Fushia … Tout comme East Blue en elle-même ça fait belle lurette que je n’ai pas posé pied-à-terre ici. J’y ai pendant un certain temps vécu. Pour son calme, sa sérénité ou encore son accueil chaleureux. Mais mes motivations de l’époque étaient tout autres. Mugiwara no Luffy ou encore Shanks le roux. Des héros d’un autre siècle. Mais des légendes qui ont marqué le monde. Ce simple fait m’avait amené à venir. Pour découvrir leur passé, voir où ils avaient vécu et comment ils voyaient le monde à cette époque. Shanks n’avait pas forcément marqué les esprits, bien au contraire de ce Luffy. J’étais encore jeune à l’époque mais ma soif de savoir était telle que j’ai remué ciel et terre pour en découvrir chaque parcelle. Une quête qui m’avait amené à rester quelque temps, un laps de semaines et de mois où je faisais comme parti des meubles. Une bien belle époque. Depuis j’y reviens pour des retraites, le calme qui règne m’aide à refaire surface.
Un calme qui n’est plus maitre d’ailleurs. Je n’ai jamais vu la ville dans un tel état. Tous ces camps de fortunes détruisent totalement le paysage, si magnifique normalement. Mais j’ai du mal à cerner où est le problème. Doku lui ne cesse de s’agiter. Je le ressens aussi. Tout le monde semble nerveux. Bien à l’opposé de ce que je pouvais rencontrer à mes visites d’un autre temps. Alors je m’interroge, comme le ferait n’importe quelle personne qui retrouverait son lieu favoris mis à mal par d'étranges tentes les unes sur les autres. Et je sais où je peux trouver mes réponses. Je comptais m’y rendre de toute façon, il serait mal poli de passer ici sans saluer quelques amis. Direction la taverne, là où tout se sait et tout s’embrouille.
Lui dis-je sans retenu, sourire aux lèvres, main levée. Une simple apparition attirant l'attention de la plupart des gens présent.
Continua-t-il n’arrêtant en rien son activité de lavage de verres.
Le simple fait de le revoir et de parler avec lui me fait souffler un peu. C’est que je n’ai rien pour me mettre la pression ou encore pour craindre à ma vie. Mais respirer de l’air frais de temps en temps ne fait de mal à personne. Puis je commence à vieillir, mes vingt ans sont bien loin derrière moi. Certains font la sieste, d’autres dorment toute la journée, moi je cherche juste à faire une retraite paisible pour quelques temps dans ce coin plutôt paradisiaque de ce côté du globe. Mais j’avoue que même si la conversation se poursuit, j’en oublie un peu les tentes que j’ai pu apercevoir il y a quelques minutes au auparavant. Un oubli que l’on peut aussi appeler de la gêne. Je n’ai pas forcément envie de casse l’ambiance avec des questions pareilles. Mais je sens que les ennuis vont nous tomber sur le coin de la gueule. Quand je rentre dans ce genre d’endroit depuis quelques temps, c’est les emmerdes qui me trouvent.
Un calme qui n’est plus maitre d’ailleurs. Je n’ai jamais vu la ville dans un tel état. Tous ces camps de fortunes détruisent totalement le paysage, si magnifique normalement. Mais j’ai du mal à cerner où est le problème. Doku lui ne cesse de s’agiter. Je le ressens aussi. Tout le monde semble nerveux. Bien à l’opposé de ce que je pouvais rencontrer à mes visites d’un autre temps. Alors je m’interroge, comme le ferait n’importe quelle personne qui retrouverait son lieu favoris mis à mal par d'étranges tentes les unes sur les autres. Et je sais où je peux trouver mes réponses. Je comptais m’y rendre de toute façon, il serait mal poli de passer ici sans saluer quelques amis. Direction la taverne, là où tout se sait et tout s’embrouille.
Tetsu ▬ Hoy Hoy Teburu-chan. Comment va la famille, les gosses ?
Lui dis-je sans retenu, sourire aux lèvres, main levée. Une simple apparition attirant l'attention de la plupart des gens présent.
Teburu ▬ Ohhhh ... Tetsu, que fais-tu dans le coin ? Tu te décide enfin a poser tes valises ici ? Mais tes yeux et ce gamin ? Hum ...
Continua-t-il n’arrêtant en rien son activité de lavage de verres.
Tetsu ▬ Une longue histoire mon ami. Bien trop longue pour la raconter en une seule nuit. Et sinon je ne suis que de passage. J'ai besoin de souffler un peu.
Le simple fait de le revoir et de parler avec lui me fait souffler un peu. C’est que je n’ai rien pour me mettre la pression ou encore pour craindre à ma vie. Mais respirer de l’air frais de temps en temps ne fait de mal à personne. Puis je commence à vieillir, mes vingt ans sont bien loin derrière moi. Certains font la sieste, d’autres dorment toute la journée, moi je cherche juste à faire une retraite paisible pour quelques temps dans ce coin plutôt paradisiaque de ce côté du globe. Mais j’avoue que même si la conversation se poursuit, j’en oublie un peu les tentes que j’ai pu apercevoir il y a quelques minutes au auparavant. Un oubli que l’on peut aussi appeler de la gêne. Je n’ai pas forcément envie de casse l’ambiance avec des questions pareilles. Mais je sens que les ennuis vont nous tomber sur le coin de la gueule. Quand je rentre dans ce genre d’endroit depuis quelques temps, c’est les emmerdes qui me trouvent.
To be Continued ...
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