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Little Bad Girl [FB 1623, il y à quelques mois]

Mizu était habituée à voguer en solitaire d'île en île à travers les Blues... Histoire de voir des nouveaux paysages et de visiter les îles de l'intérieur. Elle aimait découvrir les différentes mentalités des gens, et toutes les particularités des îles. Elle s'était donc motivé à tenir un petit carnet dans lequel elle inscrivait tous ce qu'elle avait appris à propos des endroits qu'elle avait déjà visité.
Mais ce qu'elle préférait avant tout, c'était traîner dans les bars, pour qu'elle puisse leur faire avoir des dettes envers elle. Tout est bon pour arriver à ses fins, elle avait déjà réussi à manipuler quelques haut dignitaire ou bourgeois sur d'autre îles. Ainsi elle inscrivait les noms des personnes endettés sur son carnet, au cas ou elle ait besoins de contact sur une île ou bien en cas de problème, c'est toujours bien d'avoir des gens fiable (ou pas) sur qui compter.


Enfin, cette fois-ci elle s’arrêta sur l'île de Shell Town. A première vue, les gens de l'île paraissent très sympathique, c'était plutôt rare de croiser autant de gens avec le sourire en ces temps, tout le monde paraissait serein et heureux de vivre ici. Pourtant Mizu avait entendu parlé de cette île comme étant une île qui apprécié beaucoup les pirates, mais visiblement il avait du y avoir du changement car les marines et les habitant s'entendaient à merveille.
Mizu se baladait dans les rues de la ville, en pleine journée elle n'avait que ça à faire finalement. A force de marcher, la jeune fille fut prise d'une petite faim, elle s’arrêta dans une boulangerie, pour acheter un petit quelque chose à manger. C'est ici qu'elle croisa deux marines qui discutaient ensemble, leurs discutions paraissaient intéressantes donc elle tendu l'oreille pour écouter ce qu'ils racontaient de plus prés


"Blabla... Le colonel Fenyang est vraiment un type cool et fort ... Blabla "

"Blabla.. Oui en plus il est fort, c'est pas pour rien que tout le monde l'adore ici! Blabla..."

Ce Fenyang avait l'air d'être une personne très importante sur cette île pour que deux marines parlent de lui de la sorte, et Mizu aimait bien se frotter aux personnes très importantes sur les îles qu'elle visitait. Et comme une femme ne va jamais contre sa nature, elle était bien décider à rencontrer ce cher Fenyang!

"Excusez moi messieurs.. Mais ce colonel dont vous parlez, sauriez vous ou est ce que je pourrais le trouver?"

"Héhéhé, sacré colonel! Il est trop fort! A cette heure ci je penses que tu pourras le trouver dans le bar au bout de la grande avenue, c'est à deux pas d'ici."

"Oui oui c'est cela... Merci bien."

Du coup, Mizu sortit de la boulangerie sans rien prendre et se pressa d'aller en direction de ce fameux bar. La jeune fille était souvent bien habillée même si il n'y avait pas d'occasions particulières. Aujourd'hui elle avait mis un débardeur blanc puis par dessus elle mit un petit gilet noir, en bas elle avait une robe courte noir, et des long collants noirs qui s’arrêtaient en haut des cuisses. Sous sa robe elle avait comme d'habitude ses dagues cachées. C'était une tenue habituelle pour elle, elle lui laissait une bonne mobilité et avec ça elle était prête à parer n'importe quelle éventualités.
Elle rentra donc dans le bar que lui avait indiqué les marines. Ce qu'ils avaient omis d'indiqué c'est qu'il se situait juste à côté de la base de la marine, enfin ceci n'étais qu'un détail. Elle analysa rapidement le bar dans lequel elle venait de rentré. Une ambiance convivial, bien entretenu, à première vue il n'y avait pas soûlard, il y avait des marines un peu partout, elle n'arrivait pas vraiment à distinguer qui était ce fameux Fenyang. Elle alla donc demander au barman qui il était, il lui montra du doigt un homme. Elle se retourna pour regarder l'homme en question. Il était debout, un peu plus loin à côté du bar, le visage perdu devant lui, il ne prêtait réellement attention à la fille qui était en train de l'analyser.. Il devait bien mettre une quarantaine de centimètres, il était donc bien imposant avoisinant les deux mètres, elle ne l'imaginait pas du tout comme ça, il devait avoir la trentaine ou peut être moins. Habituellement les cibles de Mizu sont plutôt des vieux pervers, des proies faciles, mais visiblement s'attaquer à un tel homme, bien qu'elle ne connaisse rien de lui aller s'avérer compliquer. Elle s'avança donc vers lui, prenant son visage un peu timide et gêné, et lui toucha l'épaule pour lui faire remarquer qu'elle était la.


"Excusez moi... Colonel Fenyang...?"

Il était visiblement surpris de voir une jeune fille s'avançait vers lui, maintenant restait quelle réaction allait-il avoir vis à vis de la jeune fille. Quel genre de personne était-il réellement? Mizu allait le découvrir maintenant.


Dernière édition par Katsu Mizu le Mar 1 Nov 2011 - 23:42, édité 1 fois
      La tranquillité et l’alcool.

      Il n’y a vraiment rien d’meilleur dans la vie d’un marine. Aussi avais-je invité la plupart de mes soldats à prendre possession d’un bar et boire comme c’est pas permit. La nouvelle fut bien accueillie, évidemment. J’pouvais même voir qu’elle illumina l’expression de plusieurs de mes hommes pendant que j’étais assis pépère sur un caisson entrain de sourire. Nous venions tout juste de procéder à une arrestation musclée qui eut du succès. L’équipage d’un pirate à la prime de 25 millions avait débarqué sur l’île en voulant foutre le bordel. C’était sans compter la réactivité de mes hommes et la hargne qu’ils avaient vis-à-vis de la piraterie. L’opération ne dura que trois heures au maximum après que nous ayons habilement évacué la zone pour ne pas avoir à déplorer de lourdes pertes en vies humaines. Elle n’aurait même pas fait tant de temps si le capitaine pirate n’avait pas été coriace dans son genre. C’est dire qu’il méritait largement sa prime. Un énième bretteur qui avait prévu de mettre la ville à feu et à sang, tout juste avant de me défier et repartir s’en vanter ailleurs. Un homme qui avait eu vent de mes prouesses au niveau de l’escrime. En quelques deux trois ans seulement, j’m’étais forgé une notoriété sur toutes les mers des Blues. Et cette notoriété là m’faisait un peu peur. A cause des défis qu’elle engendrait, j’mettais la vie de la population locale en danger… Et c’était pas pour m’faire plaisir, très franchement…

      Dans tous les cas, je n’avais pas tué mon adversaire du jour. Je l’avais juste mis K.O comme il se le devait. Son repenti se ferait derrière les barreaux de ma base avant qu’il ne soit affecté ailleurs et au pire à la célèbre prison d’Impel Down. Je n’aimais pas vraiment tuer. Ce n’était point dans mes habitudes. Il arrivait parfois que je sois obligé de le faire au nom de la justice, mais je faisais tout pour l’éviter au maximum ; la preuve étant que j’avais pris un temps fou pour me remettre du premier meurtre que j’avais commis… M’enfin… Si on peut appeler ça comme ça. De ce fait, moi et mon commando que je conviais à une taverne, avions attendu l’arrivée des renforts pour menotter ces forbans et les mettre au violon. Une fois cela fait, sous les dernières injures bien grasses du capitaine que je venais de stopper, nous allions moi, mes lieutenants et mes quelques caporaux aller nous désaltérer en si bonne journée. Ça tombait assez bien puisqu’il faisait assez chaud. Nous traversions la ville un peu en héros puisque la nouvelle de l’arrestation circula comme une trainée de poudre. Et quel ne fut pas ma joie de voir une petite fille de huit ans venir me remettre un collier en fleur qu’elle avait spécialement fait pour moi. Je l’abhorrais fièrement, la gratifiait avant que nous reprenions la route pour une taverne. Un bar que nous atteignions enfin et que je connaissais parfaitement, puisque j’avais l’habitude de m’y rendre…

      • SAKÉ POUR TOUT LE MONDE !

      Un « Ouais » tonitruant suivit ma phrase et mes hommes envahirent le coin comme une fourmilière rassemblée autour d’un petit morceau de pain nécessaire à combler leur stock. Un musicien apparemment ravi de notre visite inopinée, commença à jouer de son piano, et force est de constater qu’il jouait extrêmement bien. Sa mélopée était tout ce qu’il y avait de plus enivrante. Très vite s’installa une ambiance bon enfant. C’était des blagues vaseuses mais bonnes à faire rire, des éclats de rires épanouis, de l’alcool à foison. Autant dire qu’il ne perdait pas de temps. Un de mes lieutenants m’invita à leur table, mais je refusais et préférait aller m’isoler dans un coin pour boire tranquillement. D’ailleurs le barman qui avait l’habitude de me voir ici -Parce que oui, sa patronne était l’une de mes nombreuses maitresses- indiqua à son servant une table tout au fond de la pièce ; coin où ledit servant partit déposer deux bouteilles de saké. J’finis par m’avancer vers ma place habituelle, avant d’m’allumer une clope. Mais alors que j’étais entrain de le faire, une main finit par tapoter doucement mon épaule. Je me retournais instinctivement vers la main pendant qu’une voix féminine s’éleva… Et qu’elle ne fut pas ma surprise quand je vis ce canon face à moi ! J’étais tellement et agréablement surpris, si bien que la clope glissa d’entre mes lèvres avant de finir rapidement sur le parquet un peu poussiéreux…

      • Wooow… Vous êtes… époustouflante !

      Avais-je immédiatement en dit en finissant par lâcher un soupir. Bowdel ! C’était trop une beauté… Brune… Grande de taille… Mignonne à souhait avec cette bouille si craquante… Pastèques en guise de lolos… Et de ce que je vis d’un coup d’œil très bref, des jambes fuselées et des cuisses pleines qui devait donner sur un derrière promettant monts et merveilles… Bref… La totale quoi ! J’esquissais alors un très beau sourire craquant avant de l’attirer d’un mouvement bref avec moi sur un fauteuil moelleux. Si j’étais assis sur le siège, l’inconnue, elle, était sur l’une de mes cuisses. Du moins, je l’avais mise sur l’une de mes cuisses. C’est là que je pu attester la fermeté de sa croupe bien rebondie. Une ange parmi les anges. « Je vous invite à boire et vous n’avez pas intérêt à me refuser ça ! » Dis-je d’un ton taquin avant de héler le servant pour un deuxième verre et une bouteille. La commande fut très rapide à un tel point que je n’avais eu le temps que de passer ma main autour de la taille de la jeune fille avant de lui demander : « Et vous vous appelez… ? » Une fois qu’il déguerpit après avoir servit deux verres d’un bon vin rouge, je me mis à contempler la beauté de la jeune femme qui me donnait déjà des idées derrière la tête. Quelques verres, un petit baratin et l’saut au lit où je lui ferais voir de toutes les couleurs. Pourtant, quelque chose m’disait que cela n’allait pas être facile comme à l’accoutumée…

      • Mais j’oublais… Quel bon vent emmène une si jolie jeune fille vers mon humble personne ?
      A peine eut-elle le temps d'attirer l'attention de ce grand bonhomme qu'il était déjà bien surpris de voir une aussi jolie jeune fille l'aborder de la sorte. Il fut tellement surpris qu'il fit même tomber la cigarette qu'il venait juste de porter jusqu'à sa bouche. Bon, la moitié du chemin était déjà fait, bien qu'elle ne s'attendait pas à voir un homme comme lui comme étant le colonel, elle ne s'attendait pas non plus à une réaction de la sorte venant d'un homme de son rang. Il reluqua la jeune fille très vivement, à plusieurs reprises même, s'attardant comme par hasard sur les formes assez généreuses de la jeune fille. Mais Mizu n'allait très certainement pas lui en porter rigueur, surtout que ce genre d'attitude flattait plus son ego qu'autre chose et elle adorait ça! Le colonel n'hésitait pas à prendre des initiatives, en effet il pris la jeune fille par la main, avant de l’entraîner avec lui en direction d'un fauteuil très confortable, c'était un peu comme si c'étais le "fauteuil du boss" dans ce bar. En même temps, il "invita" ... Enfin, il "posa" la jeune fille sur ses cuisses, et étant donné le gabarit de Alh' elle avait largement la place pour mettre son petit corps à côté de lui. L'homme ne laissa même pas la jeune fille réagir, il était vraiment entreprenant, Mizu n'avait pas vraiment l'habitude de ce genre de situation. Habituellement, elle allait vers les hommes, les chauffait, puis se permettait de faire ce qu'elle voulait d'eux par la suite. Mais dans ce cas là, le processus habituel n'allait pas être applicable, elle devait s'adapter à ce drôle mais charmant colonel qu'elle venait tout juste de rencontrer...

      " Je vous invite à boire et vous n’avez pas intérêt à me refuser ça ! "

      "Oh mais je... Oh..."

      Elle n'eut pas le temps d'en placer qu'il commanda déjà deux verres et une bouteille au premier serveur qui passait par là. Visiblement, le colonel avait déjà quelques idées derrière la tête, admirant son corps sans arrêt, les pensées les plus impures devaient très certainement traversé son esprit en ce moment. Alors que les seules pensées qui étaient en train de traversée l'esprit de Mizu était celle qui lui disait que si elle se mettait à boire ne serait ce qu'un peu d'alcool elle deviendrait très vite incontrôlable et que ses pires côtés allez très certainement ressortir. Mais cela n'allait certainement pas déranger le colonel Fenyang, qui n'attendait probablement que Mizu devienne un peu saoule avant de pouvoir profiter d'elle pleinement. D'ailleurs il se sentait déjà très confiant, profitant de la situation pour positionner ses mains à sa guise sur le corps de la jeune fille. Mais s'il pensait que la fille allait être une proie facile il pouvait toujours se mettre le doigt dans l'œil, elle savait absolument ce qu'elle était en train de faire et les techniques de drague des hommes n'avaient aucun secret pour elle... " Vous pouvez m'appelé Mizu." Répondit-elle à Alh' lorsqu'il lui demanda son prénom.

      "Mais j’oublais… Quel bon vent emmène une si jolie jeune fille vers mon humble personne ?"

      Cette question fit sourire la jeune fille, qui pris ses aises pour répondre, tout en tenant son verre de vin dans la main. Elle rapprocha sa tête lentement vers l'oreille du colonel, et lorsqu'elle arriva assez prés, elle lui chuchota sensuellement sa réponse à l'oreille, tout en gardant un petit souffle constant qui à tendance à exciter grandement les hommes, peu importe qui ils sont, aucun ne peu résister à la force d'une femme sexy qui essaie d'arrivé à ses fins.

      "Ai-je vraiment besoin d'une raison pour venir vers vous?..."

      Elle retira tout aussi doucement sa tête avant de se remettre dans sa position initiale, avec son sourire en coin et en buvant gouttes par gouttes le vin, qui était très bon d'ailleurs. L'opération de la jeune fille venait de commencer, et elle espérait bien que le colonel avance à grand pas dans son sens, mais visiblement cela n'allait pas être compliqué, à moins qu'il cache vraiment bien son jeu, ou qu'il soit un Dom Juan qui cherche juste à séduire la fille, sans jamais aller plus loin. Et Mizu cherchait avant tout à l'amener le plus loin possible pour pouvoir profiter pleinement de la position de sa cible.. Comme toujours, c'était le protocole et elle s'appliquait à le respecter à chaque fois qu'elle s'engageait dans une "mission séduction" ou "manipulation". La jeune fille refusait systématiquement tout les échecs, donc laissait ses sentiments interférer serait bien trop risquer... Mais hormis tout cela, le colonel appréciait visiblement le corps de Mizu, puisqu'il ne se gênait pas pour faire traîner ses mains baladeuses un peu partout. Ceci ne la dérangeait pas, c'est les risques du métier comme on dit. Mais plus elle observait l'homme sur qui elle était assise, plus elle trouvait qu'il avait quelque chose d'intriguant, elle ne savait pas quoi, mais c'était un petit quelque chose qui la dérangeait quelque peu.. Elle tenta de placer quelques mots pour en savoir plus pour lui par la suite...

      "Ce vin est vraiment succulent vous ne trouvez pas?"
          Je ne pu réprimer mon sourire. Sourire béat. Sourire grossier. Sourire pervers. Elle m’émoustillait énormément ce petit bout de femme. Et sa réponse ne vint pas arranger les choses puisque mon froc faillit se déformer à la seconde qui suivit. J’allais presque perdre le contrôle face à tant de sensualité de sa part, mais je repris bien vite mes esprits en faignant de vider mon verre de vin comme si de rien était. Il y avait bien longtemps qu’une femme ne s’était pas donnée à moi comme ça. Si bien qu’en l’espace d’une seconde, j’eus quand même un doute. Un gros doute. Même mes maitresses qui avaient des airs sophistiqués ne s’y étaient pas prises ainsi pour m’aguicher. Du moins pas de cette façon aussi directe. Ce qui soulevait en moi une interrogation. Et puis, il est bien vrai que j’étais beau. Mais certains de mes soldats l’étaient tout autant, voyez-vous. Elle aurait donc pu se focaliser sur l’un d’eux et l’allumer comme elle me le faisait… Pourtant, elle m’avait choisi moi, consciente de mon grade qui plus est. N’était-ce pas un peu bizarre vu de cet angle ? Oui, c’était bizarre. C’était un peu comme si elle cherchait quelque chose chez moi… Ou comme si elle cherchait à s’affirmer… Un truc dans le genre… Ce qui me faisait un peu bizarre, même si mon attitude d’homme primait fortement, puisque pierrot voulait revenir à la charge…

          • Oh… ? En effet… Mais j’ai quelque chose de bien plus succulent encore…

          Oui oui, pas de doutes. J’parlais de mon pierrot, ce machin en bas qui était presqu’au garde à vous là. Moi vulgaire… ? Meuuh non. C’est juste qu’elle avait voulu jouer. Et comme elle voulait jouer, on allait jouer. Si bien même que j’allais pousser l’amusement assez loin. Plus loin qu’elle ne le pense même. Je posais tranquillement mon verre sur la table car il me gênait un peu et je tenais le menton de la jeune femme par la suite, avant de lui rouler une très grosse pelle. Avec toute la classe qui s’impose, bien évidemment. N’allez pas croire que j’étais imbu de moi-même… Non non. Juste qu’elle m’avait un peu trop provoqué sur le coup pour que je n’en profite pas agréablement comme il se doit. C’était un peu aussi pour lui rendre la monnaie de sa pièce, bien que cela ne me déplaisait pas de l’embrasser de cette manière. Je l’aimais bien cette petite. Du moins, elle me plaisait beaucoup. Aussi regrettais-je un peu d’avoir décollé mes lèvres des siennes après plusieurs petites secondes qui étaient passées à la vitesse de la lumière. Mais il ne me fallait pas d’emblée, trop profiter des bonnes choses. J’mentais ? Beuh… ?! Tout simplement parce que j’avais toujours gardé l’une de mes mains sur ses fesses de Vénus que je caressais allègrement ? Boarf… Disons un peu que ça ne compte pas trop non ? C’est trois fois rien ça…

          • J’connais un coin où on s’ra bien mieux, si tu vois ce que tu veux dire…

          Je hélais le même serveur qui vint rapidement vers moi avant que je ne lui remettre une liasse de billets. Combien ? J’savais pas trop, la flemme de compter en fait mais ça pouvait largement couvrir l’addition de tout ce que mes hommes boiraient. Il pouvait même garder la monnaie, ce que je lui fis savoir d’un clin d’œil complice. Après quoi je me levais, avec la jeune femme dans mes bras vigoureux. Lui laissais-je vraiment le temps de réagir ? Ma foi non… Parce qu’une femme dans mes bras pouvait rarement m’échapper, sans compter que celle-ci pouvait ne pas avoir cette intention là. Si elle n’avait pas de raison de venir me voir, moi j’en avais des tonnes pour l’amener ailleurs. Tranquillement donc, je me faufilais avec ma prise vers la sortie sans qu’aucun de mes soldats ne s’en aperçoive et heureusement. Ils étaient bien trop obnubilés par leurs bavardages et leurs multiples bouteilles d’alcools en tout genre. D’un coin de l’œil, j’vis même un d’entre eux déjà éméché et je n’imaginais même pas ce que seraient les trente prochaines minutes pour lui. Sourire aux lèvres, j’finis par poser Mizu au sol en lui tenant le bras. Il n’y avait pas foule dans le coin ce qui était de bon augure. En catimini donc, je l’emmenais dans une ruelle vers un peu sombre, avant de la plaquer vigoureusement contre un mur, loin des regards indiscrets…

          • Mais bien avant, tu vas m’dire ce que tu m’… Ooh… ?

          Surprise ! Après l’avoir plaqué au mur, j’avais soulevé l’une de ses cuisses que je caressais lascivement sous sa robe noir assez courte pour être nommé mini-jupe. Et j’étais tombé sur quelque chose du dur, de suspect. Un objet accroché à l’une de ses cuisses pleines. Je lui souriais et je faisais sortir ledit objet dont je devinais aisément la nature. Les femmes alors… Celle-ci devait être un vrai cas, parce qu’on me l’avait jamais faite. Enfin… Presque… Bref. J’le retirais complètement et commençait à l’observer sous toutes ses coutures. Une dague de bonne facture quand même. Et que comptait-elle faire avec ? Gros point d’interrogation sur le moment que je voulais éclaircir : « Venir voir un colonel en étant armée d’une dague… ? T’es effrontée quand même… Et qu’est ce qu’une jeune femme de ton genre fait avec ce genre de joujoux, dis-moi ? » Suspicion ? Oui et non. Oui parce qu’elle m’avait parut bizarre quand elle m’alluma direct… C’est qu’elle en avait de l’audace, la belle. Non parce qu’elle me paraissait trop jeune pour faire quoi que ce soit de méprisable… Et trop kawaaaaaï… Mais ne disait-on pas que l’apparence était trompeuse ? Ouais ouais… Mais y pensais-je réellement ? Franchement non. Parce qu’avec beaucoup de sensualité, j’remettais son arme à sa place, avant d’embrasser son cou tout en tenant sa taille…

          • Je t’offre trois choix. Cette rue, ma base ou à l’hôtel tout près d’ici. Hein que je suis gentil… ?
          "Oh… ? En effet… Mais j’ai quelque chose de bien plus succulent encore…"

          Oh oh, un homme qui avait vraiment confiance en lui visiblement. Enfin il avait de quoi, Mizu ne devait pas être la seule fille à faire les yeux doux au colonel Fenyang, en plus d'être adulé par ses hommes sur l'île, il était plutôt agréable à regarder et puis il avait une tête de type sympathique. En gros il devait certainement avoir les trois caractéristiques pour attirer les femmes vers lui, l'argent, le pouvoir et la beauté. Enfin, si ce n'était pas le cas de toutes les femmes, c'était le cas de Mizu qui avait trouvé ici la cible parfaite. À moins que... Le colonel ne prenne trop d'initiatives.. Comme il venait de le faire à l'instant, en roulant une magnifique pelle à la jeune fille qui ne s'y attendait pas vraiment. Enfin, elle avait chauffé le bonhomme, donc en tout homme qui se respecte, il saisit la perche. La jeune fille ne fit que suivre le colonel, elle n'allait certainement pas se rebeller, ce n'était pas dans son habitude, elle devait simplement le suivre et faire ce qu'il attendait d'elle jusqu'au moment où elle pourrait vraiment profité pleinement de sa position. Même si le colonel était en train de fourrer sa langue dans la bouche de Katsu, il ne se privait pour autant de touché son arrière-train et ses cuisses, enfin par "toucher" il fallait plutôt entendre "caresser". En décollant ses lèvres de celle de la jeune il lui glissa quelques mots..

          "J’connais un coin où on s’ra bien mieux, si tu vois ce que tu veux dire… " Dit-il avec un sourire satisfait.

          La jeune fille voyait bien ce qu'il voulait dire, il n'y avait pas de doutes là dessus. Et là bien évidemment, Mizu savait à quoi s'attendre. Alheïri rappela alors le même serveur que tout à l'heure, elle suppose qu'il avait quelque chose à lui payer, vu l'énorme liasse qu'il venait juste de lui donner, bon au moins il avait de l'argent, ça c'était sur. Mais la jeune fille, qui se demandait encore ce qui allait advenir de son petit corps dans les prochaines minutes qu'elle ne répondit même pas aux avances du colonel, alors que celui ci, après avoir vérifié que personne ne regardait dans sa direction, prit la jeune fille par le bras pour l’entraînait vers une sorte de sortie de secours qui menait directement à une ruelle sombre à l'abri des regards indiscrets. En réalité il la traîna ici simplement pour que personne ne les vois et ainsi pouvoir profiter pleinement de la jeune fille. Mais alors qu'il la plaqua contre un mur et qu'il commençait à remonter sa main sur les cuisses de Mizu, il tomba sur l'étui à dague de la jeune fille... Et la il devait certainement douté des réelles intentions de Kat'...

          * Oups... ?*

          Bien entendu, la fille ne s'attendait pas à ce qu'elle se fasse entraîné aussi rapidement dans une situation ou le colonel puisse être en mesure de remarquer ses dagues, du coup elle pensa qu'il allait avoir de gros doutes sur elle... Mais il lui demanda simplement ce qu'elle avait en tête en accostant un colonel alors qu'elle était armée d'une dague. Il n'avait pas vraiment tort sur ce coup là, mais la jeune fille ne sortait jamais sans ses armes, qui sait ce qu'il peut se passer dans un rue sombre quand on est une femme sans défense n'est ce pas? Elle prit cette fois-ci le temps de lui répondre pour s'expliquer, avec un sourire un peu gêné car elle ne s'attendait pas vraiment à ça.

          "Les rues ne sont pas très sures de nos jours vous savez mon colonel, je préfères les gardées sur moi, je me sens plus en sécurité.. Enfin, si vous pensez pouvoir vous occupez de moi pour cette nuit, je suppose que je pourrais les laisser tomber pour cette fois n'est ce pas?"

          Elle savait ce que Alheïri voulait entendre, elle connaissait trop bien les hommes pour ne pas savoir ce qui leurs donner envie. Et d'ailleurs, juste après sa réponse il remit lentement la dague dans son étui, tout en continuant à lui bisouiller le cou, étrangement il ne semblait pas être affecté par la découverte de la dague, peut être que ça l'avait même excité encore plus. Elle trouvait cet homme vraiment étrange et intriguant, et un poil pervers aussi, mais tout les hommes sont comme ça donc c'était pardonnable. Après quelques nouvelles caresses et bisous par-ci par là, le colonel avait très certainement de bouger donc il demanda l'avis de la jeune fille, qui à vrai dire n'était pas vraiment à son aise dans cette rue.

          "Je t’offre trois choix. Cette rue, ma base ou à l’hôtel tout près d’ici. Hein que je suis gentil… ?"

          "Me laisseriez vous réellement entrer dans votre base Colonel Fenyang?" Dit-elle avec un sourire aguicheur en appuyant sa question par un petit clin d'oeil malicieux.

          Alors que la jeune fille attendait sagement la réponse de Alheïri elle se demandait si elle pouvait avançait en toute confiance dans une base marine après que le colonel ait remarqué la dague de la jeune fille, au pire elle ne risquait pas grand chose puisqu'elle n'avais commis aucune infraction jusqu'ici. Enfin, aucune infraction au grand jour et pour lesquels il y à des preuves bien sur.

              • Petite coquine…

              Le choix était quelque peu suspect. D’habitude, les filles préféraient de loin un hôtel luxueux pour s’faire sauter, mais celle-ci n’avait même pas hésité lorsque je lui avais fait les propositions. Non pas que ma base était miteuse, mais bon… Finalement, ce choix, je n’aurais finalement pas du l’inclure dans mon offre. Elle m’avait tellement chauffé que mon froc en était complètement déformé. Pour moi, patience n’était plus vraiment de mise, même s’il semblait que je devrais faire un tout petit effort pour honorer mes paroles avant de la voir se crisper et se tortiller de plaisir sous mes assauts sulfureux. Intérieurement, j’étais complètement dépité. Remettre ça à quelques minutes plus loin, ça m’tuait presque. Je lui adressais un regard à la fois courroucé et intéressé. Ce n’était que partie remise. Pour le lui faire comprendre, j’voulus l’embrasser mais un homme vint à emprunter le couloir dans lequel nous étions. Il me força à stopper mon élan avant de me redresser en délaissant la taille de la jeune femme. Je lui lançais un coup d’œil un peu irrité avant de le voir accélérer sa marche et disparaitre au bout du couloir. Sans doute m’avait-il reconnu… Mais ça… je m’en fichais un peu. Presque tout le monde savait que j’étais un homme à ma femme. La luxure était certainement l’un de mes mauvais côtés, mais on avait tendance à passer dessus vu que j’étais un homme relativement bon et dévoué à la marine… Oui oui… A ma manière… Et même malgré ma flemmardise !

              • C’est bon… On y va. Mais ne penses pas qu’il s’agira d’une visite touristique. Les civils n’ont rien à faire dans ma base, normalement.

              Bon bon bon… J’avoue, tout le monde pouvait avoir accès à ma base, mais à la condition d’avoir une très bonne raison assez convaincante concernant un méfait ou une demande à l’aide. Il est vrai que j’pouvais emmener qui j’voulais dedans, mais voilà quoi, rien de tel qu’un mini mensonge de rien du tout, pour rejoindre directement ma chambre ce que j’avais en tête. D’autant plus que son clin d’œil était carrément suggestif. Elle savait y faire Mizu et il s’y prenait tellement bien que j’eus la nette impression de lui avoir déjà fait l’amour. ‘Fin, j’avais tapé tellement de filles aussi que je ne pouvais plus savoir. A l’idée du nombre de mes conquêtes folles, j’eus un petit frisson. Et si j’avais foutu une femme en cloques ? Naaaan. Ca n’se pouvait pas. Sans doute que l’enceinte aurait accouru vers moi pour tirer profit de sa grossesse. Vous savez, les femmes, dans c’monde, elles sont toutes comme ça. Sales manipulatrices et grandes profiteuses. Celle qui m’faisait face là, maintenant, tout de suite, n’faisait pas vraiment exception et ça, c’est clair. Je le savais pertinemment. Mais j’avais tellement l’envie de lui faire l’amour que je m’en fichais un peu. J’étais un habitué de toute façon. Aussi lui prenais-je la main avant de sortir de ce fameux couloir avec elle. Le fait de me pavaner avec elle librement me faisait un peu oublier mes intentions à son égard, bien qu’ils fussent toujours calés dans un coin de mon cerveau. Ma crainte était cependant de croiser l’une de mes maitresses…

              • J’suppose que t’es pas du coin… non ? D’où est ce que tu viens… ?

              Forcement. Ses vêtements me parlaient. Son accent également. Sans compter le fait qu’elle croyait que les rues de Shell-town n’était pas sures alors qu’il n’en était rien. Parce que ouais, Shell-town était actuellement la forteresse impénétrable de toutes les blues réunies. Non seulement parce que j’avais des hommes compétents, mais aussi à cause de l’affaire du Léviathan. Projet qu’elle devait certainement ignorer. Je souriais face à ce constat que je faisais, même si je commençais à la trouver un poil bizarre. Une femme n’ferait quand même pas un long voyage juste pour s’faire gratuitement allumer le cul par un colonel… Non… Maintenant, je le sentais… Et je pouvais le confirmer : Il y avait quelque chose de pas net avec Mizu. Cette fille manigançait quelque chose. Mais ce qu’elle ne savait pas, c’est que je pouvais être un véritable bâtard quand je le voulais. Si elle avait établie un plan, il se retournerait tout bonnement contre elle. Sans compter que j’allais me faire une joie de profiter de son joli petit corps et ce, sans scrupules. Je respectais même les filles aux mœurs légères, mais certainement pas celles qui prônaient la méchanceté gratuite. ‘Fin, dans tous les cas, elle allait s’en mordre les doigts si jamais elle tentait quoi que ce soit de suspect… Surtout que ma base était comme un piège pour tous les nuisibles. On était loin d’Impel Down, mais il était préférable de ne jamais nous sous-estimer… D’ailleurs, en parlant de ma base, nous étions enfin arrivés devant les grandes portes…

              • Profites bien de la visite, parce qu’elle sera très brève…

              • OUVREZ LES PORTES ! LE COLONEL EST DE RETOUR !

              Les quelques soldats devant le portail géant s’activèrent et bientôt, nous entendions parfaitement les grincements des mécanismes et les portes métalliques qui s’ouvraient lentement. Sans attendre qu’elle s’ouvre complètement, j’attrapais la main de la jeune femme avant de passer l’ouverture qui se dessinait déjà. Tous les soldats qui me virent se mirent automatiquement au garde à vous en me saluant chaleureusement. Je répondais d’un bref signe de tête avant de continuer mon chemin avec ma belle prise du jour. Nous dépassâmes promptement le gigantesque terrain où se déroulaient généralement les entrainements de mes hommes avant de s’engouffrer dans la plus grande tour. « Désolé pour la visite express, mais on aura l’occasion de l’effectuer après avoir joué ». Je lui rendis à ce moment là son clin d’œil avant de la prendre dans mes bras comme s’il s’agissait d’une princesse. Je montais ensuite les marches quatre à quatre avant d’arriver à l’avant dernier étage où se trouvait et mon bureau et ma chambre. Je me dirigeais vers cette dernière sans perdre de temps, avant d’ouvrir de reposer Mizu sur ses deux pieds et de fouiller ma poche trouver ma clé. Une fois ladite clé dégotée quelques secondes plus tard, j’ouvris la pièce, avant d’y entrainer Mizu dedans. Et une fois à l’intérieur de la grande suite richement décorée et très belle, je me débarrassais de mon manteau de colonel avant d’me coller au gros derrière de la jeune femme en passant l’une de mes mains sous sa robe pour prendre son arme…

              • Simple précaution… De toute façon, tu n’auras pas besoin de ça ici. Tu es plus en sécurité dans cette chambre que nulle part ailleurs…

              Je jetais sa dague sur une table lointaine, avant de la retourner en face de moi en lui volant d’emblée, un autre baiser bien fougueux. Normalement, il n’y avait plus d’obstacles à mon amusement et elle n’allait pas être déçue d’avoir voulu m’aguicher…

              Spoiler:
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              "C’est bon… On y va. Mais ne penses pas qu’il s’agira d’une visite touristique. Les civils n’ont rien à faire dans ma base, normalement."

              Le colonel Fenyang paraissait tout de suite plus méfiant, comme si ça le dérangeait qu'elle aie choisit cette option. Enfin, c'est pas comme s'il venait tout juste de découvrir les armes de Katsu, donc sa méfiance était justifiée. Enfin peut être que son comportement était plutôt due à son impatience de pouvoir admirer la jeune fille de plus prés, et certainement sans tout les vêtements qu'elle portait en ce moment. Lais me le malencontreux incident qui venait de se dérouler avait détruit toute la mise en scène de la jeune fille, désormais le colonel était plus que méfiant envers elle, même s'il avait toujours la même idée en tête.. Le chemin entre le bar duquel ils venaient juste de sortir et la base du colonel fut bref, et ils arrivèrent rapidement devant la porte d'entrée. Entre temps, Alheïri eut le temps de remarquer que la jeune fille ne venait pas d'ici, et il prit le temps de l'interroger sur ses origines. Il pourra au moins dire qu'il savait d'ou elle venait.

              "J’suppose que t’es pas du coin… non ? D’où est ce que tu viens… ?"

              "Vous supposez bien mon colonel! Je viens de Manshon.. Une île de North Blue, je voyage d'île en île depuis un an déjà.. Je suis une sorte d'aventurière si vous voyez ce que je veux dire héhé..." Dit-elle tout en appuyant la fin de sa réponse avec un sourire malicieux qui donnait un tout autre au mot "aventurière"..

              Une fois arrivé devant les grandes portes Katsu put constater que c'était une.. Grande base... Il valait mieux éviter les conneries une fois arrivée ici, mais bon, elle ne s'en faisait pas trop pour ça. A vrai dire elle n'avait plus vraiment de plan à partir de ce moment, mais c'était bien pour elle, elle n'était jamais entrée dans une base de la Marine et en plus elle était accompagnée par un bel et influent homme de la marine, what else? Mais ce même devait être définitivement pressé de passer à l'action, à vrai dire il n'était pas décidé à faire visiter sa base à la jeune fille, il était plutôt décidé à lui faire visiter tout les coins et recoins de sa chambre. Monsieur le colonel en profita par la même occasion pour se la jouer prince charmant, en portant la jeune fille comme si elle était une princesse, au moins elle put constater qu'il arrivait à la porter tout en montant les escaliers à une vitesse ahurissante. Jusqu'à ce qu'ils arrivent finalement devant sa chambre, il profita de ce moment pour la reposer et ainsi ouvrir la porte qui menait jusqu'à son antre. A vrai dire la jeune fille fut plutôt impressionné, la chambre était luxueuse, magnifiquement décorée et entretenue, et elle n'était pas habituée à tant de luxe contrairement à ce qu'elle laissait paraître. Mais elle n'eut pas plus de temps pour admirer le reste de la chambre, que l'homme en chaleur profita pleinement de sa conquête du jour. S'en suivit de long baisers langoureux entre les deux amants d'un jour, alors que le colonel assura ses arrières (ça sonne plutôt bizarre dans cette circonstance non?) en désarmant avec précaution la jeune fille et en balançant ses dagues à l'autre bout de la pièce... "Simple précaution… De toute façon, tu n’auras pas besoin de ça ici. Tu es plus en sécurité dans cette chambre que nulle part ailleurs…" Ceci fit rire la jeune fille, elle n'allait certainement pas tenter d'attaquer un colonel, peu importe les circonstances, et surtout pas dans une base de la marine. Elle n'était pas dans ce genre, et puis elle ne savait même pas ou tout ceci allait finalement l'amener.. Mais elle était plutôt satisfaite d'en être arrivée jusqu'ici.. Et puis.. Autant qu'elle en profite n'est ce pas?

              "Vous êtes sur que je suis en sécurité ici Colonel Fenyang, vous allez vous occuper de moi?"

              Katsu aimait bien jouer ce genre de petit rôle pour plaire aux hommes, un mélange entre une fille soumise, innocente et coquine qui les fait tous craquer, et ça c'est universel, ils craquent TOUS. Désormais, le véritable jeu commençait, il n'y avait plus personne entre la tigresse et Alheïri. Soudainement, la jeune fille voulu prendre les choses en main (non non et non.), une envie qu'elle devait assouvir, c'est comme ça. En dehors des différents long baisers et câlins qu'ils échangeaient, elle prit un peu plus les devants, poussant quelque peu Alheïri en direction de son lit. Grand, comme lui un peu mais il y avait de quoi faire la dessus. Maintenant, elle pouvait laisser aller son esprit de tigresse comme elle le voulait, elle avait le colonel tout entier pour elle seule, et elle comptait bien en profiter. Elle en profita pour prendre le dessus sur lui, voir comment il gérer le fait de se faire dominer un peu. La jeune fille utilisa donc sa supériorité de l'instant pour retirer la ceinture du colonel et utiliser celle ci pour jouer la dominatrice d'un instant. Se plaçant au dessus du colonel, elle affichait un sourire taquin pour montrer qu'elle était prête à jouer.

              "Alors mon Colonel, vous avez été méchants ces derniers temps n'est ce pas?"
                  Ma phrase était si rigolote que ça ? Apparemment vu comment elle s’esclaffait. Mais tout ceci n’était pas mon problème. Moi, tout ce que je voulais, c’était profiter de son corps. Le reste, j’m’en foutais un peu. D’ailleurs, elle pouvait bien rire maintenant tant qu’il était encore temps. Elle en rirait moins quand j’allais la prendre avec véhémence et sans ne serait-ce qu’un ressentiment. Parce que ouais, ma trique, elle rivalisait avec celle d’un cheval. A cette pensée un peu idiote et assez perverse, j’m’étais mis à sourire et sans doute qu’elle ne comprendrait certainement pas ce sourire qui voulait dire beaucoup de choses. Alors que j’allais me perdre dans mes pensées, la ‘tite demoiselle continuait son petit baratin comme si de rien était. Faire sa sainte nitouche alors qu’on était prêt à passer à la vitesse supérieure ?

                  C’était ti pas beau ça ?

                  A peine avais-je voulu rentrer dans son jeu qu’elle me poussa sur mon lit. Faut dire que ça, je ne m’y attendais vraiment pas. J’eus un haussement de sourcil, avant de lâcher l’affaire ; Parce que ouais, j’avais horreur qu’une fille prenne la main à ma place. J’étais le mâle bordel, pas le contraire ! Ouais ouais. Dis comme ça, ça fait un peu macho, mais bon, voilà quoi… j’n’aimais pas être dominé. J’avais une sainte horreur même de la domination des femmes sur ce plan. Pour moi, c’était pas possible. Fierté mal placé sur ce point ? P’être, mais chacun à ses petits défauts, dira-t-on. Je n’avais même pas bronché lorsque mademoiselle eut l’audace d’enlever la ceinture. Mais ce geste était comme la goutte qui débordait le vase quoi. Comme par curiosité, j’attendis tout de même de voir ce qu’elle allait faire avec quand elle parla…

                  • Même si j’avais été méchant, t’es sûre que t’aurais assez de cran pour m’corriger ?

                  A peine avais-je répondu à la seconde qui suivit qu’un sourire assez carnassier fendit mon faciès. Je plongeais mes prunelles d’émeraudes dans les siens avant de lui arracher ma ceinture que je jetais un peu plus loin. « Tu crois vraiment que j’vais encore attendre alors que tu m’as allumé depuis un bon moment maintenant ? » Héhé. La bonne question qu’elle aurait du se poser avant de vouloir jouer. Car après ma phrase, je retournais complètement la position dans laquelle nous étions, pour retrouver ma place de mâle vigoureux, de dominant. Rhaaa que j’aimais cette sensation. Cette sensation de pouvoir, de virilité, celle qui m’emplissait de fierté et qui me permettait de satisfaire n’importe quel besoin. J’plaquais les mains de Katsu sur le lit avant de l’embrasser fougueusement, avant goût de ce qui s’passerait tout de suite après…

                  […]

                  • Héhéhé… Héhéhéhéhéhé…

                  Étais-je devenu dingue ? Sur le coup, on peut dire que oui, mais rassurez vous, ceci n’était que provisoire. Quatre heures. Quatre heures à explorer la moindre parcelle de son corps et à profiter d’elle comme aucun autre avant moi n’avait pu le faire. Quatre heures à lui faire sauvagement l’amour en renversant tout sur notre passage. La jeune fille n’pourrait plus se targuer de n’avoir jamais été correctement allumé. Car après avoir pensé à moi une ou deux fois, je m’étais attelé comme à mon habitude de lui extirper un nombre indéchiffrable d’orgasmes. Vous n’pouvez pas savoir comment c’était bon… Très bon même. J’aurais voulu ne jamais la laisser et profiter encore et encore de son derrière bien rebondi et de ses seins fermes, mais voilà quoi, j’avais moi-même des limites. N’empêche que je m’étais bien satisfait quand même…

                  L’tout maintenant, c’était qu’elle n’tombe pas en cloques. Vous imaginez… Enceinter une gamine d’à peine vingt ans, ça ne l’ferait pas. D’autant plus que je ne la connaissais même pas. V’la ce qui s’appelle un vrai coup d’jour, héhé. Ma journée était comme qui dirait gagné. Mais où étais-je en ce moment ? Sur Mizu, entrain de ronfler dans le bordel que nous avions causé. Ma tête était entre ses seins et tout mon corps allongé sur le sien. Et j’dormais à poings fermés là. Dans le capharnaüm que nous avions causé, ma bourse principale s’était reversée par terre et des liasses de berrys étaient dispersées un peu partout. Environ cinq millions de Berrys. D’quoi monter une véritable affaire avec pour devenir un vrai millionnaire. Mais bien sur, moi j’ne savais pas que mon argent était renversé par terre…