et parmi ces mêmes armes, l'une d'elle bascula et tomba directement sur la tête du pirate. Par chance l'arme donna un violent coup de cross au niveau de la tête du capitaine qui se baisse et se frotta la tête à cause de la douleur et quand le choc eu lieu une balle sortit du fusil, heureusement il avait reçu ce coup de cross, un demi-tour en plus et il recevait cette balle en plein milieu de la tête et s'en était fini de lui, ridicule en serait sa mort, plus pathétique tu meurs. Levant la tête, fou de rage vers les cieux, Shoma vit que la personne responsable de cette nouvelle agression n'était nul autre que celle responsable de ses deux premières colères, décidément, cette personne devait vraiment avoir une dent contre lui.

              Trop c'était trop, depuis sa rencontre avec lui Shoma n'avait eu que des ennuies, une fois, deux fois, trois fois, la coupe était maintenant pleine il fallait lui donner à son tour une bonne correction pour tous les problèmes cumulé jusqu'à présent, ils n'étaient pas amis ni frère, alors comment ce fessait-il qu'il avait le don de lui causer autant de problèmes sans même prendre la peine se présenter ses excuses et de faire comme si tout ce qu'il fessait était "normal". Maintenant l'heure de l'addition était venue et elle allait être très amère pour celui qui allait devoir en régler la note. Montant au niveau supérieur où se trouvait le porte voix et l'écureuil, Shoma se voyait déjà étrangler la bestiole et lui ôter la vie. Une fois pied-à-terre au même niveau que ce dernier, il n'y avait plus personne debout si ce n'était l'objet de la colère du pirate : l'écureuil, seul debout il était venu à bout de ses opposant et plus bas les civils se mirent à crier victoire et louèrent littéralement la bestiole qui venait de faire d'une pierre deux coups, sauver la vie d'un des leurs et se débarrasser de la marine, sans doute ne savait-il pas que la marine était plus têtue qu'une mule et qu'elle revenait toujours à la charge encore et encore jusqu'à obtention de ce qu'elle recherche, tel était la façon d'agir du gouvernement mondial et si elle avait perdu aujourd'hui, elle ne tarderait pas à revenir à la charge afin d'obtenir réparation et faire quelques exemples au passage. Passant outre les acclamations de la foule, Shoma retroussa ses manches et avança dans la direction du héros afin de prendre sa revanche, il avait deux trois choses à régler avec lui avant de le laisser profiter de sa courte victoire, un, puis deux et ensuite trois coups sur la tête, Shoma s'était retenu, car il avait encore besoin de la bête pour accomplir une dernière tâche, avec son corps plutôt petit il était capable d'aller récupérer son arme coincer sous cette poutre et s'il voulait rester en vie il allait devoir aller chercher l'arme du pirate, s'était la seule raison pour laquelle il était encore en vie.



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              Et moi où ce que j'étais dans tout ce joyeux bordel ? Sur mon toit à tirer sur tout ce qui ressemble à un Marine, ce qui inclue un vendeur de poisson en costume bleu qui passait par là. Je suis vraiment désolée pour lui mais quand on s'attaque à des gens on prend quand même soin de pas avoir les mêmes coloris qu'eux et puis c'est tout ! Je dois aussi avoir toucher d'autres personnes "innocentes" (peut-on parler d'innocence quand lesdites personnes brandissent des flambeaux, fourches et autres rouleaux à tarte ?) suite à une série de ricochets de mes balles en caoutchoucs. Étrange, elles ne faisaient pas ça avant. Après quelques tests -et quelques cibles envoyées au tapis avec une commotion cérébrale- j'ai conclu que mes balles ne "rebondissent" que si j'atteins ma victime sous un certain angle. Et encore, après faut estimer dans quelle direction elle ricochera tout en sachant que mes cibles ne tiennent pas en place, ces fourbes. Bref, de nombreux mal de crâne en perspective mais si il est bien placé, par exemple en plein milieu d'une escouade de Marines arrivant depuis l'autre bout de la place à cet instant, l'effet est dévastateur. Ils s'effondrèrent les uns à la suite de l'autre comme sous l'effet d'une boule de bowling invisible. Heureusement que je les ai vus ceux là, ils auraient pris le Cap'taine et écureuil à revers. C'est une technique à creuser, le jour où des gens ne voudront pas me tuer et que Shobaka restera calme.

              Haaaaa...autant dire jamais. Pfiou, au moins y a plus de "méchants" dans les environs, je peux aller faire un gros calinou à mon Écureuil préf...

              Un nuage de poussière se dégageant d'un quartier adjacent attira mon attention. J'ai braqué la lunette de mon arme dans cette direction pour voir quel problème va encore nous tomber dessus, l'expérience m'ayant montré que les nuages de poussières ne sont jamais produis par...disons...un livreur de pizza ou un vendeur de glace, ce genre de choses agréables. L'anarchie urbaine ne me permit pas de bien constater l'étendue des embrouilles qui nous arrivent dessus, mon champ de vision étant constitué de pâté de maison-bout de rue-pâté de maison-bout de rue. J'ai quand même pu conclure trois choses: un, ce sont des Marines, deux ils sont à cheval et trois ils sont vachement pressés. J'aime pas les chevaux. Un cheval c'est plus grand que moi (en général) et il peut me remodeler le visage à coup de sabot si un bête moustique à l'audace de lui piquer l'arrière train. Plus dangereux que pratique, et en plus comme moyen de transport c'est l'un de pire car pour chaque heure passée sur leur dos c'est une journée à dormir debout tellement votre bassin vous fait mal. Et si elles chargent dans la foule -comme je le suppose- ça va faire pas mal de dégâts, surtout lorsqu'ils sont lancés en pleine vitesse. En un mot comme en cent faut que je choppe Mantle et l’Écureuil pour qu'on se tire d'ici en vitesse tant qu'on le peut encore; la fête est finie !

              J'ai mis mon arme en bandoulière et j'ai sauté de mon perchoir, tombant (et c'est bien la première fois) dans une charrette de paille opportunément rangée en contrebas. La foule se dit en me voyant que, tout compte fait, le spectacle n'est pas si passionnant que ça et qu'il est peut-être opportun de laisser passer une jeune fille portant un fusil géant. L'autre explication est le simple instinct de survie, évidemment. Dans ces conditions j'ai vite rejoins Shoma qui, après avoir frappé ma peluche en smoking, s'est mis à le serrer très fort dans ces bras. Au niveau du cou.

              Encore entrain de frapper des gens ? Bordel !

              J'ai attrapé mon capitaine par le pantalon et j'ai tenté de l'éloigner de l'animal à poil gris, tandis que d'autres gens essayent de faire pareil avec l’Écureuil. Mais c'est que le Couturier Masqué veut pas lâcher sa prise ! J'ai tiré de toutes mes forces:

              Gnnnnnh...Cap'taaaaaaine !.... Gnnnh..On a des grosses saucisses qui arrivent au galop ! Faut se tirer !... Gnnnnh.... sérieusement ça va se complexer !

              J'aurai pu lui donner mon habituel coup de crosse à l'arrière du crâne, cependant je devrais alors le lâcher et donc lui permettre de se jeter sur ma peluche qui parle. D'un autre côté continuer bêtement à le tirer comme ça ne fera pas beaucoup évoluer les choses. Galère...


              Dernière édition par Yasmeen Al'Faris le Ven 24 Juin 2011 - 0:37, édité 5 fois
                  Driiiing ! Driiing !!!

                  ??? : ….Allô.

                  - Lieutenant Haguro ?

                  Haguro : Qui voulez-vous que ça soit ?!!

                  - Euh je…

                  Haguro : Pourquoi m’appelles tu ?

                  - L’annonce du transfert aux habitants a mal tourné Lieutenant ! Nos hommes ainsi que le porte-parole ont été sauvagement agressé par quelques individus !

                  Haguro : Ainsi la population se révolte…soldat ! Dites aux cavaliers de mettre un terme à cette émeute. L’on ne peut permettre qu’une population tienne tête à l’autorité mondiale.

                  - Mais lieutenant…

                  Haguro : Mettez les en charpie !!

                  Le haut gradé raccrocha et se leva de sa chaise en fumant avec plaisir sa cigarette et regarda le village du karaté de sa position. Haguro se situait à ce moment là tout en haut du quartier général qui surplombait de quelques mètres l’ensemble de l’île. Son bureau, qu’il avait réquisitionné au précédent responsable officiel de l’île, se trouvait tout près de la cellule où était emprisonné le vieux Yogo. Sa mission était en soi de ne laisser personne interférer au bon déroulement du transfert du criminel. Son importante présence laisser supposer que l’affaire était plus importante qu’elle ne devait l’être…pourquoi l’autorité mondial s’est-elle donné la peine d’envoyer un puissant officier sur une île normalement paisible ? Etait-ce en rapport avec la mystérieuse disparition de Rey Baka ?

                  Revenons sur la place du village. L’échafaud où s’était tenu le discours annonçant le transfert de Yogo était tombé en ruine à la suite de l’agitation provoqué par le koala. Les combats étaient terminés et le civil qu’avait secouru notre héros remercia honorablement le révolutionnaire en le saluant. Mais il n’était pas le seul héros. En effet, deux personnes étaient venues à la rescousse de l’animal en proie aux fusils des soldats de la marine. Un d’eux étaient ce fameux pirate qui arriva déjà en colère. La seconde personne se cachait quelques part et avait tiré de sa position quelques balles en caoutchouc pour assommer certains ennemies. Et Dandy n’avait aucun doute sur l’identité de ce tireur d’élite : c’était sûrement la femme qu’il avait disons, « rencontré », au restaurant. Elle avait dû suivre son ami, qui d’ailleurs s’approcha du fier gentleman les poings serrés, illustrant un énervement plus que intense. Il fit pousser trois vilaines bosses sur le crâne de l’animal, sous les yeux exorbités de la population qui les croyaient alliés. Le pirate, avant de massacrer celui qui l’avait escroqué, lui conseilla d’aller récupérer son arme coincer sous les débris s’il ne voulait pas passer un sale quart heure. Dandaman se frotta la tête, l’air un peu dépassé, puis les deux individus furent rejoins par la femme aux cheveux roux qui tira son compagnon en le suppliant de laisser tomber l’affaire et de fuir…Des grosses saucisses qui arrive au galop ? Durant un instant, le révolutionnaire imagina la scène dans sa tête, ne comprenant pas trop le sens de cet avertissement…il le comprit très vite quand les premiers bruits des cris de chevaux se firent entendre. Une cavalerie blanche de soldat fonçait droit vers la foule, sabres en main. Ils séparèrent la foule et frappèrent sans aucune pitié les hommes présents sur la place publique. Un acte de barbarie sans précèdent, digne du régime d’un tyran. Ce devait être l’œuvre de Haguro, l’homme qui avait été cité par le porte parole. Mais pas le temps de réfléchir ! Un cavalier fonça sur nos trois héros qui allaient devoir en découdre. Le souci, c’est que l’un n’avait plus d’arme, que l’autre avait un sniper dans le dos inutile donc au corps à corps…et que le koala n’avait nulle intention de parer l’assaut de l’officier en cheval. En effet, le petit animal sauta, en s’aidant de sa canne, dans les débris tout près afin de s’en servir comme cachette. Assez lâchement, il laissa ses deux amis face au cavalier…enfin c’est ce que l’on pouvait penser. Deux minutes s’écoulèrent et le révolutionnaire se dégagea des débris de bois en les faisant valser autour de lui.


                  « Hey sir ! Attrapez donc ceci ! »

                  Le koala envoya dès lors l’arme du pirate en sa direction. En effet, ce n’était par hasard qu’il s’était jeter dans les débris, et encore moins pour s’y cacher. Il avait recherché l’épée du pirate qui avait malencontreusement fini sous l’échafaud quand celui-ci s’effondra. Maintenant que le brigand avait son arme, il allait certainement pouvoir se battre avec plus de facilité. L’animal quand à lui regardait brièvement autour de lui, percuter par la violence de l’autorité de la marine. Son mentor n’avait jamais parler d’une tel cruauté…les habitants fuyaient dans les rues tandis que certains essayaient de protéger les plus faibles. Certain karatéka se firent transcender, ne pouvant combattre les hommes sur leur cheval. Tandis que l’attaque continuait, une femme restait accroupie sur le sol, tremblante de peur. Un cavalier s’approcha rapidement d’elle, brandissant avec une certaine folie son arme. Qu’elle était cette force maritime si brutale ? Il ne faisait pas parti de la marine…ils ne portaient pas l’insigne…des troupes gouvernementales ?

                  « Cessez donc cela vermine ! Home Run !!! »

                  Dandaman sauta en direction de l’officier et lui asséna un coup terrible en plein dans le visage qui le fit basculer en arrière. Il tomba, complètement k.o de sa monture. Le koala se tenait près de la femme, tel un fier gentleman.

                  « Vous vous en prenez aux femmes ? Il vous aurez tué pour ça ! Venez donc vous battre ! »

                  On ne touche pas aux femmes.
                  Le combat venait de prendre fin, hourra si l'on pouvait dire, mais ce n'était que le calme avant la tempête. Du haut de la plus grande tour de l'île celle où seul les officiers de la marine peuvent y entrer, une décision importante venait d'être prise, une décision qui devait calmer la fougue de toute la population. Tolérance 0, voilà qui qualifiait parfaitement les objectifs de l'officier, si la population venait à poser des problèmes, alors elle subira le pouvoir de la justice. Comme selon le dicton, on ne fait pas d'omelette sans cassez des yeux et ben dans ce cas là on ne rend pas justice sans sacrifice. L'officier venait de donner l'ordre de rendre justice absolu, mais pensait au fond de lui que ses ordres n'allaient pas pouvoir aboutir s'il restait dans son bureau à contempler le nuage de poussière qui s'élevait de plus en plus haut dans le ciel preuve de la force de frappe qu'il venait de déployer. On est jamais mieux servi que par sois même, c'était un dicton qu'il appréciait et qu'il mettait très souvent en pratique, alors tandis qu'une horde de cavalier fonçait sur la population, Haguro se tourna et appela son second afin de préparer le reste de leur troupe à la bataille, Hizumo adjoint et second de d'Harugo ne comprenait pas pourquoi il avait reçu cet ordre, car un régiment de cavalier venait d'être dépêché sur place, mais devant le visage froid et déterminé de son supérieur, il garda cette question pour lui et parti afin de donner l'ordre aux troupes d'élites de se préparer. Cette histoire n'avait que trop durer, si la population n'acceptait pas la réalité en face, alors il allait tous les tuer dans le but de la justice. C'était les ordres et les ordres qu'il avait reçus devait être exécuté, sans remettre en question les plans des leaders. Cinq minutes après l'envoie de troupe lourde, les troupes d'élites quittèrent la base avec à leur tête Haguro qui tenait un sabre très aiguisé en main, il n'allait pas faire dans le détail, tout ce qui était sur sa route était un obstacle à sa mission, donc un danger pour le gouvernement mondial.

                  En ville les cavaliers ne fessait aucune distinction, les ordres étaient les ordres et femmes, enfants et vieux n'étaient que de la merde à leur yeux. Shoma était au premier rang, il pouvait même ressentir la joie des soldats en tuant leurs victimes, c'était limite palpable, il ne ressentait rien à l'égard de la population, c'était une manière de passer du bon temps. D'une certaine manière le capitaine pirate les enviaient, ils laissaient libre court à leur pulsion primaire, de vrais bêtes sauvages avide de sang et de combat, mais ils n'étaient que des pions et comme de vulgaire pion, ils n'étaient que des déchets inutiles et sans aucune valeur à ses yeux, les soldats qu'il avait battus avant leur arrivée avaient même plus de valeur à ses yeux, voilà pourquoi il n'était même plus animé de sa soif de combat habituelle, mais quand un cavalier décida de faire passer sa monture dans sa direction, Shoma dû utiliser son ombre afin de pouvoir continuer à vivre. Son ombre forma un mur avec des pics afin de transpercer la monture et son cavalier en même temps. Derrière, protéger par le pouvoir qu'il avait obtenu, il n'avait rien, sa protection avait une fois de plus fonctionné, mais de l'autre côté, la scène avait été sanglante, le cheval et son cavalier venaient de percuté les phalanges et une très grande quantité de sang se répandait sur le sol. Une fois l'assaillant mort, Shoma retira très vite son ombre qui décida de fuir les combats afin d'aller se promener et tandis qu'il venait de se séparer de son ombre, le pirate leva le bras afin de récupérer son arme que le koala avait récupéré. Voyant la petite bête partir sous les décombres, le pirate avait pensé qu'il avait perdu ses couilles devant la force qui s'abattait une fois de plus sur eux, mais en réalité, il n'avait fait que réaliser ce qu'il lui avait ordonné. Haa! parfois il faut lever le ton pour se faire comprendre. Maintenant armée, il ne restait plus qu'un détail à régler avant de partir, mais le combat n'était plus du goût du pirate qui commençait à partir dans une direction opposée afin d'attendre que le calme revienne. Voyant que le bourreau d'un de leur camarade tentait de se faire la mal, deux cavaliers partirent à sa poursuite, mais le perdirent de vue au croisement d'une ruelle, avant de l'apercevoir sur un toit.

                  Shoma ne voulait pas se salir les mains et de plus il n'avait rien contre ces deux-là, même s'ils voulaient lui faire la peau, tant qu'ils ne le touchaient pas ils allaient pouvoir continuer à faire mumuse et à le poursuivre s'ils le voulaient toujours, enfin dans la limite de patience qu'il leur accordait. Au bout de cinq, six minutes, la poursuite devenait lassant et le pirate commençait à en avoir assez d'être suivi par des hommes qui n'arrêtaient pas de crier et de se demander où il avait pu bien aller. Malin comme un singe, le pirate avait profité de la situation pour entrer dans un bar et se servir, car il n'y avait personne dans l'établissement, le chef avait sans doute pris la décision de fermer boutique le temps d'aller manifester, une chance pour le pirate qui s'envoyait au fond du gosier toute les bouteilles du bar, commençant par la bière, le rhum et enfin un tonneau assez étrange où il était écrit "breuvage des terres du nord", étrange, mais cette dernière boisson était tout aussi bon que les autres, de quoi le remettre sur pied, où plutôt lui faire perdre la raison. Maintenant ivre, il avait très faim et descendit dans la réserve afin de trouver quelques choses à se mettre sous la dent. Au fond de la réserve se trouvait d'énorme morceau de jambon salé, assez pour une vingtaine de client. Ha! il avait trouvé la caverne d'Halibaba et par magie il arrivait à mettre la main sur un trésor, alors il pourrait même dire qu'il avait une chance de cocu. Les rêves ne se réalisaient pas tous les jours et Shoma ne trouva pas de trésor dans le bar, mais à force de chercher, il avait attiré l'attention sur le bar et les deux hommes qui étaient à sa poursuite finirent par le retrouver. Armé de lance et de sabre, les deux hommes approchaient le pirate avec prudence. Le premier à attaquer était celui armé de la lance, avec son long bâton, il avait un certain avantage et pouvait attaquer sans prendre de risque, mais sa première attaque ne toucha pas la cible, mais éclata à la place l'imposant miroir qui se trouvait derrière le comptoir. Même ivre le pirate conservait ses réflexes et ce n'est que trois minutes après que les hommes de l'officier finirent par mettre la main sur le pirate, il était tombé sur le sol à cause de la bière qu'il avait fait tomber en buvant.

                  Triste fin pour le pirate qui recevait des coups de la part des soldats alors qu'il se trouvait sur le sol, de vulgaires soldats venir à bout de lui, ce n'était plus un rêve, mais une parodie. Un des hommes, fier de sa victoire retira le masque du pirate afin de voir qui se cachait derrière ce "masque" débile. Voyant le visage du pirate, il se mit à rigoler et sans doute jaloux de la perfection de celui-ci décida de couper son visage avant de le tuer, histoire que même le diable ne puisse pas le reconnaitre quand il passerait devant lui, mais avant même qu'il ne puisse attraper un bout de verre afin d'entailler le jeune homme, son corps était transpessé de toute part par une ombre en furie en forme de trident. C'était bien la première fois que de vulgaire insecte franchissent la ligne interdite et pour cela il devait payer le prix fort. L'homme baissa la tête et son sang coulait sur le sol, peu à peu il perdait la vie, ne pas d'où venait cette attaque, il se tourna avec l'energie du désespoir et observa l'homme qui se trouvait à terre debout sur ses jambes et sur le sol son ombre venait d'apparaitre et sortait même du sol pour devenir une l'arme de son jugement. Le second soldat qui s'était écarter du pirate quand son ami lui annonça qu'il allait lui couper le visage, n'arrivait plus à bouger et lâcha aussitôt le masque de l'inconnue. Ils venaient de le passer à tabac et pourtant il était debout, pire encore il n'était pas humain. L'homme quitta le bar sans même prendre son arme, enfourcha sa monture et partit le plus vite possible. Shoma ne l'entendait pas de cette voie, il allait régler son compte à lui aussi. Ramassant son masque, il prit la porte, monta sur le toit et suivi le soldat au loin. Le soldat ne comprenait pas ce qui venait de se passer et galopait à toute vitesse, repassant même devant le champ de bataille sans même s'arrêter fuyant le plus vite possible, toujours à sa poursuite, le pirate sautait de maison en maison jusqu'à atteindre un groupe de fantassin. Le cavalier se stoppa devant un des hommes du groupe et descendit à terre afin de lui présenter ses respects, l'homme qui semblait être un officier supérieur lui demanda ce qui se passait et pourquoi avait-il laisser derrière lui le reste des hommes. L'homme s'expliqua, mais avant de pouvoir parler sur ce qui venait de se passer dans le bar, le pirate fit son apparition et enfonça son aiguille dans la gorge du pirate le privant de toute possibilité de survie.

                  L'action s'était passée si vite que seul l'officier avait réussi à voir les mouvements du pirate, réaction immédiate, il avait sorti son arme de son fourreau et avait préparé une manoeuvre de défense avant de lancer un coup de sabre vertical dans la direction du pirate qui n'eut aucun mal à éviter vu la simplicité du geste. L'officier n'avait pas eu l'intention d'éliminer Shoma avec cette attaque, mais cela résonnait comme un avant gout de ce qui allait lui arrivé, s'il n'avait pas une explication en acier. Quant au reste de la troupe, ils se mirent en formation attendant les ordres de leur supérieur.


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                  On me dit toujours toujours que le cheval est un formidable ami de l'homme: moyen de transport pas cher, bête de somme serviable et en plus il est gentil avec les enfants (tant qu'ils lui tirent pas la queue). Moi tout ce que je vois c'est que c'est surtout des p'tains de béliers vivants destinés à défoncer tout ce qui est sur leur chemin. A côté de la monture le cavalier pourrait presque faire rire tellement ses capacités de destructions paraissent limités en comparaison. Presque car il a quand même un sabre et il sait un minimum s'en servir. Alors que la place est plongée dans le chaos le plus totale j'ai évité de justesse un coup de sabre qui avait visiblement pour but de désolidariser ma tête du reste de mon corps, perdant quelques cheveux au passage.

                  Ces Marines ont vite compris qui étaient les auteurs des dernières "agitations" (si je peux me permettre ce gargantuesque euphémisme) et se taillent comme ils peuvent un passage dans la foule pour atteindre les débris de la plateforme en bois où leurs collègues se sont prit une mémorable raclée. En clair: ils se dirigent vers MOI comme des petits bouts de métal attirés par un aimant ultra-puissant. Pendant que le gros de la troupe se débat encore dans les attroupements de civils paniqués le Marine qui a faillit me décapiter tenta une nouvelle fois sa chance.

                  Ho non, pas deux fois mon pote !

                  Utiliser mon arme de manière conventionnelle est hors de question, je risquerais de blesser des gens. Genre moi. Quant au mode "batte de base-ball" je manque de place pour tenter un coup de taille, j'ai donc choisis la méthode la moins stylée et la moins élégante possible: le coup de haut en bas. Je ne sais pas si ça porte un nom spécifique et du reste je m'en fiche complètement. J'ai pris mon ShokAttakGun par le canon je l'ai levé bien haut au dessus de ma tête puis...

                  Silah Tekem !


                  Mon fusil a bien plus d'allonge que le sabre du Marine et je lui asséné un bon gros coup sur le crâne sans qu'il puisse seulement avoir une chance de me toucher. On aurait dit que ça tête tentait un repli stratégique entre ses épaules avant de se rendre compte que le cerveau joue au ping pong dans son crâne. Dans cette situation il a fait ce que tout homme sensé ferait: il a tourné de l’œil et a décidé de laisser voguer son esprit dans des univers imaginaires un peu moins violents. Ce que moi je n'ai pas pu faire, entre autre parce si je perds conscience maintenant mon réveil risque d'être particulièrement désagréable. Et de toute façon j'ai pas le temps de me reposer: à peine le cavalier tombé de sa monture et ladite monture partie trouver un endroit avec plus d'avoine et moins de gens que deux autres Marines montés sur canassons ont réussis à atteindre le centre de la place. Mais là j'ai déjà un peu plus de place pour manœuvrer mon arme. Et toc ! J'ai donc repris mon fusil de manière plus conventionnelle et je l'ai braqué vers les nouveaux venus, en prenant soin de déverrouiller la chambre de confinement de l'énergie électrique. Le canon commença à produire une lueur de mauvaise augure, puis:


                  Shazzam !


                  On peut s'attendre à ce que la détonation ressemble au bruit d'un éclair mais je trouve qu'elle fait plus le "bzzz" d'un essaim d'abeilles surexcitées. Pour l'effet parcontre rien à redire: le rayon d'énergie brute atteignit les cavaliers en quelques centièmes de secondes et les foudroyèrent (c'est le cas de le dire) sur place. Je pourrais m'étendre sur poils hérissés, le halo jaunâtre, les spasmes musculaires, les cris plaintifs mais je pense que tout le monde sait ce que donne la rencontre entre des êtres vivants et la foudre. Montures et Marines tombèrent au sol comme des pierres sans passer par de fastidieuses phases intermédiaires, comme se mettre à genoux ou vouloir amortir sa chute par exemple. Les menaces immédiates hors d'état de nuire j'ai cherché un moyen de fuir et je me suis rapidement rendue à l'évidence: ça va être coton. Les civils forment des amas tellement compacts que j'ai abandonné l'idée de me faufiler discrètement parmi les fuyards. Un véritable mur de gens.

                  Mon regard rencontra finalement celui d'un cheval qui se tient au milieu du bastringue comme un îlot rocheux au milieu d'une tempête. Je m'attends presque à le voir boire une tasse de thé. Avec un monocle, cela va de soi.

                  Ho nooon j'aime PAS les chevaux...mais c'est le seul moyen. Ben tiens....

                  J'ai bousculé quelques personnes pour arriver jusqu'à la bête puis je lui ai saisit la bride. Ensuite je suis restée perplexe: comment on monte sur cet animal ? La question resta en suspend car des cris gutturaux m'annoncèrent que de nouvelles personnes qui ne m'aiment pas beaucoup se dirigent par ici. J'ai pris la décision la plus directe:

                  Dial Atlama !


                  J'ai claqué les talons de mes bottes sur les pavées de la place, ce qui déclencha (comme d'habitude) les vento-dials cachés à l'intérieur. L'effet direct fut que je me suis élevée de plusieurs mètres dans les air avant de retomber lourdement sur le cheval flegmatique que je tiens toujours par la bride. Une petite larme coula le long de ma joue.

                  HAAAAAAA ça faaaait maaaaal !

                  A l'évidence c'est pas de cette manière qu'on doit monter dessus, mon pauvre fondement ! Au moins je sais comment le faire avancer et j'ai tapé les flancs de ma nouvelle monture avec mes pieds. Le bestiaux fendit la foule tel un galion poilu dans une mer bariolée. J'ai vite cherché mes "compagnons" mais je n'ai repéré que l’Écureuil qui est resté près des débris de l'estrade. Étrange, lorsqu'on est loin la distance est censé rendre les choses plus...petites mais là on aurait dit, à l'inverse, que mon Nounours a doublé de volume. J'ai secoué la tête au cas où ce serait une connexion neuronale qui était mal branchée, et effectivement au deuxième coup d’œil Écureuil avait reprit son apparence initiale. La mignonne. J'ai dû me taper une sacrée insolation moi.

                  J'ai amené le cheval vers lui et je lui ai tendu la main, manquant de tomber au sol parce que vu sa petite taille il fallait que je me penche très bas.

                  On débardage !


                  Dernière édition par Yasmeen Al'Faris le Ven 24 Juin 2011 - 0:44, édité 8 fois
                    Haguro poussa un reniflement sonore suivi d'un petit grommellement. C'était toujours pénible de constater qu'une mission en se passait pas comme cela avait été prévu. Bon, au moins le vieux Yogo était au Q.G, ou presque si ce n'était pas tout à fait encore le cas et que ses gars avaient trainé. Ca c'était normal, ça faisait parti du plan mais par contre cette rébellion des karatékas étaient inadmissible. On ne s'en prenait pas au Gouvernement Mondial et à la marine en toute impunité, ça il en était strictement hors de question.

                    Le lieutenant regarda sa bonne vieille massue d'un air sadique avant de continuer à marcher vers une des zones à problèmes. On ne résolvait ce genre d'imprévus que par la force et puis ça apprendrait à ces idiots à se mêler de leurs affaires, ce qui n'était pas plus mal en fait. L'Île du Karaté devenait de jour en jour plus problématique quand on prenait en compte le fait que le Capitaine pirate Kaetsuro D. Shinji maintenant primé à plus de 50.000.000 berrys avait acquis la sympathie des locaux. Il faudrait que lui aussi un jour il croupissent sous les verrous, cela faisait parti de l'écoulement logique des choses. Pour le moment, ce qui comptait surtout c'était d'arrêter la révolte.

                    Le marine arrivait à un des endroits qu'il recherchait... Un homme aux cheveux blancs s'occupait sauvagement de deux cavaliers qui ne pouvait rien faire contre sa force. Diantre, il ne paraissait pourtant pas être un habitant de l'île, il n'utilisait pas de technique de karaté. Ainsi, des simples visiteurs s'étaient liés au conflit ? Ils payeraient aussi. Haguro releva la tête et vit les cadavres de ses subordonnés joncher le sol. Il fallait que l'officier se méfit, ce type semblait doué d'une force supérieure à la normal et d'une expérience plutôt bonne. Quant à ses hommes, si ils n'étaient pas capables de garder la vie, ils ne servaient à rien de toute façon.

                    Hé oh ! Toi ! Je vais te montrer ce qu'il en coûte de s'en prendre au Gouvernement !
                      [PS: Dandaman ma dit de passer son tour, car il ne savait pas quand il allait pouvoir répondre]

                      Une bonne chose de faite, voilà ce que pensait le pirate après avoir pris la vie du dernier soldat qui l'avait poussé à bout, mais maintenant le pirate avait un nouveau problème sur le dos, il était venu à bout du dernier soldat sous les yeux d'un régiment de soldats, mais aussi d'un homme qui semblait sortir du lot, il ne fallait pas être un devin pour deviner qu'il n'avait pas le même niveau que le reste de ces loques, de plus son arme n'était pas ordinaire, il avait une épée, mais l'avait troqué pour une massue. Une massue, une arme lourde capable de faire extrêmement de dégât si jamais il venait à être touché, l'officier venait de passer d'une arme légère à une arme lourde, sans doute avait-il déjà mesurer la puissance du pirate et avait jugé qu'en matière de vitesse il n'allait pas pouvoir faire le poids, voilà pourquoi il avait pris la décision de prendre une arme capable de réduire le champ d'action de son adversaire, mais avec ce genre d'arme la moindre ouverture donnerait une ouverture que le pirate pourrait utiliser afin de lui prendre la vie. En temps normal devant un adversaire qui se battait à l'aide d'une massue, celui qui avait en main une épée se sentait avantagé, car son arme était plus rapide et plus agile malgré une puissance destructrice moins puissante, mais dans le cas présent, Shoma ne savait pas comment prendre le fait que l'officier avait délibérément changé d'arme, ce qui pouvait signifier qu'il était tout aussi puissant avec une massue qu'avec un sabre où sans doute bien plus fort. Shoma devait aussi prendre en compte que son adversaire n'était pas seul et qu'il y avait des chances qu'en cas d'attaque du pirate les soldats de la marine qui se trouvaient près de leur chef intervienne et force ainsi le pirate à battre en retraite. Dans tous les cas Shoma ne pouvait plus faire demi-tour, si jamais il donnait son dos à son adversaire, ce dernier aurait alors une ouverture et l'utiliserait afin d'assener un coup mortel à son adversaire qui était un des hommes qui avaient troublé la paix et la sérénité de l'île.

                      Le pirate s'était jeté lui-même dans la gueule du loup, dans cette zone sans rien pour se cacher, il ne pouvait rien faire à part accepter de combattre, mais le combat s'annonçait d'ores et déjà difficile pour lui et il ne pouvait se permettre aucune erreur, surtout que ses compagnons se trouvaient assez loin de sa position. C'était la première fois qu'il comptait le Koala en tant que compagnon, sans doute un réflexe humain, devant l'adversité il valait mieux être plusieurs. Plus on est de fou plus on rit. Shoma recula d'un pas en plus afin de prendre un peu de distance avec son adversaire. Pensant que le jeune homme allait tenter une manoeuvre de fuite, les soldats braquèrent leurs armes dans sa direction, mais n'ouvrirent pas le feu. Leur commandant était sans doute le seul à pouvoir leur donner un tel ordre, mais il n'en aura pas l'occasion, Shoma allait s'occuper personnellement de lui en espérant que durant le temps qu'il prendra afin de se débarrasser de ce dangereux personnage, Yasmeen et l'autre Koala en smoking auraient trouvés un moyen de le rejoindre au plus vite. Avant de s'élancer à l'attaque, Shoma regarda le ciel et commença à se poser quelques questions existentielles, car vraiment il n'avait pas de chance, tous les combats s'orientaient toujours autour de lui, rien qu'aujourd'hui, il a dû se battre trois fois et à chaque fois il était la victime. D'un geste oblique de la gauche vers la droite, il bougea son sabre afin d'y retirer le sang du soldat qu'il avait tué, il était maintenant l'heure de passer à l'action et de terminer ce qu'il n'avait malheureusement pas commencé. Voyant que le pirate était prêt à se battre, les soldats baissèrent leurs armes et s'écartèrent de leur supérieur, sans doute savaient-ils que leur officier supérieur n'aurait aucun problème à éliminer l'un d'entre eux si jamais ils entravaient ses mouvements. Tous les coups étaient permis, dans un combat, même les plus bas. Les deux hommes se regardaient et attendaient le moment idéal pour frapper. Quand un fruit d'explosion qui provenait du centre-ville retentit, les deux hommes se lancèrent à l'assaut.

                      Shoma s'était en quelques sortes laisser tomber vers le sol afin de gagner de la vitesse, il allait utiliser la vitesse de sa chute afin de se redresser et de gagner ainsi en propulsion. La manoeuvre utilisé par le pirate n'était pas évident à effectuer quand l'adversaire possédait une arme légère comme un sabre ordinaire où encore une rapière, mais face à un adversaire qui combattait avec une massue, il avait de la marge et pourrait voir venir, voilà pourquoi utiliser cette technique de propulsion était en quelques sortes un avantage pour lui, ainsi il put arriver devant l'officier avant même que celui-ci ne parvienne à frapper sa cible. Durant sa technique de déplacement rapide, Shoma ne pouvait pas attaquer, il devait attendre et terminer sa course afin de lancer une contre-attaque, tel était le prix à payer pour utiliser une technique qui n'était pas pleinement achevée, il aurait dû rester plus longtemps à apprendre avec son maître, mais l'appel de la mer était vraiment trop fort, maintenant il n'avait que ses yeux pour pleurer, sans doute que s'il maîtrisait pleinement cette technique il aurait pu terminer le combat dès la première attaque, mais ce n'était pas grave, un vrai combattant devait apprendre à s'adapter, c'est avec l'expérience qu'il allait évoluer, plus il combattait et plus il devenait fort, voilà un enseignement qu'il n'avait pas oublié. La clé de la puissance se trouve dans l'expérience acquise au combat, un combat où les adversaires risques leur vie n'a pas d'égal. Il y a plus d'enseignement à tirer d'un combat à mort que dans 100 cours théorique. C'était l'occasion idéal de montrer à son maître qu'il était bien digne d'être l'héritier de ses enseignements. Une fois la technique pleinement achever, le pirate se trouvait à quelques centimètres de son adversaire, il était si proche qu'il pouvait sentir le parfum de son eau de cologne. Y a pas à dire il sait choisir une eau de cologne qui en jette, il a du gout. Revenons à nos moutons, Shoma était si près qu'il ne pouvait plus utiliser son sabre, la distance était trop petite, ce qui privait également le soldat de la distance n'ecessaire afin de frappe avec la force de sa massue.

                      Maintenant que les deux hommes étaient littéralement l'un collé à l'autre, C'était le moment de savoir si son adversaire avait assez de force pour pouvoir se battre sans son arme, car s'il n'était pas capable de se battre sans sa massue, il allait très vite déchanter et perdre ce combat. En tant que soldat et officier, sans doute avait-il quelques notions en matière de combat au corps à corps, mais ce n'était pas forcément une généralité, certain officier pouvait monter en grande sans savoir se battre au corps à corps et même s'il n'était pas membre de la marine Shoma était bien informé de ce genre de choses, il suffisait de connaître son passé pour le savoir. De plus il n'avait pas choisi de se battre au corps à corps pour rien, il s'était déjà battu contre une jeune femme du nom de Old Crow qui l'avait obligé à combattre sans son arme de prédilection et comptait bien en faire de même pour son adversaire, en le privant de son arme, il allait réduire sa puissance et donc ses chances de gagner. Sans perdre un instant, le pirate enchaîna avec un coup-de-genoux qui avait pour cible l'estomac de son adversaire, un bon coup dans le ventre, il n'y avait rien de mieux pour faire qu'un adversaire lâche tout ce qu'il a en main et le forcer à se replier sur lui-même. N'étant pas un adepte du combat rapprocher Shoma c'était renforcé les bras afin de pouvoir frapper avec plus de punch, ce qui augmentait ses chances de réussites, mais ne connaissant pas la résistance physique de son adversaire, c'était également pour lui l'occasion idéal de prendre le maximum d'information afin d'établir une stratégie future. Connais ton ennemi et connais-toi toi-même, c'était là les paroles d'un homme de savoir qui connaissait plus d'une chose sur l'art de la guerre. Sans prendre le temps de respirer, Shoma utilisa les genoux de son adversaire afin de prendre un peu de hauteur, de cette façon il crée de la distance entre lui et son adversaire et pouvait maintenant utiliser son arme afin de le transpercer. S'il ne bougeait pas, il allait recevoir un sabre qui lui percerait la colonne vertébrale.



                      [PNJ dsl si je contrôle les actions de ton perso
                      c'est uniquement afin de donner un peu de piment au combat]
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                      Les deux adversaires s'étaient jaugé un instant du regard, essayant tant bien que mal de deviner le niveau de leur adversaire. Bien sûr, pour Haguro cela était aisé, il avait déjà pu observer un temps soit peu l'homme aux cheveux blancs qui lui faisait face. Bien. Il était certain que la vitesse était son poids fort, ainsi le lieutenant avait opté pour sa traditionnelle massue. C'était en général l'arme qu'il préférait, elle permettait de mettre en sa propre force et masquait également du même coup son léger manque d'agilité. Dans ce combat, il faudrait que l'officier mette en jeu sa propre vie et ce n'était pas quelque chose avec laquelle on pouvait déconner ça.

                      Une explosion avait retentit ensuite à un endroit, quelque part en ville et ce fut le signal pour débuter la mise à mort. Haguro pesta contre ces saletés de karatékas qui rempliraient sans nul doute ses prisons sous peu puis orienta tout son esprit et toute sa réflexion vers son adversaire. Bien évidement, les sous-fifres s'étaient retirés. Ils ne connaissaient que trop bien leur supérieur. Très vite, le type aux allures de vieillard se retrouva proche du lieutenant. Sans doute un peu trop proche même. Ce dernier n'avait aucun penchant pour ce qui était des mecs. Il avait toujours préféré les femmes bien dodues. Même si cela n'avait rien à voir, vous comprendrez mieux le dégout de l'officier à être ainsi collé à un homme. En tout cas, les techniques de son adversaire semblaient redoutables et le protagoniste était démuni. Sa massue ne lui servait pas à grand chose.

                      Le pirate enchaina avec un coup au ventre qui fit reculer le marine. Ce dernier ne révéla aucune douleur visuelle. Un simple cracha de bile qui aurait pu paraître dédaigneux si l'autre combattant n'était pas allé se planter dans les airs. En fait, le lieutenant n'avait pas réellement tout suivi et ignorait donc pourquoi ce gars était là où il était. Ce qui énervait notre homme c'était qu'il n'avait pas encore pu écraser le crane de ce misérable impudent. Haguro commença donc à effectuer quelques moulinets à l'aide de sa massue, dans les airs. Tout ce qui est en haut retombe ? Ha ha ha ! Il allait voir cet imbécile !
                        Voilà le combat était maintenant réglé, en deux temps trois mouvements, Shoma venait de prendre l'avantage et allait donner le coup de grâce à son adversaire. Vraiment cet homme avait plus de gueule que de force et s'il n'avait pas commis cette erreur, sans doute qu'il serait toujours en vie à cet heure-ci. OUPS!! Ce que le pirate venait de tenir pour acquis n'était rien d'autre que ce qu'il espérait. En terminé rapidement avec son adversaire afin de pouvoir passer à autre chose, mais la réalité n'était pas aussi simple, loin, très loin de la victoire, Shoma venait de comprendre que son adversaire était bel et bien vivant, qu'il n'avait quasi rien reçu de sa précédente attaque, qu'il allait retomber dans le vide et qu'il y avait maintenant de grandes chances qu'il paye les erreurs d'inattention qu'il avait commis. De quoi retourner le cadavre de son maître dans sa tombe. Quel imbécile il avait été, comment il avait pu commettre une erreur aussi grande, maintenant il allait devoir réfléchir et vite, car plus il attendrait pour trouver une parade le moment venu et plus il perdait des chances de revenir dans la course à la victoire. Pourtant toute l'action avait été réalisée sans la moindre faute, le seul moment où le pirate avait en quelques sortes foiré était où par excès de confiance il n'avait pas pris la peine de vérifier si son premier coup avait réellement eu l'effet n'éccessaire afin d'enchaîner sur la suite. De l'autre côté de la zone critique, les soldats se mirent à rigoler devant l'excès de confiance du pirate qui croyait réellement pouvoir se débarrasser de leur patron aussi facilement, maintenant qu'il venait d'offrir une ouverture aussi grande, les soldats savaient qu'il ne restait pas plus d'une minute à ce rebelle avant de quitter ce monde. Une rencontre qui se termine bien vite, mais sans grande surprise, car personne n'avait encore vaincu leur boss jusqu'à présent. Shoma n'avait plus d'idée en tête, il avait agi sans même prendre le temps d'analyser sa propre attaque, maintenant il allait en payer le prix et quitter ce monde, vraiment quelle fin misérable, aplatir par une massue.

                        Au même moment dans la tête du pirate, tout deviens sombre

                        Une rencontre hasardeuse  Lol10

                        Heu Shoma tu m'expliques pourquoi tu ne bouges pas ? Tu dois bien te douter que si tu meurs le vieil homme passera outre la mort et viendra t'achever une seconde fois, alors si tu ne veux pas qu'il botte tes fesses. Bouge toi et GAGNEEE

                        Heu Marika pourquoi je te vois ici ? Tu n'es pas...

                        Je surveille tes fesses, tu as oublié notre promesse ?

                        Comment pourrais-je! Merci..

                        Pas de quoi et gagne ce combat.


                        Retour à la réalité

                        Shoma venait d'avoir une conversation avec une amie de longue date, c'était sans doute la seule sur cette terre à en savoir plus que quiconque sur lui et donc elle était la mieux placée pour savoir comment lui remonter le moral où du moins faire en sorte qu'il retrouve en lui la force n'éccessaire pour ne pas se laisser abattre par l'adversité. De sa jeunesse, elle était la seule à l'avoir battu encore et encore, sans jamais pouvoir la mettre au sol une seule fois. Elle était une jeune fille de dix ans alors que lui n'avait que huit ans. Elle était déjà vouée à devenir l'héritière du style de combat qu'il utilisait, mais par un coup du sort elle dû mettre fin à ces ambitions et passer le flambeau au jeune Shoma avec la promesse de ne jamais se laisser sombrer. Pour deux raisons très précises le jeune homme ne pouvait se laisser mourir, d'une part une raison qui lui tient le plus à coeur est qu'il avait fait une promesse qui consistait à ne pas mourir jusqu'à l'accomplissement de ses ambitions les plus profondes et d'autre une raison qui surpasse la première, il ne voulait pas revoir un certain vieil homme, car même dans la mort celui-ci trouverait un moyen de lui mettre la main dessus et lui ferait payer tous ses actes passés et trouverait même le moyen de lui faire payer des actes qu'il n'avait pas lui-même réalisé, lui collant ainsi sur le dos des choses bizarres sur le dos uniquement pour lui donner une correction encre plus grande. De retour à la réalité, Shoma avait de nouveau la force afin de battre l'homme qui lui fessait fasse et même s'il se trouvait en position de faiblesse, il avait dans sa manche un atout qu'il n'avait pas encore joué et le moment était venu de jouer carte sur table. Les soldats qui se trouvaient postés à plusieurs mètres de leur boss, cinq, six mètres, une assez bonne distance de sécurité, se mirent à rire devant l'ouverture monumentale que le pirate venait d'offrir à leur boss, vraiment, le jeune homme avait vendu la peau de l'ours avant de l'avoir tué et maintenant il était fait comme un rat. Le match touchait à sa fin et le gagnant n'était nul autre que leur boss. Décidément Shoma n'était pas le seul à vendre la peau de l'ours trop vite.

                        Certains soldats pensant que leur boss avait déjà remporté le combat commençaient déjà à se tourner afin de partir en direction de la ville où se trouvaient les rebelles à calmer. Ils avaient une ville à calmer, des citoyens à protéger et des utilisateurs d'art martiaux à réduire aux silences, tel était la volonté du boss. Shoma avait de nouveau repris confiance en lui et allait utiliser le pouvoir du fruit du démon que le destin lui avait confié, avec le pouvoir du Kage Kage no Mi aucun doute qu'il n'allait pas perdre ce combat, même si son adversaire était puissant, son fruit de l'avait jamais trahis. Le pirate avait tardé à utiliser l'immense pouvoir que lui offrait son fruit du démon, car il avait jugé bon de terminer cette vermine sans révéler la nature de son pouvoir, mais il n'avait plus le choix, s'il ne l'utilisait pas il ne pourrait sans doute plus jamais bougé et sa vie prendrait fin ici même. L'officier en face avait réalisé de nombreux mouvements rotatif dans le but d'accroitre la puissance de son arme, ainsi quand il frapperait la vitesse acquise multiplierait ses chances de terminer ce combat dès la première attaque directe, mais pas de chance pour le soldat en face de lui il avait un utilisateur de fruit du démon, un maudit comme qui dirait et ce n'était pas une simple massue qui aurait raison de lui, du moins pas avec un seul coup. Quand la massue allait s'abattre sur le pirate, le corps de ce dernier fut englobé dans son ombre qui forma une sphère protectrice. La protection du jeune homme avait été activée trop tard et une partie de la massue entra à l'intérieur de la protection qui devait couvrir l'ensemble des dégâts de l'attaque qui lui était destiné, mais heureusement pour lui la densité de l'ombre avait bloqué une grande partie de l'arme et ainsi réduit la puissance qu'il avait accumulée. Malgré le fait que l'arme fut en grande partie bloquée par l'arme, une partie de l'arme avait pénétré le bouclier, appuyant sur le sabre du pirate et l'enfonçant ainsi dans sa jambe gauche.

                        Retombant complètement sur le sol, la sphère d'ombre retrouva sa forme originale d'ombre sur le sol avant de laisser à la vue de tout le pirate blesser avec sa propre arme enfoncer dans la jambe. Heureusement pour lui, son sabre n'avait pas percé la veine fémorale et n'avait pas sectionné son muscle de la jambe, mais son arme était faite pour percer avec une précision médicale et il savait mieux que quiconque que recevoir son arme dans la jambe allait le ralentir et lui faire perdre certainement son avantage de vitesse sur son adversaire, qui pouvait dire maintenant si les deux adversaires avaient maintenant la même vitesse où si avec cette attaque l'officier venait de devenir l'homme le plus rapide et celui avec une force destructrice la plus élevée, donc les cartes étaient maintenant dans son camps. Shoma ne pouvait se permettre de laisser son adversaire prendre le dessus et pour cela il avait une stratégie en tête et s'il parvenait à y arriver il y avait de grandes chances qu'il puisse mettre fin à ce combat sans trop de difficultés, mais il garderait cette technique en dernier retranchement et pour le moment il allait simplement analyser le déroulement de la situation, maintenant que l'adversaire avait l'avantage, il devait essayer de comprendre comment il allait essayer de le battre. Shoma était sur la défensive, mais dans sa position, il devait en apprendre le plus sur son adversaire, plus il avait d'information en main et mieux il pourrait combattre ce soldat. Dans certaines batailles la clé de la victoire résidait dans les informations fiables que possédaient une personne sur son opposant. Si l'officier croise les bras de droite à gauche donne des informations complètement différentes que s'il croisait son bras gauche à droite. Retirant son arme de sa jambe, Shoma regarda son sang s'écouler sur le sol afin de ne pas laisser de nouveau une ouverture à son adversaire, il entoura son ombre autour de sa jambe afin de stopper le sang qui n'allait pas se stopper sans une intervention médicale. La blessure n'étant pas très importante, il avait beaucoup de temps devant lui avant de ne plus pouvoir être en état de bouger, vingt minutes, peut-être 25 avec de la chance, mais au delà de ce laps de temps il n'aurait pas d'autre choix que de se retirer de toute urgence afin de se soigner où il ne pourrait plus bouger à part dans un fauteuil.


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                        Un globe noir entoura la cible alors que Haguro allait enfin l'aplatir comme un crêpe. L'officier poussa un grommellement énervé, on avait idée de vouloir retarder sa mort ainsi ! D'un autre côté... Il se demandait bien ce que pouvait être ce truc si étrange. Il l'avait sortit de sa manche ou quoi ? Et puis, ce n'était pas du jeu, le lieutenant au moins avait montré tout ce qu'il savait faire, enfin à peut près tout. C'était ça être fair-play. M'enfin, puisque apparemment ce type ne l'était pas, le marine allait pouvoir être aussi démoniaque que quand il entrainait ses hommes. Cela serait très instructif même si décidément, l'homme détestait être dupé !

                        Bon. Il l'avait tout de même touché à la jambe, bien que ce fut indirectement. C'était déjà ça. Maintenant les deux protagonistes se défiait du regard. C'était tout du moins ce que pensait Haguro car son adversaire semblait plus préoccupé par la balafre qui s'étalait sur sa jambe. Ceci étant dit, on observait également que les deux hommes étaient sur leurs positions défensives. Bon, ça allait pas aider ça. L'officier resserra la poigne avec laquelle il tenait sa massue puis s'élança vers l'autre combattant, n'oubliant pas d'assurer sa protection. De toute façon son arme était assez large pour servir de bouclier et puis il fallait aussi dire que le lieutenant la maniait avec une certaine dextérité. Son air de beau gosse n'était pas qu'une apparence donc.

                        Le marin esquissa un large coup circulaire dans le but d'envoyer valdinguer son adversaire et si possible de lui casser quelques os, ce serait un bon bonus.
                          Décidément ce soldat était vraiment tenace, il n'abandonnait jamais. Décidé à tuer son ennemi, l'officier s'élança de nouveau de la bataille, c'était donc cela que l'on apprenait aux officiers dans la marine, attaquer l'ennemi jusqu'à ce qu'il flanche et ne puisse plus rien faire face aux attaques qui arrivaient de toutes parts. Cette technique pouvait marcher face à des ennemis ayant une très faible expérience du combat, mais face à un homme tel que Shoma s'était vraiment la dernière des solutions à adopter. Un homme ordinaire n'aurait pas la force mentale et physique afin de résister aux nombreux coups que lui porterait une massue de cette envergure, mais un utilisateur de fruit du démon, n'était pas à prendre à la légère et même s'il était blessé, la plus grande prudence était de rigueur. Un homme averti en vaut deux, mais quand un homme se bat en utilisant des choses qui sortent de l'ordinaire, en utilisant des choses bizarres, alors une question très importante doit ce trotter dans la tête de celui qui fait face à une personne aussi bizarre, cette personne est-elle un maudit ? Est-il un utilisateur de fruit du démon ? L'officier avait remarqué qu'un phénomène étrange avait en quelques sortes stoppé son attaque, mais sans doute ne savait-il pas d'où était provenu cette chose et sans doute qu'il ne connaissait même pas l'étendue et la dangerosité de celui qu'il avait en face de lui. Shoma ne s'attarda pas sur las question du pourquoi il s'acharnait au lieu de réfléchir, la réponse était évidente, son adversaire n'était qu'une montagne de muscle incapable de réfléchir une minute à ce qui venait de se passer, si au moins il avait pris la peine de tester minutieusement Shoma maintenant qu'il était blessé il aurait pu comprendre ce qui allait bientôt lui tomber dessus, mais en tant qu'homme il avait préféré faire parler ses muscles plutôt que les neurones que la nature lui avait attribués à la naissance. Devant le premier assaut de l'ennemi, Shoma décida de ne pas contre-attaquer, mais simplement d'effectuer une roulade sur le côté dès que l'attaque allait être lancé, puis allait trouver un moyen d'utiliser la force de l'arme de l'adversaire contre lui.

                          Le coup arrivait sur lui à grande vitesse, avec sa blessure, il ne pouvait même pas penser une seule seconde utiliser de nouveau sa technique de déplacement rapide alors quand la massue entama sa descente, il courba son corps afin d'effectuer une simple esquive sur le côté. Cette technique était sans doute rudimentaire, mais était la seule manière pour le pirate de se tirer d'affaire, avec une jambe blessée, la vitesse n'était plus son point fort, alors il allait devoir trouver une faille et rien de mieux pour cela que de baser sa victoire sur les contre-attaques. Fin stratège, Shoma savait qu'il avait perdu son avantage et qu'il allait devoir très vite trouver une meilleure solution pour se tirer d'affaire et face à un soldat qui n'a pas de temps à perdre et une mission à accomplir, il devait jouer la carte du temps, même si le temps n'était pas non plus en sa faveur, il allait devoir prendre son mal en patience afin d'épuiser son adversaire où le forcer à attaquer encore et encore pour commettre des fautes et ainsi laisser des ouvertures dans sa défense. L'or de la première attaque du second round, l'officier avait une petite ouverture, mais Shoma décida de ne pas prendre sa chance et laisser son ennemi croire qu'avec son arme il pouvait assurer une attaque et une défense parfaite, mais s'il n'avait pas pris la peine de contre-attaquer, c'était uniquement pour regarder les déplacements, la posture ainsi que les réactions de l'officier et après sa première attaque, Shoma avait décelé un petit laps de temps durant lequel la respiration de l'homme était plus accrue que quand il était au repos. Ce n'était pas de la magie, mais bien de la logique, Shoma n'avait pas pu voir cela l'or de la première attaque du soldat, car il avait eu recours à une protection afin de ne pas perdre le combat, mais durant cet assaut, l'arme lourde que maniait le soldat répercutait un effet de recul sur le bras de l'officier quand celle-ci toucha le sol. Le choc avec la terre dur a eu pour effet de faire rebondir l'arme sur le sol tout en écrasant celui-ci. Cet effet ressemblait quelques peu à celui d'un fusil qui sans que l'on s'en rende compte avait un effet de recul sur le bras qui maintenait l'arme, un tireur d'élite ne s'en rendait pas compte, mais était forcé de prendre en compte la puissance du recul de son arme afin d'obtenir une trajectoire parfaite.

                          Avec la fatigue l'effet de recul de la massue se fera de plus en plus sentir sur le bras de son ennemi, alors jusqu'à ce qu'il perde une grande partie de son énergie, Shoma devait trouver un moyen de le fatiguer, mais plus il esquivait et plus il perdait de l'énergie lui aussi et dans cette optique, le pirate n'avait pas l'avantage, car si tous deux n'avaient plus de force il restait toujours au marin, l'aide de ses subordonnés qui pourraient lui porter main forte et réduire à zéro les chances du pirate. Se levant, Shoma s'écarta très vite de son ennemi afin d'établir de nouveau une distance de sécurité. Maintenant les deux hommes se trouvaient de nouveau à égal distance que l'or de l'attaque précédente, Shoma comptait sur l'attaque de son ennemi afin d'esquiver sur la gauche où la droite, il déciderait de la direction en fonction de la manière dont son ennemi se préparerait à l'attaquer. Alors qu'il regardait de nouveau son ennemi, Shoma remarqua pour la première fois l'or du combat que son adversaire possédait un corps assez robuste, très développé et à en juger par sa réaction lorsqu'il avait reçu le poing du pirate dans l'estomac, il était endurant et avait l'habitude d'encaisser des coups sans broncher. Fatiguer ce gaillard n'allait pas être facile, vraiment ce mec était problématique, pourquoi n'était-il pas comme tous les autres soldats de la marine, faible, chiant et facile à jeter à la poubelle. Respirant lentement, Shoma tentait de contrôler sa respiration, avant de faire un pas en arrière, lentement et avec beaucoup de discrétion, une partie de l'ombre qui entourait sa jambe desserra son étreinte afin de se glisser dans le trou formé par le sabre et se glisser à l'intérieur du pantalon du jeune homme. Shoma n'était plus qu'à quelques pas du premier soldat qui devait s'assurer que le pirate ne tente pas de fuir s'il continuait ainsi à reculer tous en regardant son véritable adversaire, il allait réussir à atteindre sa cible sans attirer l'attention sur ce qu'il s'apprêtait à faire.

                          Shoma recula encore de deux pas, cette fois-ci le soldat n'allait pas le laisser s'approcher aussi près de lui, car il ne voulait pas être pris dans leur combat, qu'il ne voulait pas devenir un otage, car il savait pertinemment que son chef ne ferait rien pour le sortir de là et serait même capable de le tuer afin de blesser le pirate par la même occasion. Son chef était comme ça, aucun respect pour les faibles, d'ailleurs s'il le pouvait il aurait même tué ses supérieurs, mais n'étant pas assez fort, il relâche sa haine sur les autres. Un gros connard quoi. Le soldat comptait faire avancer le pirate par tous les moyens possibles et la solution qu'il utilisa était de mettre un coup de cross au niveau du dos du pirate, ainsi il avancerait et retournerait dans le combat. De toutes les manières possibles que pouvait utiliser le soldat pour renvoyer le pirate au centre de l'arène, celui-ci opta pour la seule méthode qui allait faire de lui la marionnette du pirate, manque de chance pour lui. Une fois le coup reçu, Shoma feinta une chute et quand les deux ombres se collèrent, la partie de l'ombre du pirate qui était entré dans son pantalon se connecta à l'ombre du soldat fessant de lui qu'une marionnette. Qu'il le voulait où pas maintenant il était sous son contrôle, tel était le prix à payer pour tous ceux qui tombent sous la technique qui porte le nom de : Kage Kage Mane Maintenant pris au piège, Shoma allait utiliser son pion avec beaucoup de soin, avant de le faire intervenir, il allait ce rapprocher de son véritable adversaire et laisser son ombre prendre soin de lever toute une armée pour lui et quoi de mieux que les hommes qui l'empêchaient de partir pour lui prêter main forte. Le soldat pris au piège restait immobile attendant le moment idéal pour s'en prendre à ses camarades. Le soleil commençait à bouger et avec sa rotation, l'angle des ombres changeaient de place et s'allongeait, coup de chance où fin calculateur, en tout cas cela profitait fortement au pirate qui sans même bouger pris le contrôle de deux, puis trois autres soldats, maintenant il en contrôlait cinq sans même qu'ils ne le sachent.

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