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C'est calme... et même trop !

Décidément, les îles de North Blue étaient vraiment très différentes les unes des autres. Le contraste entre Zaun et Tanuki était vraiment bluffant. On passait d'une île lugubre, remplies de bâtiments atypiques et vertigineux, à une charmante petite île, verdoyante et très bucolique. J'ai toujours aimé la verdure et tout ce qui est faune et flore. Sur cette île, c'était assez classique : des arbres, de l'herbe, des clairières... Rien de bien sensationnel, mais la vue était assez agréable, et l'ambiance assez chaleureuse. On pouvait voir quelques fermiers qui s'occupaient de leur bétail, principalement des moutons. Les habitants de cette île devaient principalement vivre de leur élevage et de la vente de produits associés : pulls, écharpes, fromages, laits... L'île était paisible et c'était à se demander pourquoi. Ici, il n'y avait personne pour pourchasser les pauvres étrangers perdus, pas une trace de violence. C'était calme, et même trop. Je décidai d'aller interroger un des fermiers.

« Bonjour monsieur, comment allez-vous ? »


Le fermier me regarda et se contenta de sourire. Visiblement, il n'avait pas envie de me répondre et surveilla de nouveau son troupeau.

« Je cherche la ville, pourriez-vous m'indiquer la direction ?
- Y'a pas de ville à proprement parler. La seule chose qui s'en rapproche vraiment c'est la base des marines. »


Une base de marine, c'était intéressant. Cela expliquait l'absence de réel danger. Devais-je aller voir ? Après tout, avait-il vu le Boru Bodur ? Non, c'était assez peu probable. Tanuki n'était pas sur l'axe East Blue – Inari. Il n'aurait donc pas pu passer par là. Quelle plaie, j'allais vraiment devoir aller sur East Blue et cela ne me plaisait pas. Je n'avais jamais réellement quitter ma North Blue natale seule, et cela m'effrayait un peu. Qu'allais-je faire sur cette île ? Peut-être trouverais-je quelque chose d'intéressant . J'avais bien trouvé Poppins sur Zaun, alors je trouverai surement quelque chose d'utile ici.

« Excusez-moi de vous déranger de nouveau monsieur, mais qu'est-ce que vous vendez ici ?
- C'ta dire qu'on ne vend pas trop nos marchandises ici, on a pas vraiment de clients à part la marine. Surtout de l'exportations vers les autres îles, c'est pas très énorme comme revenu mais ça nous suffit largement pour nourrir nos moutons et entrenir nos maisons. Si vous voulez acheter quelque chose vous devriez aller voir du côté de la base des marines. Suivez le chemin de terre, c'est au bout.
- D'accord, merci beaucoup. Qu'Admilla vous bénisse, vous et vos moutons. »


Je saluais le fermier et me dirigeais désormais vers la base des marines. Elle n'était pas vraiment loin mais de ma position de toute à l'heure je ne pouvais pas l'apercevoir. Peu importe, maintenant je la voyais. Elle différait totalement de toute l'île, elle semblait très robuste, moderne et récente. J'apercevai au loin des marines qui quittaient la base et se dirigeaient vers les montagnes. Je décidai de me rapprocher assez rapidement, ma curiosité était vraiment très forte. J'arrivai donc devant la base.

« L'entrée est interdite sans raison valable. Énoncez votre motif de visite ! »

Quel accueil chaleureux, c'était certes moins abrupte que sur Zaun mais de tout de même, ce n'était pas très agréable. J'avais l'impression d'être un grosse criminelle, ou tout simplement quelqu'un qu'on cherchait à éviter.

« Soldat ! Qu'est-ce qui se passe devant nos portes ?
- Une jeune fille au cheveux rose, sergent.
- Qu'est-ce qu'elle veut ?
- Je ne sais pas, mais sa coiffure étrange nous indique qu'elle n'est pas originaire de l'île.
- Alors elle ne rentre pas, pas d'étranger au sein de notre forteresse !
- Très bien, sergent !»


Parfait, je ne pouvais pas entré car mes cheveux faisaient trop étrangers. J'enrageais... si je revoyais ce soldat, j'irai lui infliger une correction. Personne ne pouvait se moquer de mes cheveux, personne. Pendant que je ronchonnais, la porte de la base s'ouvrit.

« Allez, vite ! Tout le monde vers les montagnes. Il y a deux individus suspects là-bas ! »

Je n'avais rien à faire, je décidai donc d'aller vers cette fameuse montagne. Je trouverais peut-être quelque chose d'intéressant .


Dernière édition par Mariza le Jeu 18 Sep 2014 - 23:30, édité 3 fois
    Je venait sur cette ile au paysage tranquille pour pouvoir me ressourcer, mais c'était aussi pour m'entrainer. Je me trouvait accompagnée comme a mon habitude de Kira qui ne me quitter jamais, nous avions décidé de faire escale sur cette île car le décors y est paradisiaque, mais aussi car nous savions que cett île étant peut fréquanter nous ne serions que peut déranger.

    Pour le début une semaine de repos se fit passer on avait monter notre quadn en haut d'une montagne pour ne déranger personne et cela passat inapercu. Kira et moi passions de bon moment de rigolade, on parlait très souvent des moments ou on était enfant car on fessait des belles, il faut avouer.
    A la fin de première semaines

    Est papy, je voudrais savoir si tu pourrait m'apprendre des techniques de maitrise au corps à corps car comme tu le sais, les clefs de bras et tous le tralala sait pas mon fort.

    Mais avec grand plaisir gamine tu sais que pour toi je ferais n'importe quoi.

    je décide donc de mettre mes talents en art martiaux au service de ma soeur en commencant bien évidament par la base. Les premiers jours était plutot dur pour elle qui est une personne dont la méthode de combat est basée casiment que sur le corps a corps. Mais au bout du dexieme jours on remarqua au bas de la montagne que un groupe de personne habiller dans des vêtements de marins ce dirige vers nous. Kira se méfie et reste sur la défencive.

    Laisse les venirs Kira, on va voir ce qu'ils on a nous dire si ça se trouve, ce n'est qu'un controle de routine

    Sa sent pas bon sa Papy. Pour un controle on se déplace pas si nombreux.

    Comme ils était en bas le montagnes je décide de renfiler mes bracelets de combat car on est jamais trop prudent.

    Bonjours madame, monsieurs, nous venons vous informée que vous vous trouver actuellement sur une île sous la coupe de gouvernement mondial, donc pour la sécurité de ces habitants, je vous pris de décliner vos identité

    Je les sens sur leurs garde quand même et Kira est prête a leurs sauter dessus.

    Je suis Atlas D. Misusky et voici mon ami Kira, nous sommes tous deux des révolutionnaires, nous venons ici pour prendre du bon temps et non pour nous faire arrêter ou bien même contrôler par une patrouille de marin de bas étages.

    Leurs supérieur me regarde avec un grand sourire "Vous vous revendiquer révolutionnaires et vous osez vous pointer dans ce petit coin tranquille, bon allez assez jouer, toi, toi et toi embarquer moi ces deux la. Allez plus vite que sa !" Crit'il sur ses hommes.

    Je regarde kira du coin de l'œil et elle me sourit on se comprend sans même ce parler. L'un des gardes vient pour me mettre les menottes, je l'englobe ma main sur sa tête et lui explose le nez avec mon genoux "Dit moi gamin tu croyais qu'on allait vraiment ce laisser faire gentiment"

    je pense que le combat promet, il sont quinze on est deux, ça va on les encercles et on fait de la bouillit


    Dernière édition par Atlas D. Misushy le Mer 27 Aoû 2014 - 11:58, édité 2 fois
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    En toute discrétion, et, comme un caméléon, je me faufilais discrètement derrière les marines dans le but de les suivre. En réalité, je ne faisais pas réellement de bruit, mais l'absence de végétation ne m'aidait pas dans ma filature. J'aurais pu ramper par terre, mais ce n'était pas propre. Je finis par être interpellée quelques mètres plus loin, par un des officiers de la marine. Un adjudant-chef d'après sa tenue.

    « Bon écoute, tu nous veux quoi ? Arrête de nous suivre, ce n'est pas un endroit pour les jeunes femmes ! »

    Il avait raison, je n'avais aucune raison valable de les suivre hormis mon insatiable curiosité. Qu'allais-je répondre ? Je me devais d'être sincère.

    « Je ne suis qu'une jeune religieuse d'Inari, à la découverte du monde pour cultiver mon esprit et lui apporter de la nourriture spirituelle ! J'aimerai pour cela assister à une de vos manœuvres. »

    Je levais les yeux au ciels, histoire d'acheter une touche religieuse. J'en profitais pour adresser une petite prière à Admilla, lui demandant son aide pour que les marines acceptent que je les accompagne.

    « Ah... une religieuse... »

    L'adjudant-chef ne savait pas trop comment réagir. Je le voyais réfléchir en se tripatouillant sa barbiche. Je le regardais en souriant, j'allais peut-être l'attendrir.

    « C'est d'accord, suis-nous. Mais tu restes derrière moi, compris ? Je ne veux pas d'incident par ta faute.
    - Merci beaucoup monsieur. Mes amies vont être vertes de jalousie. Je ne ferai rien d'imprudent, promis.»


    Je n'avais pas réellement menti. Après tout, j'avais toujours voulu voir une opération de marine. Désormais, je suivais donc un petit détachement de marine composée d'une vingtaine de membres dont plusieurs caporaux. Un des caporaux vint vers nous, pour nous briefer. Il regarda son supérieur.

    « Qui est-ce ?
    - Oh, ce n'est qu'une jeune religieuse sans histoire. Elle vient pour se renseigner sur les mœurs du monde. Mais d'ailleurs c'est quoi ton nom ?
    - Mariza
    - Très bien Mariza, voici ce qu'on appelle un briefing. Caporal, je vous en prie. »


    Le caporal était un peu surpris mais il fit tout de même son briefing.

    « Deux individus sont présents sur une montagne depuis plusieurs jours. Nous les avons repéré nous avons envoyé une escouade de marine dirigée par un caporal pour se renseigner. Ils leur ont demandé leurs identités et ces derniers ont déclaré être des révolutionnaires. »

    Des révolutionnaires qui déclarent être eux-mêmes des révolutionnaires ? Ce n'était pas franchement malin. C'était vraiment le chic pour s'attirer des ennuis alors qu'un mensonge aurait peut-être suffi.

    « Et quelle est la situation actuelle ?
    - Les révolutionnaires ont engagé le combat. Les marines présents là-bas ne feront pas long-feux.
    - Très bien, prévenez le lieutenant et appelez des renforts. »

    Le rythme de la marche accélérait mais légèrement. Je n'avais aucun mal à suivre la cadence. Et même plutôt du mal à ralentir la mienne. Si j'avais été seule, j'aurais couru comme une dératée jusqu'à la montagne. Nous arrivâmes finalement devant la montagne. Un homme et une femme surplombaient une troupe de marines, visiblement en difficulté.


    Dernière édition par Mariza le Jeu 18 Sep 2014 - 23:31, édité 2 fois
      Nous étions que deux mais il était trop faible pour nous, comme Kira et moi avions habite de jouer a "qui but le mieux" on fessait des attaques combinée. Je la projetait en l'air et elle retombait comme un rappasse et les découpait un par un, le combat tournait a la boucherie, on les déchiquetait un par un ah chaque fois que l'un de chutait je revendiquait le faite que je fessait parti de la révolution.
      Le combat semblait ce terminer, et nous commencions seulement a transpirer.

      "Alors t'en est a combien gamine ? Moi j'en suis a sept"

      "bas alors papy tu ralenti la cadence moi j'en suis a huit"

      On finissait de recompter savoir qui avait vraiment gagné, ZUT !! c'était Kira qui gagne encore une fois. Elle rigolait de m'voir battu j'était de dos par rapport au bas de la montagne et je rageait d'avoir perdu, Kira rigolait juste avant que son sourire ne se transforme en tète sérieuse, je me tourne et voit autre marin qui arrive et une personne qui se distingue du lot puisqu'elle n'est pas habiller de la même façon. Je me tourne vers la gamine en souriant je lui fait un clin œil.

      Ah !! Voilà la suite Kira je vais peut être pouvoir me rattraper, voilà un nouvelle vague.
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      Le combat du premier groupe de marines faces aux deux individus fut assez rapide. À vrai dire, j'eus même l'impression que ces marines n'étaient que du menu fretin pour eux. J'avais presque pitié pour ces pauvres marines, molestés avec une telle facilité. Enfin, c'était légèrement de leur faute. Leur stratégie d'attaque n'était pas des plus efficace. Escalader la montagne était vraiment une erreur, ils auraient sans doute eu plus de succès en faisant du tir au pigeon pour appuyer cette escalade.

      C'était de la barbarie, les pauvres soldats tombaient comme des mouches et rien ne pouvait arrêter leurs chutes. Pendant ce temps, les deux énergumènes faisait un concours de celui qui abattait le plus d'ennemi. C'était puéril vraiment mais peut être avaient-ils leur raison. Je devais en savoir plus. Je levais les yeux vers le haut de la montagne. Le groupe de révolutionnaire était composé d'un vieillard musclé et d'une femme robot. Une telle ignominie ne devrait pas exister. Modifier le travail de la nature en modernisant un être humain, c'était pure sorcellerie. Je devais arranger cette modification abusive de la nature. Surtout qu'ils se moquaient de nous. Le vieil homme m'avait même fait un clin d'œil et la chose qui l'accompagnait était morte de rire. Rira bien qui rira le dernier comme on dit.

      Pendant ce temps, les autres marines s'étaient rapprochés de leurs camarades. Ils étaient blessés. J'entendais les officiers vociférer des ordres à tout bout de champ comme : « Où sont les renforts ? » , « Appelez des médecins ! ». Je me rapprochais à mon tour pour voir l'étendue des dégâts. À première vue, c'était seulement des blessures extérieures. Pas vraiment d'os cassés et c'était étonnant vu la chute qu'ils avaient subi. Il suffisait juste de nettoyer leurs plaies puis de les recoudre. Après quelques jours de repos, ils seraient de nouveau sur pied.

      « Vos camarades sont solides, à priori ils n'ont pas trop de blessures graves. »

      L'adjudant-chef me regarda avec des yeux surpris mais ne répondit pas. Il se contenta d'évacuer les blessés et d'organiser l'attaque. Il organisa les quelques soldats restants en ligne et leur demanda de viser les deux individus. Ces derniers ne semblaient pas avoir peur des armes à feu.

      « Préparez-vous, visez les cibles. »

      Toujours aucune action de la part des deux camps. J'étais comme une spectatrice devant une pièce de théâtre, attendant le début de la pièce. Et celle-ci s'annonçait explosive.

      « Rangez vos armes les gars, on se replie. »

      Les marines se repliaient, c'était une sage décision de la part de l'adjudant-chef. Après tout, les trois-quarts de ses hommes étaient partis rapatrier les blessés. Ils n'étaient plus que huit. Si quinze hommes n'avaient pas pu battre deux révolutionnaires, alors huit ne le pourraient pas. Devais-je les suivre ? Je n'avais pas vraiment d'obligation, alors je choisis de rester ici. Tandis que les marines faisaient demi-tour, je me faufilai sournoisement dans un buisson et m'approchai de la montagne. Je débutai mon escalade. Rapidement, j'arrivai dans le dos des deux personnes. Ils n'avaient pas dû me remarquer. Je pris mon parapluie et frappai la chose mi-humaine qui fut projetée à terre.

      « Alors c'est vous les deux révolutionnaires ? Vous n'êtes pas très discret dîtes moi. »

      Je fixais dans les yeux le vieil homme. Pourquoi lui ? Car je ne voulais pas regarder l'autre personne.

      « Qu'est ce que vous faîtes sur cette île ? Il me semble qu'il n'y a pas grand chose ici non ? Alors il serait aimable pour vous de partir. »


      Dernière édition par Mariza le Jeu 18 Sep 2014 - 23:32, édité 3 fois
        « Qu'est ce que vous faîtes sur cette île ? Il me semble qu'il n'y a pas grand chose ici non ? Alors il serait aimable pour vous de partir. »

        Kira était actuellement entrain de courir les pieds dans le vide.

        "Lache moi papy !!! je vais me la faire !! LÂCHE MOI J'TE DIT !!!!!"

        Je la regardais en tenant Kira qui se débattait.

        "Attend Kira, je on va d'abord ce qu'elle a dire pour sa défense."

        Je repose Kira tranquillement qui croise les bras et ce tourne pour montrer qu'elle boudait.

        "Je n'ai qu'une seul chose a te dire Papy, VA TE FAIRE FOUTRE J'TE LA LAISSE !!"

        Je la regardais dans les yeux et il y eu comme un blanc, je me te tenait près a bondir, mais je me mis a sourire et je m'approche d'elle en lui tendant la main.

        "je suis désoler pour mon manque de politesse je m'appelle Atlas D. Misushy, nous sommes venu dans le coin avec mon amis pour prendre un peut de repos et profiter du paysage, mais je crois que s'installer sur le haut d'une montagne n'ai pas la meilleurs solution (ce frotte arrière de tête comme gainé)je vois que d'autre soldat arrive je te propose de régler notre différent plus tard car la je vais avoir du boulot.

        Je me dirige vers l'endroit ou il arrive et Kira refait surface, "ON VA CE LES FAIRE PAPY !!!!"
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        Le vieillard tenait l'abomination par le cou. Cette dernière se débattait, les pieds dans le vide, mais la poigne du vieil homme était beaucoup plus solide. La chose était enragée à cause du coup que je lui avait porté. Bon j'avais frappé dans son dos pour qu'elle ne puisse pas réagir, un peu lâche de ma part mais bon. Après une scène de ménage entre les deux individus, le cyborg s'en alla bouder dans son coin et me laissa seule avec le vieillard.  Le vieillard était étonnamment calme comparé à sa camarade et même plutôt cordial. Il se contentait de me répondre poliment, sans aucune trace de violence. Voilà qui était beaucoup mieux élevé. J'allais peut-être avoir une conversation avec une personne civilisé finalement.

        Le pseudo-révolutionnaire s'appelait donc Atlas quelque chose et lui et son acolyte étaient donc en vacances, prendre l'air après des missions de révolutionnaires. Ce n'était pas trop mes oignons mais dans ce cas-ci, ils apparaissaient comme des victimes et non comme des tortionnaires. Légitime défense si vous préférez. Il n'empêchait toujours que leur réaction avait été un peu fouillis et aurait mérité un peu plus de jugeote. Ne jamais dire qu'on est révolutionnaire devant des marines, sinon c'était un combat assuré.

        Pendant ce temps, les marines avaient eu le temps de se rassembler avec notamment l'arrivée de soldats plus performants et coriaces dont le sergent d'élite qui m'avait refusé l'entrée dans la base. J'étais dans une situation plutôt délicate. Soit j'aidais les marines en capturant ces deux personnes innocentes, soit je les aidais et je devenais une criminelle à mon tour. J'allais les aider, c'était une question de principe. Toujours aider les innocents et les personnes dans le besoin. Et puis de toute façon, les marines venaient de m'associer à une menace. Après tout, j'avais tenté de m'infiltrer dans leur base, puis à la minute où j'étais arrivée ici, j'avais totalement disparue pour réapparaître au côté des deux révolutionnaires.

        Atlas et son ami s'apprêtait à engager le combat. Avant qu'il ne puisse sauter, j'attrapais sa jambe avec le pommeau de mon parapluie.

        « Bon pour me faire pardonner l'attaque dans le dos, je vais vous filer un coup de main. De toute façon, j'ai pas trop le choix. »

        Je libérai mon emprise sur Atlas et je sautai de la montagne tout en ouvrant mon parapluie pour pouvoir planer. J’atterris pile devant la première ligne de marines. Derrière eux, il y avait l'adjudant-chef qui m'avait accueilli.

        « Sale garce, tu n'es qu'une manipulatrice. Tu vas regretter de t'être mise en travers de notre chemin. »

        Il allait amèrement regretter ses propos. Je devais d'abord me défaire du groupe de marine devant moi. Tandis qu'il me tirait dessus, je me roulais sur le sol pour esquiver leur tir. Puis, je me relevais rapidement et les frappais dans les jambes avec mon parapluie. Cela en déséquilibra la plupart qui tombèrent en arrière. Le déluge de tir s'abattait toujours sur moi et sur mes alliés qui  venaient de descendre.

        « Je vous laisse les soldats ! Le gradé est pour moi. »


        Rapidement, je courus en laissant les soldats au sol avant qu'ils ne puissent se relever. J'étais désormais face à l'adjudant-chef. Il me regardait avec un air sévère.

        « Elle est pour moi les gars. Admirez l'artiste. »


        Il dégaina son sabre et le pointa sur moi. Visiblement, il ne rigolait pas.


        Dernière édition par Mariza le Jeu 18 Sep 2014 - 23:34, édité 3 fois
          « Bon pour me faire pardonner l'attaque dans le dos, je vais vous filer un coup de main. De toute façon, j'ai pas trop le choix. »

          " Une personne de plus ne serra pas de trop. je te ...."

          je n'avais même pas eu le temps de finir ma phrase que a voila déjà parti en flottant avec son parapluie.. ingénieux !!
          Quand a moi je me servi de ma technique de chute au ralenti pour arriver en bas intacte, je voulais donner un peut de style a mon arriver, donc je donna un grand coup au moment du contact avec le sol pour qu'un creux se forme sous mes pieds je relève la tête il reste tous sans voie.

          "VIVA LA REVOLUCION !!!!"

          et je me jetais dans un combat qui promettais. J'en frappais un au visage autre dans les partis, j'en pris un pour taper sur autres, pendant ce temps la Kira fessait le reste. au bout d'un moment le reste des trouves parti chercher du renfort voilant cas nous trois on les massacrais. Nous trois ? mais ou la demoiselle ? je tournais la tête en proposant a Kira de regarder sans intervenir le temps que les autres gugusses arrive.
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          Je faisais désormais abstraction de tous les éléments qui m'entouraient. Je ne pensais même plus à surveiller mes arrières même si j'avais étrangement confiance aux deux étrangers que je venais de rencontrer. L'adjudant-chef me toisa avec un regard noir. Et d'un seul bond, il se rapprocha de moi et tenta de me transpercer au niveau du ventre.  J'ouvrai mon parapluie juste devant lui pour lui faire perdre son angle de vue et je parai difficilement son attaque avec la tige de mon arme. Je fus projetée en arrière, à la merci de ce bas-gradé marine. Je devais réagir au plus vite. Alors qu'il s'apprêtait à m'immobiliser je roulais sur le sol et rapidement, je le frappai sur le dos. L'adjudant-chef vacilla et sans qu'il puisse avoir le temps de se retourner, je le frappai de nouveau sur son dos. Il enrageait et dans un geste de désespoir, il tenta de me lacérer avec son sabre en étant retourné. J'avais eu le temps de le contourner et je me retrouvais désormais face à lui. Il était à ma merci. Je fonçai sur lui tête baissé et tout en me baissant pour esquiver son attaque, j'endommageai ses jambes avec ma lame pour qu'il ne puisse plus marcher.

          L'adjudant-chef était à terre et me fixait avec dégoût. Dégoût d'avoir été battu par une fillette surtout. De toute façon, il ne pouvait plus marcher. Sans une once de pitié, je le frappai sur la tête et il perdit connaissance. Le combat avait été plus difficile que prévu. Je me retournais et je vis avec surprise que les soldats gisaient sur le sol, inconscient. Les deux révolutionnaires avaient fini le travail.

          « Cette bandes d'incapables... »

          Je me retournais et je vis un homme adossé sur un arbre, en train de fumer. Était-ce le sergent d'élite ? Il sortit l'ombre et commençait à s'approcher de nous. Il n'était pas armé, mais cela ne voulait pas dire qu'il était dangereux. Je regardais mes compagnons d'infortunes avec un air désemparé. Nous avions en face de nous un gros morceau et le combat allait être difficile. Le sergent me fixait dans les yeux, c'était d'abord un combat psychologique. Une bataille du regard. Après m'avoir observé il fonça sur moi. Trop brute, il me suffisait de le frapper avec mon parapluie. Alors qu'il allait bientôt m'atteindre, je pris mon parapluie et alors que j'allais le frapper dans le ventre. Il attrapa mon parapluie avec une seule main et avec l'autre, il me cogna l'estomac. Il recula et peut-être par pitié, il me laissa mon parapluie. Avec sa poigne, il aurait très bien pu me l'arracher des mains. Son coup avait été très douloureux et je me relevais avec difficulté. Cet homme était d'un tout autre niveau. Je devais rapidement me ressaisir, sinon j'allais y passer. Je fis deux bonds en arrière pour rejoindre les deux révolutionnaires.

          « Bon écoutez, celui là est coriace. On se le fait à trois ? »


          Dernière édition par Mariza le Jeu 18 Sep 2014 - 23:35, édité 1 fois
            « Bon écoutez, celui là est coriace. On se le fait à trois ? »

            Sais une excellente idée, je t'expose vite fait mon plan Kira et moi on a l'habitude de combattre ensemble alors on va te créer une ouverture, ALLEZ KIRA GO !!!

            Kira posa ses deux pieds dans ma mains et je la propulsait sur notre adversaire, elle sorti ces lames au vol pour pouvoir parer le coup qu'il lui porta, enchaînait en lui fonçant dessus et le rouant de coup qu'il esquivait, mais il avait peut être le style, mais moi j'avais endurance. Je ne le lâchait pas quand il sautait pour esquiver mon balayage Kira le fessait redescendre. Et a un moment une ouverture, je tente une clef de bras qui fonctionne et l'homme se retrouve face a la demoiselle, je le tiens de toute mes force.

            "Va y gamine je ne tiendrais pas longtemps !!!
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            Le sergent d'élite nous regardait avec un grand sourire. Il était clairement plus puissant que nous et je n'avais une chance de m'en sortir qu'en demandant l'aide de mes deux compagnons d'infortune. Atlas et la chose semblaient être ravi de donner un coup de main. Apparemment, ces deux-là se connaissaient depuis longtemps et avaient l'habitude de combattre ensemble. D'après ce que j'avais vu, c'était plutôt une sorte de rivalité entre eux, celui qui abattait le plus d'ennemi. Rien de bien coopératif donc, juste de la compétition et de la concurrence entre eux. Nous n'avions donc aucune chance et tout allait devoir reposer sur mes épaules. Surtout qu'Atlas voulait me créer une ouverture pour que j'abatte notre adversaire. Plus facile à dire qu'à faire.

            Le cyborg se rapprocha d'Atlas et sauta sur ses deux mains. Atlas la propulsa sur notre adversaire qui ne put qu'esquiver. Avec toute la hargne qu'ils avaient, les deux compagnons se donnaient à fond pour pouvoir me créer une ouverture. C'était vraiment émouvant, accepter aussi facilement ma demande alors que leurs vies étaient en danger. Et ils ne me connaissaient même pas ! Je ne devais pas les décevoir et utiliser l'ouverture qu'il allait me créer du mieux que je pouvais. J'allais me débarrasser de ce sergent, puis j'allais les aider à quitter l'île. Je leur devais bien ça.

            Tandis que le cyborg s'attelait à distraire l'attention du sergent d'élite, Atlas tentait de l'immobiliser avec plus ou moins de succès. Le sergent semblait acculé par les deux individus et ne savait plus trop où donner de la tête. C'était juste d'inattention. On voyait clairement que sans aides extérieures, il allait finir par remporter le combat.

            « Hé monsieur le marin, c'est moi que vous voulez, pas eux ! »


            Le sergent me regarda au loin. Je me tenais toute droite avec mon parapluie dans la main. J'avais cru voir un sourire se dessiner sur son visage. C'était peut-être mon imagination, mais le combat qui se déroulait devant moi prenait une plus grosse ampleur. Les coups pleuvaient, mais en dépit de son âge avancé, Atlas tenait le coup, mais pour combien de temps ? Je devais distraire le marine.

            « Héhé, je vous ai bien roulé non ? Sais-tu qui je suis ? Une criminelle de la pire espèce et je vais te le prouver tout de suite ! »

            Même un enfant aurait mieux menti que moi. J'étais pure comme la neige, aucune raison de vouloir m'arrêter hormis le fait que j'avais commencé à aider ces deux révolutionnaires inconscients.

            « Une fois que j'en aurai fini avec toi, j'irai détruire votre base. Mes camarades sont en route et vont ravager cette île ! »

            Le sergent ne sourcillait même pas et se moquait de moi. Effectivement, j'étais une piètre menteuse. De quoi j'avais l'air ? J'étais juste une gamine totalement inoffensive d'apparence et aussi dans mon caractère. Il n'empêche que mon petit manège avait fini, l'espèce d'un instant, à déconcentrer le marine. Atlas le saisit et le bloqua. Il était à bout de force et n'allait pas tenir longtemps. Sa camarade se tenait un peu plus loin et se dépêchait d'aller aider son ami. Je baissai les yeux et regardai mon parapluie. J'allais le frapper de toute mes forces pour le faire s'évanouir. Je levais mon regard. Atlas tenait toujours son étreinte et je me dépêchais pour pouvoir asséner le coup de grâce. Mais avant que je puisse le frapper, le sergent d'élite s'était libéré et repoussait violemment les deux révolutionnaires. Il s'avança un peu, s'approcha de l'adjudant-chef, toujours inconscient et ramassa le sabre.

            « Tu veux jouer ma jolie ? On va jouer un peu. Après tu ira croupir quelque part en prison. »

            Je devais m'occuper de lui. Atlas était quelqu'un de solide, il allait se relever d'ici quelques secondes. Pour l'instant, ma priorité était le Sergent d'élite. Je ne l'avais pas réellement remarqué de loin, mais, les attaques du cyborg l'avaient blessé et il saignait à quelques endroits. Par ailleurs, sa lutte avec Atlas l'avait essouffler. J'étais donc à mon avantage. Nous chargeâmes tous les deux simultanément. J'ouvrai de nouveau mon parapluie pour éviter que son sabre déchire la toile. Sa lame s’entrechoqua avec la tige de mon parapluie. Sans que je puisse réagir, il fit glisser son sabre le long du parapluie et m'entailla ma main droite. Elle était en sang et me faisait souffrir le martyr. Je bondis en arrière. Le sergent d'élite avait bel et bien sourit tout à l'heure. Il arborait un sourire satisfait. Comment un seul homme pouvait nous donner autant de mal ?

            Nous chargeâmes de nouveau et ce fut la même chose, sauf que cette fois-ci j'avais compris sa combine. Alors qu'il s'apprêtait à taillader mon autre main, je le frappai sournoisement entre les jambes. Puis je bondis en arrière pour éviter un retour de sabre vengeur. Puis je le frappai à mainte reprise sur sa tête et sur son corps. Le sergent tomba au sol et se tortillait de douleur. Il se releva immédiatement, ignorant totalement ses douleurs. Sa colère l'avait transformé et je voyais dans son regard qu'il était décidé à me tuer.

            « Contente de voir que tu va mieux Atlas. Pile au bon moment !»


            Derrière le sergent, alors qu'il l'avait totalement oublié, Atlas se relevait. Il me regardait avec un air satisfait et s’apprêtait à contre-attaquer.


            Dernière édition par Mariza le Jeu 18 Sep 2014 - 23:36, édité 1 fois
              Je place mes mains de chaque coté de mon buste les bras plier et tendu comme deux gros ressort, je me concentre en fermant les yeux pendant un temps défini, qui est égale à deux secondes.
              Au moment ou je rouvre les yeux mon regard a changer, il montre ma détermination et envi de finir se combat.

              POUR LA LIBERTE !!!!

              Mes coups commence a partir comme une locomotive que l'on ne peut plus arrêter, il part très facilement les premier, mais le secret de cette technique réside dans le faite de ne pas toujours frapper adversaire pour donner dans la vitesse une illusion de coup qu'il essayera forcement de parer.
              Ce qui devait arriver arriva, je lie ma puissance et ma vitesse afin de pouvoir au moment ou j'arriverai a le toucher, je suis tellement concentrer dans ma technique qu'au moment ou je le regard je me rend compte qu'il part chacun de mes coups sans jamais en prendre un seul, il souris et me dévisage a l'air de dire "tu ne vaux plus rien papy !"
              je le regard a mon tour et a j'ai décidé de changer mes plans. Je le choppe par les mains :

              j'espère que tu sais voler

              Je bascule sur le sol et de toute mes forces avec mes pieds le fait décoller en l'air, a l'aide de mes mains je le rejoins dans ce balais aérien, et commence a lui enchainer des coups de pieds et de genoux. En voila un dans les cotes; puis le tête, enchainant par les rotules.

              les coups sont rapide mais malheureusement imprécis, je ne décide pas vraiment ou je tape, l'apesanteur fessant le reste du travail je comment a retomber et continu de le taper, je fini par un coup de pied retourner dans l'estomac pour qu'il tombe a plein vitesse et viens a mon tours de toute mes forces comme une pierre tomber sur lui le genoux visant son diaphragme.
              Un nuage de poussière se dresse, je suis au sol sur son corps inanimé. Je ne peux plus bouger car j'ai tous donner dans un dernière effort, je tends appeler quelqu'un mais aucun son ne sort de ma bouche la seul chose que je vois sais la silhouette de quelqu'un ce rapprocher alors que je suis entrain de m'évanouir.
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              « Hum... il s'est passé quoi là ? » pensai-je tout haut. Avouez que la situation est assez cocasse. Le vieil Atlas venait de se faire balayer par le Sergent d'Élite et venait finalement de lui asséner le coup de grâce. C'était bizarre, Atlas était un vieillard bizarre... Ce n'était théoriquement pas humain de se relever après avoir prit un coup aussi violent. Et surtout, ce n'était pas humain d'effectuer un enchainement de coups aussi rapide pour une personne aussi vieille.

              Atlas tomba en arrière, visiblement épuisé. Voilà qui était normal ! Non mais quand même, cet homme n'était pas humain, mais il l'était tout de même plus que son abomination de partenaire cyborg, qui au passage avait disparu de mon champ de vision. Peu importe, ce n'était pas mon problème. Je me dirigeais en courant vers Atlas qui levait les yeux vers le ciel. Il n'était quand même pas en train de mourir non ?

              « Hé Atlas, tu meurs là ? Parce que je me demandai, t'as quel âge en fait ? »

              Je l'attrapai par le bras et l'aidais à se remettre sur pied. Et, en tant que personne maligne, j'utilisai mon bras blessé pour l'aider se relever. Je poussai donc un petit cri aigu, pour témoigner de ma douleur.

              « Quelle idiote ! »

              Je fouillai dans ma sacoche, appliquai un baume à base de plantes médicinales favorisant la cicatrisation et j'appliquais un bandage sur ma main. Avec le temps et l'expérience, ce geste était devenu totalement banal et je le réalisai avec une facilité presque déconcertante. Les marines s'étaient repliés ou gisaient sur le sol et il ne restait plus qu'Atlas et moi. Atlas vacillait et peinait à tenir debout. Pauvre vieillard, il lui fallait peut-être une canne ?

              « Hé, t'es sûr que tu vas bien ? Tu tiens même pas debout. Et puis, elle est où ta coéquipière ? Parce que là je vois pas du tout où elle peut être. Oh, tu m'écoutes ? Tu pourrais répondre au moins. »

              « Il m'énerve ! ». Apparition du symptôme de la sénilité. Il était bon pour l'hospice et non pas comme soldat de l'armée révolutionnaire. En y réfléchissant, tout semblait s'accorder. Le fait qu'il énonce à haute voix qu'il faisait partie de la marine était un symptôme de sa vieillesse. Ou encore, il ne faisait peut-être pas parti de la révolution et il avait simplement dit cela dans un moment de  divagation. Donc, en toute logique, la personne qui l'accompagnait était une infirmière ou quelque chose du même genre. Élémentaire ma chère Mariza, voilà un cas qui venait d'être réglé, et avec brio ! Mais en y repensant de nouveau, sa force titanesque ne correspondait pas au profil du vieillard de maison de retraite.

              « T'as peut-être envie de parler de chose qui te branche non ? T'es vraiment un révolutionnaire ? Car je me suis toujours demandée quel était le but de ce genre de personnes. »

              Et c'était à ce moment précis que réapparaissait comme par enchantement le cyborg. Salement amochée en passant.

              « Et bien, vu qu'on est tous réuni, tu pourras m'expliquer ça en chemin, car il vaut mieux déguerpir au plus vite, tu ne penses pas ? »
                Je suis entrain de m'évanouir mais une voix me parle, cette voix m'est famillière

                « Hé Atlas, tu meurs là ? Parce que je me demandai, t'as quel âge en fait ? »

                Ah sais toi gamine, si tu veux tous savoir j'ai exactement soixante quinze ans ma petite.

                Elle commençais a me poser des tas de question, comment j'allais, ou était Kira des choses que dans l'état actuelle je pourrait difficilement répondre.

                Oh, tu m'écoutes ? Tu pourrais répondre au moins.

                Je te propose quelque chose Mariza sais sa ? Vu ce que l'on vient de faire il faudrait mieux penser a mettre les voiles. Un bateau quitte il dans dix minutes, sais celui que l'on devait prendre pour notre départ, je te propose qu'on le prenne et que l'on en discute sur le bateau.

                Je me relève péniblement et arrive enfin a tenir difficilement sur mes jambes, Kira a refait son apparition elle aussi bien amocher, je suis soutenu par les deux filles et nous nous dirigons vers le port.
                Une fois sur place on arrive a prendre le bateau sans encombre, mais plus on prend le large et on voit les marins sur la rives qui essaye de nous tirer dessus. Mais le bateaux est trop loin, je me dresse fièrement sur le pont en regardant la cote.

                JE M'APPELLE ATLAS D. MISUSHY, PLUS CONNU SOUS LE BUFFLE DE LA REVOLUTION, N'OUBLIER JAMAIS CE NOM !!!!!

                Je m'effondre et tombe assis sur le pont, je suis un peu essouffler.

                Comme je le revendique depuis le début, je suis révolutionnaire et fière de être, je suis âgé mais grace a mon père j'ai garder une bonne condition physique. Voici aussi ma partenaire depuis toujours Kira (grand sourire de sa part) elle me suis partout ou je vais, si tu te demande pourquoi sais une cyborg sais a cause d'un accident quel est devenu comme sa, mais sais aussi ce qui lui as sauvé la vie. je pense que tous es dit si tu as d'autre question ? Ah oui ! j'allais oublier mais je sais rien de toi a par le faite que tu t'appelle Mariza, dit m'en plus sur toi ?
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                Après avoir quitter l'île, nous voguions paisiblement sur les flots.

                « Un accident tu dis ? Quel genre d'accident ? Je me suis toujours demandée quel était la raison de l'existence de ce genre de personnes. Sans vouloir être offensante bien entendu, j'ai toujours eu une sainte horreur des cyborgs. »

                Puis, m'adossant contre le rebord du bateau.

                « Et bien, tu connais déjà mon prénom, Mariza et c'est amplement suffisant. Mon nom de famille ? Je ne pense pas que cela soit important, à vrai dire, j'y ai même renoncé lorsque j'ai quitté mon île natale. Pour être franche, je suis à la recherche du Boru Bodur, la sainte relique qui flottait au dessus d'Inari. L'aurait tu aperçu par ici ? On m'a raconté qu'elle partait vers East Blue mais j'ai de très gros doutes concernant les informations qu'on m'a émises. »

                Je touchais ma main blessé, ce gradé m'avait plutôt amochée mais bon, c'était le prix à payer pour la liberté. Je relevais la tête et je vis qu'Atlas et sa camarde me regardait. Je leur montrai ma main.

                «  Ça ? Oh ce n'est pas très grave, cela devrait cicatriser tout seul d'ici quelques jours. C'est assez douloureux mais je peux amplement surpasser cette douleur. Au bout d'un moment on ne la ressent même plus. » ajoutai-je avec un sourire. « Par contre, vous devriez vous reposer tous les deux. Surtout toi Atlas, j'avoue avoir été surprise quand tu m'as révéler ton âge, c'est marrant de voir un pépé avec une telle force et une telle joie de vivre, mais bon, ne force pas trop tout de même. Ce serait bête de finir à l'hospice »

                Je regardais au loin, pensant à cette petite aventure que j'avais vécu sur Tanuki, je n'avais pas vraiment avancer dans ma quête, une belle perte de temps mais une sacré rencontre ! Qui aurait pensé qu'un vieil homme comme Atlas pourrait encore avoir une telle force. Un moment après, des mouettes vinrent virevolter au dessus du mat. Nous devions nous rapprocher d'une île, cette fois-ci, j'allais me faire toute petite pour éviter les ennuis.

                « On s'approche d'une île, c'est ici qu'on se sépare. J'espère que ça ira pour vous deux et si je peux vous donner un conseil, arrêtez de hurler comme des sauvages votre appartenance à la révolution. C'est pas très productif»


                Je leur fit un clin d’œil.